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Source originale : http://www.jesuissucces.com/blogue/2010/03/29/changer-sans-destabiliser-sa-vie/

Photo : Kerala

Ça vous arrive de vous demander comment vous pourriez apporter des changements à votre vie sans la changer?

À un certain moment dans votre vie, vous serez inévitablement inspiré à essayer autre chose. Vous aurez envie de mettre en marche un nouveau projet. Vous aurez envie de vous fixer de nouveaux objectifs. Le problème est que vous avez déjà une vie bien remplie:  une carrière, une famille, des amis, des projets. Donc, ceci vous laisse très peu de temps à investir ailleurs.

Vous n’avez pas envie d’abandonner votre carrière et de perturber votre vie pour quelque chose qui pourrait vous intéresser. Qu’est-ce qui vous garantit que vous réussirez? Qu’est-ce qui vous garantit que vous serez passionné de ce nouveau projet?

C’est pour ces mêmes raisons que la plupart des gens n’essayent rien de nouveau dans leur vie.

Les besoins de l’être humain

En tant qu’être humain, vous avez plusieurs besoins fondamentaux à combler: le besoin de sécurité, d’être aimé et de se sentir apprécié.

Un autre besoin tout aussi important est celui de la certitude (la stabilité). Nous avons tendance à nous plaindre lorsque la routine s’installe dans notre vie, mais il faut réaliser que c’est nous-mêmes qui avons organisé cette dernière de cette façon. Nous cherchons constamment à aligner notre vie avec nos besoins et nos valeurs. Nous cherchons tous un minimum de stabilité dans notre vie, donc sans nous en rendre compte, nous la transformons en routine pour que sa gestion soit plus simple.

Ensuite, lorsque notre vie est à l’ordre, et que nous avons la sécurité, et que nous pouvons subvenir à nos besoins fondamentaux, et que nous avons le respect des autres, et que nous nous sentons bénéfiques pour notre famille et notre communauté, c’est que nous avons atteint un certain niveau de confort dans notre vie. Nous avons comblé notre besoin de certitude.

C’est à ce moment précis où nous aurons envie de faire quelque chose de nouveau.

Lorsque tout va relativement bien dans sa vie, l’être humain cherche à grandir et se développer.

C’est dans la nature de l’humain de vouloir relever des défis. Sans les épreuves, l’humain est malheureux.

Lorsque l’être humain aura réalisé ses besoins fondamentaux, il aura besoin de grandir. Il désirera devenir plus et trouver autre chose pour combler ce nouveau besoin humain.

Votre maison sur un bateau

Lorsque nous ressentons le besoin de grandir (se développer), c’est que le reste de notre vie va bien. Nous sommes à un point dans notre vie où nous voulons avancer sans perdre notre stabilité.

Alors, pourquoi risquer de changer la carrière que vous avez choisie initialement pour trouver autre chose que vous risquez de ne pas aimer?

Imaginez-vous que votre vie est un bateau. Votre maison est construite sur ce bateau. Vous avez passé les vingt premières années de votre vie à construire cette maison. Vous en êtes fier, mais après un certain temps, vous avez envie d’une maison plus grande. Vous rêvez de construire un deuxième étage sur votre maison. Vous êtes inspiré par l’architecture de certains bateaux que vous croisez. Par contre, vous êtes conscient de l’ampleur du projet et des risques qui s’y attachent. Lorsqu’il y aura un deuxième étage sur votre maison, votre bateau sera plus lourd et plus haut. Il y aura plus de risque que le vent chavire votre bateau. Et si votre bateau chavire, vous risquerez de perdre votre maison et vos biens.

Alors, que faire?

Vous avez deux options.

Option 1 : Ne rien faire. Si vous ne faites rien, votre vie continuera. Par contre, vous ne réaliserez jamais votre rêve d’avoir votre grande maison.

