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Michele MONTAGNON

violence conjugale : la violence psychologique aussi

Parmi les violences conjugales, les violences psychologiques, sournoises car invisibles à l’oeil nu du spectateur extérieur comme peuvent l’être les violences physiques, sont toutes aussi dramatiques.  Elles « travaillent » en sourdine et rongent la personne de l’intérieur. Perte de confiance et d’estime de soi, peur des autres, etc.

Le sujet est suffisamment important pour vouloir en savoir plus et apprendre comment s’en sortir avant qu’il ne soit trop tard…

Aussi j’attire votre attention et vous invite à visionner cette vidéo des plus parlante sur ce fléau sournois que sont les violences psychologiques

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=RlBgj76xaYE&fs=1&hl=fr_FR&color1=0x5d1719&color2=0xcd311b]Des chiffres édifiants : en France, tous les 2 jours1/2 une femme meure sous les coups de son compagnon !

Un numéro à retenir si vous êtes victime ou témoin de ce fléau : APPELEZ  LE 3919 !

Mais surtout n’attendez pas, réagissez avant cela pour vous faire aider et sortir de ce cycle infernal avant qu’il ne soit trop tard...

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=nYcvYVQTIPI&fs=1&hl=fr_FR&color1=0x5d1719&color2=0xcd311b]Merci de partager cet article dans votre entourage, sur vos réseaux favoris…Par ce geste vous pouvez tout simplement sauver une vie !

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Source originale : http://heureuxautravail.com/rebelle/

Cette histoire, vous la connaissez tous. Votre collègue Jean qui aimait tant son boulot, se retrouve du jour au lendemain à ne plus l’aimer pour une simple et unique raison: son chef lui impose une solution, une idée, une décision, une manière de travailler qu’il ne cautionne pas, en laquelle il ne croit pas, et Jean est persuadé qu’il s’agit du mauvais choix. Et c’est ainsi, qu’en deux temps, trois mouvements, on transforme un travailleur heureux ou même simplement satisfait en un travailleur malheureux, en quelqu’un qui déteste son boulot. Il va de soi que cette attitude est contraire à la mentalité de l’entreprise libérée qui favorise le bonheur au travail, cependant aujourd’hui, je vais vous présenter un autre moyen simple d’éviter que votre collègue Jean soit malheureux: l’introduction d’un rebelle dans votre équipe.

Un rebelle, non merci!

Je vous entends déjà crier cette phrase. Qui veut d’un rebelle dans son équipe! Nous avons déjà assez de problèmes ainsi, si en plus on doit gérer une personne qui a une forte personnalité, mais vous êtes fou? Les fortes-têtes, non merci! Eh bien, laissez-moi faire mon rebelle et vous dire que vous avez tort! Et je pourrais conclure par cette phrase tellement elle résume la situation: le rebelle dira toujours ce qu’il pense et indiquera quand vous avez tort.

L’expérience de Asch

Pour illustrer mes propos, laissez-moi vous introduire deux célèbres expériences du psychologue Solomon Asch, l’un des pionniers de la psychologie sociale. Malgré la faible qualité d’image, vous allez vite comprendre les dangers du conformisme.La première vidéo est en anglais mais pas besoin de le parler pour comprendre ce qu’il se passe.

La deuxième expérience est encore meilleure, elle montre que 37% des personnes suivront le groupe, par conformisme, même si celui-ci a tort. Incroyable, non?

Le point à retenir de cette expérience, c’est qu’on voit ce qu’il se passe si on introduit un rebelle, une personne qui dit ce qu’elle pense, ce qui lui semble être la vérité. On s’aperçoit que le nombre de personnes qui suivent le groupe sachant qu’il a tort tombe à 5%.

Merci rebelle!

