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Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !

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Source originale : http://joannetatham.fr/video-une-astuce-simple-pour-cesser-de-ruminer-a-lavance/

Nous avons toutes une capacité incroyable à nous projeter dans l’avenir. Lorsqu’il s’agit de notre grande vision, de beaux projets personnels et professionnels, c’est génial, mais lorsqu’il s’agit d’anticiper le pire, ce n’est vraiment pas à notre service !

Si tu es une habituée de ce genre de comportement et que tu aimerais cesser d’anticiper plus particulièrement des conversations potentiellement désagréables, cette vidéo est pour toi !

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=CGMgVRFjadw]

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© Joanne Tatham – 2014

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Source originale : https://touchersensible.wordpress.com/2012/10/25/la-lumiere-interieure/

En méditant hier, j’ai reçu un beau message que j’aimerais partager avec vous. La vision a débuté au coeur de ma poitrine. J’ai commencé par y voir des flammes danser. Un foyer, un feu qui la réchauffe. Pas un immense brasier qui m’aurait consumée, un feu tranquille, accueillant et réconfortant, un peu comme celui qu’on rêve tous d’avoir chez nous pendant nos douces soirées d’hiver…

J’étais donc en train d’expérimenter ça, ressentir cette chaleur interne dans ma poitrine. Cette sensation douce et agréable qui me réchauffait de l’intérieur. J’en ressentais physiquement les bienfaits et je voyais ce feu danser en moi, contenu dans une sorte de cube transparent duquel s’échappait de la lumière vers l’extérieur. Comme l’aurait fait une lanterne à huile.

Je réalisais alors que mon feu grandissait et que je pouvais en faire profiter les autres. Bientôt, je me retrouvais avec une dizaine de torches dans les mains. Elles sortaient de ma poitrine les unes après les autres, sans même que je fasse un mouvement pour les allumer. Je les tendais vers l’extérieur à ceux qui souhaitaient les prendre. J’observais quelques instant ce mouvement de va-et-vient entre l’intérieur et l’extérieur, toutes ces torches qui disparaissaient de mes mains une à une, jusqu’au moment où je me suis retrouvée sans torches.

Un personnage bleu s’était rapproché de moi et avait, en quelque sorte, englouti toutes mes dernières torches. Chaque fois qu’une torche sortait de ma poitrine, il s’empressait de l’attraper pour se réchauffer. Mais toujours en vain… Dès qu’il en attrapait une, elle se consumait aussitôt, et ne suffisait jamais à le réchauffer. Je ressentais sa présence de plus en plus près de moi. Une présence froide, bleue et humide, devenant presque oppressante, si pressé qu’il était de recevoir la prochaine torche. Il en avait terriblement besoin, et il me le faisait ressentir…

De joyeuse et légère, la situation commença à m’inquiéter. La présence de ce personnage m’avait refroidie, presque épuisée. Mon feu intérieur ne brûlait plus aussi intensément. Je pris peur un instant, pensant que son eau glacée finirait par pénétrer en moi et étoufferait mon feu complètement. Toutes mes torches s’étaient éteintes dans ses mains, et malgré tout il continuait de s’approcher de moi, comme hypnotisé par ma lumière intérieure… Je ne savais plus quoi faire. Mon instinct de survie me criait de m’éloigner au plus vite de ce personnage! J’avais peur que son besoin de se réchauffer soi si grand, qu’il en vienne à venir se servir et prendre directement les dernières bûches qui brûlaient au fond de ma poitrine.

C’est alors que j’entendis une voix rassurante qui me dit de ne pas m’inquiéter, que personne d’autre que moi n’avait accès à mon foyer intérieur. J’étais la seule à pouvoir ouvrir la porte qui me permettait de rayonner et partager mon feu avec l’extérieur. Et quand bien même son intensité en venait parfois à diminuer, il ne s’éteindrait jamais. Ma lumière intérieure serait toujours là en moi, quoi qu’il arrive. Je n’avais pas à me préoccuper de l’alimenter. Je n’avais rien à faire. Juste à la laisser brûler librement, me laisser pénétrer par sa chaleur et ses rayons qui irradiaient mon corps de toute part.

