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Source originale : https://pardelalesetoiles.wordpress.com/2010/03/14/7-facons-simples-de-deconnecter/

Ce weekend, prenez le temps d’éteindre quelque chose .
De nos jours, être connectés est un must. Internet, mails, sms… Chaque jour, des tonnes d’information. Chaque jour des tonnes de publicité. Du coup, le week-end, je n’ai qu’une seule envie : tirer sur la prise et me déconnecter. Et vivre pour de vrai !
Voici quelques conseils pour déconnecter :
1/ Faîtes une pause des réseaux sociaux
Pas de Twitter, Facebook ou n’importe quel autre réseau social. C’est génial de tweeter et d’interagir avec la terre entière. Mais avez-vous réellement envie de passer tout votre temps libre scotché à votre ordinateur ou votre portable ? Et pourquoi ne pas sortir plutôt ?
2/ Ne répondez pas au téléphone
Ne décrochez pas votre téléphone de tout le week-end. Peu importe que cela soit votre mère ou votre patron, ne répondez pas. En fait, éteignez votre portable. Allez plutôt faire une balade. Installez-vous à la terrasse d’un café et détendez-vous.
3/ Oubliez vos emails
N’allez pas vérifier votre boîte de réception. Vos mails seront toujours là lundi… Vous rendez-vous compte que nous en sommes arrivés à cliquer sur le bouton rafraîchir pour être sûr que rien de nouveau n’est arrivé ? Offrez-vous un répis.
4/ Passez une journée en silence
Et si vous passiez une journée sans parler à personne ? Observez vos pensées. Lisez un bon livre. Assurez-vous que ceux qui pourraient s’en offenser soient au courant de votre démarche et… Débranchez !
5/ Refusez d’acheter quoi que ce soit
Faîtes une pause de la consommation. Pas de shopping, pas de restaurants. Assurez-vous juste d’avoir de quoi manger à la maison avant… Et si vous devez quitter la maison, oubliez sciemment votre argent ou votre carte de crédit.
6/ N’utilisez pas l’électricité
Débranchez tous vos appareils (sauf votre frigo, bien sûr !). Faîtes-vous une journée « comme dans le temps ». Lever et coucher avec le soleil. Profitez du silence. Retrouvez le naturel.
7/ Evitez les moyens de transports
Ne prenez pas le bus, ni le métro. Ne conduisez pas. Si vous devez aller quelque part, marchez. J’adore me déplacer en marchant, réfléchir, regarder les gens. Cela permet de se retrouver le calme, de se ressourcer.

Source originale : http://coaching-en-or.com/affirmation-de-soi/

VOUS ÊTES IMPORTANT ! Oui, vous êtes important ! C’est peut-être quelque chose que l’on ne vous a jamais dit, c’est peut-être quelque chose que vous ne vous êtes jamais dit, parce que nous sommes dans un monde qui créé plutôt de la dévalorisation. Pourquoi vous êtes important ? Vous êtes important parce que vous êtes une […]

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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/la-vie-de-mes-reves/~3/R3zOrYxBFGA/

Je te donne rdv pour une nouvelle journée de formation « Croyez en vous » mardi 17 mai 2016 à la mairie de Punaauia. Au programme : Atelier « monter son projet professionnel » : une matinée pour définir ton projet professionnel, mettre en place un plan d’action et connaître toutes les clés pour faire aboutir ton projet. Atelier « confiance en soi » : une après-midi pour comprendre les blocages qui empêchent d’avancer dans la vie, apprendre des techniques pour avoir confiance en soi et dépasser ses limites. Nombre de places limités. Inclus dans le stage : Formation de(s) atelier(s) choisis Cadeau de bienvenue Collation … Continuer la lecture de Ateliers « Croyez en vous » mardi 17 mai 2016 – Punaauia Tahiti

Source originale : http://www.b2zen.com/verite-rend-vraiment-heureux/

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Source originale : http://coaching-en-or.com/pouvoir-de-visualisation/

LE POUVOIR DE LA VISUALISATION Découvrez dans cette nouvelle vidéo un des pouvoirs les plus puissants que vous avez à votre disposition pour créer la vie que vous souhaitez, la vie dont vous rêvez ! Ce pouvoir vous l’avez déjà. Peut-être que vous l’utilisez de manière naturelle, sans en avoir conscience, sans le savoir. C’est important […]

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Source originale : http://www.talentattitude.com/secret-charisme/

Le charisme a toujours exercé une sorte de fascination. le charisme est d’ailleurs souvent associé à une dimension magique ou mystique. Certains le représentent sous la forme d’un rayonnement énergétique, un peu comme l’aura. Beaucoup de monde prétend aussi que c’est un don naturel. Mon expérience personnelle m’a appris que cette croyance est fausse et je vais vous […]

