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Article du magazine Fenua ‘Orama – Tahiti – Septembre 2016 Amandine Herbeth – Changer de vie c’est possible Qui n’a jamais ressenti l’envie de changer de vie, de travail, de lieu d’habitation ? Cette idée traverse les esprits de nombreuses personnes, mais les peurs empêchent bien souvent de passer à l’acte ! Aujourd’hui, elle partage avec nous son expérience pour encourager celles qui doutent à agir. Voici son histoire…  

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Source originale : http://www.talentattitude.com/le-bonheur-recette-richard-lenoir/

Tout le monde cherche à accéder au bonheur. Sa recherche est un chemin escarpé très personnel où beaucoup se perdent. Il est alors important de connaître les leviers sur lesquels il convient de se focaliser pour y parvenir. Le philosophe, sociologue et écrivain Frédéric LENOIR partage avec nous sa recette du bonheur.   Interviewé sur […]

L’article Le bonheur : la recette de Frédéric LENOIR est apparu en 1er sur Talent Attitude.

Source originale : http://heureuxautravail.com/collegues-extraordinaires/

Parmi les critères de bonheur au travail les plus souvent cités, on retrouve « les collègues ». Il est vrai qu’être entouré de bons collègues change totalement le quotidien. Cependant, ce n’est pas toujours évident de distinguer un bon collègue, d’un mauvais collègue. Si vous vous dites « bah si, il y a des collègues avec qui je m’entends et d’autres que je n’aime pas », cet article peut vous intéresser. En effet, en lisant « comment s’entourer de gens extraordinaires » de Lillian Glass, j’ai découvert que parfois, il valait mieux s’écarter de certaines personnes même si on les aime bien et se rapprocher vers d’autres personnes dites « extraordinaires ». En quelques lignes, vous allez découvrir de quels collègues vous feriez mieux de vous entourer pour être plus heureux. Car oui, ces collègues extraordinaires peuvent changer votre vie!

C’est quoi une personne extraordinaire?

Lillian Glass listes 20 types de personnes extraordinaires dans son livre. Vous aurez une meilleure vue d’une personne extraordinaire suite à la présentation d’une partie de ces 20 types et vous verrez si les collègues qui vous entourent sont extraordinaires ou non. Le bon collègue n’est pas toujours celui qu’on croit. Je vous présente quelques types de personnes extraordinaires en quelques lignes et liste surtout les types importants au niveau du travail. Si vous souhaitez aller plus loin, n’hésitez pas à lire le livre « comment s’entourer de gens extraordinaires ».

Les anti-narcissiques

Si vous côtoyez tous les jours un collègue qui ne parle que de lui, éloignez-vous de cette personne! Essayez de trouver un autre collègue qui s’intéresse aux autres. Avec ce type de collègue, vous vous sentirez mieux et plus investi dans votre travail car votre avis compte pour lui. Il vous intègre dans l’équipe.

Les élogieux

Les collègues extraordinaires ne disent pas du mal d’un autre collègue dans leur dos, ils sont plutôt élogieux envers les autres et concentrent l’attention sur les qualités des autres et non leurs défauts. Travaillez avec un collègue élogieux vous fera pousser des ailes. Il vous montrera vos points forts si vous ne les voyez pas vous-même et vous guidera vers votre passion, votre talent si vous ne l’avez toujours pas découvert vous-même.

Les décontractés

Restez en contact avec un collègue qui peut se moquer de lui-même, qui peut dissiper la tension et la nervosité par l’humour, par le rire. Ces personnes vous aideront à oublier votre propre stress.

Les honnêtes

Si vous avez la chance d’avoir des personnes honnêtes dans votre équipe, gardez-les près de vous. Ces collègues vous disent la vérité, sont francs et directs. Ils ne vous manipuleront jamais, vous metteront directement en confiance et vous savez bien ce que peut réaliser une personne en confiance par rapport à une personne qui ne l’est pas.

Les non-juges

Ma catégorie de collègues extraordinaires que je préfère: les non-juges. Ils gardent toujours l’esprit ouvert et ne s’arrêtent pas à la première impression ou les choses négatives qu’ils ont pu entendre sur une personne. Ce type de personne ne jugera jamais le mode de vie d’un autre car si cette vie le rend heureux, alors pourquoi pas! Vous ne pouvez pas vous imaginer le potentiel que vous laissez de côté si vous vous arrêtez à la première impression. Preuve en image avec cette petite expérience. Il s’agit peut-être d’une publicité mais le message vaut le détour.