Cette voix m’invita également à remarquer que le même feu était présent au fond de chacun de nous. C’est alors que je regardais plus intensément le personnage bleu, et vis, comme par transparence derrière une couche épaisse de glace, des flammes danser au coeur de sa poitrine. La même lumière intérieure vivait au fond de lui, avec une très belle intensité!

Mais cette personne n’en avait absolument pas conscience, si figée qu’elle était dans sa cuirasse d’eau glacée. Une cuirasse bleue et froide, translucide mais impénétrable. Empêchant tout contact véritable avec l’extérieur. Certes, cette personne pouvait recevoir et prendre avec ses mains, mais elle vivait à la surface de son être. Glacée et éternellement malheureuse, coupée de son intériorité profonde. Elle errait d’une personne à l’autre, à moitié morte, à la recherche continuelle d’un amour et d’une chaleur qui la réchaufferait. Totalement ignorante que seul son feu intérieur pouvait faire fondre la glace qui l’enserrait…

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Source originale : http://apprendresursoi-et-avancer.com/vivre-ses-reves-rever-sa-vie/

Il est facile de vivre les yeux fermés en interprétant de travers ce que l’on voit (John Lennon)

Le rêve

Depuis que nous sommes arrivés sur terre (d’aucuns diront peut-être même avant), nous rêvons. Eveillés ou endormis nous rêvons. La différence est que quand nous sommes éveillés, le cadre de référence matériel nous fait percevoir les choses de façon linéaire. Quand nous dormons, nous n’avons plus ce cadre, et alors le rêve a tendance à changer en permanence.

Nous naissons avec la capacité d’apprendre comment rêver, et les personnes qui nous précèdent nous apprennent à le faire de la façon dont « rêve » la société. Ce rêve de la planète est fait de nombreuses règles qui captent notre attention et qui nous sont transmises dans notre esprit à travers nos parents, notre éducation, l’école, la religion…

L’attention c’est la capacité à sélectionner l’information et à se concentrer sur ce que l’on veut percevoir. Les adultes qui nous entouraient quand nous étions enfant ont capté notre attention et introduits, par la répétition, des informations dans nos esprits encore tous frais et malléables. C’est comme ça que nous avons appris ce que nous savons.

De cette façon, nous avons assimilé toute une réalité, un rêve qui nous a été transmis, sur ce qui était bon ou pas pour nous, sur ce qu’on devait faire ou pas, sur le bien le mal, le laid le beau, le vrai le faux, etc… On a aussi appris à capter l’attention des autres, et ce besoin d’attention qui continue à l’âge adulte, peut devenir très compétitif.

 

Les accords

Ce rêve de la planète capte notre attention et nous enseigne ce que l’on doit croire, à commencer par notre langage : un code de compréhension et de communication entre les humains. Chaque mot représente un terme sur lequel on s’est mis d’accord. Et l’ensemble forme un code sur lequel on s’est mis d’accord. Quand on connait ce code, l’attention est captée et il y a « transfert d’énergie » entre les personnes. Nous n’avons pas choisi notre langage, nos valeurs morales, notre religion. Tout ça était déjà là avant notre naissance. Mais nous avons donné notre accord à ce qui nous était transmis concernant ce « rêve » collectif. Etre d’accord avec ce qu’on nous transmet nous permet de le retenir. Et nous y croyons.

Enfant, nous croyons ce que nous disent les adultes, nous sommes d’accord avec eux, et notre foi est si forte qu’elle contrôle tout le rêve de notre vie. On peut toutefois essayer de se rebeller contre ces croyances, mais elles sont tellement profondes et ancrées, et elles régissent tellement notre vie, que nous ne sommes en général pas assez fort pour réussir cette rebellion. Il en résulte une soumission à ces croyances, avec notre accord.

