Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !
Source originale : http://youtu.be/Pwf9emM-C14
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=Pwf9emM-C14&w=640&h=360]
Source originale : http://apprendresursoi-et-avancer.com/votre-parole-impeccable/

Le premier des 4 accords Toltèques peut paraitre très simple mais est peut-être l’un des plus difficiles à réaliser : Que votre parole soit impeccable.
Par la parole nous faisons exister les choses…
Je m’explique :
On ne peut pas parler de quelque chose qui n’existe pas pour nous. Une chose ou un concept qu’on n’a jamais vu, dont on a jamais entendu parlé, jamais expérimenté et sans aucune idée dessus, on n’aura pas de mot pour le décrire. Pour nous il n’existe pas. A partir du moment où on lui donne un nom, où on le décrit, on en parle, on y fait référence, alors dans notre vision du monde, on lui donne une existence, on le fait exister, on le fait se manifester.
Et d’ailleurs, quelle que soit notre façon de parler, notre intention, nos pensées, nos rêves ou nos ressentis se manifestent par la parole. La parole n’est pas seulement un son ou un symbole, c’est une force qui représente notre capacité à nous exprimer et à communiquer. Selon la façon dont elle est utilisée, la parole peut libérer ou asservir. Elle peut transformer une vie ou l’anéantir. Regardez ce qui s’est passé en Allemagne à partir des années 1930. La parole d’un seul homme a réussi à manipuler toute une nation de gens intelligents, pour finir en guerre mondiale. Il a réussi à convaincre des gens de commettre des actes de violence atroces. La parole d’Hitler, fondée sur des croyances et des accords issus de la peur, a réveillé les peurs des gens et ils ont fini par s’entre tuer par peur les uns des autres.
L’esprit humain est comme une terre fertile dans laquelle des graines sont continuellement semées et poussent : idées, pensées, opinions, concepts… Malheureusement les graines de la peur y poussent souvent très bien. L’esprit humain est souvent très fertile, mais seulement pour les graines pour lesquelles il est préparé.
Pendant toute notre domestication, nos parents, frères, sœurs, amis, entourage, ont émis des opinions sur nous, même sans y penser. Nous avons cru certaines de ces opinions et avont vécu dans la peur qu’elles véhiculaient : ne pas être bon en sport, en langue, en science, ne pas mériter ceci ou cela…
Une parole qui réussit a capter notre attention peut pénétrer notre esprit et changer des croyances en mieux ou en pire. A force d’entendre certaines choses sur nous, en peut finir (inconsciemment) par y donner notre accord et agir en conséquence. Par exemple, à s’entendre dire régulièrement qu’on est stupide, on peut finir par y croire. Et cet accord peut nous servir à faire de nombreuses choses ne servant qu’à prouver notre stupidité : « Si seulement j’étais intelligent… mais je dois être stupide, sinon je n’aurais pas fait comme ça« . Et inversement, un jour une autre parole capte notre attention, et nous fait découvrir qu’on n’est pas stupide, on y croit et on conclu un nouvel accord. Résultat on ne se sent plus stupide et on n’agit plus stupidement.
La parole, en fonction de l’accord qu’on lui donne peut avoir un pouvoir sur nous.
Une parole sans jugement ?
Mais donc, qu’est ce que ça veut dire, une parole impeccable ?
Si on regarde l’étymologie, « impeccable », vient du latin « pecatus » qui veut dire « péché » et de « im » qui veut dire « sans« . Impeccable veut donc dire « sans péché ». Maintenant qu’est ce que c’est qu’un péché ? Les religions en parlent beaucoup : voyons ça d’un peu plus près.
Pour Don Miguel Ruiz, dans son livre « Les quatre accords toltèques », le péché est quelque chose que l’on commet contre soi-même. Toute chose qu’on sent, croit ou fait à l’encontre de soi-même est un péché. On agit contre soi-même quand on se juge ou se critique pour n’importe quoi. Etre sans péché c’est donc faire l’inverse. Etre impeccable c’est donc ne rien faire contre soi-même. Etre impeccable, c’est assumer la responsabilité de ses actions sans se juger ni se critiquer.
