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Source originale : http://www.tremblezmaisvivez.com/couples-heureux-les-destructeurs-couples/

Les destructeurs des couples ?

Une scène ne veut pas forcément dire rupture !

Personnellement, je ne connais pas de couple qui ne se dispute pas et ce n’est pas parce que l’on se dispute avec son conjoint que l’on va rompre ou divorcer car si bon nombre de couples se querellent, tout dépend de la façon dont démarre et évolue la discussion, le tout étant d’éviter les « destructeurs » de couples.

Qui sont ces destructeurs de couples ?

Si vous êtes (l’un ou l’autre) sur le point d’aborder un sujet délicat et que vous sentez qu’il y a un risque de « dérapage », quel comportement adoptez-vous ?

1. Vous optez pour la diplomatie et pour trouver un terrain d’entente vous gardez votre calme ?
2.  Vous attendez que votre partenaire soit suffisamment disponible et détendu(e)pour en discuter ?
3.  A peine rentré du travail, votre « sautez » sur votre partenaire pour lui faire part de votre énervement ?

La diplomatie est une bonne méthode.

En effet, il est préférable de laisser « tomber la température » plutôt que de foncer tête baissée car pour reprendre une discussion, une petite pause est souvent salutaire.

Attendre que son conjoint soit disponible et détendu est évidemment une bonne décision.

Cependant, n’attendez pas trop longtemps car une forte dose de frustration pourrait bien vous faire exploser comme une cocotte minute et plutôt que d’adresser des griefs à votre moitié comme :

« Je voudrais te dire que la réflexion d’hier au sujet de… m’a fait beaucoup de peine »

Vous pourriez être tenté de lui envoyer de méchantes critiques du style :

« Oui, j’en ai marre, avec toi c’est toujours la même chose et tu sais très bien que j’ai horreur de ce genre de réflexion. C’est vraiment dégueulasse de ta part de… »

Si ce genre de critiques vous échappe de plus en plus fréquemment, attention, cela signifie que le premier destructeur de couples  est parmi vous : La critique.

Après la critique, un autre destructeur de couples peut rapidement venir le rejoindre.

La scène pourrait se dérouler de la façon suivante :

Après votre journée de travail, vous vous installez tranquillement dans votre canapé et commencez à vous détendre. La porte s’ouvre, votre conjoint vient de rentrer.

Chez un couple où la bonne entente règne, l’arrivée du compagnon pourrait s’accompagner d’un :

« Coucou ! C’est moi. A te voir assis sur le canapé, tu as dû avoir une rude journée… »

Chez un couple où l’amitié et la complicité ne sont plus très présentes au quotidien, l’arrivée du conjoint  pourrait être saluée de la façon suivante :

Elle :« Bonsoir, ha ! Je vois que tu as retrouvé ta place favorite… (Le ton est sarcastique) Toujours avachi sur ce canapé. »

La critique ne va pas tarder à être suivie par un deuxième destructeur de couples.

Lui :« Ma journée n’a pas été terrible alors je prends quelques minutes pour me détendre »

Elle :« Mouais, comme d’habitude. Tu crois certainement que tu es le seul à avoir des journées difficiles.  Ben non ! Mais de toutes les façons, tu n’as pas besoin de ça pour rester affalé toute la soirée dans le canapé n’est-ce pas ? « 

Et voilà le deuxième destructeur de couple : Le mépris

Le mépris est un sentiment hautement préjudiciable. A lui seul il exprime combien quelqu’un est indigne d’intérêt et de respect.

Hélas, cette attitude de réprobation provoquera immanquablement une nouvelle réaction chez l’autre passant ainsi le relais à un troisième destructeur de couples : La réaction défensive.

Lui :« Quoique que je fasse, tu n’es jamais contente et puis, tu pourrais être un minimum agréable en rentrant, non ? C’est quoi ton problème ! »

Bien que naturelle parce qu’elle nous permet de nous protéger, cette réaction défensive est un obstacle à la communication et ne fait qu’entretenir l’escalade du conflit.

