5 conseils d’un arbre :
1. Se tenir DROIT et FIER
2. Bien EPANOUIR ses branches
3. Se souvenir de ses RACINES
4. Célébrer sa BEAUTE naturelle
5. PROFITER de la vue
5 conseils d’un arbre :
1. Se tenir DROIT et FIER
2. Bien EPANOUIR ses branches
3. Se souvenir de ses RACINES
4. Célébrer sa BEAUTE naturelle
5. PROFITER de la vue
Le neurologue Rick Hanson et le docteur Richard Mendius nous prouvent, à l’aide des dernières découvertes en neurosciences et en psychologie, que le cerveau surdéveloppé de Bouddha est désormais à la portée de tous grâce à un simple entraînement. Agir sur notre cerveau pour atteindre la pleine conscience et la sagesse, éviter le déclin de notre esprit et changer de vie, c’est possible.
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On les trouvait en pleine discussion sur la vie, les amis, la sagesse, l’amour et beaucoup d’autres concepts de vie. Il y a des leçons importantes à apprendre de ce duo de comics. J’étais personnellement attiré par le côté « décontracté » de l’histoire et je sais que certains aspects philosophiques resteront gravés dans ma mémoire pour le restant de mes jours. Voici 10 belles leçons de vie de Calvin et Hobbes.
Nous devons toujours être ouverts aux opportunités. J’ai connu des gens qui étaient tellement sous le poids des responsabilités de la vie moderne qu’ils oubliaient d’avoir une vision plus large. Dolly Parton dit « Ne soyez pas occupé au point de gagner votre vie au lieu de la vivre. » Dans cette course folle, nous succombons lentement à la monotonie.
Il est vrai que les meilleures choses dans la vie sont gratuites et que pour les trouver, on doit continuer à explorer. Vous ne savez jamais ce qui vous réjouirait intensément – une fleur, un inconnu de passage, le refrain particulier d’une chanson. Vous serez surpris et ce n’est pas mal de se surprendre de temps en temps au lieu de stagner dans la routine. Outrepassez vos limites et comme Calvin a dit: « C’est un monde magique Hobbes, mon vieil ami, ALLONS L’EXPLORER ! »
La vie est une aventure et pendant celle-ci nous croisons quelques personnes qui nous apprennent beaucoup, qui nous donnent de la force quand nous sommes au désespoir, qui nous aident à combattre nos peurs et qui nous offrent une joie intense. Nous choisissons d’appeler ces gens nos vrais amis. Aristote dit: « Un vrai ami est une âme dans un seul corps. » Les amis enrichissent votre âme, soyez toujours reconnaissants d’en avoir, car sans eux, vous auriez été perdu quelque part.
Calvin et Hobbes partageaient une belle amitié et ils disaient: « Les bons vrais amis sont durs à trouver, difficiles à perdre et impossibles à oublier. » Essayez toujours de passer un peu de temps avec vos amis car sans eux la vie serait terne.
Dans ce concept particulier, Calvin et Hobbes discutent à propos de la source conditionnelle et inconditionnelle du bonheur. Nous ne pouvons pas nier que nous vivons dans un monde matérialiste et que la plupart d’entre nous sont formés à mesurer leur bonheur par rapport à la richesse qu’ils possèdent. En fait, cette mentalité a conduit droit vers un capitalisme destructif où l’avarice dirige les pensées. Mais les personnes en quête de bonheur savent que le bonheur matérialiste est éphémère. La vraie source du bonheur vient de l’intérieur et rien dans le monde extérieur ne pourra le changer. Soucieux par rapport au matérialisme des gens, Calvin et Hobbes espèrent qu’un jour les gens comprendront la valeur d’une beauté intacte, de la faune, de la solitude et du renouveau spirituel, qui sont hors de prix.
Dans la vie, nous ferons face à des situations ou des gens qui nous brisent de l’intérieur. La plupart d’entre nous trouvent difficile de pardonner ou de se remettre d’une situation, mais se morfondre dans le passé ne sera pas plus productif comme cela intensifiera le dommage tous les jours. Dans ce concept, Calvin dit: « Aimez le pécheur, détestez le pêché. » Ceci implique que nous devons être capables de différencier le pêcheur et le pêché. Si vous regardez la personne qui vous a fait du mal avec de l’amour, vous pourrez ou non trouver la raison derrière leur comportement blessant, mais vous serez en paix.
Ce concept nous décrit la sagesse de l’incertitude. Nous nous sentons à l’aise en suivant un chemin très pratiqué qui nous mène à la réussite, mais ce qui marchait hier pourrait ne pas le faire aujourd’hui.
Ici Calvin veut dire que nous devons arrêter de voir le présent avec des verres historiques. La vie n’a pas d’ordre ni de direction. On serait plus heureux à vivre le présent.
La vie est trop importante pour être prise au sérieux. Etre sérieux ne nous emmène nulle part sauf à un déni de la réalité.
Vivez le moment, profitez des petites choses de la vie comme un enfant, ne vous faites pas piéger dans la toile des pensées et de sentiments, et n’oubliez pas qu’un peu d’humour peut mener loin !
On ne peut profiter du présent pour deux raisons : s’inquiéter pour le futur et s’accrocher au passé. Le présent est tout ce qu’on a, et si vous ne vivez pas dans le présent vous vivez dans une illusion.
Si vous vivez dans le passé, vous ne pouvez pas le changer, il est parti. Si vous vous inquiétez par rapport au futur, vous vivez dans un endroit qui n’existe pas. La seule façon de changer votre vie consiste à profiter du présent.
« Le changement est un requin dans l’océan. Le changement ne s’arrête jamais, ne dort jamais: il doit toujours être en mouvement. La bonne nouvelle c’est que si vous détestez l’ordre des choses, elles changeront. La mauvaise nouvelle c’est que si vous n’aimez pas l’ordre des choses, elles changeront certainement aussi. La seule chose inévitable dans la vie est le changement et non la mort. Le changement est là pour rester ! »
Le changement est là pour rester et le changement est ce qui rend la vie belle. Vous profitez du soleil après des mois de jours pluvieux, vous profitez de la pluie après la plupart des ensoleillements. Une des plus ironiques et pourtant poignantes réalités de la vie, c’est que nous ne profiterions pas du soleil s’il n’y avait pas de pluie et vice versa. Le changement est, pour nous, une façon d’évoluer et de profiter de la vie.
Quand nous n’avons plus d’échappatoire et que nous sommes acculés, le bonheur est un choix. Il dépend de nous. Nous avons tous la capacité d’alimenter notre propre bonheur. Le bonheur n’est pas une proposition de si/quand -« Je serai heureux si… » ou « Je serai heureux quand »- c’est une volonté pas une admonestation. Comme le découvre Calvin, « Il est difficile de se disputer avec quelqu’un qui a l’air si heureux. »
Donc,
Si vous n’arrivez pas à contrôler votre beurre de cacahuète, n’espérez pas contrôler votre vie !
Dans son livre « Les cinq plus grands regrets des mourants », Bronnie Ware nous présente les cinq plus grands regrets suivants :
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« C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun. Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont faits, ou pas. La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus ».
« Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés. Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme. Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été « soutien de famille ». Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler ».
« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être. Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients ».
« Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver. Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses. Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir ».
« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun. Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendu compte que le bonheur peut-être un choix. Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes. Le soi-disant « confort » dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, tétanisés dans leurs vies par la peur du changement ».
Site de Bronnie Ware : http://bronnieware.com (en anglais)
Son livre : http://4heros.fr/livre-5regrets (en français)
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