Ad
Ad
Ad

Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !

Twitter

Vous aimerez aussi: 4 conseils pour améliorer votre santé et votre énergie en 2017 4 conseils pour améliorer vos finances et vous enrichir en 2017 (+ challenge) 3 conseils pour vous épanouir dans votre vie amoureuse en 2017 (célibataires et en couple) Voici comment améliorer votre santé, votre concentration, votre moral et la gestion de…

Cet article 5 conseils pour améliorer votre vie sociale et faire plein de rencontres en 2017 est apparu en premier sur B2ZEN.

Twitter

Vous avez le pouvoir de changer votre humeur et vos pensées en moins d’une minute.

Comment ? Juste en orientant vos pensées dans la bonne direction.

Pour cela, vous pouvez utiliser la puissance des affirmations.

Ce sont des petites phrases positives et motivantes que vous pouvez vous répéter à haute voix ou dans votre tête autant de fois que vous voulez.

Vous pouvez également les écrire sur des papiers et les mettre en évidence dans plusieurs pièces, afin de les lire encore et encore.

 

  • Le plus gros obstacle sont mes pensées négatives. Si je change mes pensées, je change ma vie.
  • Être positif, ce n’est pas ignorer le négatif, c’est se focaliser sur le positif pour le renforcer et pour attirer encore plus de bonnes choses.
  • Je ne pense plus à ce qui aurait pu être ou à ce que j’aurai pu faire, je pense à ce que je peux faire et être maintenant et j’agis pour en faire une réalité.

 

  • Je prends mes responsabilités pour ma vie présente et je battis maintenant les bases de mon futur.
  • Je ne peux pas contrôler toutes les situations ni les personnes dans ma vie, mais je contrôle mes pensées et mes réactions à ce qui arrive et c’est pour cela que je contrôle ma vie et ma réalité.
  • J’ai surmonté beaucoup d’obstacles et ils m’ont rendu plus fort et plus confiant. Je sais que je réussirai ce que j’entreprendrai et j’ai confiance en moi et en mon jugement.

 

  • J’accepte tout ce que la vie m’apporte et je fais de mon mieux quoi qu’il arrive.
  • Au lieu de me plaindre de ma situation, je réagis pour changer ce qui ne me plaît pas et j’accepte ce que je ne peux pas changer.
  • Chaque obstacles, échec, expérience, me rend plus fort et plus intelligent.
  • Mon prochain pas dans la bonne direction est peut-être un petit pas mais c’est un pas en avant qui me rapproche de mon objectif.

 

  • La patience est une vertu, c’est une preuve de confiance, d’acceptation, de sérénité et de foi en ma propre valeur et c’est la meilleure manière d’atteindre mes objectifs.
  • Je trouve du temps pour les choses et les personnes vraiment importantes dans ma vie et j’arrête de perdre mon temps pour ce qui n’en vaut pas la peine.
  • Je me libère de toutes les émotions nocives comme la colère, la haine, le ressentiment, l’envie et je me laisse envahir par les bonnes vibrations des émotions et sentiments positifs comme l’amour, la passion, l’amitié, la gratitude et la joie.

 

  • Je me connais, je m’aime et je me respecte. C’est ainsi que ceux qui me côtoient m’aimeront et me respecteront.
  • Je m’attends au meilleur.
  • Je suis reconnaissant de…
  • J’aime…

C’est à vous

  • Quelles sont vos affirmations préférées ?
  • Partagez celles qui vous aident le plus avec les lecteurs du blog
  • Vous êtes libre de compléter les deux dernières affirmations
Twitter

La méditation pour les enfants : un remède au mal-être scolaire ?

méditation pour les enfantsArticle invité rédigé par Anne-Laure du blog ZenEcole.

Des classes surchargées, des élèves difficiles, des enseignants fatigués, ce constat est de plus en plus courant dans les écoles françaises. La méditation de pleine conscience pour les enfants pourrait bien être un remède à ce rude constat.

