Ad
Ad
Ad

Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !

Twitter

Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/comment-se-guerir-de-la-culpabilite/

La culpabilité est un sentiment difficile qui cause beaucoup de souffrances inutiles. C’est le sentiment qui suit un acte perçu comme répréhensible : « J’ai fait quelque chose de mal, je suis une mauvaise personne ».

Comment se guérir de la culpabilité ?

Dans la guérison de la culpabilité, il est important de se rappeler que nous sommes ici pour apprendre. L’apprentissage est fait d’essais et d’erreurs. Parfois, nous faisons des erreurs, nous faisons des choses que nous n’allons plus répéter donc nous apprenons. Si toutefois, dans le processus d’apprentissage, nous sommes infectés par la culpabilité (nous nous sentons alors mauvais, comme si nous étions une mauvaise personne) alors l’expérience d’apprentissage se transforme en un drame interne.

L’apprentissage est une partie essentielle de notre évolution et les erreurs sont d’excellents tremplins seulement si elles sont utilisées en tant que tel. Notre culture nous a appris que faire des erreurs est mauvais, mais ce n’est pas vrai. Les erreurs sont la norme dans les essais et les erreurs d’apprentissage. L’apprentissage est déjà assez difficile sans être puni encore par-dessus pour des erreurs qui font partie du processus nécessaire.

Le résultat de la punition est un jugement négatif sur soi qui est la culpabilité. La culpabilité érode le sens de soi et la dépression est souvent la conséquence d’un sentiment de culpabilité qui ne peut pas se déplacer et donc reste bloqué. La culpabilité est maintenue en place par des jugements. Relâchez les jugements, les étiquettes que vous avez sur vous-même et la culpabilité s’en ira d’elle-même. Et comme les jugements sont des décisions, ils sont faciles à changer. Le secret est tout simplement de décider à nouveau de faire différemment. Reprenez votre jugement initial et changez votre esprit !

Quoi que ce soit qui vous a fait vous juger contre vous-même, sachez que vous avez le libre arbitre et tous les choix que vous faites sont valides. Relâchez donc chaque jugement négatif jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Oui, vous avez le droit à l’erreur d’autant que c’est la seule façon de vous améliorer et de grandir ! C’est tout ce qu’il y a à faire ! Lorsque les jugements sont libérés, vous êtes libre à nouveau de décider comment vous allez vous sentir et comment vous allez agir dans ce genre de situation. Vous êtes libre de faire des erreurs pour apprendre et évoluer. Lorsqu’une personne veut vous culpabiliser, vous ne la prenez plus au sérieux comme avant.

On projette ce qui est en nous !

Relâcher aussi les jugements contre les autres est tout aussi libérateur que de les libérer sur nous-mêmes. Il suffit de dire, «Je libère le jugement que (nom de la personne) est mauvais parce qu’ils… » et « Je libère le jugement que… est mauvais ou faux. ». Quoi qu’il en soit, c’est à nous qu’il revient de libérer les jugements qui sont au fond de nous !

La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez vous retrouver très agréablement surpris par les changements profonds qui se produisent lorsque les jugements sont libérés. Le jugement est une construction artificielle de notre mental pour simplifier les choses mais qui est bien loin de la complexité de la réalité. Bien que ces constructions mentales aient une influence très puissante sur nos émotions, elles sont aussi faciles à libérer en formant l’intention d’être attentif pour voir au-delà des pensées.

Les effets de la libération de la tyrannie de nos jugements sur nous-mêmes sont souvent subtils au début, mais toujours cumulatifs avec le temps. Après une certaine pratique, cela va devenir de plus en plus naturel et vous pourrez vivre plus paisiblement au quotidien pour pouvoir vous tromper et grandir en conscience alors profitez de ce cadeau dès maintenant !

« La culpabilité est la pire chose que l’on puisse cultiver dans sa vie. »

Twitter

Source originale : http://coaching-en-or.com/je-me-suis-trompe-de-route-message-spirituel/

J’ai cru que je devais d’abord assurer ma survie … par des activités rémunérées diverses… « gagner sa vie » à la sueur de son front … perdre sa vie à la gagner …. vivre dans le stress régulier …. Je me suis trompé de route … et la majorité d’entre nous, nous faisons cela … pourquoi […]

Cet article JE ME SUIS TROMPE DE ROUTE … (message spirituel) est apparu en premier sur Coaching en Or.

