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Alors, c’est très simple : pour vivre de votre passion pour le coaching et l’accompagnement, il faut que vous ayez un état d’esprit dans lequel vous créez un véritable véhicule, aussi complet que possible pour votre client :

pour l’aider à atteindre ces résultats,
pour l’amener du point de départ : le problème (ce qui fait qu’il cherche de l’aide) à la situation d’arrivée qui est le résultat, ce qu’il désire obtenir.
pour qu’il s’engage sérieusement dans ce qu’il a tant envie d’accomplir

Pour ça, il y a des problématiques où vous allez pouvoir amener la personne à son objectif en une séance. Et dans ce cas, c’est très bien.

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Comment Méditer Découvrez dans cette vidéo comment vous aussi vous pouvez facilement méditer chaque jour et ainsi changer avec certitude votre vie ! C’est quoi la méditation ? La méditation, ce n’est pas quelque chose de spécial, d’extraordinaire, réservé à certaines personnes. Non, parce que tout le monde peut méditer… En fait, la première méditation que […]

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Source originale : http://apprendresursoi-et-avancer.com/lequel-lemportera/

Cet article est écrit dans le cadre du festival de la croisée des blogs proposé tous les mois par le site Devperso.org
Ce mois-ci c’est Alexandre du blog Ceclair qui nous propose ce superbe thème : ralentir pour réussir

Ralentir pour réussir…

tgvUn beau thème, surtout pour l’été et les vacances. Prendre le temps, faire une pause, se ressourcer, un sujet bien à la mode en ce moment.

Il est vrai qu’aujourd’hui on entend beaucoup parler de « zen attitude » . Un peu partout fleurissent des cours de yoga, de relaxation, de bien être, de détente, sophrologie, méditation… toutes ces approches où l’on apprend à prendre son temps.

A perdre son temps ?

D’aucuns vont dire que c’est pour compenser l’agitation constante dans laquelle on vit en permanence, dans laquelle le monde nous entraine, ou plutôt dans laquelle on s’auto-entraine : c’est nous et nous seul qui nous sommes entrainé à ce rythme, pas le monde. La terre elle, tourne toujours à la même vitesse…

 

Aller vite pour rester en vie

Aujourd’hui tout change tellement vite, les technologies, le progrès, les moyens de communication et de transport, l’innovation… Ralentir nous ferait rater le coche ! On passerait à côté de plein de choses, on resterait à la traine, sur le quai: le train passe, il faut monter dedans.

Quand on crée quelque chose, il faut faire vite, car la concurrence est rude, et il faut percer vite si on ne veut pas se retrouver loin derrière.

Pour exemple, en France, en 2012, il y a eu environ 550 000 entreprises de créées, en 2013 c’était 538 000 de plus, et en 2014 c’est plus de 550 000 qui se sont rajoutées. Ca va vite.

Allez dire à tous ces entrepreneurs de prendre leur temps, je ne pense pas qu’ils en aient simplement le temps. Et d’ailleurs, dans le monde où on vit aujourd’hui, on cultive cette rapidité.

 

L’individualisme pour rester performant

Un proverbe africain dit que « seul on va plus vite » . Je pense que ça on l’a bien compris. On veut du vite, du rapide, on doit pouvoir avoir ce qu’on veut, comme on le veut, quand on veut, satisfaire ses envies immédiatement, sans attendre. Et le meilleur moyen d’y arriver c’est seul… comme ça on est sûr de ne pas être ralenti par les autres : négocier, prendre en compte les personnes, gérer les conflits, les tensions… tout ça, ça ralenti, ça stress, ça n’est pas confortable. C’est quand même bien mieux quand on peut aller à son rythme, satisfaire ses moindres désirs sans en rendre compte à personne. La liberté… seul !  Ca n’est peut-être pas pour rien que nos sociétés développent de plus en plus ce fameux individualisme dont on parle beaucoup aujourd’hui.

Seul on va donc plus vite, on est plus rapide, plus flexible, plus adaptable, on peut changer, bouger, déménager… plus vite. Onvictoire podium seul est donc plus performant : on peut répondre plus rapidement aux exigences sans cesse changeantes du marché.