Option 2 : Démarrer votre projet. En démarrant votre projet, vous aurez toutes les réponses à vos questions. Vous comblerez votre besoin de grandir. Vous travaillerez fort, vous persisterez et vous aurez envie d’abandonner. Mais au bout du compte, vous aurez grandi spirituellement et émotionnellement, car vous réussirez à atteindre votre objectif.

La vérité est que nous avons tous un peu peur de perdre notre stabilité et notre équilibre en risquant quelque chose de nouveau.

Alors, quelle est la solution pour intégrer une nouvelle passion à sa vie?

L’intégration à temps partiel

Vous aimeriez écrire un livre, apprendre à voler un avion, vous développer dans un nouveau domaine, alors pourquoi ne pas commencer par le faire à temps partiel? Le temps partiel est selon moi une excellente approche pour réorienter sa vie, sa carrière et ses projets personnels.

Dans votre vie, vous avez besoins de dormir, manger, socialiser, travailler, voyager. Il ne vous reste donc que très peu de temps pour vous.

Cependant, avec un peu de patience, de détermination et de discipline, vous pouvez accomplir beaucoup de choses, même à temps partiel.

Je pense entre autres à Joe Vitale qui a écrit son premier livre sur ses heures du dîner au travail. Je pense aussi à Albert Einstein qui s’empressait de terminer ses tâches au travail (à l’office des brevets) pour continuer ses recherches sur ses théories de la relativité.

Lorsque nous avons beaucoup d’objectifs dans notre vie, notre plus grand obstacle est toujours le même: le temps. Plus vous êtes un passionné de la vie, plus vous aurez à faire des choix difficiles.

Le temps est l’unité monétaire qui a le plus de valeur. Sachez comment la gérer pour en tirer un maximum de profit.

Bonne journée

Christian

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/DesLivresPourChangerDeVie/~3/vmQmEkwl2zk/

Voici des nouvelles de mon livre « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études », directement tirées de Facebook 🙂 Et cliquez sur « j’aime » ci-dessous pour rejoindre la communauté des blogueurs intelligents et recevoir les autres news en direct ! 🙂 Recherches utilisées pour trouver cet article :biographie de lLOYD CONANT

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/DesLivresPourChangerDeVie/~3/ibKECOzs1MQ/

Une fois que vous avez vu la vidéo cliquez ici pour rejoindre gratuitement des milliers d’entrepreneurs passionés de développement personnel en vous abonnant à la chaîne Youtube ! Acheter « La prodigieuse machine à vendre » sur Amazon : Acheter « La semaine de 4 heures » sur Amazon : Acheter « Comment se faire des amis » sur Amazon : […]

Source originale : http://apprendresursoi-et-avancer.com/yoga-et-personnalite-sagesse/

Le sixième centre : Ajna

Ce sixième et dernier centre que l’on verra ici, certains le situent au niveau du front entre les deux sourcils, d’autres au centre du cerveau. Son nom en sanskrit, veut dire: maîtrise, connaissance.

Pour ce chakra, voici les principales qualités relevées par le Dr Vivekananda.

Qualités de base
Esprit, intuition, sagesse, habilité psychique.

Niveau physique concerné 
Le système nerveux central en général, la vue et la perspicacité en particulier. La glande endocrine est la glande pinéale, qui sécrète la mélatonine – l’hormone de la « paix de l’esprit » – et la pinoline – l’hormone de « l’ouverture de la conscience » .

Vitalité
Point de jonction entre les trois grands canaux d’énergie qui courent le long de la colonne vertébrale (ida, pingala et sushumna)

Identification (I-ness)
La personne qui s’identifie à ce chakra est souvent un penseur sans émotion.

Perception
Peut être à tous les niveaux, incluant la perception extra sensorielle comme, percevoir des pensées, la clairvoyance, savoir à l’avance, etc…

Conscience instinctive
Niveau de pensée ordinaire.

Conscience intellectuelle
Intelligence élevée.