Twitter

Source originale : http://www.forme-sante-ideale.com/histoires-initiatiques-etre-heureux-dans-linstant-suite/

Pour être heureux dans l’instant, 2 nouvelles histoires initiatiques   Cet article fait suite au précédent où vous pouvez aller lire 2 autres petites histoires initiatiques pour être heureux dans l’instant.   Les petites histoires initiatiques s’adressent à votre cerveau créatif pour que vous puissiez être touché avant même d’avoir actionné votre « machine à penser ». …

Lire la Suite »

Ad
Ad
Ad
Twitter

Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/comment-se-guerir-de-la-culpabilite/

La culpabilité est un sentiment difficile qui cause beaucoup de souffrances inutiles. C’est le sentiment qui suit un acte perçu comme répréhensible : « J’ai fait quelque chose de mal, je suis une mauvaise personne ».

Comment se guérir de la culpabilité ?

Dans la guérison de la culpabilité, il est important de se rappeler que nous sommes ici pour apprendre. L’apprentissage est fait d’essais et d’erreurs. Parfois, nous faisons des erreurs, nous faisons des choses que nous n’allons plus répéter donc nous apprenons. Si toutefois, dans le processus d’apprentissage, nous sommes infectés par la culpabilité (nous nous sentons alors mauvais, comme si nous étions une mauvaise personne) alors l’expérience d’apprentissage se transforme en un drame interne.

L’apprentissage est une partie essentielle de notre évolution et les erreurs sont d’excellents tremplins seulement si elles sont utilisées en tant que tel. Notre culture nous a appris que faire des erreurs est mauvais, mais ce n’est pas vrai. Les erreurs sont la norme dans les essais et les erreurs d’apprentissage. L’apprentissage est déjà assez difficile sans être puni encore par-dessus pour des erreurs qui font partie du processus nécessaire.

Le résultat de la punition est un jugement négatif sur soi qui est la culpabilité. La culpabilité érode le sens de soi et la dépression est souvent la conséquence d’un sentiment de culpabilité qui ne peut pas se déplacer et donc reste bloqué. La culpabilité est maintenue en place par des jugements. Relâchez les jugements, les étiquettes que vous avez sur vous-même et la culpabilité s’en ira d’elle-même. Et comme les jugements sont des décisions, ils sont faciles à changer. Le secret est tout simplement de décider à nouveau de faire différemment. Reprenez votre jugement initial et changez votre esprit !

Quoi que ce soit qui vous a fait vous juger contre vous-même, sachez que vous avez le libre arbitre et tous les choix que vous faites sont valides. Relâchez donc chaque jugement négatif jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Oui, vous avez le droit à l’erreur d’autant que c’est la seule façon de vous améliorer et de grandir ! C’est tout ce qu’il y a à faire ! Lorsque les jugements sont libérés, vous êtes libre à nouveau de décider comment vous allez vous sentir et comment vous allez agir dans ce genre de situation. Vous êtes libre de faire des erreurs pour apprendre et évoluer. Lorsqu’une personne veut vous culpabiliser, vous ne la prenez plus au sérieux comme avant.

On projette ce qui est en nous !

Relâcher aussi les jugements contre les autres est tout aussi libérateur que de les libérer sur nous-mêmes. Il suffit de dire, «Je libère le jugement que (nom de la personne) est mauvais parce qu’ils… » et « Je libère le jugement que… est mauvais ou faux. ». Quoi qu’il en soit, c’est à nous qu’il revient de libérer les jugements qui sont au fond de nous !

La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez vous retrouver très agréablement surpris par les changements profonds qui se produisent lorsque les jugements sont libérés. Le jugement est une construction artificielle de notre mental pour simplifier les choses mais qui est bien loin de la complexité de la réalité. Bien que ces constructions mentales aient une influence très puissante sur nos émotions, elles sont aussi faciles à libérer en formant l’intention d’être attentif pour voir au-delà des pensées.

Les effets de la libération de la tyrannie de nos jugements sur nous-mêmes sont souvent subtils au début, mais toujours cumulatifs avec le temps. Après une certaine pratique, cela va devenir de plus en plus naturel et vous pourrez vivre plus paisiblement au quotidien pour pouvoir vous tromper et grandir en conscience alors profitez de ce cadeau dès maintenant !

