Source originale : http://joannetatham.fr/video-astuce-simple-relativiser-pro/
J’ai l’impression d’avoir vécu une vie entière depuis mes 30 ans.
Il s’est passé tant de choses, j’ai initié tant de mouvements, mis en oeuvre tant de projets !
Clairement, ces 7 dernières années m’ont transformée. Je n’ai plus du tout le même état d’esprit.
L’une des choses qui a le plus changé chez moi ? Ma capacité à relativiser.
Dans la vidéo de cette semaine, je te transmets justement une astuce simple pour relativiser en milieu pro.
Que tu sois salariée ou entrepreneure, essaie de mettre en place cette astuce, elle peut faire une grosse différence dans ton bien-être !…
Source originale : http://youtu.be/07A5tgAQ52w
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=07A5tgAQ52w&w=640&h=360]
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View AllSource originale : http://youtu.be/DO3QG1OS0Ks
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=DO3QG1OS0Ks&w=640&h=360]
Source originale : http://www.monhypnotherapeute.fr/de-breakfast-club-in-gesprek-met-hilda-musch
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=CMpaI46omyU&version=3&f=videos&app=youtube_gdata&showsearch=0&rel=0]
Jeanne Kooijmans en Peter van Bruggen in gesprek met hypnotherapeute Hilda Musch over ontvoeringen door ‘buitenaardsen’. De ‘Breakfast Club’ werd uitgezonden van 1992 tot 1998 en was het …
Source originale : http://www.acide-ici.fr/chroniques/quand-changer-de-travail-ou-dautre-chose.html
Après la vidéo qui traitait du concept d’équilibre et de la manière de l’implémenter intelligemment dans votre vie, voici un petit exemple d’application. En la regardant, vous apprendrez :
- Le sujet de ma dernière engueulade avec Argancel, de Céclair
- Les arguments qui vous suggèrent de persister dans un emploi que vous n’aimez pas
- Ceux qui vous crient « cours, Forrest ! »
- Ce qu’est la rationalisation
- Comment ré-exprimer de manière positive l’adage « choisir, c’est renoncer »
- Ce qu’on peut faire de bien avec une colle qui ne colle pas, sous réserve qu’on ne la considère pas comme un échec
- Le rapport de tout ça avec un homme qu’on a opéré du cerveau pour sectionner le corps calleux (« split-brain« )
Bonne vidéo !
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=3Cr6G90Mw-I]
Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/lebonheurpourlesnuls1/~3/owkocVzeq1Q/
Les danois sont heureux, imperturbablement heureux. Enquête après enquête, ils se déclarent les plus satisfaits sur Terre, et sortent numéro 1 du fameux « World Happiness Report » de 2012 et 2013. |
Pourtant, le Danemark est l’un des pays les plus endettés au monde, il sort difficilement de la pire crise économique depuis la Seconde Guerre mondiale et subit une austérité budgétaire obstinée. Le pays a également une des pressions fiscales les plus fortes (près de 60% d’impôt, 170% de taxes sur les voitures, une TVA a 25% ) ainsi que des hivers longs et glacés… mais rien n’y fait.
Malene RYDAHL, danoise exilée dans notre pays de râleurs impénitents, nous dévoile dans son ouvrage les 10 raisons de ce radieux bonheur national :
1 – ils ont confiance
Sur 1100 portefeuilles laissés dans les rues avec 50$ en monnaie locale et le nom de leur propriétaire, 100% ont été restitués avec l’argent aux organisateurs de ce “test” !
2 – ils aiment leur école
L’important dans le système danois n’est pas d’être le meilleur ni de cultiver une élite. C’est que chaque élève se sente valorisé dans ses compétences et sa personnalité.Que chacun sente qu’il a une place et une utilité dans la société. Le niveau est ajusté sur la base, pas sur les meilleurs, pour être sûr que personne ne soit exclu.
3 – leurs enfants dépendent peu de leurs parents
70% des jeunes entre 13 et 17 ans ont un travail à côté de l’école (garde d’enfant, ménage, vendeur, livreur de journaux, caissier, …). Ce chiffre grimpe à plus de 80% à partir de 17 ans. Les jeunes issus de famille privilégiées travaillent autant que les autres. La première motivation des jeunes est de pouvoir payer eux-mêmes leurs activités de loisirs.
4 – ni riches ni pauvres
Il est beaucoup plus facile de prendre l’ascenseur social au Danemark qu’en France ou aux Etats-Unis. Le système fiscal danois est par ailleurs fortement redistributif et vise à réduire l’écart entre les revenus.