Les rebondisseurs

Ce type de collègues extraordinaires, vous le connaissez moins je suppose. Il s’agit du collègue qui arrive à rebondir, à passer à autre chose suite et ne s’apitoie pas sur son sort. Si l’entreprise va mal, il ne se laissera pas abattre car il croit en lui-même et il inspire les autres. Il se concentre sur le but à atteindre et on le remercie de nous montrer le chemin plutôt que de s’arrêter sur le dernier échec.

Les gagnants-gagnants

On les appelle aussi les négociateurs. Les gagnants-gagnants privilégient la situation où tout le monde gagne. Ces collègues rétablissent un sentiment de justice dans l’équipe et ne seront jamais heureux aux dépens des autres. Évitez de travailler avec leurs opposés, ceux qui seraient prêts à tout pour réussir, même si vous devez y passer.

Autres

La liste des caractéristiques des personnes extraordinaires est encore longue, on retrouve également les attentionnés, les lucides, les loyaux, les non-victimes, …  Le livre de Lillian Glass vous permet de faire le tri parmi vos relations afin de vous entourer de personnes extraordinaires et de vivre une meilleure vie. Mais surtout, il explique comment devenir une personne extraordinaire pour les autres.

 

Le réseau des collègues extraordinaires

L’avantage de rencontrer une personne extraordinaire, c’est qu’en général, elle est elle-même entourée d’autres personnes extraordinaires et elle vous les présentera à son tour. On parle alors de réseau et vous connaissez autant que moi l’importance d’un bon réseau, que ce soit pour construire son entreprise ou encore trouver le job de ses rêves. Un collègue extraordinaire n’hésitera pas à vous rappeler quelques années plus tard car il a pensé à vous quand son ami lui a raconté qu’il cherchait tel type de travailleur et qu’il ne pouvait pas mettre la main sur ce type de profil.

Les pièges à éviter

Au final, il est plus facile de repérer un bon collègue dans cette liste qu’un mauvais. Mon conseil heureux au travail: rester à l’écart des opposés des collègues extraordinaires: les narcissiques, les hyper-stressés, les malhonnêtes, ceux qui parlent dans le dos des autres, ceux qui jugent les autres sur une première impression, ceux qui se morfondent à la moindre excuse, ceux qui vous écrase pour atteindre le top, … En côtoyant ce type de collègues, vous risquez de devenir comme eux: malheureux.

Je tenais à dédier cet article à tous les collègues et amis extraordinaires que j’ai croisés ces dernières années. J’espère être pour vous une personne extraordinaire. Merci également de visiter de plus en plus ce blog, vous êtes extraordinaires également à vouloir être heureux! N’hésitez pas à partager cet article si vous l’avez apprécié.

Cet article Des collègues extraordinaires est apparu en premier sur Comment être heureux au travail ?.

Source originale : http://www.zen-et-efficace.com/consommer-intelligent/

Lors de mon voyage au Mali, j’ai entendu un proverbe qui m’est resté plus de 10 ans après. Nous avions un week-end décidé d’aller au marché, mais je souhaitais ne pas me faire escroquer et j’avais donc décidé d’une période durant laquelle je n’achèterais rien. Je pensais pouvoir tranquillement observer les techniques de négociation de […]

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Source originale : http://www.semera.fr/le-blog/subir-ou-choisir/rose-68

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Jean-Gabriel Causse* explique dans le numéro 16 de Maison Française Magazine que le rose est peut-être associé aux filles depuis les années 1780 où « Marie-Antoinette en usait et en abusait dans son Petit Trianon à Versailles […]. Et comme la belle blonde était connue pour ses frasques amoureuses, les hommes de la cour n’osaient plus porter cette couleur, de peur de passer pour « un peu trop proches » de la reine. Les femmes de Paris, pour qui Marie-Antoinette symbolisait la mode absolue, adoptèrent en masse cette couleur, et les hommes, eux, l’abandonnèrent. »

C’est dommage car M. Causse met aussi en avant les apports du rose sur notre mental. Quand nous regardons cette couleur, nous activons les mêmes zones du cerveau que lorsque nous ressentons du bonheur.
Il aura fallu attendre plusieurs dizaines d’années pour que les hommes osent porter de nouveau du rose ! Les conventions ont la peau dure.