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Source originale : http://marctraverson.com/coaching/la-prise-de-poste-sans-prise-de-tete/

prise-poste1On parle beaucoup de changement dans les organisations, et c’est sans doute très bien. Le changement est partout, on le sait au moins depuis Héraclite, qui rappelait que l’on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. Le tout est de ne pas se contenter de l’incantation (sauter sur sa chaise en criant « le changement ! Le changement ! ») en perdant de vue sa nature concrète.Or justement, quelle est-elle ? Quelque soit l’objectif poursuivi, le changement se concrétise par des modifications de la « géographie humaine » de l’entreprise. Il s’incarne, en somme, par des départs, des arrivées, des modifications des périmètres de responsabilité, des regroupements, fusions, réarrangements. Des hommes et des femmes changent de titre, de fonction, des équipes se modifient, et bien sûr les relations des uns aux autres sont amenées à évoluer en conséquence.

De ce fait, accompagner le changement pour le faire réussir, cela consiste d’abord à donner à ceux qui sont concernés les moyens d’être efficace dans une nouvelle configuration, et le plus vite possible. (Et non pas – suivez mon regard – à proposer des planning de transformation en forme d’usines à gaz, très jolis sur le papier, mais qui manquent l’essentiel : les dynamiques collectives, l’implication des acteurs des transformations.)

L’unité de base du changement dans l’organisation, la première brique, c’est donc une personne, quelque part, qui change d’attribution, d’équipe, de fonction. Comment l’aider à passer cette étape avec succès ? A s’intégrer dans un nouvel environnement, à réaliser ses nouvelles taches ? A quelles conditions ce mouvement peut-il se faire avec fluidité ?

Mon grand père, un homme paisible, riait beaucoup de cette histoire de l’adjudant qui accueillait les nouvelles recrues en leur posant cette question : « D’après vous, après un tir, combien de temps faut-il pour le fût du canon refroidisse ? » Devant l’ignorance de son auditoire, l’adjudant, docte, répondait avec une satisfaction manifeste : « Cela prend un certain temps ». (Je crois que c’était un sketch de Fernand Raynaud)

Prendre un poste, prendre son temps

Mais l’adjudant a raison. De la même façon, on peut dire que s’installer dans un nouveau poste, cela prend un certain temps. Un dicton du management assure qu’il faut six mois pour s’acclimater dans une entreprise. Mais je connais des organisations où, après un an dans un poste de direction, le titulaire commence tout juste à se faire une vision à peu près claire des rapports de force dans son entité, et de ses marges d’action. Songer à François Hollande, et la difficulté qu’il a eu à se faire à l’envergure du poste – évidemment pas le mandat le plus aisé. Combien lui a-t-il fallu ? Deux ans, trois ans, pour commencer à s’y sentir à sa place – et je ne préjuge pas du résultat… Certaines entreprises sont dotées d’une structure décisionnelle d’une grande complication. Il faut alors un long rodage, et pas mal de talent politique, pour déchiffrer leur écosystème, ce qu’on peut appeler « l’arbre décisionnel », et s’y faire peu à peu une place. (On rencontre des cas où l’arrivant est mis en défaut avant même d’avoir pris la mesure du poste, et débarqué avant d’avoir compris ce que l’on attendait de lui.) 

Les apprentissages nécessaires

De quoi est fait cette durée particulière de la prise d’un nouveau poste ? Cela dépend en particulier de la hauteur de la marche à franchir, pour l’arrivant. Quel défi cela représente-t-il pour eux ?

Si je me souviens des nombreux entretiens que j’ai menés avec des managers et dirigeants confrontés à cette situation, dans différentes organisations, il me semble que quelques apprentissages cruciaux conditionnent la rapidité de la « montée en compétence » dans une nouvelle fonction :

  • Appréhender l’activité, comprendre le métier (si on vient d’un autre domaine)
  • Découvrir les principaux interlocuteurs : les membres de l’équipe, les hiérarchiques directs ou fonctionnels, les personnes influentes dans l’organisation, les clients et fournisseurs importants (externes ou internes), etc.
  • Saisir les attentes des collaborateurs (ou leur absence d’attente)
  • Saisir les attentes des donneurs d’ordre : quels sont précisément les objectifs du poste ? Sur quels indicateurs les résultats seront-ils évalués ? Quelles sont les véritables priorités (elles peuvent être tues, ou implicites) ?
  • Mesurer son périmètre d’intervention : c’est-à-dire le domaine effectif de son influence, au-delà de l’organigramme, qui n’est qu’un modèle théorique
  • Repérer les tabous et mesurer les risques, fût-ce pour foncer dans le tas (mais alors le faire en connaissance de cause)
  • Comprendre sa propre valeur ajoutée : que peut-on apporter de différent, par rapport au précédent titulaire ? Qu’a-t-on envie de développer?