5 – ils ont des attentes réalistes
Comme les danois ne s’attendent pas à être meilleurs ou à briller, ils sont plus satisfaits de ce qui est.
6 – ils paient volontiers leurs impôts
Seuls 20%des danois considèrent qu’ils paient trop d’impôts. Il faut y lire la confiance dans leur bon usage pour les services publics, l’éducation, la santé et les transports.
7 – ils quittent leur bureau à 16h
… et cela ne choque personne.
8 – ils n’aiment pas l’argent
“Le devoir de l’individu est d’obéir à sa propre vocation” a écrit leur célèbre penseur Soren KIERKEGAARD. De fait, les danois accordent plus d’importance au fait de trouver sa voie qu’à cultiver sa richesse.
9 – ils détestent les vantards
Le code de conduite des danois : ne pas se prendre pour un être supérieur aux autres. D’après l’auteur, cette philosophie cultive une retenue assez agréable chez les danois.
10 – ils ignorent la galanterie
Quand un homme invite une femme, il n’est pas obligé de payer le diner.
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Les avantages :
Les conseils :
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La plupart des coachs se contentent de suivre leur intuition et de réinventer la roue. Le problème c’est que cela leur coûte souvent beaucoup trop de temps, d’énergie…et d’argent. A ne pas vouloir en dépenser et trouver les solutions eux-même – cela s’avère au final être beaucoup plus cher que de se former. Le résultat est alors sans appel : un retour prématuré sur le marché de l’emploi – OU un carrière de coach à mi-temps avec un autre job alimentaire pour joindre les deux bouts.
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Lier les vertus du coaching avec celles de l’hypnose Widgets Amazon.fr L’hypno-coaching, véritable source de développement personnel, rassemble les techniques classiques de l’hypnose éricksonienne avec celles du coaching personnalisé. Cette méthode innovante, aussi bien utilisée par les entreprises que par … Lire la suite
Source originale : http://marctraverson.com/psychotherapies/francois-roustang-psychanalyse-hypnose/
Il me semble parfois faire partie d’une microsecte, un cercle des lecteurs disparus, lorsque je me régale à la lecture de certains livres dont j’imagine qu’ils ne doivent guère se vendre à plus de quelques dizaines d’exemplaires. Cela pour introduire ce petit ouvrage titré, assez curieusement, Feuilles oubliées, feuilles retrouvées (Petite bibliothèque Payot / Psychanalyse, 249 p) qui regroupe une sélection de textes exhumés des fonds de tiroirs de François Roustang. Le titre du livre semble indiquer qu’il n’est pas évident de trouver la cohérence de ces textes… Pour l’essentiel il s’agit d’articles, de conférences, des écrits datant des années quatre-vingt du siècle dernier. A première vue, quand on l’ouvre, on se demande qu’est-ce qui fait l’actualité, de tout cela ? Qui peut encore s’intéresser à ce genre de choses ? Et puis voilà, surprise, surprise, c’est assez passionnant.
Une précision importante, tout de même : je suis depuis longtemps un fidèle de l’oeuvre de François Roustang, dont le parcours intellectuel est l’un des plus intéressant de la psychanalyse française, qui est un des penseurs les plus stimulants sur la relation, les dynamiques thérapeutiques. Roustang à mon sens n’est pas suffisamment reconnu – mais il est vrai qu’il a toujours été un franc tireur, un défricheur, peut-être un iconoclaste, et qu’à ceux-là on ne pardonne guère. Trop lucides. Rétifs. Dérangeants pour les ordres établis, en particulier celui – terriblement rigide – d’une certaine psychanalyse. N’empêche, c’est un homme qui a développé une pensée, ce qui ne court pas les rues. Lire son oeuvre c’est découvrir une trajectoire intellectuelle audacieuse et cohérente à la fois, qui éclaire avec beaucoup de finesse les enjeux de la relation d’aide, ce qui se joue dans l’accompagnement thérapeutique, dans ce que l’on appelle les psychothérapies. Au fil de ses ouvrages (citons Influence, Peut-on faire rire un paranoïaque, le best-seller la fin de la plainte, etc., c’est un auteur prolixe), il dessine une vision du changement en soi, dont chacun peut faire son miel. En le lisant, on se reconnecte à de profondes évidences, des points de repères essentiels et pourtant oubliés.
Les premiers ouvrages de Roustang sont assez exigeants dans la forme, touffus, complexes, marqués par sa formation analytique ; et puis, avec l’âge et l’expérience clinique, il épure, il simplifie, il devient un sage. C’est très beau, ce chemin austère, de dépouillement solitaire, qui lui permet de se mettre à la portée de tous, sans céder sur une haute exigence quant à la posture de thérapeute.
