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Source originale : http://www.instantspresents.com/bonheur-toujours-a-portee

Le bonheur est à notre portée. Il ne tient qu’à nous de l’atteindre, et de le garder. Souvenez-vous, dans notre enfance rien ne nous semblait vraiment compliqué. Nous nous préoccupions principalement de savoir où étaient nos jouets, quand nous pourrions manger ce gateau où quand pouvions nous ouvrir ses cadeaux. Nous ne nous préoccupions de […]

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Source originale : http://www.simpleslide.com/2010/01/17/et-si-vous-vous-mettiez-a-la-place-de-votre-interlocuteur-le-schema-qui-vous-explique-tout/

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Un peu dans le même esprit que l’article sur les 9 règles pour mieux écouter, je vous propose aujourd’hui un visuel pour garder à l’esprit ce qui peut se passer dans la tête de votre interlocuteur. Cet interlocuteur peut être un client, un auditoire que vous cherchez à convaincre pour une présentation, un employeur, votre tante, bref un peu tout le monde …

Comment utiliser ce visuel ?
Tout d’abord, vous pouvez télécharger ce visuel au format A4 pour pouvoir l’imprimer correctement. Après deux solutions s’offrent à vous. :

Solution 1 – Scotcher directement la feuille sur le front de votre interlocuteur. Cela vous permettra de ne pas oublier que ce qui compte avant tout pour votre interlocuteur c’est lui-même (et ça on a très souvent tendance à l’oublier, puisque la personne qui compte le plus pour nous, généralement, c’est nous-même).

Solution 2 – Une fois que vous avez imprimé le visuel, vous pouvez noter sur des post-it les réponses que vous inspirent les différentes questions. Je vous conseille personnellement cette deuxième solution.

Comme vous le voyez, ces questions s’articulent autour de 4 parties, chacune de ces parties étant plus ou moins orientée sur un sens :

Que pense-t-il vraiment ?
Qu’est-ce qui l’empêche de dormir la nuit ?
Quelles sont ses ambitions ?
Que pense-t-il ?

Que voit-il ?
Quel est son environnement ?
Quels sont ses amis ?
Qu’est-ce que le marché lui offre actuellement ?

Qu’entend-il ?
Qui l’influence ? Comment ?
Que dit son entourage ?
Que dit son (sa) conjoint(e) ?

Que dit-il et que fait-il ?
Que fait-il ?
Quelle est son attitude en public ?
Que raconte il aux autres ?

Et vous quels sont vos trucs et astuces pour être plus à l’écoute de vos interlocuteurs ?

Cet article Et si vous vous mettiez à la place de votre interlocuteur : le schéma qui vous explique tout est apparu en premier sur Simple Slide.

Source originale : https://touchersensible.wordpress.com/2012/12/04/2012-ou-la-peur-de-la-secte/

Calendrier maya, disque de ChinkulticEn cette fin d’année 2012, je suis constamment sollicitée pour m’exprimer au sujet de la supposée « fin du monde » annoncée par les Mayas. Que se passera-t-il le 21 décembre 2012? Qu’en ont réellement dit les anciens Mayas?

Internet, les médias, la mystérieuse « prophétie maya », tout contribue à faire tourner en boucle l’imaginaire et envisager des scénarios en tout genre.

C’est le moment idéal pour me demander mon avis de spécialiste du calendrier maya. Je me retrouve alors à expliquer que, contrairement à la rumeur qui court, aucune prophétie n’a été écrite au sujet du 21 décembre 2012 par les Mayas précolombiens. Selon le calendrier maya, cette date clôture la fin d’un immense cycle et marque le début d’un nouveau cycle. Tout simplement. Il n’a jamais été question d’Apocalypse ou de fin du monde.

Au-delà de la curiosité que suscitent les Mayas et cette supposée prophétie, ce qui m’interpelle quand on me contacte, c’est cette idée qu’en tant que docteur en anthropologie sociale, mon discours scientifique va permettre de rétablir la vérité sur la question, en balayant toutes hypothèses et croyances farfelues à ce sujet. Par farfelues, on entend ésotériques, voire sectaires ou illuminées. Là pour le coup, cette posture me fait sourire car, même si j’ai un parcours académique et universitaire, mon chemin de vie a fait que je ne suis pas du tout cette personne cartésienne et rationnelle que l’on croit que je suis.

