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Source originale : http://heureuxautravail.com/test/test-demissionner/

Si après toutes les lectures sur ce site, vous n’avez toujours pas identifié pourquoi vous n’étiez pas heureux ou heureuse au travail, alors je vous conseille ce test qui analysera en 12 questions la situation de votre job et ce qui ne va pas et surtout répondre à la question: devez-vous démissionner ou non?

Trois axes pour plus de bonheur

Le bonheur au travail est identifié sous 3 grands axes dans ce test: le sens, le plaisir et la liberté. Au bout de ces 12 questions, vous pourrez identifier ce qui ne vous rend pas heureux dans votre travail et saurez si votre job manque de sens, de plaisir ou de liberté. Je conseille pour chaque résultat un livre qui peut vous aider à y voir plus clair et, je l’espère, vous aider à être plus heureux au travail. Dans le pire des cas, je vous conseille de démissionner si votre environnement de travail me semble toxique à la suite de vos 12 réponses. Bien entendu, ce n’est qu’un conseil, vous en faites ce que vous voulez.

Vos commentaires sont toujours les bienvenus et n’hésitez pas à partager ce test sur vos réseaux sociaux préférés.

Le test: devez-vous démissionner?

Cet article Test – Dois-je démissionner? est apparu en premier sur Comment être heureux au travail ?.

Source originale : http://www.simpleslide.com/2009/09/24/a-la-recherche-de-la-grande-idee/

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Préambule : Cet article s’appuie sur un chapitre du livre convaincre en moins de deux minutes de Nicholas Bootman.

Contrairement à ce que l’on pense généralement dans le monde du travail, l’argent n’est pas le meilleur moyen pour motiver quelqu’un. Bien entendu, l’argent comble de nombreux besoins mais ce qui nous pousse à nous surpasser dans notre travail c’est de croire à l’importance de celui-ci. Cela rappelle le haut de la pyramide de Maslow où les besoins les plus élevés sont ceux de l’accomplissement personnel et de l’appartenance. Des études ont d’ailleurs démontrées qu’avoir le sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand que soi, donner du sens à son quotidien ou donner vie à ses valeurs et croyances sont des catalyseurs de motivation extrêmement puissants.

Malheureusement, bien souvent, la vie quotidienne et la routine sapent cette motivation. L’urgence du quotidien, et aussi souvent une certaine paresse issues de (mauvaises) habitudes, font perdre de vue aux gens la mission supérieure de leur métier. Pour garder sa motivation intacte au jour le jour, Nicholas Boothman propose une solution assez simple à mettre en œuvre : cristalliser sa motivation dans une grande idée. Oui, mais encore ?

Qu’est ce qu’une grande idée ?
Il s’agit tout simplement d’une phrase, qui adroitement mise en forme, explique de façon simple et mémorable les raisons pour lesquelles l’organisation existe et quels sont ses bienfaits. Pour être efficace, sa formulation doit être telle que chaque employé doit se sentir impliqué en pensant à la mission de son entreprise.

L’auteur prend comme exemple les hôtels Marriott dont la grande idée est : « Nous donnons l’impression aux gens qui sont loin de chez eux, de passer un séjour chez des amis. » Avec cette phrase, chaque employé – du réceptionniste au directeur en passant par la femme de chambre – peut se demander : « Suis-je en train de le faire ou pas ? ». Si la réponse est oui, tout va bien. Si non, des changements sont à opérer. Exprimée efficacement, la grande idée devient ainsi le premier paramètre dans la prise de décision d’un employé face à un client ou collègue.

Et pour vous ?
Définir une grande idée pour une entreprise c’est bien, mais définir une grande idée personnelle, appliquée à sa vie professionnelle spécifique, c’est encore mieux.

Que ce soit pour avoir plus confiance en soi, se créer de nouvelles opportunités ou entrer en contact avec les autres, avoir une vision claire de sa grande idée personnelle est un atout précieux. Pour arriver à faire émerger cette grande idée personnelle, il faut d’abord commencer par identifier la valeur et l’importance sa propre contribution.
Le visuel proposé ci-dessus (télécharger) offre une méthode simple et applicable par tous pour faire émerger et formuler sa propre grande idée.

