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Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/est-ce-que-vous-meditez-vraiment/

Si vous lisez des livres sur la méditation, la spiritualité, le bonheur, le développement personnel, etc. alors vous avez dû lire de nombreuses fois que la clé du bonheur se trouve à l’intérieur de soi et non dans les conditions extérieures.

Pourtant malgré que cela semble évident, je reçois régulièrement ce genre de message :

message-lectrice

Qu’est-ce qui cloche ici avec cette lectrice ?

Je ne sais pas si cette personne à creuser en profondeur ce qu’est la méditation mais si c’est le cas il y plusieurs choses essentielles qui lui ont échappé !

Erreur principale :

La méditation n’est pas un outil pour apprendre à faire avec ce qui ne nous plaît pas. Ce n’est pas non plus un outil de gestion du stress, c’est bien plus que cela ! Si vous voulez seulement être détendue, prenez un verre d’alcool et cela fera tout autant l’affaire.


Mais alors qu’est-ce que c’est ?

Quand vous méditez authentiquement, vous allez dans les profondeurs de votre être, c’est-à-dire à l’origine même où se forment les conflits que vous projetez à l’extérieur.

Il n’y a pas deux personnes qui dans les mêmes circonstances réagissent de la même façon. La raison à cela est très simple, c’est que nous projetons à l’extérieur ce qui est déjà en nous.

Je peux le voir semaine après semaine avec la chambre que nous louons sur Airbnb avec Yoko. Elle accueille chaque personne de la même façon, certains sont ravis et très contents, d’autres moins. Ce n’est pas que Yoko fasse mieux ou moins bien les choses selon les personnes, c’est que chacun trouve à l’extérieur ce qui est déjà en lui.

Tant que vous ne voyez pas que ce que vous projetez à l’extérieur est le simple reflet de ce qui est en vous, vous êtes mal barré.

Plus vous essayez de travailler sur le monde extérieur, plus longtemps vous perpétuez ce que vous ne voulez pas. Même si vous arrivez à réparer apparemment certains aspects de la réalité qui vous entoure, un autre aspect va rapidement lâcher. Ou alors vous allez forcer et retomber, encore et encore.

La raison pour laquelle cela ne fonctionne pas est qu’il n’y a pas de monde extérieur car tout ce que vous savez du monde extérieur se trouve dans votre tête, ou dans votre conscience. C’est là que vous avez tous vos souvenirs, toutes vos connaissances, et toute votre expérience. C’est là que se trouvent vos sentiments.

Pensez à votre expérience de la réalité de façon aussi objective que possible. Où sont gérées toutes vos observations ? Où sont traitées toutes les images 3D que vous percevez ? Où sont interprétés les sons que vous entendez ? Où sont ressentis vos expériences et vos sentiments ? Tout cela arrive dans votre esprit et dans votre corps.

Où est « cette société moderne dissolue exacerbée provocante méchante » décrite par cette lectrice dans son message au début de l’article ? Évidemment elle est uniquement dans son esprit (ou son cerveau si vous préférez).

Où sont toutes les expériences frustrantes, négatives ? Est-ce qu’elles existent vraiment « là dehors » ? Si c’est le cas, alors montrez-les. Si vous ne pouvez pas les pointer du doigt ou les identifier dans l’espace qui vous entoure, alors elles n’existent que dans vos souvenirs et dans vos projections mentales, ce qui se trouve entièrement dans votre esprit. Et si vous croyez que vous pouvez les pointer physiquement dès maintenant, alors qu’est-ce que vous pointez ? Vous vous voyez gesticuler vers une construction visuelle qui est une simple stimulation mentale, ce qui reste de la réalité extérieure.

Une fois que vous réalisez qu’il n’y a pas de frustration là-dehors, pas de « société moderne dissolue exacerbée provocante méchante » dans le cas de cette lectrice – et qu’il n’y a pas non plus d’expériences frustrantes dans le monde extérieur – vous êtes bien plus proche de vous débarrasser de toute forme de frustration ou d’exaspération. Si ces expériences sont intérieures, ce qu’elles sont en réalité, alors vous avez la capacité de vous débarrasser de cette frustration sans avoir besoin de changer tout ce qui est en-dehors de vous.