Prendre son temps, n’en déplaise aux adeptes de la lenteur, c’est se retrouver à l’écart, « has been » avant d’avoir été, dépassé, perdu, à la traine… Honnêtement, si on avait tous continué à prendre notre temps, à vivre au rythme des saisons tranquillement, à attendre que les choses arrivent, on n’en serait jamais arrivé au niveau de modernité et de confort matériel qu’on a aujourd’hui. On en serait encore à tirer la charrue et les bœufs.

Prendre son temps irait à l’encontre du progrès ?

 

L’inutilité de se poser

Aujourd’hui les gens vont vite et si on veut rester en vie, il faut aussi agir vite, décider vite. On y va, on ne va pas perdre du temps à tergiverser pour trop réfléchir et savoir quoi faire. On agit et on verra bien. S’il faut, on change de direction et puis voilà. Mais au moins on fait, on bouge, on avance, on ne va pas gaspiller son temps à s’arrêter. Et en final… on s’épuise.

On s’épuise à foncer tête baissée.

A ne pas prendre le temps pour se poser et réfléchir un minimum avant, même si on reste en mouvement et qu’on peut avoir l’impression de garder le contrôle sur sa vie parce qu’on agit, en final si on fonce dans le mur, on ne s’en rendra compte qu’une fois dedans. Mais c’est pas grave, on change de direction et on continue. Sauf qu’à force, ça fatigue, et à terme les résultats ne sont même plus forcément au rendez-vous.

 

Un bon moyen de se faire manipuler

Et pourtant on le sait, et depuis longtemps. Depuis des années les têtes pensantes à travers le monde nous le disent comme La Fontaine avec son lièvre et sa tortue, le proverbe italien (francisé il n’y a pas si longtemps) « chi va piano va sano e lontano » (qui va lentement va sûrement et loin), ce proverbe arabe « La lenteur arrive souvent au but, la précipitation s’empêtre en chemin », etc…

Mais alors comment se fait-il qu’il semblerait qu’aujourd’hui on ait tant tendance à l’oublier ?

Maintenant, il est vrai que prendre du temps pour se poser un peu est aussi un moyen de prendre du recul sur ce qu’on fait, sur notre vie, nos décisions, nos relations… C’est peut-être un risque de remettre en questions trop de choses qu’on ne veut pas forcément voir dans notre vie, qui nous dérangeraient trop ou nous mettraient peut-être trop dans l’inconfort de changer. C’est se donner du temps pour réfléchir et ne pas foncer tête baissée sur tout ce qui bouge. Donc quelque part c’est aussi se donner la possibilité de reprendre un peu plus en main sa vie et de ne plus être (ou moins) dans la dépendance ou dans la réaction épidermique et émotionnelle – donc non réfléchie – de tous les stimuli dont on est abreuvé chaque jour à la télé, à la radio, sur internet, dans les magasins, dans la rue : la crise, les guerres, l’immigration, l’insécurité, le chômage…

Mais attention, si on commence à se poser, réfléchir, remettre en perspective et prendre du recul sur ce qui nous arrive, on devient moins facilement influençable ou manipulable, on commence à questionner ce qui nous arrive sans tout avaler « naïvement », à prendre des décisions plus posées, plus matures, donc à moins être dans la réaction « cutanée » basée sur des peurs, des désirs ou des envies (qui nous ont peut-être été créés et qui ne nous correspondent pas forcément entièrement). Donc attention, est-ce que c’est bien ça qu’on veut : être moins facilement influençable ou manipulable ?

 

Adapter son rythme aux besoins

ensembleRalentir, c’est aussi prendre le temps de regarder autour de nous, de mieux apprécier de ce qu’on a, notre environnement, les personnes qui nous entourent.

D’ailleurs, le proverbe africain en entier, dont je parlais un peu plus haut dit « seul on va plus vite… et ensemble on va plus loin » . Et qui dit ensemble, dit forcément prendre aussi en compte l’autre, ses attentes, ses besoins, son rythme… donc en final : ralentir.

