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Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !

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Source originale : http://mavieenmains.com/ai-pas-confiance-en-moi.html

Citation Persévérance Confiance en Soi "L’histoire a démontré que les gagnants les plus remarquables ont d’habitude rencontré des obstacles décourageants avant de triompher. Ils ont gagné parce qu’ils ont refusé de se laisser décourager par leurs défaites.” B.C. Forbes

Vous en êtes au point où vous vous dites “J’ai pas confiance en moi”?. Si oui, découvrez ci-dessous des informations sur de nombreuses solutions efficaces dont vous pouvez vous servir pour vous débarrasser de cette croyance négative. Mais il y a un point capital, un point qui va accélérer la vitesse à laquelle vous allez… Lire la suite ✩ Que faire quand vous en venez à vous dire « J’ai pas confiance en moi? »

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Source originale : http://mister-no-stress.fr/sortez-de-zone-de-confort/

Sortez de votre zone de confort pour continuer à évoluer et être fière de vous
Bonjour, je suis Luc GEIGER, Mister No Stress et le concepteur de la méthode NERTI. Dans la minute positive d’aujourd’hui je vais vous parler de cette notion très importante à mes yeux : la zone de confort ! Cette zone […]

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Source originale : https://touchersensible.wordpress.com/2012/11/11/le-mystere-de-la-vie/

Chacun vit dans son monde. Un monde à notre image. Peu importe que l’on s’y sente bien, qu’on le trouve injuste, qu’on s’y sente à l’étroit ou pas à sa place, le monde tel qu’on le voit c’est nous qui l’avons créé.

Pas physiquement, mais mentalement. Nos  interactions avec le monde dépendent de la façon dont on le pense, dont on se l’est représenté.

On pourrait se faire croire que le monde existe en dehors de nous, qu’il y a une manière objective et scientifique de le percevoir, de le palper, de l’observer. C’est ce que j’ai cru pendant de nombreuses années.

Qu’il y ait un seul et unique monde, fonctionnant avec sa propre vérité et logique interne. Un univers bien mystérieux, qui échappe à notre compréhension d’humains, mais que peut-être à force d’arpenter différentes voies de la connaissance (qu’elles soient scientifiques ou mystiques), certains finissent par toucher du doigt. Belle illusion!

C’est pour cette raison que j’ai passé tant d’années à faire des études universitaires et me suis lancée dans la « recherche ». Motivée par mon désir de comprendre, de connaître le monde, de savoir d’où l’on vient. Une curiosité viscérale qui ne m’a pas quittée depuis petite. Avancer encore et toujours vers plus de connaissances. Jusqu’au jour où je réalise que ce que je croyais être un chemin me menant à la vérité et au savoir, m’a mené au constat flagrant que « je ne sais rien ». Où que j’aille, qu’elles que soient le expériences que je vive, je ne trouverai jamais de réponse à la grande question du « Pourquoi? ».

Répondre au « Comment? », oui ça on sait faire! Construire un discours sur le monde qu’il soit scientifique, métaphysique ou religieux. Les hommes s’en sont toujours donnés à coeur joie, chacun fourmille d’imagination et d’intelligence pour construire une belle image de la réalité qui l’entoure. La réalité qui colle avec nos croyances. Celles que j’ai sur moi-même. La réponse au « qui suis-je? ».

Ces derniers jours ma définition de la réalité a été vraiment ébranlée. Les expériences que je viens de vivre m’ont permis de me rendre compte combien j’étais encore attachée à une certaine vision du monde pour construire mon identité. Vision qui, pour beaucoup, me vient encore de l’extérieur. Comme un cadre de référence d’une certaine « normalité » ou « vérité sur le monde » que j’aurai fait mienne, sans avoir pris la peine de questionner sa validité.

Je me suis alors retrouvée dans une position très inconfortable, comme coincée entre deux réalités : celle de mon quotidien de la vie de tous les jours (que je pense « connaître »), et celle que j’étais en train d’expérimenter, aussi incroyable et surprenante qu’elle puisse être. J’ai passé plusieurs jours à vivre dans un grand conflit intérieur, ma tête ne voulant se résoudre à accepter ce que j’étais en train de vivre car je n’avais aucune explication « rationnelle » de ce qui se passait en moi. Et pourtant c’était là. Ca se reproduisait chaque jour. Ce n’était pas une hallucination. Ca devenait ma réalité. Ma nouvelle réalité.