Voilà ce qui me vient. Cela fait beaucoup de choses à envisager, bien sûr. D’une certaine manière, tout cela va être intégré naturellement, progressivement – j’allais dire : sans y penser. Mais on peut aussi accélérer cet apprentissage, et s’efforcer d’éviter au maximum les fautes de quart, les erreurs et les impasses. En somme, aller plus vite à l’essentiel. (Par parenthèse, c’est aussi bien l’intérêt du postulant que de l’organisation. Car le coût d’une mobilité ratée, interne ou externe, est toujours exorbitant – parlez-en autour de vous, et vous verrez ce qu’en disent ceux qui ont une expérience de management.)

Etablir de nouvelles relations de travail

Dans un coaching, je propose souvent d’aider mon client, après avoir analysé ses enjeux,  à se donner une feuille de route personnelle. A ce stade, vous remarquerez qu’il faut souvent réfréner son ardeur, son envie de se donner des objectifs trop nombreux et ambitieux. Même dans un monde drogué à l’accélération permanente, se rappeler : qui va piano va sano.

L’adjudant sera sans doute d’accord avec moi : on ne doit pas sous-estimer le certain temps que prend la découverte d’un poste. Or il est courant de sous-estimer la durée d’acclimatation et tous les ajustements qu’elle implique. Il y a une courbe d’apprentissage à respecter, on ne pourra pas faire tout, tout de suite. Et c’est tant mieux. Je dis à celui ou celle qui arrive quelque part : profitez de cette période de découverte, elle est riche ! On ne vous tiendra pas rigueur de ne pas tout connaître. Beaucoup de vos interlocuteurs chercheront sincèrement à vous aider, à vous faciliter les choses, à vous informer. Ecoutez-les ! Plutôt que de vous précipiter dans l’action, ouvrez vos oreilles bien grand ! Questionnez ! Vous entendrez des choses essentielles pour comprendre le fonctionnement de votre organisation et de votre nouveau poste. En ne réagissant pas au quart de tour, vous vous laissez le temps de la décantation, indispensable pour une action véritablement efficace.

Manager son chef

Lors d’une prise de poste, il y a beaucoup d’informations à engranger, des savoirs à acquérir. Mais le plus important selon moi, est d’établir un bon niveau de relation avec les principaux interlocuteurs, de construire avec eux les bases d’un fonctionnement efficace et confiant (ou de réaliser que ceci est impossible – ce qui vous évitera de perdre du temps !).

Et cela, d’abord avec le hiérarchique direct. Manager son chef est essentiel, tout le monde le sait. Je recommande de prendre le temps de l’interroger précisément, lors des premiers contacts. Qu’attend-il ? Que redoute-t-il ? Comment voit-il les enjeux ? Quel est son mode de management/communication privilégié ? (Oui, c’est une question qui vaut la peine d’être posée.) Dans un coaching, ces sujets sont abordés lors de l’entretien entre le bénéficiaire de l’accompagnement, son hiérarchique et le coach, qui donne lieu à un contrat tripartite sur les objectifs de l’accompagnement.

L’autre enjeu, quand le poste a une dimension de management, c’est de se positionner rapidement au bon niveau avec son équipe, avec humilité dans l’approche (parce qu’on va s’appuyer sur le savoir-faire collectif, sur ce qui existe déjà), mais aussi précision quant à son rôle de manager. Dans cet esprit, je recommande d’être attentif aux actes symboliques : prendre le temps d’écouter chacun, par exemple. Et, même si l’on est plus à l’aise dans le face-à-face, ne jamais négliger d’installer les temps collectifs : proposer des modalités de travail claires pour les réunions, des règles simples de travail en commun. Bref, poser nettement un cadre de travail. Dire comment on envisage de remplir sa mission, les difficultés que l’on anticipe, en quoi on aura besoin de s’appuyer sur l’équipe.

Le paradoxe de la prise de poste

Mon conseil, en conclusion de cette note : ne mésestimez pas le temps nécessaire pour s’intégrer harmonieusement dans un nouvel environnement. Je sais que parfois on n’a pas le temps, que l’on nous presse, que l’urgence commande. Oui, bien sûr. Mais justement, le leader est celui qui saura ne pas se laisser aspirer trop vite dans ce mouvement, qui aura l’intelligence et la prudence d’installer son propre tempo. Rien de plus dangereux que de prétendre aller plus vite que la musique. Ne faites pas dérailler l’orchestre. Il faut savoir profiter, quand on arrive dans un nouveau poste, d’une période (celle que l’on appelait autrefois « l’état de grâce », en politique, et qui suivait le succès à une élection) pendant laquelle on bénéficie de l’effet de nouveauté et de l’indulgence générale. Paradoxe : savoir ne pas aller trop vite, une clé pour être le plus vite à sa place dans une organisation.

© Marc Traverson