 

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J’aime cet exemple car il traduit parfaitement une notion importante pour notre développement : reconnaître les croyances qui nous figent. N’oublions jamais que la nouveauté agit comme un anti-dépresseur et qu’elle est souvent à portée de main ; mais les habitudes …
Des milliers d’hommes n’ont pas porté de rose par convention sociale sans même savoir d’où cette convention provenait.

 

 

 

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Je mets en parallèle cet article sur le rose avec « L’Enfance captive » de Jean-Claude Dorchies (Ed. Riffle Nord) que je lis en ce moment. L’ouvrage raconte l’enfance d’Edouard, rythmée par les conventions sociales, justement, pendant la décennie qui suit la seconde guerre mondiale.
L’auteur décrit le quotidien avec une minutie qui va bien au-delà de la conception que je me faisais du détail, c’est tout simplement prodigieux.

Les quelques fois où j’ai essayé de comprendre le pourquoi de mai 1968, on m’a répondu « Contre l’ordre établi ». Et c’était abstrait pour moi, je n’étais pas plus avancée. « L’Enfance captive » me fait toucher du doigt ce que les soixante-huitards signifiaient par « l’ordre établi ».
C’était cet immense registre de conventions sociales que tout le monde appliquait, subissait. Et puis il y a eu une génération qui n’a plus supporté ce carcan.

Jean-Claude Dorchies nous fait remonter le temps, nous emmène dans un univers figé, contraint, empli d’obligations qui existent par elles-mêmes, chacun se mettant la pression par le regard des autres, eux-mêmes sujets à des obligations identiques :

– passer chez tels membres de la famille, tels voisins, tels amis à des dates précises du calendrier.

– avoir une pièce de la maison qui sert de faire-valoir, avec ses meubles qui en imposent, mais où personne ne va jamais, hormis fête de famille.

– posséder un service de table ultra-complet utilisé aux grandes occasions et dont quelques éléments ne serviront jamais.

– acheter des gâteaux à la pâtisserie, le dimanche uniquement mais tous les dimanches.

– faire la tournée des cimetières, avec un protocole réglé comme une pendule.

– répéter les mêmes phrases, toujours les mêmes phrases aux enfants : « Ne touche pas. » « Ne gaspille pas. » « Tiens-toi bien. »

– etc.

 

 

 

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Il est certain que le virage pris, ne le fut pas à 90°, mais à 180° : Ces jeunes de mai 68 étaient épris de libertés individuelles. La nature ayant horreur du vide, les médias et le marketing ont pris, main dans la main, la place laissée vacante et nous font croire que nous ne pouvons pas vivre normalement sans écrans, sans être à la mode, sans offrir les jouets derniers cris aux enfants, etc.

D’autres temps, d’autres croyances mais toujours des obligations car « les autres le font ».

 

Récemment, on s’étonnait que je ne choisisse pas blanc pour repeindre un plafond. « Pourquoi pas ? » ai-je demandé. « Bah, d’habitude tout le monde peint le plafond en blanc. »

On n’a pas fini de chercher à être libre.

 

Plus de pistes…
…pour tous :
Par-delà ces croyances qui nous font nous comporter comme des moutons, le sentiment d’appartenance est un besoin tout à fait légitime. Ce ne serait pas forcément bon signe, de systématiquement vouloir faire différemment des autres, et ce serait probablement révélateur, au final, d’une autre croyance !

Et si nous prenions un moment pour discerner quand nos choix proviennent d’abord d’un besoin d’appartenance à un groupe ou quand ils correspondent d’abord à l’expérience que ce choix est bon pour nous (les deux sont heureusement compatibles mais amusez-vous à voir ce qui vient en premier).

…pour les parents :
Essayez d’aborder ce point avec vos enfants de plus de sept-huit ans. Exemple : Va-t-il (elle) à cette fête d’anniversaire parce qu’il (elle) s’en fait une joie ou parce que tous les copains sont invités donc il (elle) se sent obligé(e) ? N’allez pas plus loin, il s’agit juste de percevoir des ressentis.

Vous pouvez aussi partager avec votre enfant une situation qui vous est arrivée. Exemple : « Tu vois, tous les voisins ont une tondeuse à gazon alors j’en ai achetée une aussi, sans vraiment réfléchir, par mimétisme. En fait, je me rends compte que nous avons beaucoup moins de surface gazonnée qu’eux. Cet achat n’était pas indispensable. »

 

* M. Jean-Gabriel Causse est membre du comité français de la couleur, auteur de « L’étonnant pouvoir des couleurs » (Ed. du Palio).