Cette technique qui aide à  « concilier les compétences scolaires, sociales et émotionnelles »[1]  des enfants a déjà fait ses preuves dans différents pays (Canada, Etats-Unis, Pays-bas,…) comme de nombreuses études le démontrent. Amélioration des capacités d’attention,  diminution du stress, développement de la confiance en soi sont les bénéfices les plus souvent mis en avant.

 

Pourquoi faire méditer les enfants ?

Un autre aspect plus comportemental mérite d’être mis sur le devant de la scène : apprendre par la méditation à apprivoiser ses émotions.

Les émotions sont omniprésentes tout au long de notre vie. Adulte, il n’est pas toujours facile de les reconnaître, de les accepter et de prendre de la distance vis-à-vis d’elle surtout lorsqu’elles ont un impact négatif sur notre vécu du moment. Enfant, apprivoiser ses émotions est également un art qui s’apprend.

Force est de constater que leur difficulté à gérer les émotions et la frustration qui en découle devient la source de troubles du comportement. Ces mêmes comportements qui usent les enseignants, les parents et les enfants eux-mêmes. Apparaît alors l’importance de reconnaître ses émotions et les apprivoiser dès le plus jeune âge.

La pratique de méditation nommée « la météo intérieure »[2] est un outil simple et ludique pour débuter cette découverte du monde intérieur qui anime l’enfant. Elle peut être utilisée à partir de 6/7 ans, à l’école comme à la maison.

  • L’enfant s’assoit sur une chaise, les pieds posés au sol ou sur un coussin au sol, en tailleur ou en position de demi-lotus. Dans les deux cas, le dos doit être bien droit. Le principal est que l’enfant soit dans une position qui lui est confortable afin d’être détendu.
  • L’enfant prend le temps de sentir sa respiration à travers son ventre qui se gonfle et se dégonfle. Poser ses mains sur le ventre l’aidera à se centrer sur sa respiration et son monde intérieur.
  • Guidé par un adulte ou un autre enfant dans un premier temps, puis par lui-même ; l’enfant répond intérieurement aux questions suivantes : qu’est-ce que je ressens ? est-ce que je sens comme un grand soleil lumineux en moi ou plutôt comme un orage sombre et menaçant qui gronde ? Ou peut-être est-ce plutôt comme une pluie battante et triste ? Est-ce que je sais de quelle émotion il s’agit ? Et mon corps, s’exprime-t-il par rapport à cela ? L’enfant prend le temps alors d’observer ce qui se passe en lui sans chercher à modifier quoi que ce soit.
  • Par la suite, l’enfant qui le souhaite peut exprimer verbalement son ressenti. Cela lui permet et permet aux enfants d’apprivoiser les émotions et de faire des liens avec les ressentis physiques, voire les pensées qui accompagnent l’ensemble.

Cette expression du ressenti peut également se faire sous une forme artistique (dessin, peinture, musique,…)

Les enfants apprécient énormément cette pratique à l’école car ils prennent un réel temps de pause pour eux, rien que pour eux, sans réussite ou échec, juste pour être. Un instant de répit bénéfique, aussi bien pour les élèves que pour l’enseignant, dans des journées scolaires lourdes en termes d’horaires et d’apprentissages.

Les 3 règles d’or pour un moment méditation réussie à l’école

  • L’enseignant doit vivre cet instant avec les élèves
  • Ne jamais forcer un élève à méditer. S’il refuse ce moment, lui permettre de ne pas participer et de ne rien faire à la condition qu’il reste silencieux pour respecter le groupe. Par expérience, ces élèves rejoignent rapidement le groupe et le moment de méditation.
  • Adapter le temps de ce moment méditation à l’âge des enfants et à leur envie. Cela dépend vraiment du groupe classe. De 3 à 5 minutes est suffisant la plupart du temps.

Laissons la méditation adaptée aux enfants les accompagner dans leur scolarité, il est grand temps de tendre vers une « zen’école ».