Pour stopper net cette querelle, une tentative de rapprochement serait la bienvenue et il suffirait peut être d’une phrase comme :

Une tentative de rapprochement

Lui :« Bon ! Je n’ai pas du tout envie qu’on se dispute alors arrête de râler et raconte-moi plutôt ta journée ».

Je sais, c’est plus facile à écrire qu’à mettre en application mais en procédant de cette façon, vous éviterez de faire surgir le quatrième destructeur de couples.

Parce qu’après l’assaut de la critique, suivi rapidement du mépris créant du même coup une réaction défensive, si la tentative de rapprochement échoue, qui viendra se joindre à ce trio infernal ?

Si la conversation évolue vers un :

Elle : « Hum ! Tu as raison… »

Grâce à la tentative de rapprochement réussie, le conflit sera étouffé dans l’œuf et laissera augurer une soirée tranquille.
Cela ne veut pas dire que le conflit ne resurgira pas ou qu’il est résolu mais la tentative de rapprochement permet de désamorcer rapidement ce moment de tension et offre une possibilité d’aborder le sujet conflictuel de façon plus calme.

Mais si la réponse est :

Elle : « Pourquoi je te raconterais ma journée puisque tu ne m’écoutes jamais et qu’en plus, tu t’en fous ? »

Alors là, il y a de grandes probabilités de voir monsieur se lever du canapé (le regard baissé afin d’éviter de croiser celui de madame) et quitter rapidement la pièce.

Le quatrième destructeur de couples vient de rejoindre le trio précédent : l’échappatoire

La tentative de rapprochement ayant échoué, l’échappatoire est la voie royale pour éviter tout combat et mettre fin à l’engueulade ; mais est-ce dans la fuite qu’on résout les conflits ?

Si vous constatez dans votre vie quotidienne la présence de ces destructeurs de couples, soyez vigilants car ils pourraient bien vous conduire directement devant un Juge aux Affaires Familiales.

Si vous avez des idées à partager ou des solutions à suggérer, n’hésitez pas à le faire savoir en laissant un commentaire.

A très bientôt !

Manima

Photo : fotolia.com

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Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/5-etapes-pour-mediter-tous-les-jours/

Les expressions de « pleine conscience » et de « méditation » sont maintenant devenues communes, avec une quantité infinie d’articles pour nous montrer les avantages en matière de réduction du stress, pour avoir de meilleures relations et une meilleure concentration au travail.

Avec les avantages de la méditation qui sont soutenus par à la fois des milliers d’années de pratique et par des preuves scientifiques, il n’y a pas plus de raisons de ne pas méditer.

Cependant, comme pour toute nouvelle habitude, il n’est pas rare d’avoir des difficultés pour se construire une routine et de la maintenir afin d’intégrer naturellement la méditation dans sa vie.

Voici quelques pistes pour rester dans une pratique régulière de la méditation, avec des étapes précises pour vous aider. Cela commence par :

1. Savoir « pourquoi » vous méditez :

Chaque bonne intention à son origine dans son « pourquoi ». Cela doit faire sens pour vous et être clair car vous pouvez lire des articles tout au long de la journée sur le sujet, mais sans votre propre engagement, cela va être difficile de maintenir une pratique régulière.

Et sans la pratique, vous ne pourrez pas être pleinement conscient de tous les bénéfices que la méditation peut vous apporter En attendant, faites un point de là où votre vie est maintenant et où vous souhaitez évoluer.

Faites-le maintenant : Prenez un morceau de papier et laissez venir ce qui vous passe par la tête pendant cinq minutes au sujet de votre vision pour votre vie. Quelles sont les qualités que vous voulez voir se développer à votre travail et dans vos relations ? Dans quelle partie de votre vie est-ce que vous vous trouvez vous-même coincé dans des souffrances ? Quelles sont les tendances qui se répètent (de la frustration, de l’impatience, de l’agacement, etc.) ?