« La culpabilité est la pire chose que l’on puisse cultiver dans sa vie. »

Twitter

Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/comment-se-guerir-de-la-culpabilite/

La culpabilité est un sentiment difficile qui cause beaucoup de souffrances inutiles. C’est le sentiment qui suit un acte perçu comme répréhensible : « J’ai fait quelque chose de mal, je suis une mauvaise personne ».

Comment se guérir de la culpabilité ?

Dans la guérison de la culpabilité, il est important de se rappeler que nous sommes ici pour apprendre. L’apprentissage est fait d’essais et d’erreurs. Parfois, nous faisons des erreurs, nous faisons des choses que nous n’allons plus répéter donc nous apprenons. Si toutefois, dans le processus d’apprentissage, nous sommes infectés par la culpabilité (nous nous sentons alors mauvais, comme si nous étions une mauvaise personne) alors l’expérience d’apprentissage se transforme en un drame interne.

L’apprentissage est une partie essentielle de notre évolution et les erreurs sont d’excellents tremplins seulement si elles sont utilisées en tant que tel. Notre culture nous a appris que faire des erreurs est mauvais, mais ce n’est pas vrai. Les erreurs sont la norme dans les essais et les erreurs d’apprentissage. L’apprentissage est déjà assez difficile sans être puni encore par-dessus pour des erreurs qui font partie du processus nécessaire.

Le résultat de la punition est un jugement négatif sur soi qui est la culpabilité. La culpabilité érode le sens de soi et la dépression est souvent la conséquence d’un sentiment de culpabilité qui ne peut pas se déplacer et donc reste bloqué. La culpabilité est maintenue en place par des jugements. Relâchez les jugements, les étiquettes que vous avez sur vous-même et la culpabilité s’en ira d’elle-même. Et comme les jugements sont des décisions, ils sont faciles à changer. Le secret est tout simplement de décider à nouveau de faire différemment. Reprenez votre jugement initial et changez votre esprit !

Quoi que ce soit qui vous a fait vous juger contre vous-même, sachez que vous avez le libre arbitre et tous les choix que vous faites sont valides. Relâchez donc chaque jugement négatif jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Oui, vous avez le droit à l’erreur d’autant que c’est la seule façon de vous améliorer et de grandir ! C’est tout ce qu’il y a à faire ! Lorsque les jugements sont libérés, vous êtes libre à nouveau de décider comment vous allez vous sentir et comment vous allez agir dans ce genre de situation. Vous êtes libre de faire des erreurs pour apprendre et évoluer. Lorsqu’une personne veut vous culpabiliser, vous ne la prenez plus au sérieux comme avant.

On projette ce qui est en nous !

Relâcher aussi les jugements contre les autres est tout aussi libérateur que de les libérer sur nous-mêmes. Il suffit de dire, «Je libère le jugement que (nom de la personne) est mauvais parce qu’ils… » et « Je libère le jugement que… est mauvais ou faux. ». Quoi qu’il en soit, c’est à nous qu’il revient de libérer les jugements qui sont au fond de nous !

La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez vous retrouver très agréablement surpris par les changements profonds qui se produisent lorsque les jugements sont libérés. Le jugement est une construction artificielle de notre mental pour simplifier les choses mais qui est bien loin de la complexité de la réalité. Bien que ces constructions mentales aient une influence très puissante sur nos émotions, elles sont aussi faciles à libérer en formant l’intention d’être attentif pour voir au-delà des pensées.

Les effets de la libération de la tyrannie de nos jugements sur nous-mêmes sont souvent subtils au début, mais toujours cumulatifs avec le temps. Après une certaine pratique, cela va devenir de plus en plus naturel et vous pourrez vivre plus paisiblement au quotidien pour pouvoir vous tromper et grandir en conscience alors profitez de ce cadeau dès maintenant !

« La culpabilité est la pire chose que l’on puisse cultiver dans sa vie. »

Twitter

Source originale : http://www.semera.fr/le-blog/le-present-et-le-reel/les-pays-de-mon-coeur

 fire 102450 340

Les actualités m’informent de la noyade de migrants et d’un tremblement de terre au Népal.
Je viens de visionner le film « Soleil de nuit » et je me suis dit à la fin : « Nous devrions nous battre sans relâche pour la liberté de ceux qui n’en bénéficient pas. »
 
Tant d’injustices, de pauvreté, de malheurs.