On peut donc remercier le rebelle du groupe car il augmente le nombre de bonnes décisions dans une équipe. Avoir un rebelle dans son environnement de travail réduit donc les chances de ne pas être heureux car on subit un mauvais choix de la hiérarchie. N’oubliez pas que vous pouvez également devenir vous-même un rebelle, un bon rebelle. On est heureux en étant soi-même au travail, en étant libre de dire ce qu’on pense. Si vous désirez en savoir plus, je vous conseille le livre « Rebels at work » qui n’existe malheureusement pas en français. Devenez grâce à ce livre un rebelle, un anticonformiste qui rend les gens heureux.

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Source originale : http://apprendresursoi-et-avancer.com/conflits-generation-faux-debat/

La génération Y puis la Z, et avant ça la X, et encore avant les babyboomer…

Toutes ces générations qui s’entrecroisent, voire même s’entrechoquent et qui font couler beaucoup d’encre, et dont le débat qui semble sans fin, commence peut-être à lasser.

Emmanuelle Duez, lors d’une conférence à Paris en 2014, propose un autre regard sur le phénomène « intergénérationnel » en replaçant le débat à un niveau beaucoup plus global.

A commenter et réagir sans modération !

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=dLsUAMlgz_c?autohide=1&autoplay=0&controls=1&fs=0&loop=0&modestbranding=0&playlist=&rel=0&showinfo=0&theme=dark&wmode=&w=640&h=360]

Source originale : http://marctraverson.com/coaching/le-vouloir-bien-faire-du-coach/

Je reçois en supervision un jeune coach qui me dit se sentir coupable parce qu’il a l’impression que son client ne progresse pas, qu’il en est toujours au même point après plusieurs séances. Cette situation l’inquiète, il se demande s’il sert bien son client, il pense que c’est sa faute, qu’il n’est pas suffisamment bon coach, qu’il ne fait pas comme il faudrait. Il craint de décevoir la DRH qui l’a sollicité pour cet accompagnement. Il en dort mal. Le doute l’assaille.

Par exemple il a constaté qu’avec ce client-là les choses importantes ne sont abordées qu’à la fin de la séance, quand il est le moment de conclure. Cette situation le confronte à un dilemme. Faut-il prolonger la discussion pour aborder le sujet prometteur ? ou au contraire tenir le cadre et couper court, quitte à ravaler sa frustration ?

Averti de cette tendance, il s’efforce maintenant de « structurer » le temps de la séance, l’œil sur la montre. De temps à autre, pour couper court au délayage, il reformule et résume ce qui vient d’être dit (avec l’envie que son client « avance », qu’il aborde un autre point). De cette manière, il entend favoriser le développement de la discussion vers les sujets qui lui semblent importants. Et à la fin de chaque séance, comme on lui a appris dans son école de coaching, il demande à son client s’il est satisfait, ce qu’il a apprécié et ce qu’il a moins apprécié dans la prestation. Ravages de l’évaluation…

L’envie de bien faire est un sentiment naturel, un aiguillon utile pour interroger sa pratique et progresser dans le métier. Mais elle recèle une confusion, dès lors que le coach se sentirait propriétaire des enjeux de son client, ou qu’il intérioriserait des demandes de performance distillées par le management, les ressources humaines, ou autres interlocuteurs auxquels il a été confronté dans le système-client.

Son rôle est bien de repérer ces éléments transférentiels, par exemple : son sentiment de ne pas faire assez bien ou encore l’agacement de ne pas voir son client évoluer conformément aux objectifs ayant présidés au déclenchement du coaching. S’ils sont prégnants, il peut les nommer en séance, ce qui permettra une élaboration commune.

Plus largement, il lui faut surtout apprendre à lâcher prise sur l’idée même de progrès, ou de performance. N’avoir aucun désir de changement pour son client, à la place de celui-ci, laisse à la personne accompagnée la possibilité de décevoir autant que ça lui chante. Coach, c’est-à-dire ni juge ni évaluateur. Ok avec ce qui arrive, quoiqu’il arrive, pourvu qu’on en fasse un objet de pensée, c’est-à-dire, peut-être, d’apprentissage.