Cet article a été rédigé par Anne-Laure Bihan-Poudec, auteure du blog Zen’école, professeur des écoles et formée à la psychologie du développement de l’enfant et de l’adolescent et au programme MBSR.

[1] Susan Kaiser Greenland, Un cœur tranquille et sage, Les arènes

[2] Eline Snel, Calme et attentif comme une grenouille, Les arènes (p.84-85)

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

Ad
Ad
Ad
Twitter

Vous aimerez aussi: 4 conseils pour améliorer votre santé et votre énergie en 2017 4 conseils pour améliorer vos finances et vous enrichir en 2017 (+ challenge) 3 conseils pour vous épanouir dans votre vie amoureuse en 2017 (célibataires et en couple) Voici comment améliorer votre santé, votre concentration, votre moral et la gestion de…

Cet article 5 conseils pour améliorer votre vie sociale et faire plein de rencontres en 2017 est apparu en premier sur B2ZEN.

Twitter

Vous aimerez aussi: 4 conseils pour améliorer votre santé et votre énergie en 2017 4 conseils pour améliorer vos finances et vous enrichir en 2017 (+ challenge) 3 conseils pour vous épanouir dans votre vie amoureuse en 2017 (célibataires et en couple) Voici comment améliorer votre santé, votre concentration, votre moral et la gestion de…

Cet article 5 conseils pour améliorer votre vie sociale et faire plein de rencontres en 2017 est apparu en premier sur B2ZEN.

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/la-vie-de-mes-reves/~3/HyD0U-6j6sU/

Je vois souvent des personnes qui ont envie de changer leur mode de vie, notamment au niveau du travail, de leur rythme quotidien ou même de leurs relations. Au fond d’elles, elles sentent que leur vie n’est pas en adéquation avec leurs véritables aspirations et envies. Bien souvent aussi, ces personnes-là ne réussissent pas à passer à l’action pour effectuer ces changements. Installées dans une routine quotidienne, il n’est parfois pas évident de sortir de sa zone de confort. Quelles sont les raisons qui empêchent de trouver sa voie et de s’accomplir pleinement ? Une routine confortable La routine est … Continuer la lecture de Les raisons qui empêchent de trouver sa voie

Source originale : http://www.plateforme-bienetre.fr/comment-faire-une-demande-a-lunivers/

Comment faire une demande à l’univers ? Comment passer commande à l’univers ? Voilà un sujet qui me tient particulièrement à cœur. Nous sommes en plein cœur justement de la loi d’attraction. Vous l’avez entendu : “Demandez et vous recevrez”. Oui, ça fonctionne aussi simplement. Pourtant, combien d’entre nous arrivent à obtenir ce qu’ils désirent […]

The post Comment faire une DEMANDE À L’UNIVERS appeared first on Plateforme Bien-être.

Source originale : http://www.vivreettravaillerencouple.com/le-jour-ou-je-me-suis-aime-pour-vrai/

Vu sur Le jour où je me suis aimé pour vrai…

« Le jour où je me suis aimé pour vrai«  Tel est le titre d’un poème attribué à Charlie Chaplin dont les talents nous étonnent encore. Cette « intelligence du coeur » qui est la sienne transpire à chaque phrase et nous éclaire le chemin. A quoi cela peut-bien vous servir de le savoir dans votre relation de couple-entrepreneur, …

Continuer à lire »

Cet article provient de Vivre et Travailler en Couple

Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/creer-support-de-meditation/

Comment créer un support de méditation ?

Tangka de Chenrezig réalisée juste au trait

Tangka de Chenrezig réalisé juste au trait

Article invité rédigé par DjenDo, auteur du blog Tangkas.co-createurs.

Les Tangkas permettent de réaliser beaucoup de choses et même de créer un support de méditation.

 

 

Pourquoi créer un support de méditation ?