 

La domestication

En fait, on pourrait l’assimiler à un processus de domestication, de la même façon qu’on domestique un animal, même si l’information qui nous est transmise est plus complexe que ce qui est transmis à un animal : on nous apprend comment vivre, les comportements acceptables, comment être des « bons » humains. On nous apprend des concepts, on nous apprend à juger, nous et les autres. Les enfants sont donc domestiqués pour intégrer ce « rêve » collectif, ce rêve de la planète. L’enfant est puni s’il ne fait pas comme il faut ou récompensé s’il fait ce qui lui est demandé. Et à force, par la répétition, pour ne pas être puni, et être récompensé ( = avoir l’attention requise) nous nous sommes petit à petit mis à prétendre être qui nous n’étions pas forcément, juste pour faire plaisir aux autres, pour paraître assez bien à leurs yeux. Nous avons commencé à jouer des rôles, par peur d’être rejeté. Et notre façon d’interagir est devenue, au bout du compte, comme une copie des croyances de nos parents, de la société, de la religion, etc…

Nos tendances naturelles se sont perdues au court de ce processus de domestication. Et cette domestication est si forte, qu’arrivé à un point de notre vie, nous n’avons plus besoin de personne pour nous domestiquer. Nous sommes si bien dressés que nous devenons notre propre dresseur. Nous sommes devenus des animaux auto-domestiqués. Ces croyances deviennent comme un livre de la Loi qui dirige notre esprit, et tout ce qui s’y trouve est notre vérité, sans aucun doute, même s’ils vont à l’encontre de notre nature intérieure. Un par un, tous les accords que nous concluons s’ajoutent à cette table de la Loi et dirigent notre vie.

Tout ceci découle d’un système de croyances auquel nous n’avons jamais choisi de croire. Elles sont d’ailleurs si fortes, que même si plus tard on découvre de nouveaux concepts  et qu’on essaie de prendre nos propres décisions, on réalise qu’elles contrôlent toujours notre vie.

Et puisque tout ce qu’il y a dans ce livre doit être vrai, la moindre chose qui remet en question nos croyances provoque un sentiment de mal être, comme de l’insécurité. Donc même si ce livre de la Loi est faux, il est rassurant et nous donne un sentiment de sécurité.

 

Retrouver la liberté

C’est pour ça qu’il est si difficile de remettre en questions ses propres croyances, parce-que même si on ne les a pas choisies, on leur a toutefois donné notre accord. Cet accord est si fort que même si on comprend que ces croyances ne sont pas vraies, on ne peut s’empêcher de subir la critique, la culpabilité ou la honte dès qu’on enfreint ces règles.

Et des accords, on en a conclu des milliers au cours de notre vie, avec soi-même, les autres, le rêve de notre vie, la société, nos parents, nos enfants, nos conjoints, etc… Mais les plus importants sont ceux qu’on a passé avec soi-même. Ce sont ces accords là qui nous disent ce que nous ressentons, ce que nous croyons, comment nous comporter, ce qu’on veut (croit ?) être. Ce sont ces accords qui décident de nos règles d’interactions avec le monde qui nous entoure, qu’on rassemble dans ce qu’on appelle la personnalité : « ce que je crois, ce que je peux faire ou non, ce qui est la réalité ou l’imaginaire, ce qui est possible ou impossible »

S’il n’y avait qu’un seul accord, ça ne poserait que très peu de problème, mais il y en tellement qui nous font souffrir et échouer dans la vie. Pour connaître une existence faite de joie et de plénitude, il faudrait avoir le courage de rompre les accords basés sur la peur et revendiquer notre pouvoir personnel pour nous aider à conserver notre énergie et même à en avoir plus.

Si nous sommes capables de voir que nos accords dirigent notre existence, et si nous n’aimons pas le rêve dans lequel nous vivons, alors il nous faut changer ces accords.

Parmi tous ces accords à changer, il en existe 4 en particulier, qui peuvent nous aider à rompre les autres issus de la peur et qui nous vident de notre énergie. Ces accords ont été rassemblés sous le nom des « 4 accords Toltèques« .

Je vous propose de les revisiter ensemble dans les articles qui vont suivre.

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Nous avons toutes une capacité incroyable à nous projeter dans l’avenir. Lorsqu’il s’agit de notre grande vision, de beaux projets personnels et professionnels, c’est génial, mais lorsqu’il s’agit d’anticiper le pire, ce n’est vraiment pas à notre service !