Je me retrouve alors dans cette posture assez étrange où mes employeurs pensent qu’en tant que « scientifique de formation », non seulement je vais rétablir la vérité sur le 21 décembre 2012, mais qu’en plus de cela, je parte dans une sorte de croisade à l’encontre des discours et croyances irrationnelles qui gravitent autour de cette date. Ce qui ne m’intéresse guère. Parfaitement d’accord pour expliquer le pourquoi du comment le calendrier maya n’a jamais annoncé la fin du monde pour le 21 décembre 2012, mais pas pour rentrer dans une polémique anti-secte. Ce n’est pas mon propos.

Certes, le phénomène 2012 soulève de nombreuses peurs, mais les supposées « sectes » en sont-elles les seules responsables? N’oublie-t-on pas la part incontestable des médias, journalistes, réalisateurs de film à grosse production et internet, dans la construction de ce phénomène de société? Qui manipule qui? Je me le demande!

Le fait est que les « sectes » ont mauvaises presse. Plus encore quand on parle d’Apocalypse. Les suicides collectifs des années 80-90 ont fait assez parler d’eux pour que l’on ait des raisons de s’inquiéter. Mais s’inquiéter de quoi? Au pays de la laïcité, la Science est la voix de la Vérité. En France, tout discours  ésotérique ou spirituel a tôt fait d’être taxé de sectaire. Avec toutes les peurs que cela suscite…

On me cite souvent comme exemple la petite ville de Bugarach, dans l’Aude, et de son maire qui se retrouve complètement dépassé par la venue de tant d’étrangers souhaitant échapper à l’Apocalypse annoncée pour le 21 décembre. Mais est-ce plus inquiétant que ces promoteurs immobiliers américains qui vendent une fortune des bunkers souterrains pour échapper à la catastrophe?

Quand l’imaginaire s’emballe, chacun cherche la solution qui lui convient. Solutions qui dépendent des croyances de chacun. C’est bien là le coeur du problème: les croyances… Personne ne sait (y compris les Mayas) ce qu’il se passera le 21 décembre 2012, pas plus que pour le nouveau cycle qui s’annonce. C’est toute la question de notre rapport au temps, et de la nécessité de nous projeter dans l’avenir que soulève le phénomène 2012.

Avant de préjuger qui est à l’origine des peurs apocalyptiques de cette fin 2012, peut-être pouvons-nous nous interroger sur notre peur de l’avenir et sur l’impact que nos croyances ont sur la réalité que l’on choisit de vivre. Comment sera l’après 2012? Nous avons deux façons de l’envisager. Craindre le pire en vivant constamment dans la peur  (nous sommes dans un monde en crise ne l’oublions pas!), ou choisir de construire un monde meilleur, un monde plus équilibré où l’on vivrait en harmonie les uns avec les autres. En harmonie avec la nature, en harmonie avec ce qui nous entoure. Un monde de paix. Ca vaut la peine d’y croire, vous ne trouvez pas?

Source originale : http://pierrecocheteux.com/la-voie-lactee-lintuition/

La voie lactée est une sorte d’intuition, une qualité importante pour votre vie professionnelle. La voie lactée Un soir, sur le bord d’un quai, où je m’étais assis, je regardais la voie lactée, le ciel était calme, les étoiles brillantes. Lorsque, soudain, je le vis, lui qui était mon ami dans une robe de velours…

Cet article La voie lactée, l’intuition est apparu en premier sur Psychothérapie – burn-out – Psy à Nantes.

Source originale : http://www.talentattitude.com/etre-heureux-attitude-adopter-partie-3/

Vous ne parvenez pas à être heureux.  Et en même temps vous vous dites que vous y avez droit, mais vous ne savez pas comment vous y prendre. Alors, lisez avec attention ce qui suit et adoptez la méthode 30 jours pour être heureux.   Comme vous avez pu le voir dans l’article précédent comment […]

L’article Être heureux : une attitude à adopter (partie 3) est apparu en 1er sur Talent Attitude.

Source originale : http://www.tremblezmaisvivez.com/optimiste-ne-veut-pas-dire-naif-cest-meme-le-contraire/

Optimiste !

L’optimiste connaît la réussite

L’Optimiste est confiant

Que voilà un bien joli nom qu’optimiste et merveilleux palliatif au désespoir car en ces temps d’inquiétude, de corruption et de renoncement dont les médias se délectent et nous saturent  au quotidien, j’éprouve un irrésistible désir de clôturer l’année 2014 en écrivant cet article afin qu’il vous donne « l’envie d’avoir envie »  et vous incite à formuler pour 2015 des vœux émissaires d’opportunités nouvelles à saisir .