Une fois que vous êtes au clair avec la méditation et pourquoi pratiquer, c’est important de :

2. Arrêtez de voir la méditation comme une corvée :

La méditation n’est pas une activité de plus à ajouter à un agenda déjà bien rempli. C’est un cadeau que l’on s’offre pour mieux être. Vous n’avez pas à vous précipiter avant de vous lancer dans la prochaine activité. C’est un moment de calme et de paix pour se retrouver avec soi.

Pour ce faire, améliorez votre espace de méditation. Créez-vous un espace avec des objets comme des bougies, des fleurs, ou de l’encens peut rendre l’expérience plus attractive. Vous aurez plaisir à rejoindre cet espace tous les jours !

Créer son espace de méditation est très important !

Une fois que c’est en place, il va falloir pour ne pas oublier surtout au début ajouter cela :

3. Mettez en place des déclencheurs pour vous aider à construire votre nouvelle habitude de méditation :

Toute habitude s’est construite par un élément déclencheur que nous en soyons conscients ou non. Par exemple, si nous nous réveillons tous les jours à la même heure, il y a un déclencheur qui est le réveil (surtout au départ avant que le corps ne soit habitué).

Certains déclencheurs comprennent le temps (un moment précis avec une alarme ou un rappel sur votre téléphone), un lieu précis ou un événement qui se répète. Lorsque j’ai commencé avec la méditation, j’ai pris l’engagement d’aller directement de mon lit à mon espace de méditation, en tirant parti des déclencheurs du temps et de l’emplacement. Comme les avantages et l’intérêt de la pratique sont devenus plus clairs, les dialogues intérieurs pour s’y mettre ont disparu, cela se fait naturellement.

Donc maintenant : Choisissez un ou deux déclencheurs pour vous rappeler de vous asseoir et de pratiquer une fois chaque jour. Essayez de régler une alarme, de tamiser la lumières dans votre espace de méditation puis vous n’avez qu’à prendre cinq profondes respirations conscientes après être installé le dos droit confortablement et vous serez en train de méditer !

4. Commencez en douceur :

Lors du démarrage d’une nouvelle méditation, beaucoup de gens se mettent une pression inutile pour essayer de méditer pendant de longues périodes de temps. Mais cela peut vous mettre en échec si cela ne correspond pas avec votre emploi du temps.

Donc, commencer petit par seulement 5 à 10 minutes au début, et n’essayez pas de trop en faire. C’est toujours mieux de pratiquer tous les jours 5 à 10 minutes que de démarrer par 30 minutes par jour puis d’abandonner après quelques jours. Asseyez-vous simplement en suivant une méditation guidée ou en suivant le mouvement de l’air de votre respiration.  Et pour cela, 5 à 10 minutes vont être suffisantes pour obtenir vos premiers changements !

Comme vous allez devenir plus à l’aise avec la focalisation de votre attention sur votre souffle, vous pourrez alors augmenter dans un deuxième temps la durée passée à méditer. Puis pour encore ancrer davantage la méditation dans votre vie :

5. Trouvez un groupe de méditation :

Les grandes villes ont souvent des groupes de méditation où vous pouvez pratiquer avec d’autres personnes. Vous pouvez aussi rejoindre un groupe sur internet. Je vois toutes les différences avec les personnes qui font parti du groupe de méditation que j’anime. Cela aide beaucoup pour avoir une réponse précise dès qu’il y a une interrogation qui arrive !

Maintenant que vous avez toutes les clés, n’oubliez d’alléger toutes vos idées et croyances et faites vous ce cadeau de méditer tous les jours !

« Hier n’existe plus. Demain ne viendra peut-être jamais. Il n’y a que le miracle du moment présent. Savourez-le car c’est un cadeau. »

Source originale : http://www.cabinetcomcoach.com/blog/formation-commerciale

La dissociation entre soi et l’organisation s’est redéfinir la raison d’être de l’organisation. La raison d’être de SoyezHeureux.com ce n’est absolument pas du tout de Laurent Marchand. La raison d’être de SoyezHeureux.com c’est vulgariser les types de développements personnels, à l’usage du développement d’affaires, du bien être et de la santé.