En résumé, exprimer sa grande idée personnelle permet de donner à sa vie professionnelle (… et personnelle) une direction plus nette et une signification plus profonde.

Une fois sa grande idée personnelle définie, il va s’agir de pouvoir la communiquer de façon puissante aux autres, c’est ce que nous verrons au prochain épisode.

 

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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/pensees_positives/~3/hoxhedx4q4o/meditation-guidee-laisser-passer-les.html

Je vous propose une nouvelle méditation guidée de Ginkgo Ateliers.
Le thème de cette méditation guidée est « Laisser passer les nuages ».

Cette méditation guidée est conçue pour nous aider à lâcher prise.

Je vous invite maintenant  à vous laisser simplement guider par la douce voix que vous allez entendre.
Vous pouvez répéter cette séance autant de fois que vous le désirez jusqu’à constater une amélioration notable de votre état émotionnel.
Je vous souhaite une bonne séance de méditation guidée. 

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=pIz32aMBDww]

Si vous habitez en Belgique, je vous invite à consulter le site Internet de Ginkgo Ateliers pour participer aux ateliers de méditation-relaxation qui sont organisés régulièrement.
Vous pouvez aussi consulter les autres vidéos de cette thérapeute que j’ai déjà publiées sur le blog.

Je vous invite aussi à tester l’efficacité des enregistrements de méditations guidées Mental Waves. Pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessous :

Merci de partager cet article sur Facebook en cliquant sur le bouton « J’aime » ci-dessous. Si, vous aussi, vous l’avez trouvé sympa, bien sûr ! Merci d’avance :

Source originale : http://www.simpleslide.com/2009/12/17/quelques-conseils-pour-concretiser-vos-objectifs/

Au fil de mes lectures sur le développement et l’efficacité personnelle, j’ai remarqué quelque chose d’assez troublant : le premier chapitre de ces livres traite toujours du même thème. Et ce thème qui revient à chaque fois c’est celui de la définition des objectifs. Savoir rédiger avec précision ses objectifs et avoir un plan d’action clair pour mettre en œuvre ses idées sont des étapes cruciales lorsque l’on souhaite tirer le meilleur parti de son temps et de son énergie.

La présentation ci-dessus intitulée « Du rêve à la réalité : les meilleurs conseils pour concrétiser vos objectifs » vous propose une méthode efficace et créative pour déterminer vos objectifs. Cette méthode combine des techniques que l’on retrouve dans des livres comme « Prêt pour l’action » de David Allen , « La semaine de 4 heures » de Tim Ferriss, « Le Principe 80/20» de Richard Koch, « The Simplicity Survival Handbook» de Bill Jensen ou encore « Cut to the Chase» de Stuart Levine.

Le processus de cette démarche s’appuie sur 3 étapes qui vous permettront d’identifier ce que vous voulez le plus et ainsi de pouvoir vous concentrer sur les projets qui feront la plus grande différence positive dans votre vie.

La réalisation de cette présentation s’appuie sur un document intulé « How to turn your dreams into reality by creating a Personal master Plan » téléchargeable sur le site officiel du Personal MBA.

Cet article Quelques conseils pour concrétiser vos objectifs est apparu en premier sur Simple Slide.

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/lebonheurpourlesnuls1/~3/gzrU6ca1xTI/

The Fairy Queen

La fin du siècle dernier a vu une génération d’enfants rois prendre le pouvoir dans les familles. Ces enfants souffraient non pas de carences affectives mais de carences éducatives. Produits d’une éducation permissive, ces enfants ont en effet été mis au centre de la cellule familiale.

C’est en tous cas ce que nous apprend Didier PLEUX dans son dernier ouvrage "De l’adulte roi à l’adulte tyran". Car ces enfants rois sont devenus pour certains… des adultes rois.