Conscience élevée
Intuition, sagesse.

Actions
En général, elles suivent les pensées.

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Voilà pour les principales qualités relevées par le Dr Vivekananda, concernant les 6 principaux centres.

A la fin de ces descriptions, il rajoute encore quelques points d’attention à retenir :

1. Un des aspect de chaque système de chakra est le stockage des souvenirs des expériences passées. Chaque chakra va être concerné par les souvenirs des expériences associées aux différentes qualités de ce système. Par exemple des expériences passées en lien avec la sécurité personnelle sont dans le « stock » de souvenirs connectés directement au chakra Mouladara (le premier); celles en lien avec la sexualité, au système Swadhisthana (le deuxième), etc…

2. Si un système de chakra est activé, une réponse se manifestera à tous les niveaux de ce système : dans nos souvenirs, nos perceptions, nos façons de penser, nos émotions, et notre tendance à nous comporter de telle ou telle façon.

3. Comment sont activés les chakras ? Les activateurs les plus courants sont les événements extérieurs et les déclencheurs qui passent par le système sensoriel. Par exemple, une menace extérieure à sa propre sécurité ou l’assurance d’être en sécurité va activer le système du chakra Mouladara. Il arrive que ce stimulus soit inconscient ; une odeur, un son au loin, une perception à la limite de notre champ de vision sont des déclencheurs courants. Ou alors, on peut même aussi se l’imaginer avec les ruminations mentales du monologue intérieur – combien de personnes fantasment des peurs, des colères, des expériences sexuelles… ? Parfois, les émotions ou les sensations peuvent juste surgir de l’inconscient sans déclencheur particulier, et nous faire commencer à expérimenter d’autres expériences de ce système de chakra. Certains événements cosmiques comme les différentes phases de la lune peuvent aussi être des activateurs.

4. Parce que l’activation peut avoir lieu dans tous les composants du système, nos situations de vie vont se refléter dans notre bien-être physique, nos différentes sortes de vitalité, et à travers nos différents niveaux mentaux. On peut le voir spontanément quand un stress émotionnel au niveau de la sécurité engendre des désordres physiques associés avec le chakra Mouladara, comme la diarrhée ; ou des problèmes et des conflits sexuels peuvent causer des problèmes dans le bas du dos ou des troubles dans les organes sexuels. De la même façon, des menaces en lien avec la force ou le contrôle peuvent causer des problèmes au niveau du tube digestive, des blessures émotionnelles peuvent amener des problèmes au cœur, et des difficultés de communication peuvent engendrer des blocages au niveau du cou, des laryngites ou des problèmes de thyroïde.

5. En yoga il est possible de changer ça par les pratiques physiques ou autres, en faisant remonter les souvenirs inconscients liés aux problèmes et en les traitant par la méditation

6. Les principes des systèmes de chakra nous donnent une façon complètement nouvelle de voir les maladies, particulièrement les maladies psychosomatiques évidentes (ce qui est le cas la plupart du temps), et des directions claires dans l’évaluation des causes et le traitement des maladies. Cela montre où le yoga peut intervenir dans le processus de stress, et si possible avant que le stress ne cause des dommages aux tissus et aux organes.

7. A garder en mémoire toutefois qu’en général le yoga ne se spécialise pas dans l’activation d’un seul système de chakra. Le but est d’essayer d’équilibrer l’effet sur tous les chakras, en exécutant des pratiques pour un, puis un autre, et un autre, de façon à ce qu’à chaque séance de yoga tous les systèmes de chakras aient été activés. Ensuite, la méditation permet de voir ce qui ressort.

