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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/ActeurDeSaVie/~3/g73PQJ1_e20/

Acteur de sa vie
Acteur de sa vie – Arrêtez de vous plaindre et prenez le contrôle de votre vie!

L’évènement du mois: « La relation à l’autre: besoin ou envie? » Bonjour à tous, soyez les bienvenus dans cet article particulier, puisqu’il correspond à l’article de lancement du Festival Interblogueurs « A la croisée des blogs ». Chaque mois, un membre du site Developpementpersonnel.org  propose un thème de réflexion, que chaque blogueur peut ensuite développer sur son site. [fusion_builder_container hundred_percent= »yes » overflow= »visible »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »no » center_content= »no » min_height= »none »][…]

évènement du mois: la relation à l’autre, besoin ou envie?
Théo Duverger.

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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/la-vie-de-mes-reves/~3/kWiiqGuavXE/

Pour moi, tout a commencé en 2010. Je conduisais un pick-up sur une route poussiéreuse de chantier dans le nord de la Nouvelle-Calédonie. Soudain, j’entendis ces mots sur la radio locale « Ça complètement changé ma vie. Pendant des mois, je me suis sentie bien ». J’augmentai le volume pour éclaircir le mystère de cette femme heureuse. J’apprenais alors qu’une personne allait enseigner des stages de développement personnel sur le territoire quelques semaines plus tard. Je ne savais pas tellement à quoi m’attendre, moi qui étais plutôt cartésienne, mais je savais que quelque chose allait se passer dans ma vie. Durant mes … Continuer la lecture de Comment j’ai trouvé ma vocation

Source originale : http://www.jesuissucces.com/blogue/2010/03/21/sexy-suzy-na-pas-envie-de-sexe/

Je vous présente Suzy, une jeune québécoise de 26 ans qui habite en appartement avec son copain Charles depuis maintenant deux ans. Comme la plupart des jeunes femmes de son âge, Suzy a terminé ses études et elle s’est trouvé un travail pour gagner sa vie.

Lisa, la meilleure amie de Suzy, a aussi un travail et elle est mariée depuis trois ans. Lisa et son mari ont aussi un enfant.

Suzy et Lisa se rencontrent régulièrement pour prendre un verre de vin et jaser entre filles.

Tout récemment, les deux jeunes femmes se sont rencontrées pour discuter de leurs sujets favoris : leur avenir, leur couple, et vous l’aurez deviné : de sexe.

Suzy a avoué à Lisa qu’elle a un petit problème. Elle adore son copain Charles, mais elle n’a pas envie de lui (au lit) aussi souvent que lui aurait envie d’elle. Elle ne croit pas que c’est Charles le problème, mais plutôt elle-même.

Lisa demande à Suzy si c’est parce qu’elle ne trouve pas Charles attirant et Suzy répond : « Non, au contraire, Charles est très attirant. Et d’ailleurs, il fait bien l’amour. Je n’ai pas plus envie d’un beau garçon attirant que je pourrais croiser dans la rue. Je ne crois pas que c’est une question d’amour ou d’attirance ».

Suzy ajoute : « Je crois tout simplement que mon niveau de libido est très faible. Durant notre première année en couple, nous faisions l’amour au moins une fois par semaine, mais maintenant, nous le faisons à peine une fois par mois. J’aime beaucoup Charles, mais j’ai l’impression de passer nos moments intimes en deuxième ».

L’analyse : besoins, valeurs et croyances

Quel est le problème de Suzy?

Suzy ne sait plus quoi faire et quoi penser. Elle ne veut pas rompre sa relation avec Charles. Elle veut surtout essayer de comprendre son problème.

Bien entendu, la sexologie est un sujet très complexe. Lisa est hygiéniste dentaire, et non une sexologue. Cependant, Lisa sait très bien qu’il y a trois choses qui influencent et contrôle nos choix et décisions :

  1. Nos besoins émotionnels;
  2. Nos valeurs;
  3. Nos croyances.

Pour tenter d’aider Suzy à comprendre son problème, Lisa propose d’en discuter. Elle posera quelques questions à Suzy en rapport à ses besoins, ses valeurs et ses croyances.

Voici quelques extraits de l’entretien entre Suzy et Lisa.