Pour méditer, le cerveau humain à besoin de se concentrer sur quelque chose.
Cela peut sembler bizarre mais c’est le seul moyen pour lui d’arrêter de vagabonder dans tous les sens : « zut, j’ai oublié le lait au magasin… à quelle heure j’ai rendez-vous chez le dentiste déjà? …Pff, je viens de faire une tâche sur mon pull… mais comment il conduit celui-là… j’espère que le chien n’est pas encore sur le canapé… ah oui, au fait, il faut vraiment que je lui demande sa recette de poulet indien… ».

Bref, le cerveau n’arrête jamais.

C’est pour cela que la méditation est un outil intéressant.
Elle permet de faire « pause » à son cerveau.

Et pour cela, et bien il a besoin de se raccrocher à quelque chose.

Il y a maintes et maintes façons d’y parvenir, et ces techniques sont plus ou moins efficaces selon les personnes.

Normal, on est tous différents, avec un cerveau qui ne fonctionne pas exactement de la même manière.

Moi, par exemple, si je me concentre sur ma respiration pour méditer, ben au bout de quelques minutes, j’ai l’impression de m’étouffer. Ne riez pas, j’ai tout essayé. J’ai même fais des exercices de respiration croyant que je ne savais pas respirer. Mais en fait, si, je respire correctement. Je n’ai pas trouvé d’explication. Si vous vous en avez une, je suis preneuse.
Bref, j’ai laissé tombé cette technique.

Alors, quoi faire ?

Après avoir testé d’autres techniques, et bien je me suis arrêté sur celle qui m’a le mieux convenu: le dessin de Tangkas.

Vous ne savez peut-être pas ce qu’est un Tangka ?
Voici une brève explication: un Tangka est une peinture sacrée caractéristique de la culture tibétaine.
Il représente principalement des divinités bouddhistes et des Mandalas. Ils sont réalisés selon des canons très précis. Si vous voulez en savoir plus sur les Tangkas, venez par ici.
Les bouddhistes l’utilisent comme support de méditation.

Vous allez peut-être me dire: « mais, je ne suis pas bouddhiste. Donc je ne peux pas dessiner de Tangka ».
Et bien détrompez-vous, tout le monde peut dessiner ou peindre des Tangkas.
C’est juste que tout le monde ne peut pas faire toutes les divinités, à moins d’avoir reçu l’initiation de la divinité en question, et donc d’être bouddhiste.

Donc, quel est l’intérêt de dessiner un Tangka pour méditer ?

 

Et bien tout simplement de créer votre propre bouton « pause » pour votre cerveau.

Premièrement :
Tous les artistes le savent, lorsque vous dessinez, vous êtes dans un état second.
Vous êtes concentré, calme et détendu.
Du coup, dessiner vous met déjà dans un état semi méditatif, voir carrément méditatif pour certains.

Petite précision: même si vous ne savez pas dessiner, il est possible de réaliser un Tangka.
En effet, il y a des étapes précises à suivre, une méthode pas-à-pas à reproduire, et du coup, pas besoin d’être un artiste ou même d’avoir déjà dessiné pour faire une divinité.
Même un enfant peut faire un Tangka à partir d’une dizaine d’années.

Mon 1er Tangka à 10 ans... Il a un air enfantin d'ailleurs...

Mon 1er Tangka à 10 ans… Il a un air enfantin d’ailleurs…

Deuxièmement :
Selon la croyance bouddhiste, dessiner un Tangka de façon traditionnelle vous permet de vous « connecter » aux énergies de la divinité que vous représentez.
« Ces peintures auraient le pouvoir d’améliorer une situation pénible ou exaucer un désir car elles permettent la «suppression» d’un obstacle physique ou mental ou de créer les conditions favorables à une bonne santé tout au long de sa vie » et « d’écarter la souffrance, d’obtenir bonheur et longévité, et de s’assurer une existence heureuse après la mort » (extrait du livre La Peinture Tibétaine de D. et J. Jackson).
Les tibétains commandes donc des Tangkas pour des occasions particulières, décès, mariage, cérémonie religieuse…
Vous pouvez donc décider de réaliser un Tangka dans un but précis (maladie, naissance, décès, blocage psychologique, etc.).
Mais vous pouvez aussi choisir de dessiner un Tangka juste pour le plaisir et profiter simplement de passer un moment agréable en ne pensant à rien d’autre.