 

L’unité des systèmes

Gardez en mémoire que même si les systèmes sont divisés en groupes de chakras, ils sont inséparables; ils sont en constante intercommunication. Au niveau physique il y a une évidente communication à travers tout le corps, pas seulement à travers les nerfs et les hormones, mais aussi chaque partie du corps est continuellement en contact avec toutes les autres parties grâce à un système complexe de communication par les molécules peptidiques, comme les endorphines. Si un système de chakra a un problème, tous les autres vont le « savoir » et en seront influencés. De la même façon, si on peut éliminer un problème dans un circuit de chakra ou faire évoluer ses qualités associées, les bénéfices vont se diffuser à travers tous les autres.

Les yogis ne perçoivent pas ces choses comme des parties séparées, en fait ils voient tout le complexe corps/énergie/esprit de tous les circuits de chakras comme n’étant qu’un. Pour avoir l’essentiel de la compréhension yogique il est toujours nécessaire de penser en terme d’unité, dont chaque système de chakra n’est qu’une partie, et de l’unité des différents composants de chaque système. Alors les pratiques de yoga sont utilisées de façon holistique, en faisant participer tous les systèmes de chakra, et en travaillant sur chacun des composants de chaque système.

Vous avez aimé cette série d’articles sur le yoga ? Vous avez envie de réagir dessus ? J’y répondrai avec plaisir dans les commentaires ci-dessous !

Source originale : http://marctraverson.com/negociation/psychologie-de-la-negociation/

psychologie de la negociation

Qu’entend-on lorsque l’on parle de négociation ? Pour les uns, il s’agit d’une partie du travail commercial, dans la perspective d’une vente. Pour d’autres, c’est la capacité d’influence, persuader, convaincre – parfois manipuler. Pour d’autres encore, négocier consiste à s’opposer, parfois durement, pour obtenir la satisfaction de ses demandes. Bien sûr, la négociation, c’est tout cela, et d’autres choses encore. Elle est sans doute ce que les humains ont trouvé de plus intelligent pour réduire leurs divergences d’intérêts.

On dit parfois que négocier engage le cerveau (l’intellect), le coeur (avoir du courage, oser), et les poings (la tactique, l’opportunisme, la réactivité). La négociation suppose un sens dialectique affirmé, mais aussi une intelligence des rapports de force et de pouvoir, et du caractère. En somme, c’est un sport complet.

Il était donc opportun de faire le panorama des principales connaissances et théories sur les négociations, considérées sous l’angle des interactions et de la psychologie. C’est le travail auquel s’est attelé Stéphanie Demoulin, professeure de psychologie sociale à l’Université catholique de Louvain dans son livre Psychologie de la négociation, du contrat de travail au choix des vacances (éditions Mardaga, 355 p). Là où les experts du sujet prodiguent des conseils pour réussir ses négociations, elle adopte une approche plus théorique, marquée par sa formation universitaire, qui permet de structurer précisément les connaissances sur ce vaste sujet et de les organiser avec une clarté dont le lecteur lui sera redevable.

Le livre n’est pas vraiment destiné à un large public. Plutôt à des étudiants, des psychologues ou des praticiens qui souhaitent approfondir leur compréhension des travaux de recherche sur les différents aspects de la négociation. Stéphanie Demoulin aborde et décrypte les essentiels : négociations distributives et intégratives, stratégies et tactiques, motivations et intérêts, gestion des émotions et des conflits, compétition versus coopération, pouvoir donné par les solutions alternatives et la MESORE, etc. Tout est abordé, le plus souvent à la lumière d’expérimentation et d’études scientifiques. Par son exhaustivité, ce livre est certainement appelé à devenir une référence indispensable dans toute bonne bibliothèque consacrée à ce sujet passionnant.

Stéphanie Demoulin montre comment l’acte de communication complexe qu’est la négociation est influencé par de multiples facteurs (individuels, culturels, cognitifs) qui ont un impact bien concret sur les accords que construisons chaque jour pour faire avancer nos intérêts et ceux des groupes que nous représentons. Le souci didactique est partout présent, avec, à la fin de chacun des chapitres, une synthèse en quelques pages, très bien faite, qui permet de mettre en évidence les points à retenir.