1. Suzy a dit que la plupart du temps, lorsque son conjoint l’invite à la chambre à coucher, elle se sent obligée de modifier son plan (horaire) de la journée. Suzy est une personne très organisée et elle a l’habitude de planifier à l’avance ses soirées et week-ends. Exemple : Faire l’épicerie, faire le ménage, être à l’heure à son rendez-vous, appeler une amie, louer un film, etc. Avec le temps, Charles a pris l’habitude de suivre le plan de Suzy.

Besoin de Suzy : J’ai un sentiment d’accomplissement seulement lorsque j’ai terminé mes tâches. Je me sens mieux lorsque j’ai un plan. J’ai beaucoup de difficultés à modifier mon horaire et à passer un moment intime avec Charles lorsque mon plan était d’aller faire l’épicerie par exemple.

2. Ensuite, Suzy admet qu’intérieurement, elle ne sent pas bien de faire l’amour plus d’une ou deux fois par semaine. Comme si faire l’amour plusieurs fois par semaine était un péché. Les deux filles se sont entendues pour dire que Suzy a potentiellement une croyance limitative au sujet de la sexualité.

Croyance de Suzy : faire l’amour plusieurs fois par semaine, ce n’est pas bien. C’est une idée qui traine dans ma conscience depuis mon jeune âge. Est-ce que c’est ce qu’on m’a enseigné à l’école et dans mes cours de religion? Ça pourrait aussi venir d’anciennes expériences ou de l’enseignement de mes parents. Je ne suis pas certaine.

3. Suzy et Lisa poursuivent leur discussion. Suzy raconte qu’elle a un petit côté féministe. Elle n’aime pas l’idée d’être soumise à un homme.

Valeur de Suzy : Je suis une femme moderne et je ne suis pas soumise à un homme. Mon corps m’appartient et c’est moi qui prends les décisions de faire l’amour ou non.

4. Lisa sait que Suzy n’est pas une fille qui aime exposer son corps. Elle porte rarement la jupe et le chandail décolleté. Elle aime plutôt porter un jeans et un t-shirt. Lisa pose quelques questions à Suzy à ce sujet.

Valeur de Suzy : Je suis une femme intelligente qui réussit dans la vie. Je n’ai pas besoin de montrer mon corps pour réussir.

5. Comme question finale, Lisa a demandé à Suzy si elle se sentait bien dans sa peau.

Croyance de Suzy : Je ne suis pas très fier de mon corps. Je ne suis plus en forme comme je l’étais au début de notre relation. Dans le passé, Charles me disait que j’étais sexy. Maintenant, je suis moins séduisante.

Après avoir discuté pendant un peu plus d’une heure, les deux filles conclurent que Suzy a des choses sur lequel travailler pour améliorer sa situation.

Où croyez-vous que les réponses au problème de Suzy se cachent? Et voilà! Les réponses se trouvent dans ses croyances, ses valeurs et ses besoins émotionnels.

Le problème n’est pas résolu, mais en discutant et en posant des questions à Suzy, Lisa a réussi à faire ressortir plusieurs facteurs qui pourraient être reliés à son problème. Suzy doit maintenant réfléchir à cette discussion et communiquer avec son conjoint pour résoudre le problème.

Pour conclure la discussion, Lisa demande à Suzy : « Est-ce qu’un couple sans relations sexuelles courantes est forcément un échec? Est-ce que c’est la règle de faire l’amour plusieurs fois par semaine? Est-ce qu’un couple est forcément malheureux sans relations sexuelles courantes? Est-ce que tes autres amies te disent qu’ils ont des relations sexuelles très fréquentes et que tu dois faire la même chose? La sexualité est un sujet encore tabou, c’est donc normal que tu aies l’impression que tu es la seule dans cette situation “.

Suzy : « Oui, tu as raison. Je suis allé sur les forums de discussion sur la sexualité et beaucoup de jeunes femmes semblent se poser les mêmes questions que moi ».

Lisa : « Je crois que le plus important, c’est d’en discuter avec ton copain. Ensuite vous pourrez trouver des solutions ensemble ».

Vous avez vous aussi un problème dans votre vie? En fait, qui dans ce monde n’a jamais de problèmes? Lorsque vous (ou un ami) ferez face à un problème dans votre vie, tentez d’analyser votre situation en vous posant des questions claires. Pour mieux comprendre le problème, c’est important de poser des questions en rapport à vos besoins, vos croyances et vos valeurs.