Aussi surprenante et différente de l’image que je me faisais de moi-même et du monde. Il m’a fallu l’accepter. Car finalement peu importe ce que les autres pensent ou vivent dans leur monde, ce qui se passe en moi, c’est MA réalité et je ne peux nier son existence. Aussi étranges et exceptionnelles que soient ces expériences, si je les vis c’est qu’elles font partie de moi, de mon monde, de qui je suis. Ne pas les accepter, c’est me mentir à moi-même. C’est renier ma réalité, ma propre existence. Ma vérité.

Précieuse vérité que j’ai si longtemps cherché à l’extérieur et qui me perturbe quand je la rencontre enfin… Une vérité pleine de mystères, et en constant mouvement. Infinie, impalpable. A peine vécue et entraperçue, la voilà qui m’échappe déjà. Je ne peux la penser. Mais la ressentir et la vivre oui!

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Source originale : http://mavieenmains.com/ai-pas-confiance-en-moi.html

Citation Persévérance Confiance en Soi "L’histoire a démontré que les gagnants les plus remarquables ont d’habitude rencontré des obstacles décourageants avant de triompher. Ils ont gagné parce qu’ils ont refusé de se laisser décourager par leurs défaites.” B.C. Forbes

Vous en êtes au point où vous vous dites “J’ai pas confiance en moi”?. Si oui, découvrez ci-dessous des informations sur de nombreuses solutions efficaces dont vous pouvez vous servir pour vous débarrasser de cette croyance négative. Mais il y a un point capital, un point qui va accélérer la vitesse à laquelle vous allez… Lire la suite ✩ Que faire quand vous en venez à vous dire « J’ai pas confiance en moi? »

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Source originale : http://mavieenmains.com/ai-pas-confiance-en-moi.html

Citation Persévérance Confiance en Soi "L’histoire a démontré que les gagnants les plus remarquables ont d’habitude rencontré des obstacles décourageants avant de triompher. Ils ont gagné parce qu’ils ont refusé de se laisser décourager par leurs défaites.” B.C. Forbes

Vous en êtes au point où vous vous dites “J’ai pas confiance en moi”?. Si oui, découvrez ci-dessous des informations sur de nombreuses solutions efficaces dont vous pouvez vous servir pour vous débarrasser de cette croyance négative. Mais il y a un point capital, un point qui va accélérer la vitesse à laquelle vous allez… Lire la suite ✩ Que faire quand vous en venez à vous dire « J’ai pas confiance en moi? »

Source originale : http://www.talentattitude.com/secret-charisme/

Le charisme a toujours exercé une sorte de fascination. le charisme est d’ailleurs souvent associé à une dimension magique ou mystique. Certains le représentent sous la forme d’un rayonnement énergétique, un peu comme l’aura. Beaucoup de monde prétend aussi que c’est un don naturel. Mon expérience personnelle m’a appris que cette croyance est fausse et je vais vous […]

L’article Le véritable secret du charisme est apparu en 1er sur Talent Attitude.

Source originale : http://marctraverson.com/coaching/la-prise-de-poste-sans-prise-de-tete/

prise-poste1On parle beaucoup de changement dans les organisations, et c’est sans doute très bien. Le changement est partout, on le sait au moins depuis Héraclite, qui rappelait que l’on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. Le tout est de ne pas se contenter de l’incantation (sauter sur sa chaise en criant « le changement ! Le changement ! ») en perdant de vue sa nature concrète.Or justement, quelle est-elle ? Quelque soit l’objectif poursuivi, le changement se concrétise par des modifications de la « géographie humaine » de l’entreprise. Il s’incarne, en somme, par des départs, des arrivées, des modifications des périmètres de responsabilité, des regroupements, fusions, réarrangements. Des hommes et des femmes changent de titre, de fonction, des équipes se modifient, et bien sûr les relations des uns aux autres sont amenées à évoluer en conséquence.

De ce fait, accompagner le changement pour le faire réussir, cela consiste d’abord à donner à ceux qui sont concernés les moyens d’être efficace dans une nouvelle configuration, et le plus vite possible. (Et non pas – suivez mon regard – à proposer des planning de transformation en forme d’usines à gaz, très jolis sur le papier, mais qui manquent l’essentiel : les dynamiques collectives, l’implication des acteurs des transformations.)

