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Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !

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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/lebonheurpourlesnuls1/~3/p8ln3m0_TAQ/

Povos originários da Amazônia (Projeto retratos)

– “Prof de philo et philosophe, ça n’a rien à voir.

– C’est quoi la différence ?

– Tu te souviens de la prof qui t’enseignait le cours sur la reproduction sexuée ? Elle connaissait bien son sujet ?

– Ben… oui je pense.

– Tu crois que ça faisait d’elle une bête de sexe ?"

Imaginez qu’un professeur de philosophie aigri décide de s’attaquer par vengeance personnelle à un peuple amazonien considéré comme le plus heureux de la terre. Un peuple tellement heureux même que ses membres ne développent jamais de cancer.

Le but de cette homme : utiliser son instruction pour les rendre malheureux chaque heure, chaque minute, chaque seconde de leur vie jusqu’à la fin de leurs jours.

Cette histoire tropicale, c’est celle du dernier roman tropical de Laurent GOUNELLE : "le philosophe qui n’était pas sage". On y  découvre un programme machiavélique visant l’organisation d’une société dite primitive :

1 -   Couper ces “bons sauvages” de la réalité en les abreuvant d’informations leur donnant l’illusion de bien comprendre le monde et du coup les dispenser de l’appréhender par eux-mêmes.  Parmi ces renseignements, choisir de préférence des mauvaises nouvelles, des problèmes, des dangers, des choses négatives. Puis les habituer à étiqueter négativement les choses (“mauvais temps”, “mauvaises herbes”, “mauvaises odeurs”, …) pour conditionner leur perception afin qu’ils finissent par les voir ainsi. Le "Jungle Time", rituel quotidien du soir est ainsi créé.

2 – Leur inculquer des critères de beauté inatteignables (en dessinant notamment autour du village des femmes à la poitrine trop grosse par rapport à leur corpulence).

3 – Occulter la magie de la rencontre qui fait l’intérêt de tout relation humaine pour n’en laisser que la couche superficielle : l’échange d’information.

4 – Après les avoir ainsi coupés des autres, les couper d’eux-même. Pour cela, faire en sorte que leurs envies dans tous les domaines soient le fruit d’une influence extérieure et non d’un désir intérieur personnel.

5 – Leur transmettre un individualisme forcené en les amenant à vivre dans la peur : peur de l’autre, peur de manquer de nourriture et d’amour. Leur faire croire que la vie est un combat individuel, que seuls les meilleurs peuvent survivre et être heureux. Instiller le sentiment que ce que l’autre gagne, je le perds. Qu’un compliment fait à quelqu’un d’autre m’amoindri. Créer une compétition pour tout en enseignant l’habitude de se comparer aux autres. En même temps, détruire leur estime d’eux-même en les enfermant dans une double contrainte : "la solution est individuelle, mais tu n’es pas à la hauteur." Pour aider à cela, glorifier les rares réussites individuelles et pointer du doigt toute erreur.

6 – Conditionner les enfants dès leur plus jeune âge à être uniquement dans leurs pensées. Les enfermer dans leur mental en leur enseignant beaucoup de choses au niveau mental. Ne surtout par leur enseigner à être bien dans leur peau, gérer leurs émotions, communiquer avec les autres, résoudre les conflits, apprendre à avoir confiance en soi,…. Leur donner tellement de choses à faire après l’école qu’ils n’aient pas le temps de se rééquilibrer le soir en expérimentant la vie par eux-même ni en rêvant.

7 – Une fois leur vie devenue vide de sens, de beauté, d’amour et de conscience, remplir ce vide existentiel en les gavant de choses matérielles. Leur créer des besoins imaginaires toujours plus nombreux et les faire travailler dur tous les jours pour acquérir ces choses.

Ce programme de société vous dit peut-être quelque chose ?  Si vous souhaitez savoir comment tout cela va finir, je vous invite à lire le dernier roman de L. GOUNELLE qui nous fait comprendre pourquoi on se sent si mal certains jours…

Creative Commons License photo credit: Zanini H.

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– “Prof de philo et philosophe, ça n’a rien à voir.

– C’est quoi la différence ?

– Tu te souviens de la prof qui t’enseignait le cours sur la reproduction sexuée ? Elle connaissait bien son sujet ?

– Ben… oui je pense.

– Tu crois que ça faisait d’elle une bête de sexe ?"

Imaginez qu’un professeur de philosophie aigri décide de s’attaquer par vengeance personnelle à un peuple amazonien considéré comme le plus heureux de la terre. Un peuple tellement heureux même que ses membres ne développent jamais de cancer.

