Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !
Source originale : http://www.forme-sante-ideale.com/5-etapes-faire-des-demandes-a-lunivers/
Faire des demandes à l’univers, est-ce infantile? Je me suis toujours demandé pourquoi certaines personnes qui ont fait des demandes à l’univers obtiennent une réponse alors que d’autres continuent de ramer dans la frustration. C’est un vrai casse tête: quel est donc cet ingrédient qui fait que l’univers entend une demande (et y répond) …
Source originale : http://youtu.be/-jBCKMWDBTU
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=-jBCKMWDBTU&w=640&h=360]
Source originale : http://www.vie-explosive.fr/comment-avoir-du-temps-libre
Des statistiques… Alarmantes. Un jeune sur cinq passe plus de temps devant un écran que sur les bancs d’école révèle une étude de l’Institut de la statistique du Québec. Durant leurs loisirs, ils passeraient en moyenne 23 heures par semaine devant un écran (ordinateur, télévision, jeux vidéo). Donc, plus de 3 heures par jour. Ils […]
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Source originale : http://www.forme-sante-ideale.com/5-etapes-faire-des-demandes-a-lunivers/
Faire des demandes à l’univers, est-ce infantile? Je me suis toujours demandé pourquoi certaines personnes qui ont fait des demandes à l’univers obtiennent une réponse alors que d’autres continuent de ramer dans la frustration. C’est un vrai casse tête: quel est donc cet ingrédient qui fait que l’univers entend une demande (et y répond) …
Source originale : http://www.forme-sante-ideale.com/5-etapes-faire-des-demandes-a-lunivers/
Faire des demandes à l’univers, est-ce infantile? Je me suis toujours demandé pourquoi certaines personnes qui ont fait des demandes à l’univers obtiennent une réponse alors que d’autres continuent de ramer dans la frustration. C’est un vrai casse tête: quel est donc cet ingrédient qui fait que l’univers entend une demande (et y répond) …
Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/comment-se-guerir-de-la-culpabilite/
La culpabilité est un sentiment difficile qui cause beaucoup de souffrances inutiles. C’est le sentiment qui suit un acte perçu comme répréhensible : « J’ai fait quelque chose de mal, je suis une mauvaise personne ».
Comment se guérir de la culpabilité ?
Dans la guérison de la culpabilité, il est important de se rappeler que nous sommes ici pour apprendre. L’apprentissage est fait d’essais et d’erreurs. Parfois, nous faisons des erreurs, nous faisons des choses que nous n’allons plus répéter donc nous apprenons. Si toutefois, dans le processus d’apprentissage, nous sommes infectés par la culpabilité (nous nous sentons alors mauvais, comme si nous étions une mauvaise personne) alors l’expérience d’apprentissage se transforme en un drame interne.
L’apprentissage est une partie essentielle de notre évolution et les erreurs sont d’excellents tremplins seulement si elles sont utilisées en tant que tel. Notre culture nous a appris que faire des erreurs est mauvais, mais ce n’est pas vrai. Les erreurs sont la norme dans les essais et les erreurs d’apprentissage. L’apprentissage est déjà assez difficile sans être puni encore par-dessus pour des erreurs qui font partie du processus nécessaire.
Le résultat de la punition est un jugement négatif sur soi qui est la culpabilité. La culpabilité érode le sens de soi et la dépression est souvent la conséquence d’un sentiment de culpabilité qui ne peut pas se déplacer et donc reste bloqué. La culpabilité est maintenue en place par des jugements. Relâchez les jugements, les étiquettes que vous avez sur vous-même et la culpabilité s’en ira d’elle-même. Et comme les jugements sont des décisions, ils sont faciles à changer. Le secret est tout simplement de décider à nouveau de faire différemment. Reprenez votre jugement initial et changez votre esprit !
Quoi que ce soit qui vous a fait vous juger contre vous-même, sachez que vous avez le libre arbitre et tous les choix que vous faites sont valides. Relâchez donc chaque jugement négatif jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Oui, vous avez le droit à l’erreur d’autant que c’est la seule façon de vous améliorer et de grandir ! C’est tout ce qu’il y a à faire ! Lorsque les jugements sont libérés, vous êtes libre à nouveau de décider comment vous allez vous sentir et comment vous allez agir dans ce genre de situation. Vous êtes libre de faire des erreurs pour apprendre et évoluer. Lorsqu’une personne veut vous culpabiliser, vous ne la prenez plus au sérieux comme avant.
On projette ce qui est en nous !
Relâcher aussi les jugements contre les autres est tout aussi libérateur que de les libérer sur nous-mêmes. Il suffit de dire, «Je libère le jugement que (nom de la personne) est mauvais parce qu’ils… » et « Je libère le jugement que… est mauvais ou faux. ». Quoi qu’il en soit, c’est à nous qu’il revient de libérer les jugements qui sont au fond de nous !
La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez vous retrouver très agréablement surpris par les changements profonds qui se produisent lorsque les jugements sont libérés. Le jugement est une construction artificielle de notre mental pour simplifier les choses mais qui est bien loin de la complexité de la réalité. Bien que ces constructions mentales aient une influence très puissante sur nos émotions, elles sont aussi faciles à libérer en formant l’intention d’être attentif pour voir au-delà des pensées.
Les effets de la libération de la tyrannie de nos jugements sur nous-mêmes sont souvent subtils au début, mais toujours cumulatifs avec le temps. Après une certaine pratique, cela va devenir de plus en plus naturel et vous pourrez vivre plus paisiblement au quotidien pour pouvoir vous tromper et grandir en conscience alors profitez de ce cadeau dès maintenant !