Maintenant, ralentir pour ralentir ou trop ralentir, c’est un peu comme aller vite pour aller vite ou aller trop vite : stérile. La sagesse voudrait alors que l’on trouve un juste milieu, un équilibre entre les deux.

Mais parler d’équilibre ou de juste milieu, c’est quelque part partir du principe que aller vite ou aller lentement sont comme deux forces contradictoires qui s’opposent et qu’on doit, comme on peut, concilier et harmoniser.

Une autre façon de le voir pourrait être de ne chercher ni à perdre son temps, ni prendre son temps, ni aller vite ou doucement, mais tout simplement de VIVRE son temps au rythme nécessaire pour être ce que l’on veut être et aller où on veut.

Et pourquoi pas, commencer par faire comme le dit si bien Yannick Noah dans une de ses chansons :

« Venez on s’arrête et on ferme les yeux
On contemple la mer, on contemple les cieux
Venez on s’arrête, on marche dans l’autre sens
On revient sur nos pas, on s’arrête et on danse » .

Source originale : http://www.momentpresent.com/2015/03/22/marcia-pilote-linstant-present-sans-attente/

Celle qui est actuellement en mode « écriture » pour son sixième livre m’explique que si on ne peut toujours inventer de nouveaux thèmes concernant le mieux-être, notre vision de certains sujets évolue tout de même avec les années. Ainsi, on ne voit pas la vie à 30 ans comme on la voit dans la mi- quarantaine.

Si Marcia Pilote nous gâte d’un regard toujours renouvelé sur les aléas de la vie et ses bonheurs aussi, elle est consciente également d’inspirer beaucoup d’entre nous.

Elle qui est dotée d’un humour tantôt très fin, d’autres fois plus cinglant me dit : « J’ai longtemps eu honte de mon humour. Je me trouvais méchante. »  Heureusement pour nous elle a depuis fait la paix avec cette partie d’elle et assume complètement son sens de la répartie.

Comme l’explique Marcia, les femmes souffrent souvent et énormément parce qu’elles souhaitent faire l’unanimité. « Elles veulent se faire aimer de tous sans déranger. »  Marcia, quant à elle, a fait le constat depuis longtemps déjà que tout ce que nous vivons quotidiennement est un apprentissage pour se rapprocher davantage de qui nous sommes. Il est donc important de saisis qu’être apprécié de tous est rarissime.

Le moment présent en toute simplicité

Elle aime les choses simples et elle vit sa simplicité dans le moment présent. Lorsqu’elle s’arrête, plusieurs fois par jour, pour se retrouver dans l’ici-maintenant, cela a pour effet d’éliminer le stress qui l’entoure. Résultat : du stress, elle n’en vit pas! Pour elle, la vie est belle.

Il y a quatre ans, clouée au lit par la maladie pendant une très longue période de temps, les personnes près d’elle ont vraiment pu constater de tout le calme qui l’habite. « À la verticale ou à l’horizontale, en forme ou malade, je suis la même personne. »

Selon elle, ce qui gâche le plus la vie des gens ce sont les attentes qu’ils peuvent alimenter envers les autres. « Je n’ai pas d’attente envers qui que ce soit et je n’aime pas qu’on en ait à mon endroit non plus. »

Elle est très sage Marcia et sa sagesse prend naissance dans son ouverture relativement à la vie et et cette sagesse, elle l’a doit aussi à sa grande capacité d’adaptation.

Un de ses plaisirs coupables est, en plus d’écrire, d’offrir des conférences intitulées La vie comme je l’aime devant des groupes de femmes qui passent une journée entière à l’écouter, à rigoler, à apprendre. Ce  sont pas moins de dix outils qui, testés et approuvés par Marcia elle-même (elle se sert de certains d’entre eux depuis des années) viennent aider à toucher enfin à un véritable mieux-être qu’elle partage lors de ces évènements.

Ces outils sont les fruits de ses nombreuses années de travail comme chroniqueuse et comme animatrice où elle présentait des sujets sur la santé du Soi.