Le but de cette homme : utiliser son instruction pour les rendre malheureux chaque heure, chaque minute, chaque seconde de leur vie jusqu’à la fin de leurs jours.

Cette histoire tropicale, c’est celle du dernier roman tropical de Laurent GOUNELLE : "le philosophe qui n’était pas sage". On y  découvre un programme machiavélique visant l’organisation d’une société dite primitive :

1 -   Couper ces “bons sauvages” de la réalité en les abreuvant d’informations leur donnant l’illusion de bien comprendre le monde et du coup les dispenser de l’appréhender par eux-mêmes.  Parmi ces renseignements, choisir de préférence des mauvaises nouvelles, des problèmes, des dangers, des choses négatives. Puis les habituer à étiqueter négativement les choses (“mauvais temps”, “mauvaises herbes”, “mauvaises odeurs”, …) pour conditionner leur perception afin qu’ils finissent par les voir ainsi. Le "Jungle Time", rituel quotidien du soir est ainsi créé.

2 – Leur inculquer des critères de beauté inatteignables (en dessinant notamment autour du village des femmes à la poitrine trop grosse par rapport à leur corpulence).

3 – Occulter la magie de la rencontre qui fait l’intérêt de tout relation humaine pour n’en laisser que la couche superficielle : l’échange d’information.

4 – Après les avoir ainsi coupés des autres, les couper d’eux-même. Pour cela, faire en sorte que leurs envies dans tous les domaines soient le fruit d’une influence extérieure et non d’un désir intérieur personnel.

5 – Leur transmettre un individualisme forcené en les amenant à vivre dans la peur : peur de l’autre, peur de manquer de nourriture et d’amour. Leur faire croire que la vie est un combat individuel, que seuls les meilleurs peuvent survivre et être heureux. Instiller le sentiment que ce que l’autre gagne, je le perds. Qu’un compliment fait à quelqu’un d’autre m’amoindri. Créer une compétition pour tout en enseignant l’habitude de se comparer aux autres. En même temps, détruire leur estime d’eux-même en les enfermant dans une double contrainte : "la solution est individuelle, mais tu n’es pas à la hauteur." Pour aider à cela, glorifier les rares réussites individuelles et pointer du doigt toute erreur.

6 – Conditionner les enfants dès leur plus jeune âge à être uniquement dans leurs pensées. Les enfermer dans leur mental en leur enseignant beaucoup de choses au niveau mental. Ne surtout par leur enseigner à être bien dans leur peau, gérer leurs émotions, communiquer avec les autres, résoudre les conflits, apprendre à avoir confiance en soi,…. Leur donner tellement de choses à faire après l’école qu’ils n’aient pas le temps de se rééquilibrer le soir en expérimentant la vie par eux-même ni en rêvant.

7 – Une fois leur vie devenue vide de sens, de beauté, d’amour et de conscience, remplir ce vide existentiel en les gavant de choses matérielles. Leur créer des besoins imaginaires toujours plus nombreux et les faire travailler dur tous les jours pour acquérir ces choses.

Ce programme de société vous dit peut-être quelque chose ?  Si vous souhaitez savoir comment tout cela va finir, je vous invite à lire le dernier roman de L. GOUNELLE qui nous fait comprendre pourquoi on se sent si mal certains jours…

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– “Prof de philo et philosophe, ça n’a rien à voir.

– C’est quoi la différence ?

– Tu te souviens de la prof qui t’enseignait le cours sur la reproduction sexuée ? Elle connaissait bien son sujet ?

– Ben… oui je pense.

– Tu crois que ça faisait d’elle une bête de sexe ?"

Imaginez qu’un professeur de philosophie aigri décide de s’attaquer par vengeance personnelle à un peuple amazonien considéré comme le plus heureux de la terre. Un peuple tellement heureux même que ses membres ne développent jamais de cancer.

Le but de cette homme : utiliser son instruction pour les rendre malheureux chaque heure, chaque minute, chaque seconde de leur vie jusqu’à la fin de leurs jours.

Cette histoire tropicale, c’est celle du dernier roman tropical de Laurent GOUNELLE : "le philosophe qui n’était pas sage". On y  découvre un programme machiavélique visant l’organisation d’une société dite primitive :

1 -   Couper ces “bons sauvages” de la réalité en les abreuvant d’informations leur donnant l’illusion de bien comprendre le monde et du coup les dispenser de l’appréhender par eux-mêmes.  Parmi ces renseignements, choisir de préférence des mauvaises nouvelles, des problèmes, des dangers, des choses négatives. Puis les habituer à étiqueter négativement les choses (“mauvais temps”, “mauvaises herbes”, “mauvaises odeurs”, …) pour conditionner leur perception afin qu’ils finissent par les voir ainsi. Le "Jungle Time", rituel quotidien du soir est ainsi créé.