Ce que vous avez besoin avant tout, c’est de plonger au plus profond de vous pour voir comment se manifeste la réalité que vous projetez à l’extérieur et c’est exactement cela le véritable sens de la méditation. Ce n’est pas un simple ronronnement en surface, c’est plus plus profond que cela !

Concrètement cela se traduit par le réflexe suivant :

Quand je suis agacé et frustré, au lieu de mettre de l’huile sur le feu (ce que fait 99% des personnes dont vous pouvez voir en même temps le résultat que cela apporte), je me tourne vers l’intérieur pour reconnaître que cette personne ou cette situation a réveillé de la douleur, de la frustration qui était enfouie au fond de moi et je l’accepte. Tout cela remonte à la surface pour être libéré. Cela va se répéter encore et encore tant que vous n’aurez pas compris la leçon. Et la vie a tout son temps, cela prendra le temps qu’il faudra alors autant l’accepter au plus vite !

Le lâcher-prise vient naturellement quand on se laisse porter par la vie au lieu de se battre avec elle. Si vous souhaitez que je vous accompagne sur ce chemin au sein de mon programme de méditation, cliquez sur l’image en dessous afin de rejoindre les autres membres. Voici au passage le retour d’un des membres que j’ai eu le plaisir de découvrir samedi :

temoignage-jp

Au plaisir d’accueillir ceux qui le souhaitent au sein du programme et à très vite pour d’autres articles en prenant soin de vous (surtout quand la vie vous offre l’opportunité d’évoluer en mettant sous votre nez des choses que vous préféreriez éviter !). À très vite !

Club "je médite pour être heureux"

Source originale : http://www.momentpresent.com/2014/12/04/je-veux-apprendre-de-toi/

Je veux apprendre de toi.

Je me croyais bien futé.

Je croyais savoir ce qu’était l’amour.

Je connaissais celui pour mes enfants. Cet amour que l’on dit inconditionnel. Celui qui fait que j’ai mal quand ils ont mal. Celui qui fait que je devine même quand ils sont loin de moi. Celui qui fait que je pressens, que je connais l’émotion derrière les mots.  Celui qui fait que je sais, même sans rien dire. Cet amour qui est plus fort que tout, qui dépasse les bêtises, les crises de colère, les séances de « boudage », et parfois les mots forts qui font mal pour un instant. Cet amour qui tissent des liens inexplicable et extraordinaire qui nous lie les uns aux autres avec une force insoupçonnable et parfois même inconsciente.

Je savais donner de cet amour inconditionnel. Donner sans me questionner, un geste naturel et spontané.

Les enfants prennent et c’est parfait ainsi. Ils ne questionnent pas à savoir si c’est le temps de prendre ou pas, s’ils peuvent prendre ou pas.

Ils savent par instinct que c’est une source inépuisable. Que ce sera toujours disponible. Tel une rivière qui coule, ils connaissent la source et s’y rendent chaque fois qu’ils ont soif. Ils font le plein et repartent jusqu’à la prochaine fois.

Je sais donner. Je donne sans questionnement à mes enfants, à mes amis, à ma famille, à mon amoureux. Je donne à qui en a de besoin, même parfois à ceux qui ne demande rien.

Je te donnais sans calculer, à toi mon amour, mon amour, mon temps, mes gestes, mes caresses, mes pensées, mon amitié, mes baisers, mon écoute, mon attention, mes rêves, mes idées les plus folles!

Je te donnais sans attendre en retour.

Je croyais que c’étais ça l’amour.

Et aussi je t’observais, parfois je te critiquais et parfois je te jugeais. Sans méchanceté bien sure, simplement pour que tu sois comme moi, que nous soyons ensemble dans la plus grande ressemblance. Que nos projets soient commun, que nous soyons plus qu’un. Et plus je voulais que nous soyons un, et plus nous étions deux.

Je fais tout rapidement et intensément, toi tu prends ton temps, le temps.

Je veux et rêve de mille projets. Et toi, tu le vis maintenant et un à la fois.

Sans cesse je m’efforçait à ne vouloir qu’être un, une même unité, à l’unisson. Et plus je m’efforçait, et plus nous étions deux.

Un jour j’ai réalisé que tu savais.