Il y a plus de joie à recevoir qu’à prendre, et encore plus de joie à donner qu’à recevoir. Mais par où commencer ? (pour certains) Et où s’arrêter ? (pour d’autres).
 
enneagramme

Sur les neuf types de l’énnéagramme (voir aussi l’article Sous pression), les types 1, 2 et 8 sont typiquement ceux qui se montrent particulièrement sensibles à cette problématique.
 
Le type 1, en perfectionniste, voudrait pouvoir tout résoudre.
Le type 2 est inconsciemment convaincu qu’on l’aimera s’il est généreux. L’aide aux autres, c’est toute sa vie.
Le type 8 est touché par les injustices, il ne craint pas de batailler pour les combattre.
 

logo edm web transparent 0

 

Nous parrainons des enfants en Asie grâce à l’association Enfants du Mekong.
Nous sommes allés les rencontrer en famille il y a quelques années. Nos enfants avaient alors cinq et huit ans. Cela contrariait énormément mon grand-père que nous les emmenions à l’autre bout de la terre. Il m’a dit, en colère : « Des pauvres, il y en a ici !!!« 

C’est un savant mélange d’histoire personnelle et de conjoncture qui nous a amenés à parrainer ces enfants. Il était vain de l’expliquer à mon grand-père, encore sous le coup de l’émotion, il avait surtout besoin d’être rassuré.

Mais j’ai trouvé intéressante sa remarque acerbe.

Je poursuis la réflexion ainsi :

  • Nous ne pouvons pas aider tout le monde. Le vouloir, c’est s’octroyer des super-pouvoirs que nous n’avons pas, en tous cas, pas seuls.
  • Nous pouvons donner un petit peu quand nous sommes sollicités directement, de personne à personne, pour préserver notre dignité et la dignité du quêteur; garder à cet effet quelques pièces dans sa voiture, dans ses poches, dans un tiroir à l’entrée du logement.
  • Nous pouvons laisser parler notre coeur et les circonstances (ami dans pays pauvre, voisin dont la famille vit dans un pays en guerre, …), ils nous emmèneront dans une direction précise pour nous investir davantage en temps (ex : engagement annuel dans une association), en argent (ex : don), en énergie (ex : course solidaire).

 

guitar case 485112 340

 

Ceci illustre une nouvelle fois qu’adhérer au présent, au réel, n’est pas simpliste. Il s’agit d’utiliser nos sens, nos émotions et nos facultés intellectuelles. Le bénéfice en vaut la peine : nous nous sentirons vivants et pleinement humains.

Car ne jamais rien donner ou vouloir donner tout le temps relèvent d’extrêmes. Or l’absolu s’éloigne de la réalité au lieu de la rejoindre.

A vot’ bon coeur … !

 

 

Source originale : http://marctraverson.com/cinema/merci-patron-le-film/

Voilà un film réjouissant et instructif, que je recommande chaudement. Le pitch : comment une famille pauvre du Nord, surendettée, au bord du désespoir, réussit le tout de force de faire cracher au bassinet Bernard Arnault, le richissime patron de LVMH, responsable de leur licenciement. C’est l’histoire d’une manipulation, orchestrée et racontée avec brio par François Ruffin, héros et réalisateur de ce petit film à l’ironie ravageuse.

Pour réussir à obtenir le remboursement de leur dette et un contrat en CDI, la petite cellule s’attaque au talon d’Achille du géant – son image, luxe et papier glacé – en menaçant de venir perturber l’assemblée générale des actionnaires du groupe. Montage serré, caméras cachées, scènes croquignolesques, par exemple lorsque l’ex-barbouze envoyé pour négocier leur silence finit par les prendre en sympathie.

François Ruffin, par ailleurs fondateur du journal Fakir, est le Scapin de cette comédie sociale, l’instigateur et le metteur en scène de cette arnaque pour la bonne cause. Entre postiche et potacherie, son film est un limpide traité de manipulation, qui réussit l’exploit de dénoncer l’inhumanité d’un capitalisme sans mesure avec une légèreté, une gaité – et finalement une élégance – formidables. On en sort avec un large sourire aux lèvres, comme d’une fable où, pour une fois, le pot de terre triomphe de pot de fer. Touché-coulé !

Ad
Ad
Ad