Si tu es une habituée de ce genre de comportement et que tu aimerais cesser d’anticiper plus particulièrement des conversations potentiellement désagréables, cette vidéo est pour toi !

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Si tu es une habituée de ce genre de comportement et que tu aimerais cesser d’anticiper plus particulièrement des conversations potentiellement désagréables, cette vidéo est pour toi !

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Source originale : http://pierrecocheteux.com/travail-engrenage-decrocher/

Comment décrocher de l’engrenage du travail ? “Aides-toi toi-même”…  À toutes les acharnées du boulot, sachez lâcher du lest et vous écouter. Parce que oui, parfois, la procrastination a du bon ! Petit guide à l’usage de celles qui peinent à déconnecter de leur travail, éclairé par Pierre Cocheteux, analyste transactionnel certifié et thérapeute. Avenir…

Cet article Travail et engrenage : comment décrocher ? est apparu en premier sur Psychothérapie – burn-out – Psy à Nantes.

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/pensees_positives/~3/99Ov33Lx67g/seance-dhypnose-cocon-de-transformation.html

Je vous propose une nouvelle séance d’hypnose proposée par l’association ActivZen.

Cette séance d’hypnose est une séance de transformation émotionnelle. Elle vous aidera à vivre plus sereinement.

Je vous invite maintenant à prendre une position confortable dans un endroit calme et à vous laisser guider par la voix que vous allez entendre.
J’espère que cette séance d’hypnose vous fera le plus grand bien. Je vous invite à la refaire jusqu’à ce que vous constatiez un mieux-être durable dans votre vie.


[youtube https://www.youtube.com/watch?v=rzEMSElecos]

Si cette vidéo vous a plu, je vous invite à découvrir toutes les autres vidéos d’ActivZen que j’ai déjà publiées sur le blog

Cette vidéo est proposée par l’association ActivZen
Pour en savoir plus sur ses activités, je vous recommande d’aller faire un tour sur le site Internet de l’association.

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Michele MONTAGNON

Les secrets du bon cadeau

« Le bon cadeau »

« Le bon cadeau » que voilà un sujet à la une en cette période ! Effectivement, les sujets favoris des médias tournent autour du « rush » des derniers jours et derniers achats avant les fêtes, avec cette prise de tête pour trouver le « bon » cadeau, vous savez, celui qui est sensé faire plaisir… Avez–vous trouvé votre bonheur ?

Comme chaque fin d’année la période des fêtes exacerbe une tonne de sentiments contradictoires en réactivant des souvenirs,  joyeux ou non. Décryptons les sens cachés des cadeaux entre « Plaisir d’offrir et joie de recevoir« …

Moins évident qu’on pourrait le croire, le « bon » cadeau est un exercice aussi complexe que subtil et qui se révèle au final être un véritable test sur notre capacité à mettre notre ego en veilleuse et à faire preuve d’empathie…

Voilà une double performance qui explique à elle-seule toute la difficulté de faire plaisir, car à la peur de décevoir s’ajoute le désir d’apparaître sous son meilleur profil.

« La surprise est chargée de dire à la fois qui je suis, mais aussi qui est l’autre pour moi et ce que vaut notre relation à mes yeux » exprime Sylvie Tennenbaum dans son livre Ce que disent nos cadeaux, pour qui cette surprise est toujours porteuse et déclencheuse d’émotions complexes et ambivalentes.

 

  • Votre belle-mère vous offre une batterie de casseroles et vous êtes… vexé(e), peiné(e) ?
  • Le livre que vous adorez et que vous avez offert à votre sœur ne l’inspire pas du tout ?
  • Votre père ne porte jamais la cravate que vous pensiez avoir bien choisie ?

Sans s’en rendre vraiment compte, les cadeaux sont le reflet caché de nos relations : ils dévoilent les pensées secrètes de l’autre mais aussi les nôtres !

Particulièrement drôles ou désagréables, ces situations et bien d’autres encore, nous en avons tous vécues.  Je me souviens des noëls de mon enfance, mêlés d’espoirs et de chagrins. “La déception et l’appréhension sont à la hauteur de l’investissement affectif” constate le psychanalyste Isabel Korilitski.