Il y a plus de 30 ans, ce docteur en psychologie du développement recevait dans son cabinet des patients qui souhaitaient renouer avec leur singularité. Mais depuis une bonne décennie, il découvre des personnalités aux comportements de plus en plus égocentriques. Lancés dans une quête absolue du plaisir de vivre, ils souffrent surtout d’une "pathologie de l’hypertrophie de l’égo".

Ces patients LFT ("Low Frustration Tolerance") sont des adultes rois "intolérants aux frustrations". Habitués à faire "ce qu’ils veulent quand ils veulent", ils recherchent avant tout la satisfaction immédiate de leurs désirs et tentent de toujours tout obtenir sans effort. Adeptes de la philosophie du fun, rebelles à l’autorité, ils ont une tendance à la procrastination sur les tâches déplaisantes.

Ces "Moi Moi Moi" qui cherchent constamment à briller sont en fait d’une grande vulnérabilité devant la réalité. Immatures, facilement sujets aux addictions, ils ne développent aucun "sentiment de l’autre". Ils ne ressentent pas de sentiment de culpabilité lorsqu’ils ne respectent pas autrui. Ils considèrent les autres comme des "moyens" d’assouvir leurs désirs. Et n’attendez jamais d’eux qu’ils se remettent en question dans leur rapport aux autres !

Selon l’auteur, ces adultes rois, ces CBB ("Can’t Be Bored") encore appelés par Albert ELLIS des BFB ("Big Fucking… Babies"), sont responsables de l’augmentation des incivilités. Petit portait au quotidien d’un "LFT" :

  • il est seul au monde,

  • il ralentit toute une file de voitures pour lire ses textos,

  • il parle haut et fort dans une file d’attente,

  • il commente le film pendant la séance,

  • il exige l’addition quand le serveur s’occupe des autres,

  • il met ses warnings et bloque la circulation pour aller acheter sa baguette de pain,

  • il se gare aux stationnements handicapés pour éviter de marcher quelques centaines de mètres,

  • il délègue en famille le rôle du "père ou de la mère Fouettard" au partenaire.. Pas question pour lui de participer à tout ce qui est frustrant dans l’éducation : l’hygiène, les rythmes de vie, le suivi scolaire… S’il existe des conflits par contre, il sortira vite de ses gonds.

  • il n’a jamais le temps non plus de participer à la "logistique" domestique : c’est le syndrome du "pacha" pour les hommes et de la "princesse" chez les dames.

  • il peut quitter du jour au lendemain et sans remord femme et enfants pour un "coup de foudre".

Avez- vous reconnu un collègue, un collaborateur ou même un conjoint dans cette description ? Si c’est le cas et pour ne plus être leur victime, Didier PLEUX vous conseille de le "rééduquer" . La stratégie à adopter est de savoir être "conflictuel" et s’affirmer dès le "premier passage à l’acte" pour sanctionner rapidement si c’est possible.

Creative Commons License photo credit: David Blackwell.

Source originale : http://www.simpleslide.com/2010/01/11/changez%C2%A0-3-pistes-pour-mieux-diriger-votre-energie-diaporama/

 

 

Cela faisait un petit moment que je voulais faire cette présentation, le temps neigeux de ce week-end m’a permis de mettre au travail. Le thème initial du diaporama était plus axé sur le leadership et les managers, mais au fil de la construction de la présentation, je me suis aperçu que ces conseils pouvaient s’adresser à toute personne souhaitant apporter un changement dans sa vie. J’ai donc retravaillé la présentation en conséquence.

Une question de point de vue
Alors quel est le premier changement à faire lorsque l’on veut changer sa vie ? (Roulement de tambour) … Je crois que l’un des éléments fondamentaux quand on veut changer c’est certainement de prendre conscience de l’importance de notre manière de voir les choses. Bien souvent les problèmes n’existent que dans nos têtes. Comme disait Churchill : « L’optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté, le pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité. »

Notre seul véritable pouvoir est celui que nous avons sur nous-même. Voici 3 idées d’auteurs venus d’horizons différents (développement personnel, psychologie et management) pour réfléchir à la manière dont nos dirigeons notre énergie.