Gageons que Marcia, du moins c’est ce que j’ai pu en déduire lors de l’entrevue qu’elle m’a accordée, est loin d’être à bout de ressources pour encore de nombreuses années à venir en matière de partages et d’échanges avec son public cible : toutes les femmes!

Si vous souhaitez avoir des informations sur les endroits où Marcia Pilote présentera ses prochaines conférences, rendez-vous sur son site web au www.marciapilote.com et faites-vous, vous aussi, une vie comme vous l’aimez!

Source originale : http://www.semera.fr/le-blog/le-present-et-le-reel/les-pays-de-mon-coeur

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Les actualités m’informent de la noyade de migrants et d’un tremblement de terre au Népal.
Je viens de visionner le film « Soleil de nuit » et je me suis dit à la fin : « Nous devrions nous battre sans relâche pour la liberté de ceux qui n’en bénéficient pas. »
 
Tant d’injustices, de pauvreté, de malheurs.

Il y a plus de joie à recevoir qu’à prendre, et encore plus de joie à donner qu’à recevoir. Mais par où commencer ? (pour certains) Et où s’arrêter ? (pour d’autres).
 
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Sur les neuf types de l’énnéagramme (voir aussi l’article Sous pression), les types 1, 2 et 8 sont typiquement ceux qui se montrent particulièrement sensibles à cette problématique.
 
Le type 1, en perfectionniste, voudrait pouvoir tout résoudre.
Le type 2 est inconsciemment convaincu qu’on l’aimera s’il est généreux. L’aide aux autres, c’est toute sa vie.
Le type 8 est touché par les injustices, il ne craint pas de batailler pour les combattre.
 

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Nous parrainons des enfants en Asie grâce à l’association Enfants du Mekong.
Nous sommes allés les rencontrer en famille il y a quelques années. Nos enfants avaient alors cinq et huit ans. Cela contrariait énormément mon grand-père que nous les emmenions à l’autre bout de la terre. Il m’a dit, en colère : « Des pauvres, il y en a ici !!!« 

C’est un savant mélange d’histoire personnelle et de conjoncture qui nous a amenés à parrainer ces enfants. Il était vain de l’expliquer à mon grand-père, encore sous le coup de l’émotion, il avait surtout besoin d’être rassuré.

Mais j’ai trouvé intéressante sa remarque acerbe.

Je poursuis la réflexion ainsi :

  • Nous ne pouvons pas aider tout le monde. Le vouloir, c’est s’octroyer des super-pouvoirs que nous n’avons pas, en tous cas, pas seuls.
  • Nous pouvons donner un petit peu quand nous sommes sollicités directement, de personne à personne, pour préserver notre dignité et la dignité du quêteur; garder à cet effet quelques pièces dans sa voiture, dans ses poches, dans un tiroir à l’entrée du logement.
  • Nous pouvons laisser parler notre coeur et les circonstances (ami dans pays pauvre, voisin dont la famille vit dans un pays en guerre, …), ils nous emmèneront dans une direction précise pour nous investir davantage en temps (ex : engagement annuel dans une association), en argent (ex : don), en énergie (ex : course solidaire).

 

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Ceci illustre une nouvelle fois qu’adhérer au présent, au réel, n’est pas simpliste. Il s’agit d’utiliser nos sens, nos émotions et nos facultés intellectuelles. Le bénéfice en vaut la peine : nous nous sentirons vivants et pleinement humains.

Car ne jamais rien donner ou vouloir donner tout le temps relèvent d’extrêmes. Or l’absolu s’éloigne de la réalité au lieu de la rejoindre.

A vot’ bon coeur … !

 

 

Source originale : http://www.lecommercialequitable.com/comment-ne-plus-douter-de-vos-choix/

Vous arrive-t-il souvent de douter de vos choix? Pour ma part, j’ai souvent été confronté à cette difficulté de se poser l’éternelle question : « et si l’autre option était meilleure? ». Quelle pensée désagréable… Aujourd’hui, je rencontre pour vous Hervé TCHDRY, Auteur, conférencier et coach en Identité, passage à l’action et préparation mentale, qui est, à mon sens, […]