Vous le savez, l’optimisme est excellent pour notre santé.

Il nous fournit une énergie fabuleuse, favorise notre joie de vivre, nous permet d’entretenir des relations durables et bien plus encore…

Pour autant, ne traitons pas l’optimiste de naïf parce que c’est même tout le contraire et là c’est nous qui serions bien naïfs de croire que l’optimiste voit toujours la vie en rose et qu’il a toujours le moral.
Il lui arrive lui aussi d’avoir des coups de blues mais ça lui passe.

Etre optimiste ne veut pas dire être dans le déni ou être égoïste car être optimiste est un choix et comme pour tout ce qui touche à notre vie, nous en avons le contrôle et pouvons ou non décider de développer ou d’améliorer cette compétence.

Etre optimiste ne veut  pas dire ne pas voir la misère du monde ou être irréaliste, c’est souvent une question d’objectivité et il dépend de nous d’orienter notre perception.

Etre optimiste c’est avant tout être confiant dans la façon dont les choses évoluent, c’est croire que quoiqu’il nous arrive, nous réussirons à atteindre notre but.

Comme l’a dit Baden-Powell :

« L’optimisme est une forme de courage qui donne confiance aux autres et mène au succès»

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=r1nNdTyDZEs]

L’optimiste fait de sa vie un art de vivre au quotidien et quand un optimiste vous parle, il évoque ce qui va bien, il vous incite à faire ou à employer une façon, une méthode à laquelle  vous n’avez pas encore eu recours ou pensé pour réussir car l’optimiste crée du positif et de l’enthousiasme dans son entourage.

Qui ou comment est l’optimiste ?

L'Optimiste est agréable et souriant

L’Optimiste est agréable et souriant

L’optimiste est généralement de bonne humeur, il est :

  • Agréable, souriant
  • Un incitateur d’actions
  • Un pédagogue qui vous parle de vos problèmes de façon constructive et vous aide à solutionner une difficulté
  • L’oiseau de mauvaise augure face à la tristesse ou à la morosité

Observez autour de vous et constatez combien un optimiste est davantage entouré que les autres, qu’il est en meilleure santé, qu’il a beaucoup plus de vitalité, qu’il vieillit plus sereinement mais savez-vous pourquoi ?
Et bien peut être tout simplement parce qu’il entretient un mode de relation responsable avec son environnement.

L’optimiste se sent responsable de ce qui va lui arriver et par voie de conséquence prend davantage soin, entre autres, de sa santé.

A ce sujet, vous pouvez vous inspirer du livre de Thierry Janssen : « La vie intérieure » dans lequel j’ai retenu cette phrase :

« Une attitude optimiste face à la vie est à ce jour le médicament le plus puissant et le moins coûteux que l’être humain ait jamais eu à sa disposition. »

L’optimisme favorise la persévérance et vous en conviendrez : La réussite.

L’optimisme favorise la persévérance et donc la réussite

L’optimisme favorise la persévérance et donc la réussite

La puissance de l’optimisme est insoupçonnable, remarquable et comme l’explique très bien Philippe Gabilliet dans une de ses conférences ; l’idéal, surtout en ces périodes de crises est d’être optimiste de but et pessimiste de chemin ou « optimiste paradoxal ».
Cela veut dire  que la réussite est au bout de la route mais que le parcours ne sera peut-être pas de tout repos.

Alors préparons-nous et allons-y gaiement mais soyons prêts à affronter pacifiquement ce qui pourrait ne pas se passer aussi sereinement que nous l’espérons.

J’espère que cet article favorisera votre envie, sinon de continuer à cultiver vos graines d’optimisme, du moins à vous estimer satisfait(e) de ce qui vous arrive et à être confiant(e) dans votre avenir.

Je vous souhaite une positive et très optimiste année 2015

A l’année prochaine !

Manima

Photo : fotolia.com

Cet article Optimiste ne veut pas dire naïf, c’est même le contraire. est apparu en premier sur Tremblez Mais Vivez.