Vu comme ça, le péché n’est donc plus quelque chose de moral ou de religieux, c’est simplement du bon sens. Le péché commence donc avec le rejet de soi. Le péché mortel est donc se rejeter soi jusqu’à la mort. Etre impeccable, de l’autre côté, mène à la vie. Une parole impeccable est donc une parole qui ne s’utilise pas contre soi. Et même si par exemple j’insulte quelqu’un, en réalité c’est contre moi que ça se retourne car la haine engendrée par la personne insultée ne me fera aucun bien. Et si je me mets en colère contre quelqu’un, ce « poison émotionnel » que j’envoie, je l’utilise finalement contre moi-même.
Inversement, si je m’aime, j’exprimerai cet amour dans mes interactions avec mon entourage et ma parole sera impeccable, parce-que cette manière d’agir favorisera une réaction similaire.
Mais alors, avoir une parole impeccable, concrètement qu’est ce que c’est ?
Suite dans le prochain article.
Source originale : http://youtu.be/BuA-sRIITZQ
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=BuA-sRIITZQ&w=640&h=360]
Source originale : http://youtu.be/Pwf9emM-C14
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Source originale : http://youtu.be/0A-YQGfNWsA
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Source originale : http://lepetitcoach.com/etre-ou-ne-pas-etre-heureux/
Je vous présente trois personnes qui vous expliquent en quelques points pour quelles raisons elles sont heureuses ou malheureuses. Je pense que les réponses parlent pour elles-mêmes et j’espère qu’elles vous permettront de changer votre manière de voir les choses.
La première s’appelle Angélique
Angélique a 38 ans.
Elle est secrétaire de direction dans une grande entreprise.
Elle est mariée depuis 10 ans.
Christophe, son mari est ingénieur.
Ils ont deux enfants de 5 et 7 ans.
Toute la famille habite dans une grande maison avec un jardin dans la banlieue de Marseille.
Angélique est dépressive et en a marre, voici ses raisons :
- je n’ai pas le temps de vivre pour moi, je suis toujours en train de courir entre le travail, les enfants, le mari et la maison.
- Je travaille trop
- mon mari travaille trop et ne fait rien à la maison, on se dispute tous les jours
- je paie trop d’impôts
- je passe trop de temps à faire le ménage (la maison est immense)
- j’ai aussi un travail monstre dans le jardin
- je suis sans arrêt en train de faire le taxi pour les enfants, entre les cours particuliers, les clubs de sport et les amis
- je ne sors plus beaucoup car c’est trop d’organisation, il faut trouver une baby-sitter
- j’aimerais être plus libre, sortir quand je veux, aller à la salle de sport, être au calme à la maison
Le deuxième s’appelle Norbert
Norbert a 38 ans lui aussi.
Il a travaillé comme ouvrier dans une grande entreprise pendant 17 ans mais a perdu son emploi en 2008 à cause de la crise.
Il est veuf car sa femme est décédée d’un cancer en 2009.
Ils n’ont jamais réussi à concrétiser leur rêve et fonder une famille, il n’a donc pas d’enfant.
Il habite dans un HLM dans la banlieue de Marseille.
Norbert est dépressif et en a marre, voici ses raisons :
- J’aimerais tellement que ma femme soit encore en vie avec moi
- je veux trouver du travail mais je suis soit trop vieux, soit pas qualifié. Je suis prêt à faire les trois huit ou à me lever tôt, mais cela ne suffit pas.
- J’aimerais avoir un petit balcon ou un moyen de prendre un peu le soleil depuis mon petit appartement, il est trop sombre et je suis au centre d’une grande cité sans verdure.
- J’aurais tellement été heureux d’avoir des enfants
- j’ai toute la journée de libre pour penser à tout ce que je pourrais faire si j’avais assez d’argent ou à tout ce que j’ai perdu.