2 – Leur inculquer des critères de beauté inatteignables (en dessinant notamment autour du village des femmes à la poitrine trop grosse par rapport à leur corpulence).

3 – Occulter la magie de la rencontre qui fait l’intérêt de tout relation humaine pour n’en laisser que la couche superficielle : l’échange d’information.

4 – Après les avoir ainsi coupés des autres, les couper d’eux-même. Pour cela, faire en sorte que leurs envies dans tous les domaines soient le fruit d’une influence extérieure et non d’un désir intérieur personnel.

5 – Leur transmettre un individualisme forcené en les amenant à vivre dans la peur : peur de l’autre, peur de manquer de nourriture et d’amour. Leur faire croire que la vie est un combat individuel, que seuls les meilleurs peuvent survivre et être heureux. Instiller le sentiment que ce que l’autre gagne, je le perds. Qu’un compliment fait à quelqu’un d’autre m’amoindri. Créer une compétition pour tout en enseignant l’habitude de se comparer aux autres. En même temps, détruire leur estime d’eux-même en les enfermant dans une double contrainte : "la solution est individuelle, mais tu n’es pas à la hauteur." Pour aider à cela, glorifier les rares réussites individuelles et pointer du doigt toute erreur.

6 – Conditionner les enfants dès leur plus jeune âge à être uniquement dans leurs pensées. Les enfermer dans leur mental en leur enseignant beaucoup de choses au niveau mental. Ne surtout par leur enseigner à être bien dans leur peau, gérer leurs émotions, communiquer avec les autres, résoudre les conflits, apprendre à avoir confiance en soi,…. Leur donner tellement de choses à faire après l’école qu’ils n’aient pas le temps de se rééquilibrer le soir en expérimentant la vie par eux-même ni en rêvant.

7 – Une fois leur vie devenue vide de sens, de beauté, d’amour et de conscience, remplir ce vide existentiel en les gavant de choses matérielles. Leur créer des besoins imaginaires toujours plus nombreux et les faire travailler dur tous les jours pour acquérir ces choses.

Ce programme de société vous dit peut-être quelque chose ?  Si vous souhaitez savoir comment tout cela va finir, je vous invite à lire le dernier roman de L. GOUNELLE qui nous fait comprendre pourquoi on se sent si mal certains jours…

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Source originale : http://www.talentattitude.com/le-bonheur-recette-richard-lenoir/

Tout le monde cherche à accéder au bonheur. Sa recherche est un chemin escarpé très personnel où beaucoup se perdent. Il est alors important de connaître les leviers sur lesquels il convient de se focaliser pour y parvenir. Le philosophe, sociologue et écrivain Frédéric LENOIR partage avec nous sa recette du bonheur.   Interviewé sur […]

L’article Le bonheur : la recette de Frédéric LENOIR est apparu en 1er sur Talent Attitude.

Source originale : http://heureuxautravail.com/collegues-extraordinaires/

Parmi les critères de bonheur au travail les plus souvent cités, on retrouve « les collègues ». Il est vrai qu’être entouré de bons collègues change totalement le quotidien. Cependant, ce n’est pas toujours évident de distinguer un bon collègue, d’un mauvais collègue. Si vous vous dites « bah si, il y a des collègues avec qui je m’entends et d’autres que je n’aime pas », cet article peut vous intéresser. En effet, en lisant « comment s’entourer de gens extraordinaires » de Lillian Glass, j’ai découvert que parfois, il valait mieux s’écarter de certaines personnes même si on les aime bien et se rapprocher vers d’autres personnes dites « extraordinaires ». En quelques lignes, vous allez découvrir de quels collègues vous feriez mieux de vous entourer pour être plus heureux. Car oui, ces collègues extraordinaires peuvent changer votre vie!

C’est quoi une personne extraordinaire?

Lillian Glass listes 20 types de personnes extraordinaires dans son livre. Vous aurez une meilleure vue d’une personne extraordinaire suite à la présentation d’une partie de ces 20 types et vous verrez si les collègues qui vous entourent sont extraordinaires ou non. Le bon collègue n’est pas toujours celui qu’on croit. Je vous présente quelques types de personnes extraordinaires en quelques lignes et liste surtout les types importants au niveau du travail. Si vous souhaitez aller plus loin, n’hésitez pas à lire le livre « comment s’entourer de gens extraordinaires ».