Lorsque vous aurez compris le pourquoi de vos réactions et de votre raisonnement, il ne vous restera plus qu’à établir un plan d’action pour modifier vos croyances.

Ps : Dans cet article, j’ai choisi de parler de sexualité, car c’est un sujet qui intéresse les gens. Mon objectif était de vous démontrer qu’en posant des questions simples, mais précises, vous pourrez découvrir qui vous êtes vraiment. La plupart des gens ne se connaissent pas. La connaissance de soi est un aspect important du développement personnel. Lorsqu’il y a quelque chose qui vous dérange, posez-vous des questions associées à vos besoins, vos valeurs et vos croyances. Vous serez surpris de tout ce que vous pouvez apprendre sur vous.

Bonne journée!

Christian

Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/3-techniques-simples-pour-commencer-la-meditation/

3 techniques simples pour commencer la méditation

Techniques simples pour apprendre à méditerArticle invité rédigé par Wesley de EcrireJuste.

Techniquesdemeditation.com a pour objectif de rendre la méditation accessible à tous. Pour cause, on a tendance à la rendre plus compliquée qu’elle ne l’est. Pas besoin d’être un moine tibétain ou de connaître des techniques ultra avancées pour la pratiquer.

Il est possible de commencer avec des exercices simples, que chacun peut intégrer dans son quotidien. Dix minutes par jour est amplement suffisant si vous débutez.

Voici trois techniques qui permettent d’ancrer facilement votre esprit dans l’instant présent.

Concentrez-vous sur votre respiration

Pilier de la méditation et de la plupart des méthodes de relaxation, la respiration est une manière efficace de réduire le flux de pensées qui viennent parasiter l’esprit.

En vous focalisant sur votre respiration, vous « occupez » votre cerveau en le centrant sur quelque chose que vous vivez dans le présent, reléguant alors le bruit de vos pensées au second plan. Il y a deux façons de vous concentrer sur votre respiration.

La première consiste à compter chaque inspiration et expiration en allant jusqu’à 10. Comptez un au premier cycle respiratoire (une inspiration + une expiration), puis deux, puis trois et ainsi de suite. Une fois à 10, recommencez simplement l’opération à zéro ou bien comptez en sens inverse.

La seconde méthode est basée sur l’observation des mouvements du corps au gré des inspirations et expirations. L’objectif n’est pas d’essayer de respirer d’une certaine manière mais simplement d’observer comment chaque inspiration est différente de la précédente.

Scannez chaque partie de votre corps

Un autre excellent moyen d’ancrer votre esprit dans le présent est de focaliser votre attention sur vos sensations physiques.

Fermez les yeux et visualisez chaque partie du corps l’une après l’autre, de haut en bas, tel un scanner. Front, gorge, poitrine, plexus solaire, nombril, jambes, pieds : arrêtez-vous sur chaque zone et prenez le temps de la ressentir pleinement.

Encore une fois, il est simplement question d’observation ; n’essayez pas de changer la sensation d’une zone ni de l’analyser. Si vous ressentez des tensions dans le dos, constatez simplement la sensation.

Une fois que vous avez passé en revue l’ensemble du corps, une humeur globale devrait émerger naturellement. Votre état émotionnel est connecté à votre état physique et cet exercice permet d’être plus conscient de votre état interne.

Focalisez-vous sur l’environnement

Être dans l’instant présent, ça inclut aussi le fait d’avoir conscience de son environnement.

Quels sont les sons que vos oreilles peuvent percevoir ? Pouvez-vous relever les odeurs qui vous entourent ? Qu’en est-il du contact de votre peau avec l’air ambiant ? Ressentez-vous les points de contact avec le sol ou le dossier de la chaise sur laquelle vous êtes assis(e) ?

Tout comme pour les deux méthodes précédentes, l’angle d’approche à favoriser est celui de la perception et de la constatation. N’essayez pas de vous forcer à aller chercher les bruits si vous êtes dans un espace calme. Laissez plutôt les stimuli externes venir à vous, laissez vos sens capter les signaux présents dans votre environnement.

Vous pouvez tout à fait enchaîner ces 3 exercices et vous aurez complété une séance de méditation. La méditation n’est pas un sprint, c’est un marathon : l’important, c’est la régularité. Commencez par en faire 10 minutes par jour, tous les jours.