L’unité de base du changement dans l’organisation, la première brique, c’est donc une personne, quelque part, qui change d’attribution, d’équipe, de fonction. Comment l’aider à passer cette étape avec succès ? A s’intégrer dans un nouvel environnement, à réaliser ses nouvelles taches ? A quelles conditions ce mouvement peut-il se faire avec fluidité ?

Mon grand père, un homme paisible, riait beaucoup de cette histoire de l’adjudant qui accueillait les nouvelles recrues en leur posant cette question : « D’après vous, après un tir, combien de temps faut-il pour le fût du canon refroidisse ? » Devant l’ignorance de son auditoire, l’adjudant, docte, répondait avec une satisfaction manifeste : « Cela prend un certain temps ». (Je crois que c’était un sketch de Fernand Raynaud)

Prendre un poste, prendre son temps

Mais l’adjudant a raison. De la même façon, on peut dire que s’installer dans un nouveau poste, cela prend un certain temps. Un dicton du management assure qu’il faut six mois pour s’acclimater dans une entreprise. Mais je connais des organisations où, après un an dans un poste de direction, le titulaire commence tout juste à se faire une vision à peu près claire des rapports de force dans son entité, et de ses marges d’action. Songer à François Hollande, et la difficulté qu’il a eu à se faire à l’envergure du poste – évidemment pas le mandat le plus aisé. Combien lui a-t-il fallu ? Deux ans, trois ans, pour commencer à s’y sentir à sa place – et je ne préjuge pas du résultat… Certaines entreprises sont dotées d’une structure décisionnelle d’une grande complication. Il faut alors un long rodage, et pas mal de talent politique, pour déchiffrer leur écosystème, ce qu’on peut appeler « l’arbre décisionnel », et s’y faire peu à peu une place. (On rencontre des cas où l’arrivant est mis en défaut avant même d’avoir pris la mesure du poste, et débarqué avant d’avoir compris ce que l’on attendait de lui.) 

Les apprentissages nécessaires

De quoi est fait cette durée particulière de la prise d’un nouveau poste ? Cela dépend en particulier de la hauteur de la marche à franchir, pour l’arrivant. Quel défi cela représente-t-il pour eux ?

Si je me souviens des nombreux entretiens que j’ai menés avec des managers et dirigeants confrontés à cette situation, dans différentes organisations, il me semble que quelques apprentissages cruciaux conditionnent la rapidité de la « montée en compétence » dans une nouvelle fonction :

  • Appréhender l’activité, comprendre le métier (si on vient d’un autre domaine)
  • Découvrir les principaux interlocuteurs : les membres de l’équipe, les hiérarchiques directs ou fonctionnels, les personnes influentes dans l’organisation, les clients et fournisseurs importants (externes ou internes), etc.
  • Saisir les attentes des collaborateurs (ou leur absence d’attente)
  • Saisir les attentes des donneurs d’ordre : quels sont précisément les objectifs du poste ? Sur quels indicateurs les résultats seront-ils évalués ? Quelles sont les véritables priorités (elles peuvent être tues, ou implicites) ?
  • Mesurer son périmètre d’intervention : c’est-à-dire le domaine effectif de son influence, au-delà de l’organigramme, qui n’est qu’un modèle théorique
  • Repérer les tabous et mesurer les risques, fût-ce pour foncer dans le tas (mais alors le faire en connaissance de cause)
  • Comprendre sa propre valeur ajoutée : que peut-on apporter de différent, par rapport au précédent titulaire ? Qu’a-t-on envie de développer?

Voilà ce qui me vient. Cela fait beaucoup de choses à envisager, bien sûr. D’une certaine manière, tout cela va être intégré naturellement, progressivement – j’allais dire : sans y penser. Mais on peut aussi accélérer cet apprentissage, et s’efforcer d’éviter au maximum les fautes de quart, les erreurs et les impasses. En somme, aller plus vite à l’essentiel. (Par parenthèse, c’est aussi bien l’intérêt du postulant que de l’organisation. Car le coût d’une mobilité ratée, interne ou externe, est toujours exorbitant – parlez-en autour de vous, et vous verrez ce qu’en disent ceux qui ont une expérience de management.)