Ce chemin, c’est une randonnée qui commence par la philosophie, se poursuit dans les coulisses de la psychanalyse française des années 70, 80, avant d’amorcer un virage vers l’hypnose ericksonienne (une sorte de retour aux origines, l’hypnose ayant été à la source de la révélation freudienne). Il passe de l’une à l’autre, il pense l’une et l’autre, puis la voie s’élargit, elle s’ouvre comme une fleur pour tenter de pénétrer l’indicible : ce qui provoque le changement en nous, les mystérieuses voies de l’influence. Faute de temps, je ne m’étendrai pas. Il y a des passages difficiles, des escarpements, et des surplombs splendides, des ouvertures soudaines sur des paysages qui donnent le vertige. Sa manière de penser la relation est presque toujours en lien avec l’expérience clinique. C’est un va-et-vient entre la théorie et la pratique, ce qui le rend si intéressant pour ceux qui agissent dans cet univers-là. Ne le dites pas, c’est entre nous : Roustang fait partie de la grande famille des chamanes.
Voilà, vous remarquerez que j’essaie de vous transmettre le virus. On ne sait jamais.
Mais revenons au livre dont je voulais vous parler. De quoi parle-t-il dans ces textes, Roustang ? De psychanalyse, bien sûr, et d’hypnose, mais il propose aussi des études de caractères (le Rousseau tardif, Henri Michaux, Casanova). Il questionne des points techniques de la thérapie. Par exemple : les analyses ont-elles un fin ? Voilà qui a donné lieu à moult débats passionnés parmi les psychanalistes et leurs adersaires. Sa vision est pragmatique, toujours orientée par la recherche de l’autonomisation du patient. Roustang, à juste titre, craint l’analyse sans fin, l’installation du patient dans une position passive, de dépendance à l’égard de son thérapeute. (Ecrivant cela, je me dis que ce qui m’a toujours séduit dans son approche, le souci de favoriser l’action, la mise en mouvement du patient, son éveil.)
Ah oui, j’oubliais : il s’occupe aussi de Jacques Lacan, je veux dire du cas Lacan, ce qu’il appelle « l’illusion lacanienne ». C’est assez saignant, voire franchement gratiné. C’est un plaisir de voir comment il démonte les dérives du lacanisme (et il le fait parfois dans des conférences qui se tiennent devant des assemblées acquises au Maître, ce qui demande un courage certain).
Au moment où il écrit les textes de ce recueil, l’héritage lacanien est l’objet d’une lutte féroce entre ses disciples, des membres de sa famille. On se déchire. La pensée de Lacan a fait école, l’école est devenue une église – ou une secte -, ses épigones sont devenus un clergé, qui oscille entre « perversion raffinée » et « psittacisme dévoué ». L’obscur rayonnement lacanien a contaminé une part de l’intelligentsia française, et au-delà. Ses jeux de mots font fureur dans certains cercles. Et voilà que Roustang, tranquillement, dit que le roi est nu. Il démonte l’emprise, la dimension économique du système, tranquillement. C’est un geste intellectuel salubre. Retour au Réel. Dissidence.
Dissidence parce que Roustang, s’il est psychanalyste, n’est pas resté figé dans une pose, ou un hermétisme défensif, comme tant d’autre. Il se défie des dogmes. Il comprend mieux que beaucoup, grâce en particulier à sa connaissance de l’hypnose, les enjeux de la suggestion, et l’emprise que les psychanalystes exercent parfois, à leur corps défendant, par le dispositif du divan et le mutisme immarcescible du praticien (canons de la pratique imposée par Lacan). Ce qui donne du poids à son propos c’est que Roustang a bien connu Lacan (il a été en contrôle avec lui). Mais il a conservé une distance, un libre arbitre, qui lui permet d’analyser et de décrire les moyens qu’utilise l’homme aux cigares tordus pour étendre son influence, comment il séduit, subjugue ses patients, en fait ses disciples, puis des subordonnés. Comment, avec son noeud borroméen, il ficèle son monde. Cause toujours, Lacan ! Je recommande vivement, pour qui s’intéresserait à l’histoire contemporaine de la psychanalyse, de lire Roustang sur cette dérive, cette prise de pouvoir – géniale, au demeurant – qui a conduit une partie de la psychanalyse française dans l’impasse. Avec le recul, on peut mesurer sa lucidité.
Source originale : http://youtu.be/Hgu6PTWJxxo
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=Hgu6PTWJxxo&w=640&h=360]