 

3 techniques simples pour commencer la méditation

Wesley

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/etre-plus-zen-grace-a-langage-corporel/

Comment être plus zen grâce à votre langage corporel ?

Article invité rédigé par Romain,  l’auteur du blog le Décodeur du Non-Verbal

Le langage corporel pour être zen

Ici Romain, le Décodeur du Non-Verbal.

Depuis plus de 5 années, j’étudie les affinités qui existent entre les mouvements de notre corps et l’esprit humain.

J’étudie nos émotions, nos sentiments à travers leur manifestation dans notre gestuelle, notre langage corporel et nos postures.

Si j’emprunte aujourd’hui les clés du blog de Cédric, c’est parce que je souhaite partager avec vous un certain nombre de ces enseignements recueillis au fil des années.

Je suis persuadé qu’ils pourront vous aider à être plus zen au quotidien, qu’ils augmenteront l’efficacité de vos méditations mais aussi qu’ils deviendront une solution particulièrement efficace pour faire disparaître le stress lorsqu’il s’immisce dans vos vies sans crier gare.

Ce que je m’apprête à vous révéler, je ne l’ai aujourd’hui enseigné qu’à un petit groupe de clients triés sur le volet.

Mais parce que Cédric m’a gentiment laissé les clés du blog, j’ai décidé de vous en dévoiler certains secrets.

Êtes-vous bien installé devant votre écran ? Oui ?

Alors, c’est parti.

Le paradoxe de la méditation

Si vous êtes comme moi, vous cherchez sans doute à vivre une vie plus zen. Vous souhaitez atteindre une sorte de calme permanent dans votre esprit.

La méditation est une méthode efficace pour y arriver. Mais parfois, on se trouve face à un sacré paradoxe.

Car même si nous avons bien conscience des bienfaits salvateurs de la pratique méditative, nous arrivons à nous trouver des excuses pour ne pas s’y atteler :

  • l’envie n’est pas là ;
  • ou le timing n’est pas le bon ;
  • ou bien encore, les bienfaits de la méditation ne se font pas ressentir parce que les pensées négatives sont trop présentes.

Dans ce genre de situations, ce que vous aimeriez, c’est avoir la possibilité de retirer ce petit programme automatique dans votre tête qui vous empêche de méditer.

Ce que vous souhaiteriez, c’est pouvoir lâcher prise, en un claquement de doigts, faire disparaître ce stress ou ces idées noires afin de retrouver un état interne plus serein, plus zen.

Et à ce titre,  j’ai une excellente nouvelle pour vous !

De part mon expertise de la communication non-verbale et du lien qui unit corps et esprit, je vais vous apprendre à utiliser votre langage corporel de manière ingénieuse pour rendre votre méditation encore plus efficace et pour changer (en un éclair) vos pensées négatives en positives.

Ces dernières lignes peuvent paraître une promesse forte. Mais suivez-moi jusqu’au bout ! Car vous êtes sur le point d’apprendre un aspect innovant du fonctionnement de votre corps auquel vous n’aviez peut-être encore jamais pensé.

Utiliser le langage du corps pour méditer de façon optimale

Pour méditer dans des conditions optimales, il est important de se trouver dans un environnement approprié : endroit calme, avec un minimum de perturbations.

Mais saviez-vous qu’il est tout aussi important de vous construire un terrain fertile pour méditer ? Un terrain à l’intérieur de vous ?

Le meilleur moyen pour créer ce terrain interne propice à la méditation, c’est d’utiliser votre langage corporel.

Laissez-moi vous expliquer pourquoi.

J’ai constaté en développant mon expertise du langage corporel (que l’on assimile aussi parfois en France à la pratique de la synergologie) que le corps communique des messages, il communique tout comme le font les mots. Voire même plus.

Mais ce que j’ai aussi constaté, c’est que votre communication non-verbale, la façon dont vous utilisez votre corps, permet de changer votre état interne.

Utiliser de manière ingénieuse, votre langage corporel permet de modifier vos émotions et ainsi vous donne le pouvoir de réguler ce qui se passe à l’intérieur de vous.

– Zen dans votre corps et dans votre tête

Vous avez très certainement remarqué que lorsque votre corps est voûté, recroquevillé sur vous-même, votre état émotionnel est souvent au plus bas.