Etablir de nouvelles relations de travail

Dans un coaching, je propose souvent d’aider mon client, après avoir analysé ses enjeux,  à se donner une feuille de route personnelle. A ce stade, vous remarquerez qu’il faut souvent réfréner son ardeur, son envie de se donner des objectifs trop nombreux et ambitieux. Même dans un monde drogué à l’accélération permanente, se rappeler : qui va piano va sano.

L’adjudant sera sans doute d’accord avec moi : on ne doit pas sous-estimer le certain temps que prend la découverte d’un poste. Or il est courant de sous-estimer la durée d’acclimatation et tous les ajustements qu’elle implique. Il y a une courbe d’apprentissage à respecter, on ne pourra pas faire tout, tout de suite. Et c’est tant mieux. Je dis à celui ou celle qui arrive quelque part : profitez de cette période de découverte, elle est riche ! On ne vous tiendra pas rigueur de ne pas tout connaître. Beaucoup de vos interlocuteurs chercheront sincèrement à vous aider, à vous faciliter les choses, à vous informer. Ecoutez-les ! Plutôt que de vous précipiter dans l’action, ouvrez vos oreilles bien grand ! Questionnez ! Vous entendrez des choses essentielles pour comprendre le fonctionnement de votre organisation et de votre nouveau poste. En ne réagissant pas au quart de tour, vous vous laissez le temps de la décantation, indispensable pour une action véritablement efficace.

Manager son chef

Lors d’une prise de poste, il y a beaucoup d’informations à engranger, des savoirs à acquérir. Mais le plus important selon moi, est d’établir un bon niveau de relation avec les principaux interlocuteurs, de construire avec eux les bases d’un fonctionnement efficace et confiant (ou de réaliser que ceci est impossible – ce qui vous évitera de perdre du temps !).

Et cela, d’abord avec le hiérarchique direct. Manager son chef est essentiel, tout le monde le sait. Je recommande de prendre le temps de l’interroger précisément, lors des premiers contacts. Qu’attend-il ? Que redoute-t-il ? Comment voit-il les enjeux ? Quel est son mode de management/communication privilégié ? (Oui, c’est une question qui vaut la peine d’être posée.) Dans un coaching, ces sujets sont abordés lors de l’entretien entre le bénéficiaire de l’accompagnement, son hiérarchique et le coach, qui donne lieu à un contrat tripartite sur les objectifs de l’accompagnement.

L’autre enjeu, quand le poste a une dimension de management, c’est de se positionner rapidement au bon niveau avec son équipe, avec humilité dans l’approche (parce qu’on va s’appuyer sur le savoir-faire collectif, sur ce qui existe déjà), mais aussi précision quant à son rôle de manager. Dans cet esprit, je recommande d’être attentif aux actes symboliques : prendre le temps d’écouter chacun, par exemple. Et, même si l’on est plus à l’aise dans le face-à-face, ne jamais négliger d’installer les temps collectifs : proposer des modalités de travail claires pour les réunions, des règles simples de travail en commun. Bref, poser nettement un cadre de travail. Dire comment on envisage de remplir sa mission, les difficultés que l’on anticipe, en quoi on aura besoin de s’appuyer sur l’équipe.

Le paradoxe de la prise de poste

Mon conseil, en conclusion de cette note : ne mésestimez pas le temps nécessaire pour s’intégrer harmonieusement dans un nouvel environnement. Je sais que parfois on n’a pas le temps, que l’on nous presse, que l’urgence commande. Oui, bien sûr. Mais justement, le leader est celui qui saura ne pas se laisser aspirer trop vite dans ce mouvement, qui aura l’intelligence et la prudence d’installer son propre tempo. Rien de plus dangereux que de prétendre aller plus vite que la musique. Ne faites pas dérailler l’orchestre. Il faut savoir profiter, quand on arrive dans un nouveau poste, d’une période (celle que l’on appelait autrefois « l’état de grâce », en politique, et qui suivait le succès à une élection) pendant laquelle on bénéficie de l’effet de nouveauté et de l’indulgence générale. Paradoxe : savoir ne pas aller trop vite, une clé pour être le plus vite à sa place dans une organisation.

© Marc Traverson

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