Un accent particulier est porté le rôle central que jouent les croyances individuelles et collectives. L’image que le négociateur se fait de la situation, du pouvoir de son interlocuteur, de lui-même (se pense-t-il fort ou faible, compétent ou non ?), tout cela est capital, car nos représentations conditionnent largement la capacité à obtenir le meilleur à la table de discussion. Préparer ses négociations sert justement à prendre le recul nécessaire : collecter l’information, définir ses objectifs, analyser le contexte, se méfier des intuitions trop rapides (les « heuristiques »). Le livre pointe en particulier les biais de raisonnement auxquels nous entraînent certaines situations courantes, par exemple le « biais de somme nulle », lorsque l’on anticipe, à tort, qu’il devra y avoir un perdant dans la négociation, et que la coopération n’est pas une option disponible.

Un des chapitres les plus originaux concerne la négociation au féminin. Je n’avais pas conscience de l’écart entre les sexes quant à la capacité à se positionner. Il est énorme. Un chiffre : dans une population d’étudiants issus de la même école, 51,9% des hommes négocient leur premier salaire, contre 12,5% des femmes ! Par ailleurs, les femmes déterminent systématiquement des objectifs et des points d’aspiration plus bas que les hommes. Pourquoi une telle différence ? Stéphanie Demoulin ne conclut pas, mais souligne certains stéréotypes, selon lesquelles les femmes ont des caractéristiques (intuition, compassion, écoute) qui les éloignent de la représentation idéale du négociateur, porteur de caractéristiques plutôt associées aux hommes (assertif, agressif, combatif). On connaît l’histoire de la personne qui s’énerve dans une discussion : si c’est un homme on dira qu’il a de bonnes raisons et qu’il défend ses intérêts avec pugnacité, si c’est une femme, on dira « elle est hystérique, elle perd ses nerfs ». De fait, il apparaît même « qu’agir comme un homme n’est pas réellement une solution pour les femmes en négociation : soit elles en pâtiront en termes de sociabilité, soit elles subiront directement le retour de manivelle et subiront des pertes pour ne pas s’être comportées en conformité avec les attentes que l’on entretient vis-à-vis d’elles ». Un véritable cercle vicieux, puisque ces stéréotypes font peser une pression supplémentaire sur les femmes – elles se savent sur la sellette, ce qui bien sûr vient leur compliquer la tâche. Prophétie auto-réalisante, en somme. Mais rien n’est perdu : ainsi les femmes sont bien meilleures négociatrices, quand elles le font… pour les autres !

Pour finir, je voudrais répondre à une question qui m’était posée récemment par un étudiant. La négociation n’est pas une pratique naturelle, innée. Bien au contraire, elle mobilise un ensemble de comportements complexes, qui nécessitent un apprentissage – si on n’a pas eu la chance d’être éduqué dans l’arrière-boutique d’un marchand de tapis ! Négocier s’apprend. D’ailleurs, pour nombre d’entre nous, ce n’est pas quelque chose de facile. Ce qui n’empêche que ce processus d’une complexité fascinante, est aussi d’une grande banalité : nous négocions avec tout le monde, tout le temps, en famille, au travail. Le premier pas vers la maîtrise, c’est d’en prendre conscience. Tous négociateurs !

© Marc Traverson, 2015

Source originale : https://voyageaucoeurdelhumain.wordpress.com/2016/09/11/la-perception-divine/

Imaginez l’espace d’un instant que vous entriez dans la communication universelle. Vous percevez, vous voyez, vous entendez, ressentez, sans plus aucune barrière, sans avis, sans attente, sans référence. Imaginez que cette capacité d’écoute et d’accueil se réveille, se révèle. Imaginez ce flux immense d’informations qui vous parvient alors consciemment. Flux que vos pensées ne sauraient […]

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/la-vie-de-mes-reves/~3/keRE8U-tt8k/