Principe 1 : Soyez proactif

Dans son livre « Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent» (sauf faire des titres courts), Stephen Covey démontre que pour réussir il est primordial de savoir faire une distinction claire entre le cercle de nos préoccupations et le cercle de notre influence.

Dans le cercle de nos préoccupations, on retrouve tout ce qui occupe notre esprit : les enfants , la météo du jour, les problèmes au travail, le trafic routier , etc, etc, etc … Ce cercle peut être immense. Le second cercle quant à lui est beaucoup plus petit puisqu’il regroupe uniquement les faits sur lesquels nous pouvons agir. Nous passons tous beaucoup trop de temps à diriger nos pensées vers des sujets sur lesquels nous n’exerçons aucune influence. Ceci nous vide de notre énergie. Par exemple, s’il fait mauvais temps, y penser toute la journée ne fera pas apparaître le soleil …

Au contraire, nous devons nous focaliser sur notre propre marge de manœuvre. Plus nous nous nous concentrons sur notre cercle d’influence, plus nous parvenons à élargir progressivement celui-ci.

Principe 2 : Choisissez la bonne position de vie

Le psychiatre Américain, Eric Berne, a popularisé dans les années 1970 le concept d’analyse transactionnelle. Selon lui, nous tendons à adopter 4 types de « positions de vie » qui déterminent largement la réussite ou l’échec de nos actions, notamment quand il s’agit de nos relations avec les autres.

1 – La position + / – : C’est lorsque nous pensons que les problèmes viennent des autres. Dans cette situation, on dirige notre énergie contre les autres et on enferme nos interlocuteurs dans une position d’infériorité. Cela donne généralement naissance à un cercle vicieux.

2 – La position – / + : Dans cette situation, nous sommes paralysés parce que nous ne nous sentons pas à la hauteur. Cette position nous conduit à diriger notre énergie contre nous-mêmes, à nous autocensurer. Finalement, cette position nous empêche d’occuper le terrain qui pourrait nous être accessible.

3 – La position – / – : Dans cette position, nous nous plaçons en situation de victime. C’est ce qui arrive quand nous accusons les autres d’intentions malveillantes et que nous nions notre capacité à réagir. Cette positon conduit au découragement et au renoncement. Elle nous vide de notre énergie.

4 – La position + / + : La seule position de vie efficace est celle où l’on a à la fois confiance en soi et estime dans les autres. Évidemment, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à mettre en œuvre quotidiennement. C’est pourquoi prendre conscience de ces positions de vie est vraiment une étape incontournable pour modifier son comportement.

Principe 3 : 4 valeurs à cultiver quotidiennement

Selon le philosophe Peter Koestenbaum, l’individu doit trouver sa place en développant 4 qualités qui forment deux couples aux polarités opposées : vision et sens des réalités, éthique et courage.

Sans le sens des réalités, la capacité à voir loin ne garantit pas le résultat ; mais, sans capacité à voir loin, le sens des réalités n’est pas suffisant. De même, il est facile de parler d’éthique quand on a pas le courage d’agir. Mais l’action – celle qui est difficile et douloureuse – ne peut s’affranchir du respect de valeurs et de principes.

Personne n’étant parfait, la question est de savoir sur laquelle de ces qualités nous manquons d’exigence vis-à-vis de nous-mêmes. Pour affronter ce manque d’exigence, Koestenbaum nous invite à dépasser notre anxiété : « L’anxiété conduit à l’action. C’est l’expérience de la pensée devenant de l’action, de la réflexion devenant du comportement, de la théorie devenant de la pratique. L’anxiété est de l’énergie pure. L’anxiété qui est niée nous rend malade. L’anxiété qui est pleinement affrontée et traversée se transforme en joie, en force, en détermination et en caractère. Le mot d’ordre pratique, c’est : allez là où ça fait mal. »

Ces 3 principes ont été compilées dans la conclusion du livre « Mais qu’est ce qu’ils attendent tous … pour déployer ma stratégie ? » (encore un titre très court …) de Christine Antunes, Christophe korda et Philippe Korda.

