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Source originale : http://www.tremblezmaisvivez.com/de-chair-et-doubli/

Deux magistrats impliqués dans une très curieuse affaire de chair et d’oubli !

Karline Nivet est magistrat.
Après des études de droit et de sciences politiques à Toulouse, elle réussit le concours de la magistrature. Elle occupe les fonctions de Juge d’instruction pendant quatre ans.
Globe trotter devant l’éternel elle décide de faire une pause pour parcourir le monde.
Elle exerce aujourd’hui dans un parquet du sud-ouest de la France.

Pascal Suhard est magistrat.
Il a d’abord exercé au ministère des finances.
Après avoir enseigné au Centre universitaire d’Albi et soutenu une thèse de doctorat en sciences criminelles à Toulouse, il intègre la magistrature où il exerce aujourd’hui dans sa ville de prédilection.

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De chair et d’oubli

« La découverte près d’Albi d’un squelette enseveli avec un diamant d’une valeur inestimable intrigue le commandant Dran. Comment cet être décharné a t’-il pu sombrer dans l’oubli ?
Impliquée dans l’enquête, une boxeuse aussi talentueuse que trouble ramène Dran vers son passé de champion déchu. Sans le savoir, il s’apprête à livrer un nouveau combat face à une nébuleuse aux contours inquiétants, un ennemi qui, pour préserver son impunité, plonge la chair suppliciée de ses victimes dans l’oubli.
Dans cette lutte incertaine, Dran devra faire des choix cruciaux pour sauvegarder sa vie… au risque d’y laisser son âme. »

A l’occasion des vacances, plongez-vous dans cette lecture palpitante et tentez de dénouer cette affaire de chair et d’oubli.

Bonnes vacances et à très bientôt !

Manima

Cet article De Chair et d’Oubli est apparu en premier sur Tremblez Mais Vivez.

Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/comment-gerer-distractions-pendant-la-meditation/

Pour commencer, vous pouvez être rassuré si vous êtes distrait, comme tout le monde l’est à un moment où un autre pendant que l’on médite. Même les personnes qui ont médité pendant des années le sont encore.

Comment gérer les distractions pendant que l’on médite ?

Si vous voulez créer un beau jardin, la première étape dans la création de ce beau jardin est de réaliser où sont les mauvaises herbes pour pouvoir les éradiquer. Si vous vous sentez un peu intimidé par le volume de pensées que votre esprit semble capable de créer alors il est bon de vous rappeler que vous avez besoin d’en avoir conscience avant de pouvoir faire quoi que ce soit à ce sujet. Si vous ne voyez pas ce que vous portez, vous ne pouvez rien changer donc c’est une très bonne chose si vous voyez maintenant toutes vos pensées qui défilent. Gardez également à l’esprit qu’apprendre à vivre avec elles dans la douceur vous apportera bien plus de bonheur.

Votre esprit est comme si vous héritiez d’un beau jardin mais qui est plein de mauvaises herbes car il n’a pas été entretenu depuis très longtemps. Vous ne pouvez donc pas ignorer que les mauvaises herbes sont là mais vous pouvez apprendre à faire quelque chose à partir de cela.

Avec un vrai jardin, vous pouvez toujours simplement vous en débarrasser ou embaucher un jardinier pour en prendre soin. Par contre avec votre esprit, vous ne disposez pas de ce luxe. Laissez-le seul et il va juste s’emballer. La meilleure chose à faire est donc de commencer dès que possible à réunir les conditions pour éradiquer les mauvaises herbes.

Si jamais vous vous sentez frustré avec les distractions de votre mental, souvenez-vous que lorsque vous réalisez que vous avez été distrait dans votre méditation, vous avez toujours le choix de faire preuve de patience et de douceur envers vous-même. Se décourager ou s’agacer ne fera qu’empirer les choses. C’est un peu comme mettre de l’huile sur le feu et  tout ce que vous allez obtenir est d’avoir encore plus de pensées et d’être encore plus distrait.

Alors détendez-vous simplement et continuer patiemment en travaillant à éradiquer les mauvaises herbes de votre esprit sauvage.

Chaque moment où vous réalisez que vous avez été distrait est en fait d’une très grande valeur. C’est le point de bascule où notre tendance naturelle de se fâcher, d’être abattu ou frustré peut s’emballer. C’est aussi une occasion pour nous de pratiquer la patience, l’acceptation d’être imparfait, et aussi d’être bon pour nous. Et le fait de porter ses qualités est aussi important à long terme, que le retour a l’objet de la pratique de la méditation qui est en général le souffle de notre respiration.

Il peut être aussi rassurant de savoir qu’il existe des outils qui nous aident à réduire le niveau de distraction que nous pouvons vivre. Il suffit pour cela de retourner notre attention vers notre souffle chaque fois que nous nous rendons compte que notre esprit s’est perdu, c’est très efficace sur le long terme.