« La culpabilité est la pire chose que l’on puisse cultiver dans sa vie. »
Source originale : http://youtu.be/FDoUHWFe_P8
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=FDoUHWFe_P8&w=640&h=360]
Source originale : http://www.changerdemetier.org/sananas2106-%E2%9D%A4-draw-my-life
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=EOH6vd6TrIY&version=3&f=videos&app=youtube_gdata&showsearch=0&rel=0]
Quelques grandes lignes de ma vie en dessin; je pense que c’est la video la plus difficile à réaliser mais j’avais vraiment envie de vous remercier avec une video particulière … j’espère…
Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/pensees_positives/~3/yaEnUQMkZ6w/meditation-guidee-pour-se-reconnecter.html
Je vous propose une nouvelle méditation guidée de Ginkgo Ateliers.
Le thème de cette méditation guidée est « Surfer sur la vague des envies ».
Cette méditation nous permet de reprendre conscience de notre corps et de notre rapport au monde.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=AIM82-0fxR0]
Je vous invite aussi à tester l’efficacité des enregistrements de méditations guidées Mental Waves. Pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessous :
Merci de partager cet article sur Facebook en cliquant sur le bouton « J’aime » ci-dessous. Si, vous aussi, vous l’avez trouvé sympa, bien sûr ! Merci d’avance :
Source originale : http://youtu.be/SSDaDPpveCY
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=SSDaDPpveCY&w=640&h=360]
Source originale : http://marctraverson.com/litterature/les-lieux-dannie-ernaux/
C’est un petit livre qui se lit d’une traite et, pour celles et ceux qui ne la connaissent pas, il pourra être une manière d’entrer dans l’univers si particulier d’Annie Ernaux et de découvrir sa démarche. Le vrai lieu (Gallimard, 109 p) est la retranscription des entretiens qu’elle a donné à Michelle Porte pour le tournage d’un documentaire sur sa vie et son écriture. Elle y parle des lieux de son existence. Son lieu d’adoption, Cergy, son enfance dans une famille modeste d’Yvetot, en Normandie (ses parents tiennent un bar-tabac épicerie), puis la manière dont la jeune fille qu’elle est, contre son milieu d’origine, choisit de poursuivre des études de lettres et de se lancer dans l’écriture. L’écriture qui est, dit-elle, son « vrai lieu ».
Annie Ernaux est une « transfuge de classe », elle vient d’un milieu ouvrier, de ce qu’elle appelle le « monde dominé ». Cette trajectoire est au coeur de toute son oeuvre. Elle raconte comment le fait de s’approprier les codes culturels d’une classe sociale cultivée produit un arrachement vis-à-vis de sa famille, crée un fossé avec ses origines que l’on aura en quelque sorte reniées – non par un quelconque mépris, mais simplement parce que la langue que l’on parle désormais, les sujets d’intérêt, les milieux que l’on fréquente, éloignent irrémédiablement.
La langue d’Annie Ernaux est d’une précision et d’une netteté qui touchent, elle atteint une simplicité, j’allais dire une honnêteté, qui font de sa lecture un plaisir continu. Elle a, en somme, un style. Je la cite : « C’est quoi, le style ? C’est un accord entre sa voix à soi la plus profonde, indicible, et la langue, les ressources de la langue. C’est réussir à introduire dans la langue cette voix, faite de son enfance, de son histoire. »
Introspective, elle l’est, au plus haut point. Mais ce n’est jamais gratuit. Elle ne cesse de relier, avec une grande intelligence, les faits de sa vie, ce qu’elle observe dans sa famille, dans son intimité, et le social, l’environnement, l’époque. Nourrie de sociologie et de psychanalyse, elle s’en échappe pour viser une connaissance qui passe par l’émotion, la subjectivité, et se transmet par le récit. Ceci fait de son oeuvre un témoignage d’une grande force, en particulier sur la condition féminine.
Il y a de belles pages sur sa mère dans ce livre. Une femme violente, que sa fille craignait sans cesse de provoquer, mais qui en même temps avait un extrême révérence pour les livres et offrit à Annie Ernaux une éducation atypique, et le droit de lire partout, tout le temps, et tout ce qu’elle voulait. Les livres, la clé. A travers ses lectures, elle découvrit d’autres univers, et put s’échapper du cadre étroit de son lieu de vie, la salle commune du café familial, pour rêver d’autres horizons.
Le coeur de son propos, dans ces entretiens, c’est l’écriture elle-même, le travail de l’écrivain, son domaine de mots. Annie Ernaux parle « travail ». Le rapport au livre en train de se faire, l’alchimie entre le vécu, les émotions. La recherche d’une forme. Annie Ernaux sait être une mémorialiste « sèche », dans sa manière de rapporter d’une manière apparemment neutre les faits intimes, l’enfance, les relations dans la famille. Elle décrit sans pathos, avec un oeil exceptionnel. Les choses, les lieux, prennent vie sous sa plume. « Ecrire, dit-elle, ce n’est pas laisser sa trace en tant que nom, en tant que personne. C’est laisser la trace d’un regard, d’un regard sur le monde. »
Sans doute, on peut lire ce livre pour découvrir un écrivain, visiter les coulisses de son travail. Et, si le charme opère, il donnera l’envie de poursuivre, et de lire ou relire l’oeuvre de cette « femme debout ».
Source originale : http://www.lecommercialequitable.com/comment-avoir-acces-aux-offres-demploi-cachees/
Bernard Martinez, expert Webmarketing et Personal Branding, va nous expliquer comment avoir accès à ce fameux marché des offres d’emploi dites « cachées ». La meilleure des manières d’avoir accès à ce type d’offre est de travailler son réseau professionnel. Par rapport à votre projet professionnel, sur le terrain, aller rencontrer des personnes qui travaillent dans vos […]