En m’acceptant tel que je suis, en me prenant comme je suis et en prenant par le fait même l’amour que j’avais à t’offrir, tel qu’il est. Sans plus, sans moins. J’ai compris que l’amour, dans les relations amoureuses, est dans l’acception de l’autre tel qu’il est. Quand je n’accepte pas qui tu es, je n’accepte pas l’amour que tu as pour moi.

Je savais ce qu’était l’amour. Je ne savais pas recevoir l’amour. Pas même le mien.

Je croyais qu’il s’agissait de donner et que le tour était joué.

Mais en réalité c’était plus compliqué…pour moi.

Car, recevoir, je ne savais pas.

Je veux apprendre de toi, avec toi et pour toi.

Je veux apprendre l’art de recevoir et d’accepter, simplement par amour.

Moins je cherche notre ressemblance et plus elle est évidente.

Moins je m’efforce à vouloir que nous soyons un et plus tu entre en moi de façon naturel et spontané. Plus nous sommes simplement amour en donnant et en recevant et plus nous formons qu’un. Un seul et même grand amour, un partage et un échange sans attente. Sans plus, sans moins. Rien que tel quel.

N’est ce pas cela l’infini? Un partage mutuel qui offre ce qu’il y a de plus beau, simplement pour ce qui est.

Leonardo DaVinci a dit: « La simplicité est la sophistication suprême »

Maintenant je comprends tout le sens de cette citation dans l’amour, grâce à toi.

Source originale : http://www.plateforme-bienetre.fr/incarner-la-grandeur-grand-reves/

Soyez plus grand que vos rêves ! Quels sont vos rêves, vos désirs, vos objectifs ? A quel point votre vie pourrait être sublimer si vous donniez toute votre énergie à vos rêves aujourd’hui ? Vos rêves sont sacrés et vous n’avez pas le droit de les refouler ! C’est comme vous donner un don […]

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Source originale : http://www.momentpresent.com/2014/12/25/portrait-dune-femme-inspirante-qui-fait-des-portraits-de-gens-inspirants-josee-durocher/

Portrait d’une femme inspirante qui fait des portraits de gens inspirants!

Mandela a dit : « C’est en faisant scintiller notre lumière que nous donnons aux autres la possibilité d’en faire autant» et bien Josée a décidé de faire le contraire, elle met en lumière les autres et elle brille ainsi de sa lumière.

 

J’ai eu le plaisir de faire cette entrevue avec une femme au grand cœur, rempli de générosité. C’est sa grande sensibilité qui m’a sautée aux yeux. Pas étonnant que Josée ait comme mission de contribuer aux autres, de toucher le cœur d’au moins 1 personne.

Et bien, Josée, mission accomplie, tu as touché le mien !

 

Josée croit que l’être humain remarque plus facilement les défauts d’autrui, elle a donc décidé d’aller à contre-courant et de voir ce qu’il y avait de beau en l’être humain.

Et elle le fait avec brio ! Dans chacun de ces portraits, Josée met en valeur les beautés de chaque personne qu’elle passe en entrevue afin de donner l’espoir aux gens.

Il est primordial pour cette femme hypersensible de transmettre le message important que chacun porte dans son cœur. C’est sa façon de redonner. Elle qui dit avoir beaucoup reçu malgré le fait qu’elle n’a pas toujours eu la vie facile. Cependant comme elle le dit si bien : « J’en ai bavé, mais je ne suis pas restée dans l’ombre. » Heureusement pour tous.

 

Femme de cœur qui s’est trop longtemps définie comme étant une mère malade atteinte de bipolarité, elle aborde un tout autre discours aujourd’hui. Elle dit d’une merveilleuse façon ne pas être la maladie et n’a plus peur d’en parler. Bien au contraire, Josée sait maintenant utiliser les bons côtés de sa maladie et la mettre à profit au service de sa créativité. Elle est devenue une femme belle et épanouie, sensible aux autres et remplie de courage. Lors de ces vieux jours, Josée pourra être fière d’avoir participé à la co-création d’un monde meilleur. L’univers de Josée en trois mots, rayonnante-beauté-lumière.

 

Si un jour vous croisez une femme au coin d’une rue et que vous entendez ces paroles sortir de son porte-voix: «Il est OK de croire ou de ne pas croire en Dieu, l’univers ou la vie, l’important c’est de croire en l’humanité ! » et bien, c’est Josée.