Compter vos respirations est une autre façon d’apporter plus de stabilité à votre esprit pendant que vous méditez. La grande nouvelle est que nous ne sommes pas impuissants. En fait, nous avons tout ce qu’il faut pour calmer notre esprit. Nous avons juste besoin de continuer à faire un effort doux et bienveillant.

« La méditation, ce n’est pas de résister jusqu’à exploser d’un seul coup. C’est l’art de se libérer des pensées et des charges émotionnelles non nécessaires pour rester en paix. »

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/ActeurDeSaVie/~3/DT0vPTIm1x4/

Acteur de sa vie
Acteur de sa vie – Arrêtez de vous plaindre et prenez le contrôle de votre vie!

Changer de vie Vous en avez rêvé pendant de nombreuses semaines, de nombreux mois, ça y est, il est temps de changer de vie. Chaque période de l’année est propice à changer de vie, chaque occasion peut devenir un prétexte: la nouvelle année, le retour des beaux jours, un anniversaire…tout peut devenir un tremplin! Alors on […]

Changer de vie par les croyances
Théo Duverger.

Source originale : https://touchersensible.wordpress.com/2015/01/15/pardonner/

Main« Par-donner », donner « au-delà » du possible, au-delà de la raison. Continuer de donner et d’aimer au lieu de se fermer, malgré l’horreur, malgré la souffrance, malgré la peur.

Ouvrir son cœur à l’impensable, à l’innommable, à inacceptable. Non pas pour oublier ni pour subir, mais pour accueillir encore et encore la vie telle quelle est.

La vie, ce monde dans lequel nous vivons, où la violence est partout. Elle cohabite avec l’amour.

Amour-haine, ce duo inséparable qui existe en chacun de nous. Tout comme le bon et le mauvais, le beau et l’affreux, le merveilleux et l’ignoble, etc. Nous portons tous ces différentes facettes en nous. Elles s’expriment à des degrés différents selon l’histoire de chacun. Elles viennent toucher et éveiller des parties de nous-mêmes dont nous n’avons souvent pas conscience, des plus sombres aux plus lumineuses… Des plus souffrantes aux plus éveillées…

Il y a bientôt dix ans, j’ai cru mourir. J’ai cru vivre mes derniers instants, à la merci de deux agresseurs pour qui je n’étais rien… Rien d’autre qu’un simple objet de désir sur lequel ils s’octroyaient le pouvoir de vie ou de mort…

Je n’aurais jamais imaginé leur pardonner un jour. Et pourtant, quelques années plus tard, le temps du pardon et de l’acceptation est venu de lui-même. Comme une évidence. Après un long chemin de guérison, la rage et l’impuissance ont laissé la place à l’amour dans mon cœur et dans mon corps. A la paix et à l’acceptation.

Sur mon chemin, une immense compassion pour moi-même, pour l’être en souffrance que j’étais, a surgi. Cette violence extérieure que je rejetais de tout mon être, je la portais déjà en moi. Elle m’habitait déjà depuis longtemps. Bien avant cette agression. Je la vivais quotidiennement sans même m’en rendre compte, dans ma chair, dans ma peau…

Aujourd’hui, quand je regarde en arrière, je ne vois plus que de la souffrance humaine. De part et d’autres. De mon côté, comme du leur. Je ne les vois plus comme mes bourreaux. Je ne suis plus leur victime. J’ai été actrice d’un évènement parmi tant d’autres de la grande tragédie humaine, dans laquelle les hommes s’affrontent, luttent, se détruisent pour asseoir leur puissance et se sentir enfin exister…

De la survie à la vie, il n’y a qu’un pas. Celui de l’amour. En arrêtant de lutter contre la vie, je m’ouvre à la réalité telle qu’elle est. La tristesse, la peur, la colère disparaissent à mesure que j’accueille la réalité. Je la fais mienne. J’ouvre mon cœur. Je n’exige plus du monde et des autres qu’ils soient autrement que ce qu’ils sont. C’est la réalité, la seule, l’unique. Je ne peux rien y changer.

En acceptant mon impuissance à vouloir changer le monde, je découvre ma vraie puissance. Mon vrai pouvoir de création : celui de créer ma vie. La mienne. Pas celle des autres. Chacun est responsable de la vie qu’il choisit de vivre. Du pire, comme du meilleur…

Libre d’arpenter la voie qui est la sienne. Libre de choisir d’arpenter le chemin de l’amour. L’amour de soi, l’amour des autres, l’amour de la vie. Trouver la paix en soi pour commencer à la rayonner à l’extérieur. Et contribuer ainsi, chacun à notre manière, à ce que le monde change…

Source originale : https://voyageaucoeurdelhumain.wordpress.com/2016/04/28/faire-le-lien/

Je bosse dur en ce moment et parfois, j’en oublie que mon boulot est d’explorer l’humain, le faire vivre dans toutes ses facettes, ce qui est en fait extrêmement difficile et extrêmement jouissif. En effet, ces derniers temps, je travaille une partie de moi bien développée auparavant mais associée, je crois, à de terribles souffrances. […]