Alors qu’à l’inverse, lorsque vous adoptez une posture où tout votre corps prend de la place, vous vous sentez mieux.

Y aurait-il un lien entre “expansion du corps et bien-être“ et entre “discrétion du corps et émotions négatives“ ?

Il semblerait que OUI.

La psychologue américaine Amy Cuddy ainsi que des recherches effectuées à Business School de Colombia ont montré qu’en tenant simplement notre corps de manière expansive pendant 2 minutes, cela augmentait notre niveau de testostérone (que ce soient pour les hommes ou pour les femmes).

La testostérone est l’hormone qui est liée au pouvoir et à la dominance – par la même occasion, ce type de postures diminue le cortisol, l’hormone du stress.

Alors pourquoi n’utiliseriez pas ce savoir pour constamment injecter des hormones positives dans votre corps juste avant une méditation ?

Car oui, on arrive ici au coeur de cet article.

En modifiant votre physiologie (corps), vous changez votre psychologie (grâce à la sécrétion d’hormones bien spécifiques et dîtes positives) – en adoptant ces postures génératrices spécifiques au bien-être, vous pouvez créer ce terrain fertile à la méditation – vous pouvez même supprimer toute once de stress (par exemple avant de prendre la parole en public) en moins de deux minutes.

Maintenant la question assez naturelle qui doit surgir dans votre esprit est la suivante : Comment ? Comment adopter ces postures ? Et quelles sont-elles exactement ?

On les appelle les postures énergisantes (pas besoin de vous faire un dessin du pourquoi du nom) 🙂

– Utiliser une posture énergisante avant de méditer

Alors quelles sont ces fameuses postures énergisantes ? Il en existe plusieurs et elles ont toutes 2 points communs : votre corps prend de la place, notamment avec les bras.

Une des postures que j’apprécie particulièrement pour se faire est l’effet catapulte dont je vous invite à regarder l’explication dans cette vidéo de la série 1jour1geste.

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=Ln6A6QPN35E]

Appliquez cette posture pendant 2 minutes juste avant de méditer et il s’opérera quelque chose de magique dans votre corps.

Vous vous sentirez en charge de la situation, prêt et serein pour commencer votre méditation. Derrière celle posture, on peut tout à fait imaginer une bulle disant « Je gère la situation“ ou “C’est moi le boss, je suis en charge“ et c’est exactement ce qui se passe, vous êtes en charge de vos émotions. Vous envoyez à votre cerveau que vous êtes en charge de la situation.

En prenant cette attitude avant votre méditation, vous allez voir que vont disparaître de manière très rapide vos émotions négatives au profit d’émotions positives. Vous allez construire en cela un terrain propice à une méditation plus calme et plus zen.

Si vous vous intéressez au Yoga, vous ne serez pas sans remarquer l’une des particularités de cette méthode qui est justement basée sur les positions corporelles, les postures pour générer des émotions positives.

Plus de zénitude en utilisant votre gestuelle

J’espère qu’à travers ces lignes vous avez pris conscience de l’importance d’utiliser votre corps avant vos méditations.

Faites-moi maintenant une promesse.

Celle d’essayer. Celle d’adopter, lors de votre prochaine médiation, la posture énergisante que je viens de décrire.

Rappelez-vous que votre corps et la façon dont vous l’utilisez sera toujours le point de départ de votre zénitude.

C’est votre gestuelle, les mouvements de votre corps qui créent les hormones propices d’une méditation efficace.

Je vous souhaite plein de succès dans vos prochaines méditations,

Romain
Le Décodeur du Non-Verbal

Pour aller plus loin : Romain est l’auteur du blog le Décodeur du Non-Verbal sur lequel il vous livre ses meilleurs conseils pour apprendre les secrets de la communication non-verbale et développer une communication d’exception. Cliquez ici pour en savoir plus sur lui.

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

Source originale : http://www.vie-explosive.fr/comment-avoir-confiance-en-soi-pour-seduire

Comment la confiance en soi peut vous aider à séduire la femme ou l’homme de vos rêves ? Quelles sont les astuces pour faire des rencontres et vaincre votre célibat ? Comment vous pouvez gagner en charisme grâce à des exercices de développement personnel ? Avant de débuter cet article, je tiens à remercier Charles […]

Cet article Comment avoir confiance en soi pour séduire ? est apparu en premier sur Vie Explosive.

Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/meditation-selon-nisargadatta/

La méditation selon Nisargadatta

Nisargadatta © Jitendra Arya

Nisargadatta © J. Arya

Article invité rédigé par Eric Bah de Tout Pour Etre Bien et Wellness Experience.

Longtemps j’ai cru que l’éveil était réservé aux solitaires, qu’une spiritualité accomplie passait nécessairement par une vie retirée de la société. Et puis j’ai rencontré Nisargadatta, à travers ses livres. Nisargadatta, un mari, un père, un petit commerçant travaillant dans la ville indienne la plus peuplée : Bombay, capitale commerciale de l’Inde et siège de la plus grosse production cinématographique du monde.

 

De la naissance à l’éveil

« Il n’y a pas de personne, et par conséquent il n’est question ni de naissance, ni de vie, ni de mort. » C’est en ces termes que Nisargadatta résume son existence. Mais pour le commun des mortels, Maruti Nisargadatta naît en 1897 et passe son enfance dans la ferme de ses parents au Sud de Bombay. Quelques années après la mort de son père, alors qu’il n’a qu’une vingtaine d’années, Nisargadatta ouvre une petite boutique de bidis, ces fines cigarettes indiennes roulées à la main. Puis il se marie et aura un garçon et trois filles. Il mène ainsi la vie paisible d’un père de famille jusqu’en 1933, date à laquelle il rencontre son maître Siddharameshwar, de la lignée des Navnath Sampradaya qui remonte à la nuit des temps. Siddharameshwar l’initie dans la tradition de l’Advaita Vedanta. Nisargadatta rapporte : « J’ai fait ce qu’il m’a dit de faire. Tout mon temps libre, je le consacrais à m’observer en silence. Cela opéra en moi un changement rapide et profond. Il ne me fallut pas plus de trois ans pour réaliser mon être véritable. »

Errance et enseignement

Un an après la mort de son maître, en 1937, Nisargadatta entame une vie de moine errant. Mais quelque temps plus tard, il se ravise ; considérant les défauts de cette vie retirée du monde, il décide de revenir à Bombay. Il rouvre son échoppe et s’aménage à l’étage une salle de méditation. Très rapidement, attirés par son immense sagesse, les gens viennent le consulter de toute l’Inde, puis des quatre coins du monde. Chaque jour, de 8 h 30 à 12 h 30 et de 16 h 30 à 18 h 30, Nisargadatta écoute avec bienveillance chacun de ses visiteurs. Se disant inculte et analphabète, il répond en marathi, sa langue maternelle, dans un style simple et tranchant. A partir de 1980, atteint d’un cancer de la gorge, il s’exprime de manière encore plus incisive, sans concession, allant à l’essentiel. Il délivre son enseignement jusqu’aux derniers instants de sa vie. Il meurt le 8 septembre 1981. Mais « ce qui n’est pas né, comment pourrait-il mourir ? »

L’attachement, notre prison

« Tous vos ennuis ont leur source dans votre identification avec le corps. » C’est le plus gros obstacle à notre libération : l’identification au corps et à l’esprit. Nous croyons être cela et nous restons attachés aux choses. C’est à cause de cette identification à l’entité corps-esprit que notre conscience se persuade qu’elle est mortelle. Mais en fait personne ne meurt car personne n’est né. Pas de naissance, pas de mort. Tout ce qui arrive a lieu dans le champ de notre conscience qui n’est rien de moins que la conscience universelle. « Vous pouvez observer votre corps donc vous n’êtes pas lui. » De même que vous n’êtes pas les vêtements que vous portez, vous n’êtes pas ce corps que vous habitez. Notre conscience était là avant le corps-esprit ; elle sera là après. L’être est transitoire. En ramenant notre conscience à cette infime partie d’elle-même, nous construisons la prison de nos illusions.

A quoi sert l’être ?