C’est vrai, nous le savons tous, sous le sapin, dans les interstices des papiers brillants et autres rubans dorés, se nichent des messages plus ou moins conscients : amour, tendresse, amitié… mais aussi jalousie, rancœur, rivalité, mépris… Aucune neutralité n’est possible !

Bien emballés au cœur de l’objet, sont offerts aussi les sentiments et émotions pour la personne et ce qu’elle représente pour soi.

Nous savourons alors les cris de joie de l’enfant qui découvre le trésor de ses rêves, le sourire de l’adolescent pour qui « vous avez assuré »  et le regard tendrement ému de l’être aimé.

Qu’est-ce qu’un cadeau ?

42362 Un cadeau est un « morceau » de soi que l’on offre, c’est un symbole du lien que nous entretenons avec les autres.

La question « comment combler les désirs de l’autre ? » est une véritable question de fond que se pose tout donateur attentif aux autres.

Aussi, lorsque le cadeau tombe juste, chacun se sent reconnu, comblé par l’autre et rassuré sur la force et la qualité du lien qui unit. Le summum de la gratitude est atteint lorsque l’un et l’autre s’offrent la « bonne surprise ».

Entre la  « valeur sûre » qui vous est offert mais qui dénote surtout le faible investissement (je ne parle pas d’argent mais de « valeur affective ») du donateur ou l’étonnement mi-figue-mi-raisin devant votre cadeau « humoristique » totalement décalé, parfois provocateur dans un humour à prendre paraît-il au second degré, l’épreuve est parfois dure !

Car offrir un cadeau est une épreuve, un véritable examen de passage : on est « reçu » ou on ne l’est pas ! Pas sûr qu’il y ait une session de rattrapage, et si oui, ce sera pour l’année suivante !

On comprend mieux pourquoi certains « ratages » alimentent des histoires dont il vaut mieux rire que d’en pleurer et ou s’enfouissent des blessures d’amour propre. Ne vous est-il jamais arrivé par exemple de recevoir un cadeau pour lequel le donneur vous dit « j’ai fait comme pour moi » ou encore « j’offre ce que j’aimerais qu’on m’offre”…alors que vous n’avez pas du tout les mêmes goûts que votre donneur.  Non seulement bien souvent le cadeau ne vous ravit pas particulièrement mais  bonjour la manipulation culpabilisante :-(   !  Le « don » n’a alors que le nom et est à sens unique.

S’il est parfois difficile de recevoir, il n’en reste pas moins que donner et recevoir est un double plaisir pour soi.  Mais attention, le cadeau réussit est celui qui dit notre amour, notre affection et reconnait l’autre dans ce qu’il est. Ce qui demande de s’oublier momentanément sans que cela coûte car il ne s’agit pas d’offrir une représentation de soi, mais de fêter l’autre, ses goûts, ses préférences, son univers.

Lorsque le bénéficiaire offre en retour au donateur toute sa joie, son émotion, sa gratitude, le don est double et le bonheur décuplé. J’aime dire que le cadeau réussit est celui qui comble à la fois celui qui offre et celui qui reçoit. C’est celui qui émeut, séduit, surprend, éveille les sensations et rassure l’Enfant en soi.

C’est tout cela que le destinataire perçoit au fond de lui quand il reçoit votre cadeau.

Pour aller plus loin

Qu’offrez-vous quand vous offrez un cadeau ?

Qu’est-ce qui vous anime ?

Quelle « partie » de vous offre le cadeau à cette personne ? Quelles sont ses intentions, sentiments ?

Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez vos biens. C’est lorsque vous donnez de vous-même que vous donnez réellement. Khalil Gibran

Vos cadeaux parlent de vous, alors pensez-y avant de faire vos emplettes, c’est la joie et l’harmonie partagée en cadeau…

On l’oublie trop souvent, on peut donner non seulement ce que l’on a, mais aussi ce que l’on est. »  Soeur Emmanuelle

Très joyeuses fêtes à tous !

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