Article du magazine Fenua ‘Orama – Tahiti – Septembre 2016 Amandine Herbeth – Changer de vie c’est possible Qui n’a jamais ressenti l’envie de changer de vie, de travail, de lieu d’habitation ? Cette idée traverse les esprits de nombreuses personnes, mais les peurs empêchent bien souvent de passer à l’acte ! Aujourd’hui, elle partage avec nous son expérience pour encourager celles qui doutent à agir. Voici son histoire…  

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/projetchangerdevie/~3/IHQm5dyw9_M/

Pour réussir dans votre travail, vous devez être professionnel. Être professionnel au travail, c’est savoir adopter le juste comportement. Cela vous permettra de bâtir une bonne réputation auprès de vos collègues et supérieurs hiérarchiques. Vous serez considéré comme quelqu’un de fiable. Vous pourrez progresser en responsabilité et des projets correspondant à vos attentes pourront vous être confiés. Vous pourrez en conséquence améliorer vos plans de carrière. Voici quelques stratégies pour améliorer votre professionnalisme au travail. Vous devez dans un premier temps construire une expertise dans votre domaine. Je rappelle que l’éducation permanente garantit votre succès. Investissez en vous-même. Donnez-vous les moyens de développer vos compétences. Mettez à jour vos connaissances continuellement, pour rester au top de l’efficacité. Inscrivez-vous à des formations, assistez à des salons et des conférences dans votre secteur d’activité. Ayez le souci constant de la qualité dans votre travail. Soignez votre image. Ne paraissez pas négligé, tant au niveau vestimentaire que capillaire. Mettez des vêtements adaptés à la situation. Soyez intègre et respectez vos engagements. Si vous faites des promesses à vos pairs, respectez-les. Vous devez être quelqu’un de fiable. Arrivez à l’heure. Remettez ce qui vous a été demandé à temps. Soyez honnête, vous inspirerez ainsi de la confiance auprès de vos collègues. Soyez responsable de vos pensées, de vos paroles et de vos actes. Si vous faites des erreurs, admettez-le. Soyez humble et honnête quant à votre efficacité dans certains domaines. Si vous manquez d’expertise sur certains points, si vous avez des lacunes, n’ayez pas peur de le dire et demandez de l’aide. Sachez accepter la critique et les remarques, pour pouvoir progresser et améliorer votre travail. Le professionnalisme implique de garder son sang-froid, être poli avec ses collègues, mais aussi avec toutes les personnes avec lesquelles on entre en contact. Vous devez faire preuve de maîtrise sans être trop émotif. Prenez du recul, ne soyez pas sur la défensive. Pratiquez l’écoute active et montrez-vous disponible auprès de vos collègues, dans la mesure du possible. N’hésitez pas à apporter votre soutien aux autres, tout en sachant gérer les interruptions impromptues. Organisez-vous au maximum. Préparez-vous à l’avance. Utilisez un agenda papier ou électronique. Cela vous permettra de ne rien oublier et d’être moins stressé. Faites une distinction entre votre vie professionnelle et votre vie privée. Ne laissez pas vos problèmes personnels, impacter sur votre travail au bureau. Mettez en pratique ces éléments, approfondissez-les et vous mettrez toutes les chances de votre côté. N’hésitez pas à laisser vos commentaires ou poser vos questions ci-dessous.

Source originale : http://pierrecocheteux.com/bore-out-double-peine/

Bore-out, ou la question de la double peine Le bore-out est un terme récent qui provient du mot anglais « Boring » qui signifie ennuyeux, sans intérêt. Il est donc un trouble psychologique qui est enfanté par le manque de travail, l’ennui dans le cadre professionnel. Il est caractérisé par le désintérêt ou l’ennui dans le travail…

Cet article Bore-out ou la double peine est apparu en premier sur Psychothérapie – burn-out – Psy à Nantes.