Et vous quelles sont vos solutions pour mieux diriger votre énergie ?

Cet article Changez ! 3 pistes pour mieux diriger votre énergie (diaporama) est apparu en premier sur Simple Slide.

Source originale : http://www.vivreettravaillerencouple.com/3-erreurs-magistrales-supprimer-en-matiere-dargent/

Vu sur 3 erreurs magistrales à supprimer en matière d’argent

L’argent ! A la fois envié et rejeté, l’argent ne laisse pas indifférent. Comme la plupart des gens, vous et moi cherchons comment en  gagner plus et devenir, sinon riches,  au moins  « à l’aise ». Lorsqu’on les interroge sur « comment faire », nombre de personnes répondent le plus couramment : Ne pas dépenser trop – Surtout économiser – …

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Cet article provient de Vivre et Travailler en Couple

Source originale : http://www.simpleslide.com/2010/01/17/et-si-vous-vous-mettiez-a-la-place-de-votre-interlocuteur-le-schema-qui-vous-explique-tout/

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Un peu dans le même esprit que l’article sur les 9 règles pour mieux écouter, je vous propose aujourd’hui un visuel pour garder à l’esprit ce qui peut se passer dans la tête de votre interlocuteur. Cet interlocuteur peut être un client, un auditoire que vous cherchez à convaincre pour une présentation, un employeur, votre tante, bref un peu tout le monde …

Comment utiliser ce visuel ?
Tout d’abord, vous pouvez télécharger ce visuel au format A4 pour pouvoir l’imprimer correctement. Après deux solutions s’offrent à vous. :

Solution 1 – Scotcher directement la feuille sur le front de votre interlocuteur. Cela vous permettra de ne pas oublier que ce qui compte avant tout pour votre interlocuteur c’est lui-même (et ça on a très souvent tendance à l’oublier, puisque la personne qui compte le plus pour nous, généralement, c’est nous-même).

Solution 2 – Une fois que vous avez imprimé le visuel, vous pouvez noter sur des post-it les réponses que vous inspirent les différentes questions. Je vous conseille personnellement cette deuxième solution.

Comme vous le voyez, ces questions s’articulent autour de 4 parties, chacune de ces parties étant plus ou moins orientée sur un sens :

Que pense-t-il vraiment ?
Qu’est-ce qui l’empêche de dormir la nuit ?
Quelles sont ses ambitions ?
Que pense-t-il ?

Que voit-il ?
Quel est son environnement ?
Quels sont ses amis ?
Qu’est-ce que le marché lui offre actuellement ?

Qu’entend-il ?
Qui l’influence ? Comment ?
Que dit son entourage ?
Que dit son (sa) conjoint(e) ?

Que dit-il et que fait-il ?
Que fait-il ?
Quelle est son attitude en public ?
Que raconte il aux autres ?

Et vous quels sont vos trucs et astuces pour être plus à l’écoute de vos interlocuteurs ?

Cet article Et si vous vous mettiez à la place de votre interlocuteur : le schéma qui vous explique tout est apparu en premier sur Simple Slide.

Source originale : https://touchersensible.wordpress.com/2012/12/04/2012-ou-la-peur-de-la-secte/

Calendrier maya, disque de ChinkulticEn cette fin d’année 2012, je suis constamment sollicitée pour m’exprimer au sujet de la supposée « fin du monde » annoncée par les Mayas. Que se passera-t-il le 21 décembre 2012? Qu’en ont réellement dit les anciens Mayas?

Internet, les médias, la mystérieuse « prophétie maya », tout contribue à faire tourner en boucle l’imaginaire et envisager des scénarios en tout genre.