- J’aimerais beaucoup sortir, faire du sport dans un club, voir des amis mais je n’ai pas les moyens d’avoir une voiture ni d’aller au restaurant.
- Je n’ai presque plus d’amis car ils n’ont pas su comment réagir à ma perte d’emploi suivie de la mort de ma femme.
Et voici maintenant Marguerite
Marguerite a 76 ans
Elle est veuve depuis 10 ans car son mari est mort d’une crise cardiaque
Elle est à la retraite depuis 16 ans après avoir été infirmière
Elle a une fille et deux petits enfants de 12 et 14 ans
Elle vit dans une petite maison avec un tout petit jardin près de Marseille
Elle a une angine de poitrine donc un risque élevé de crise cardiaque et doit aller régulièrement chez le cardiologue pour être contrôlée
Marguerite est la joie de vivre même, toujours souriante, voici ses raisons :
- je suis heureuse de pouvoir vivre et m’occuper de moi sans aide.
- je suis heureuse d’avoir vécu toutes ces années formidables avec mon mari avant qu’il ne parte.
- je suis chanceuse d’avoir une fille et des petits-enfants absolument adorables.
- je suis heureuse de vivre dans une région au climat agréable.
- je suis heureuse d’avoir ma petite maison et mon petit jardin dont je peux encore m’occuper.
- je suis heureuse que le médecin et les médicaments puissent encore me permettre de profiter de ma famille avant de retrouver mon mari au ciel.
- je suis heureuse de me réveiller chaque jour et de savoir que je peux profiter de cette nouvelle journée pour faire plaisir autour de moi.
- Je suis heureuse d’avoir du temps pour profiter de la vie, pour tricoter, pour lire et pour passer du temps avec ceux que j’aime.
- Je suis heureuse d’avoir des amis
C’est à vous
- Voyez-vous la différence entre les deux premières personnes et la troisième ?
- Pensez-vous être comme les deux premières ou plutôt comme la dernière ?
- Qui d’après vous pourrait être la plus heureuse et pourquoi ?
Source originale : http://marctraverson.com/business-culture/penser-sans-powerpoint/
Malgré les critiques dont il fait régulièrement l’objet, Powerpoint® (avec ses collègues logiciels, Keynote®, etc.) poursuit sa progression fascinante, en particulier dans les couches dirigeantes des organisations internationales et dans le monde hi-tech. Le problème est qu’au-delà d’une pratique raisonnable, sa sur-utilisation conduit au conformisme et à des réunions qui ne laissent plus guère de place à la participation et à l’innovation collective.
Il faut remercier Powerpoint. Ce vecteur de communication oblige l’émetteur d’un message à synthétiser celui-ci dans une diapo, un schéma, quelques bullet points. Il lui faut réfléchir à l’ordre de progression de son exposé, titrer ses parties, les illustrer. Très bien. Cet enjeu de formalisation, inscrit dans les contraintes du logiciel, a le mérite de permettre une circulation de l’information écrite dans des écosystèmes décisionnels, sous une forme relativement simplifiée — donc digeste.
L’outil n’est jamais un problème per se. Il le devient s’il cannibalise tout autre mode d’interaction, s’il s’impose comme unique moyen de communication et d’échange d’information, si l’on finit par se sentir obligé de faire une présentation quand il n’y en a nul besoin. Car alors on ferait du Powerpoint à défaut d’autre chose, par habitude ou pure conformité.
A certains endroits, on en est là : à ne plus envisager de réunion sans une présentation. Cette loi non-écrite, inscrite dans la culture de l’entreprise, n’est pas sans conséquence, et je vois au moins deux dérives possibles.