Mais prenons le cas où vous avez un problème particulier :
Vous ou une personne de votre entourage est malade (ce que je ne souhaite pas, mais malheureusement, ça arrive).
Vous décidez alors de faire un Tangka du bouddha de la médecine Sangyé Menla (ou Bhaishajyaguru).
Pendant que vous réalisez le Tangka, vous lui donnez un but: soulager de la maladie, voir la guérir (qui peut le plus, peut le moins).

Et lorsque votre Tangka est terminé, vous pouvez l’utiliser, le regarder, ou simplement l’imaginer. Ca ne devrait pas être trop compliqué de l’imaginer vu que vous en avez créé les moindres détails. Il devient alors votre support de méditation.

Et voilà, votre bouton « pause » est terminé et prêt à l’emploi.
Il vous à fait faire une pause à chaque fois que vous vous êtes attelé à sa réalisation et il continue encore après. Et oui, vous le connaissez par cœur, dans les moindres détails.
Vous pouvez même vous imaginer retraçant les traits de votre divinité si juste l’imaginer ne suffit pas à faire pause (et oui, le cerveau résiste parfois).

Pour les bouddhistes pratiquants la divinité dessinée, les visualisations sont beaucoup plus faciles. La divinité semble presque vivante. Pour les non bouddhistes, pas de soucis, les énergies de certaines divinités sont « universelles ».
Par exemple, Chenrezig (ou Avalokiteśvara) Bouddha de la compassion, dont le mantra associé est OM MANI PADME HUM est connu de tous. C’est de là que vient le OM si populaire.
Ce symbole et ce mantra sont utilisés par des milliers de personnes qui ne sont pas bouddhistes.
Ils sont dans ce cas le symbole d’un espoir, d’un vœux d’un monde sans guerre ou d’un désir de paix intérieure.

C’est la même chose pour le Tangka que vous dessinez.

Il devient le symbole de ce dont vous aspirez.

Votre Tangka peut vous servir à chaque fois que vous en avez besoin, autant de fois que vous le voulez.
Vous pouvez l’encadrer, l’afficher pour le voir et le revoir.
Vous pouvez en faire plusieurs: plusieurs divinités ou plusieurs fois le même avec des variantes.
Parce qu’au-delà de son but d’aider à méditer, un Tangka est un magnifique dessin.
Selon votre niveau en dessin, votre motivation ou votre patience, il sera plus ou moins détaillé. Mais dans tous les cas il sera très beau.
Et rien que ça, ça fait du bien aux yeux et donc à votre cerveau.

Par contre, si vous êtes débutant en dessin, je vous conseille de commencer par une tête de Boddhisatva ou de Bouddha pour vous familiariser avec la technique avant de vous lancer dans une divinité entière (également conseillé pour les enfants).
Et dans tous les cas, il faut suivre scrupuleusement les trames, les couleurs, et les objets de chaque divinité afin de respecter les canons des Tangkas traditionnels.

Si vous voulez faire un essai, suivez ce lien, et dites-moi vos impressions.

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

Source originale : http://ariaga.hautetfort.com/archive/2016/09/12/c-g-jung-citation-sur-l-ombre-5846910.html

citations,jung,philosophie,spiritualité,ariaga,psychologie des profondeurs

 » Vous allez sans doute secouer la tête avec incrédulité, si je me hasarde à remarquer que je n’aurais probablement guère été en mesure de formuler le concept d’ombre si l’existence de l’ombre n’avait été une expérience majeure de ma vie, faite non seulement sur les autres mais aussi sur moi-même. …

Mon ombre est, de fait, tellement grande qu’il m’était impossible de ne pas en tenir compte dans mon projet d’existence, et que je devais même la considérer comme une partie essentielle de ma personnalité, tirer de cette vérité reconnue les conséquences et en assumer la responsabilité. J’ai du reconnaître,

Ad
Ad
Ad