C’est le moment idéal pour me demander mon avis de spécialiste du calendrier maya. Je me retrouve alors à expliquer que, contrairement à la rumeur qui court, aucune prophétie n’a été écrite au sujet du 21 décembre 2012 par les Mayas précolombiens. Selon le calendrier maya, cette date clôture la fin d’un immense cycle et marque le début d’un nouveau cycle. Tout simplement. Il n’a jamais été question d’Apocalypse ou de fin du monde.

Au-delà de la curiosité que suscitent les Mayas et cette supposée prophétie, ce qui m’interpelle quand on me contacte, c’est cette idée qu’en tant que docteur en anthropologie sociale, mon discours scientifique va permettre de rétablir la vérité sur la question, en balayant toutes hypothèses et croyances farfelues à ce sujet. Par farfelues, on entend ésotériques, voire sectaires ou illuminées. Là pour le coup, cette posture me fait sourire car, même si j’ai un parcours académique et universitaire, mon chemin de vie a fait que je ne suis pas du tout cette personne cartésienne et rationnelle que l’on croit que je suis.

Je me retrouve alors dans cette posture assez étrange où mes employeurs pensent qu’en tant que « scientifique de formation », non seulement je vais rétablir la vérité sur le 21 décembre 2012, mais qu’en plus de cela, je parte dans une sorte de croisade à l’encontre des discours et croyances irrationnelles qui gravitent autour de cette date. Ce qui ne m’intéresse guère. Parfaitement d’accord pour expliquer le pourquoi du comment le calendrier maya n’a jamais annoncé la fin du monde pour le 21 décembre 2012, mais pas pour rentrer dans une polémique anti-secte. Ce n’est pas mon propos.

Certes, le phénomène 2012 soulève de nombreuses peurs, mais les supposées « sectes » en sont-elles les seules responsables? N’oublie-t-on pas la part incontestable des médias, journalistes, réalisateurs de film à grosse production et internet, dans la construction de ce phénomène de société? Qui manipule qui? Je me le demande!

Le fait est que les « sectes » ont mauvaises presse. Plus encore quand on parle d’Apocalypse. Les suicides collectifs des années 80-90 ont fait assez parler d’eux pour que l’on ait des raisons de s’inquiéter. Mais s’inquiéter de quoi? Au pays de la laïcité, la Science est la voix de la Vérité. En France, tout discours  ésotérique ou spirituel a tôt fait d’être taxé de sectaire. Avec toutes les peurs que cela suscite…

On me cite souvent comme exemple la petite ville de Bugarach, dans l’Aude, et de son maire qui se retrouve complètement dépassé par la venue de tant d’étrangers souhaitant échapper à l’Apocalypse annoncée pour le 21 décembre. Mais est-ce plus inquiétant que ces promoteurs immobiliers américains qui vendent une fortune des bunkers souterrains pour échapper à la catastrophe?

Quand l’imaginaire s’emballe, chacun cherche la solution qui lui convient. Solutions qui dépendent des croyances de chacun. C’est bien là le coeur du problème: les croyances… Personne ne sait (y compris les Mayas) ce qu’il se passera le 21 décembre 2012, pas plus que pour le nouveau cycle qui s’annonce. C’est toute la question de notre rapport au temps, et de la nécessité de nous projeter dans l’avenir que soulève le phénomène 2012.

Avant de préjuger qui est à l’origine des peurs apocalyptiques de cette fin 2012, peut-être pouvons-nous nous interroger sur notre peur de l’avenir et sur l’impact que nos croyances ont sur la réalité que l’on choisit de vivre. Comment sera l’après 2012? Nous avons deux façons de l’envisager. Craindre le pire en vivant constamment dans la peur  (nous sommes dans un monde en crise ne l’oublions pas!), ou choisir de construire un monde meilleur, un monde plus équilibré où l’on vivrait en harmonie les uns avec les autres. En harmonie avec la nature, en harmonie avec ce qui nous entoure. Un monde de paix. Ca vaut la peine d’y croire, vous ne trouvez pas?