« Depuis quand et comment peut-on avoir l’expérience du monde ? Comprenez-le une fois pour toute, on ne le peut que grâce à l’être. » L’Absolu ne peut pas se ressentir lui-même. Dans l’une de ses conversations, Nisargadatta compare l’être à un télescope. Vous pouvez étudier la lune et les étoiles grâce à un télescope. Mais vous n’êtes ni le télescope ni le ciel que le télescope vous aide à scruter. L’être est indispensable à la conscience absolue pour observer le monde manifesté. Cependant l’Absolu n’est pas l’être, l’outil par lequel se fait l’observation. Il n’est pas non plus l’objet de l’observation, le monde manifesté. Pour qu’il y ait connaissance, il faut que l’être apparaisse. C’est l’être qui permet l’expérience. Un objet n’existe qu’à deux conditions. La première : il faut un objet. La seconde : il faut un observateur. L’erreur est de croire que l’être est l’observateur. Alors qu’il n’est que le télescope. Vous, l’Absolu, êtes l’observateur.

La non-dualité, c’est tout

« Je suis tout ce qui est et sans moi rien n’existe ! » Le principe de non-dualité repose sur l’indifférenciation entre l’individualité et la totalité. Tandis que l’Absolu se déploie en des milliards de formes variées, notre attachement à l’être nous joue des tours et nous fait voir chaque entité comme séparée des autres. Nous nous considérons comme des individus. Et en tant qu’individu nous appréhendons le monde de façon fragmentée. Cette illusion nous pousse à agir le plus souvent dans le sens de notre intérêt personnel, ou plutôt dans le sens de ce que nous croyons être notre intérêt personnel. L’individu n’est pas la réalité, mais un aspect de la réalité. Une goutte d’eau de l’océan est-elle séparée, différente, de l’océan ? Elle est l’océan tout entier, indissociablement. Nous sommes Un. Nous devons nous réveiller de ce mauvais rêve qu’est l’illusion de la dualité, de la séparation. Sans quoi nous ne faisons que nuire, au reste du monde, aux autres, et finalement à nous-mêmes.

La connaissance de soi mène à l’amour universel

« Quand vous savez, au-delà de toute incertitude, que la même vie coule dans tout ce qui existe, et que vous êtes cette vie, alors vous aimez tout, naturellement, spontanément. » Etre dans le Soi est le plus grand service à rendre à l’humanité. De la connaissance de soi découle l’amour. Lorsque que vous reconnaissez chaque chose comme faisant partie de vous, il n’y a pas plus de peur. Et lorsqu’il n’y a plus de peur, il y a la place pour l’amour. Cet amour est l’amour universel. Il ne s’adresse à personne en particulier. De même que la fleur exhale son parfum pour tous, sans discrimination, l’amour universel embrasse tout le monde. Il n’y a pas de chemin pour trouver cet amour : c’est notre nature profonde. Nous sommes à destination. En vérité, nous ne sommes jamais partis. Nous sommes la source. Nous n’avons pas à devenir ce que nous sommes déjà. Nous devons simplement voir ce que nous ne sommes pas.

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Pourquoi méditer ?

« Etre un avec CELA grâce à quoi nous savons que nous sommes, c’est la méditation. » Pour Nisargadatta, le premier objectif de la méditation est de prendre conscience de sa vie intérieure. Le second est de s’éveiller en remontant à la source de la conscience. « L’achèvement le plus haut que permette cette vie est la réalisation de notre être. » Une partie de nous nous est totalement inconnue ; nous l’appelons l’inconscient. Et parce que nous ne la connaissons pas nous en sommes esclaves. La méditation nous aide à connaître nos conditionnements, nos attachements. Chaque vice, chaque faiblesse que nous voyons en nous finit par disparaître. Et lorsque la totalité de l’inconscient s’est dissoute, le mental est apaisé. Nos actes deviennent justes ; ils ne sont plus ceux d’une marionnette dont l’inconscient tirait les ficelles. « La spiritualité n’est rien d’autre que comprendre le jeu de la conscience. » L’Eveil apporte Paix et Amour.