La première consiste à consacrer beaucoup, beaucoup de temps et d’énergie à la mise en forme de mes chères slides. Rien de plus chronophage que la « mise en forme » ! On peut se battre des heures avec le logiciel pour que le planning du projet X ressemble à quelque chose. Ceux qui en ont les moyens s’adjoignent des armées de consultants chargés d’élaborer des présentations spectaculaires et chatoyantes, à la fois complexes et carrées (car la pensée doit y rentrer dans un certain nombre de rectangles). La sophistication du design, des animations, l’élégance des liserés et le choix du code couleur deviennent les attributs d’une efficacité visuelle que l’on voudrait confondre avec la clarté d’un raisonnement ou l’intérêt d’une proposition. Trop de mise en scène tue la mise en scène. Au-delà de certaines limites, il se pourrait que les jolies présentations ne soient que des façades creuses, le décor chargé d’habiller un vide de la pensée et de l’action. Le bore-out n’est pas loin.
Il y a un deuxième effet à craindre. La présentation de slides dans une réunion a des conséquences relationnelles. Le regard des participants se fixe, non sur les autres humains présents dans la salle, mais sur un écran, une projection, un objet-tiers. Pendant la présentation on est en parallèle, pas en face-à-face. Si l’on parle, c’est à propos de la présentation, souvent en la regardant, en la prenant à témoin, en la pointant du doigt. Les grands réthoriciens des siècles passés s’arracheraient les cheveux à constater cette prévalence de l’image du discours sur le discours lui-même, comme si l’orateur doutait de sa capacité à capter l’attention de son auditoire.
Le powerpoint focalise l’attention d’un groupe, et produit une interaction polarisée (vers une personne et sa présentation), aux dépends d’autres modalités d’échange, horizontales, interactives, multi-participatives — plus à même de générer de l’intelligence collective, c’est-à-dire la rencontre réelle entre les personnes présentes dans un lieu à un moment donné.
« Ca me permet d’adopter une écoute flottante, me dit un dirigeant. Quand le sujet de me concerne pas directement, j’ai appris à décrocher tout en gardant les yeux ouverts. » Et arrivé à ce point, je me dis que le succès du PowerPoint tient, peut-être, à ce bénéfice inattendu : offrir des temps de repos à des cadres surmenés, saturés d’information, qui à la faveur de l’hypnose collective provoquée par le faisceau du vidéoprojecteur, peuvent s’assoupir en toute tranquillité. Pourquoi pas ? Créer des espaces et des temps de sieste serait peut-être un moyen plus direct d’obtenir cet effet.
Ma proposition, ici, serait, avant une prochaine réunion, de se poser la question. Et si je décidais de la faire autrement, c’est-à-dire sans écran ni projection ? Comment pourrais-je faire pour tirer toute la valeur ajoutée de la présence des participants ? Pour obtenir quelle dynamique, et pour quels résultats différents ?
Source originale : http://youtu.be/I0T392C1rkg
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=I0T392C1rkg&w=640&h=360]
Source originale : http://www.acide-ici.fr/changerdevie/interview-liberte-de-jean-riviere-de-webmarketing-junkie.html
Voici une interview que j’avais réalisée en allant voir Jean Rivière, de WebMarketing Junkie, chez lui en Transylvanie. Jean vit de ses sites internet depuis 2004 et est l’un des indépendants francophones que je connaisse ayant le plus de succès. Adoré ou détesté, il laisse peu de gens indifférents. En regardant cette interview, vous apprendrez :
- Ce que vont penser votre entourage si vous vous lancez vers l’indépendance
- Comment vendre des cuisines Mobalpa et des vêtement Brice amène à devenir webmarketeur en Europe de l’Est
- Comment gérer la solitude du web entrepreneur
- Le principe de travail qui vous permettra d’avancer sur la durée
- Que vous risquez d’être pris pour un trafiquant d’organes
- La métaphore du puzzle et son rapport avec votre progression
- Et comme d’habitude, plein d’autres choses encore.
Bon visionnage !
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=Bqb3ihn_DkA]
Source originale : http://www.zen-et-efficace.com/trop-d-emails/
Vous avez trop d’emails? Genre, 1285 emails non lus dans votre boite de réception? Cet article est fait pour vous. Toutes les études sur le sujet tombent d’accord sur le duo de tête de la perte de productivité en entreprise: les emails et les séances. Vous avez probablement trop d’emails et trop de séances à […]
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