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langage

Voici enfin la suite de l’article paru le 1er février 2011 concernant les bases du langage corporel. Pour ceux ne l’ayant pas encore lu, vous pouvez dés à présent cliquer sur ce lien : langage corporel, première partie

  • Un faux sourire est un signe beaucoup plus complexe à distinguer pour un novice mais qui traduit de toute évidence un sentiment d’ennui et ou déception que l’on cherche à garder pour soi. Un véritable sourire fait fonctionner l’ensemble des muscles de votre visage, agissant en particulier sur vos yeux, ce qui reste  très difficile lorsque cela ne vient pas du cœur.
  • Se tenir en arrière ou en retrait, notamment lorsque vous êtes assis à une table, peut traduire une envie de fuir ou un désintérêt complet pour les autres personnes attablées. Ce cas est l’illustration typique d’un geste pour lequel vous devez analyser le reste du corps de votre interlocuteur pour vous assurer que vous comprenez bien le message qu’il vous envoie. En effet, le fait de se tenir en arrière peut être une simple réponse à une fatigue du dos. N’imaginez pas que tous vos amis vous détestent chaque fois que vous les voyez se tenir en retrait. Si vous appréciez une personne faîtes en revanche attention à la manière dont vous vous tenez.
  • Ne pas être face à la personne à qui vous parlez indique généralement un entiment d’incofonrt ou un simple désintérêt. Cette tendance est générale, elle implique tant le visage que le torse et la direction des pieds. A titre d’exemple extrême, une personne assise perpendiculairement à vous dont le seul visage vous fait face aura généralement une volonté assumée de mettre un terme à la conversation, bien que vous ne la désintéressiez pas entièrement.
  • Croiser les bras est une position défensive de fermeture. Comme le fait de tenir un objet entre vous et la personne qui vous fait face, le bras croisés sont un moyen implicite de protéger votre torse d’une possible « agression » extérieure. Prenez notamment garde à ne pas croiser vos bras lors d’une négociation ou d’une discussion profonde avec une personne très proche. Enfin n’oubliez pas qe les bras croisés peuvent aussi être un simple reflexe physiologique à une sensation de froid
  • Se toucher la nuque et l’arrière de la tête est un signe de doute, d’incertitude, de manque de confiance à un instant donné. Ce signe est parfois utilisé lorsque nous mentons sans réellement croire à ce que nous disons. Il peut intervernir lorsque vous vous sentez mal à l’aise lors d’une conversation.
  • Même constat pour le fait de toucher le col de son tee shirt, de sa chemise ou de détendre légèrement le nœud de votre cravate. Ces éléments peuvent être une réponse à la simple nervosité et à la modification des paramètres physiologiques qu’elle engendre (dont le sentiment de chaleur).
  • Accroître le rythme de vos clignements d’yeux peut aussi traduire une élévation de votre niveau de nervosité. Ce signe est extrêmement traitre si la personne face à vous joue beaucoup du contact visuel. Une fois le signe détécté, il a la méchante habitude de mettre mal à l’aise vos interlocuteurs.
  • Tenir sa tête avec ses mains peut être tant un signe d’interet (en cas de contact visuel prolongé, de posture avenante, etc.) comme d’ennui profond (généralement lorsque la tête n’est tenue que par une main, mais aussi lorsque votre regard se perd dans le vide, etc.)
  • Laisser tomber vos épaules est tant un signe de fatigue qu’un signe de manque de confiance en soi ou de sentiment d’infériorité selon le contexte. S’efforcer de se tenir droit, les épaules relevées, vous donnera non seulement une allure plus avenante mais le sentiment d’être bien dans votre peau
  • S’assoir sur le bord d’une chaise donnera (tant à vous qu’à vous interlocuteurs) un sentiment d’inconfort. La position s’interprete très facilement comme la démonstration d’un manque d’aise vis à vis de la situation que vous vivez.
  • Les mouvements de mains et de pieds (tapotements, tripotage d’objets en tout genre, ou n’importe quoi d’autre) sont des indicateurs de stress. Ce sont d’ailleurs les plus faciles à repérer. Ils ont de plus la faculté de mettre mal à l’aise votre interlocuteur. Méfiez-vous en comme de la peste (à noter que les mouvements de mains et de pieds sont extrêmement difficiles à éliminer, si vous désirez les contrôler, il va vous falloir du temps)

Je m’arrête la pour cette courte introduction au langage corporel, le sujet est infini et passionnant, n’hésitez pas à me suggérer d’autres sujets d’article le concernant. D’ici la, expérimentez, et apprenez à être curieux et observateur, c’est la clé de la réussite dans ce domaine.

Ju