Comment méditer

« Pour celui qui cherche la réalité, il n’y a qu’une seule méditation : un refus rigoureux d’abriter des pensées. Etre libre de pensées est en soi une méditation. » Si vous débutez, il est préférable de méditer en un lieu calme, sans risque d’être dérangé. Plus tard, avec un peu d’expérience, vous serez capable de méditer n’importe où. « La méditation pratiquée aux premières heures du jour est utile et efficace. » Mais vous pouvez pratiquer en plus à chaque moment de libre. La méditation nécessite habituellement un objet de méditation : le méditant médite sur quelque chose. Mais le méditant était là avant ce quelque chose. Nisargadatta enseigne de supprimer l’objet. « Dans la vraie méditation, le méditant est seul sans aucun objet de méditation. » Commencez par laisser passer vos pensées en les regardant sans intervenir, sans vous y accrocher. Cela ralentira le mental jusqu’à ce qu’il s’arrête totalement. Lorsqu’un mot, une phrase surgissent, nous sommes entraînés à leur suite tels des somnambules. Vous devez rester juste avant que le mot jaillisse. C’est là que se trouve « Je suis », l’Absolu, avant l’apparition de l’être et de la connaissance. Restez simplement dans cet état. Il n’y a aucun effort à faire. Au contraire l’effort est un obstacle. Soyez c’est tout.

Méditation guidée

Prévoyez au moins vingt minutes. Installez-vous dans un endroit calme, de préférence dans la pénombre. Coupez votre téléphone, éteignez votre ordinateur. Asseyez-vous sur un coussin de méditation ou au bord d’une chaise. Lancez l’enregistrement et laissez-vous guider. Méditer est la meilleure chose que vous puissiez faire pour vous et pour le monde. « Si vous prenez au sérieux, les souffrances de l’humanité, vous devez perfectionner le seul moyen d’aide que vous avez. » Cliquez ici pour méditer.

Bonne méditation !

Méditer dans l’action

Comment inscrire la méditation dans sa vie quotidienne : en famille, durant son travail, pendant ses loisirs ? « Utilisez les pensées pour remplir vos fonctions et le reste du temps laissez-les couler d’elles-mêmes, sans interférences, sans desseins, comme l’eau d’une rivière dans laquelle vous ne puisez que lorsque cela est nécessaire. » En dehors de vos parenthèses de méditation, tournez-vous vers l’intérieur le plus souvent possible. Restez avec « Je suis » à la moindre occasion jusqu’à cela se fasse spontanément. Faites-en votre réalité. Soyez simple témoin de votre vie. Observez vos gestes, vos pensées. Veillez à rester en dehors de la scène. Gardez-vous de vous juger. En vous plaçant en témoin, vous vous situez hors du temps. Dans ce silence intérieur, votre mental s’apaisera, sortant peu à peu de la confusion. Et tous les recoins désormais éclairés de votre inconscient en dissolution viendront élargir votre conscience.

Le premier livre

Toutes les citations de cet article sont extraites de trois livres de Nisargadatta : Je suis (traduction Sylvain Josquin), Ni ceci ni cela (traduction Paul Vervish), Conscience et absolu (traduction Jean-Michel Terdjman). Sept livres sont disponibles en français. Nisargadatta n’a en réalité écrit aucun d’entre eux. Il s’agit de transcriptions faites à partir des conversations qu’il avait avec ses visiteurs. Ce qu’il y a, entre autres, d’original chez Nisargadatta, c’est sa disposition à répondre sans retenue aux questions sur sa vie intérieure. Si vous voulez comprendre ce qu’est un être éveillé, c’est assurément le sage à lire. Je vous suggère de commencer par Je suis. Paru en 1973, c’est le premier ouvrage à véhiculer la parole de Nisargadatta. Le propos est d’une impressionnante simplicité et d’une profondeur vertigineuse. Un grand nombre de sujets y sont abordés. S’agissant uniquement de conversations, vous n’êtes pas tenu de suivre un ordre de lecture.

Les dernières paroles

Bien que Je suis présente l’essentiel, lisez aussi Conscience absolu. Cet ouvrage contient les dernières paroles du maître. Il sait que ses jours sont comptés ; son style est direct, économique. Autant Je suis est percutant, autant Conscience et absolu est tranchant, Nisargadatta n’hésitant pas à congédier des interlocuteurs trop peu sérieux. Il meurt avant de pouvoir tenir l’ouvrage dans ses mains. « Plus rien ne m’atteint. » est sa dernière parole imprimée. Il existe peu de vidéos de Nisargadatta. Les images les plus connues sont celles d’un documentaire qui lui a été consacré : Awaken to the Eternal. Regardez aussi ce touchant film amateur en cliquant ici.

Eric Bah est l’auteur de deux blogs :
Tout Pour Etre Bien, pour prendre sa santé en main.
Wellness Experience, réservé aux masseurs professionnels.

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

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