Les anti-narcissiques

Si vous côtoyez tous les jours un collègue qui ne parle que de lui, éloignez-vous de cette personne! Essayez de trouver un autre collègue qui s’intéresse aux autres. Avec ce type de collègue, vous vous sentirez mieux et plus investi dans votre travail car votre avis compte pour lui. Il vous intègre dans l’équipe.

Les élogieux

Les collègues extraordinaires ne disent pas du mal d’un autre collègue dans leur dos, ils sont plutôt élogieux envers les autres et concentrent l’attention sur les qualités des autres et non leurs défauts. Travaillez avec un collègue élogieux vous fera pousser des ailes. Il vous montrera vos points forts si vous ne les voyez pas vous-même et vous guidera vers votre passion, votre talent si vous ne l’avez toujours pas découvert vous-même.

Les décontractés

Restez en contact avec un collègue qui peut se moquer de lui-même, qui peut dissiper la tension et la nervosité par l’humour, par le rire. Ces personnes vous aideront à oublier votre propre stress.

Les honnêtes

Si vous avez la chance d’avoir des personnes honnêtes dans votre équipe, gardez-les près de vous. Ces collègues vous disent la vérité, sont francs et directs. Ils ne vous manipuleront jamais, vous metteront directement en confiance et vous savez bien ce que peut réaliser une personne en confiance par rapport à une personne qui ne l’est pas.

Les non-juges

Ma catégorie de collègues extraordinaires que je préfère: les non-juges. Ils gardent toujours l’esprit ouvert et ne s’arrêtent pas à la première impression ou les choses négatives qu’ils ont pu entendre sur une personne. Ce type de personne ne jugera jamais le mode de vie d’un autre car si cette vie le rend heureux, alors pourquoi pas! Vous ne pouvez pas vous imaginer le potentiel que vous laissez de côté si vous vous arrêtez à la première impression. Preuve en image avec cette petite expérience. Il s’agit peut-être d’une publicité mais le message vaut le détour.

Les rebondisseurs

Ce type de collègues extraordinaires, vous le connaissez moins je suppose. Il s’agit du collègue qui arrive à rebondir, à passer à autre chose suite et ne s’apitoie pas sur son sort. Si l’entreprise va mal, il ne se laissera pas abattre car il croit en lui-même et il inspire les autres. Il se concentre sur le but à atteindre et on le remercie de nous montrer le chemin plutôt que de s’arrêter sur le dernier échec.

Les gagnants-gagnants

On les appelle aussi les négociateurs. Les gagnants-gagnants privilégient la situation où tout le monde gagne. Ces collègues rétablissent un sentiment de justice dans l’équipe et ne seront jamais heureux aux dépens des autres. Évitez de travailler avec leurs opposés, ceux qui seraient prêts à tout pour réussir, même si vous devez y passer.

Autres

La liste des caractéristiques des personnes extraordinaires est encore longue, on retrouve également les attentionnés, les lucides, les loyaux, les non-victimes, …  Le livre de Lillian Glass vous permet de faire le tri parmi vos relations afin de vous entourer de personnes extraordinaires et de vivre une meilleure vie. Mais surtout, il explique comment devenir une personne extraordinaire pour les autres.

 

Le réseau des collègues extraordinaires

L’avantage de rencontrer une personne extraordinaire, c’est qu’en général, elle est elle-même entourée d’autres personnes extraordinaires et elle vous les présentera à son tour. On parle alors de réseau et vous connaissez autant que moi l’importance d’un bon réseau, que ce soit pour construire son entreprise ou encore trouver le job de ses rêves. Un collègue extraordinaire n’hésitera pas à vous rappeler quelques années plus tard car il a pensé à vous quand son ami lui a raconté qu’il cherchait tel type de travailleur et qu’il ne pouvait pas mettre la main sur ce type de profil.

Les pièges à éviter

Au final, il est plus facile de repérer un bon collègue dans cette liste qu’un mauvais. Mon conseil heureux au travail: rester à l’écart des opposés des collègues extraordinaires: les narcissiques, les hyper-stressés, les malhonnêtes, ceux qui parlent dans le dos des autres, ceux qui jugent les autres sur une première impression, ceux qui se morfondent à la moindre excuse, ceux qui vous écrase pour atteindre le top, … En côtoyant ce type de collègues, vous risquez de devenir comme eux: malheureux.

Je tenais à dédier cet article à tous les collègues et amis extraordinaires que j’ai croisés ces dernières années. J’espère être pour vous une personne extraordinaire. Merci également de visiter de plus en plus ce blog, vous êtes extraordinaires également à vouloir être heureux! N’hésitez pas à partager cet article si vous l’avez apprécié.

Cet article Des collègues extraordinaires est apparu en premier sur Comment être heureux au travail ?.

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