Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !
Source originale : http://www.semera.fr/le-blog/se-connaitre/ombre-et-lumiere

Petit moral ce matin.
Des travaux qui s’éternisent, une météo maussade, mon dos qui me fait souffrir et me rappelle mon handicap, mes enfants partis en camp hier, …
En général, à ce stade là, je glisse vers de mauvaises petites décisions.
Mais cette fois, je prends conscience que, petit moral ce matin. Et, légère amélioration, je reste dans le ressenti.
La phrase de ma mère (phrase qui me bouscule depuis sept mois) « Finalement, ton livre c’est tout ce que tu n’appliques pas à toi-même » me donne pour la première fois une once d’énergie qui me dirige vers mon livre. Je suis censée faire quoi là maintenant, dans cet état précis ?
Qu’ai-je mis dans ma trousse d’urgence ?… Ah oui, une vidéo marrante. Pas besoin d’aller sur l’ordi, je me la passe dans la tête. Je souris.
Un tout petit rien d’énergie en plus. Je sens que quelque chose s’inverse, que je ne regarde plus le sombre mais le clair.
Et me voici à vous rédiger cet article sur le vif (rare !).
Je perçois tellement, dans cet instant, la frontière invisible. De la vexation latente qui abat, je suis passée à la vexation qui renvoie vers l’action.
Je suis toujours en train de lire Le test du marschmallow (Voir aussi l’article Station to station) et c’est impressionnant de constater à quel point nos pensées, selon qu’elles soient tournées vers l’ombre ou la lumière, influencent notre vie.
Les personnes sensibles vacillent peut-être plus facilement de la lumière vers l’obscurité mais cette facilité vaut aussi pour le trajet inverse. Nous avons les forces de nos faiblesses. Reconnaître sa sensibilité, c’est pouvoir ensuite l’utiliser pour repérer le passage de la frontière invisible et se retourner en douceur vers l’esprit vaste. Une sorte de sport cérébral !
Je vous souhaite de très bonnes vacances.
Source originale : http://lepetitcoach.com/phrases-positives-pour-parents-aimants-1/
Vous voulez que vos enfants soient heureux, aient confiance en eux, se sentent aimés et choyés et qu’ils soient biens préparés pour avoir une vie couronnée de succès ?
Voici les phrases que vous pouvez leur dire pour booster le bonheur de vos enfants.
-
Je t’aime
S’il n’y avait qu’une phrase, ce serait celle-là !
Répétez à votre enfant que vous l’aimez chaque jour, aussi souvent que possible.
Cela ne coûte rien et c’est tellement bon ! Cela vaut aussi pour les autres personnes que vous aimez, d’ailleurs.
-
Tu es unique
Votre enfant devrait savoir qu’être unique est une bonne chose et qu’il n’a pas besoin de copier les autres ou de se fondre dans la masse pour être aimé et respecté.
-
Quel est ton avis ?
Votre enfant se sentira plus important et « grand » à chaque fois que vous lui demanderez son avis sur une chose. Il est une personne à part entière et devrait être traité comme tel.
-
Qu’as-tu fait de beau aujourd’hui ?
Il est important de pouvoir raconter sa journée pour partager ses bons comme ses mauvais moments. Cela permet de relativiser certaines choses et de créer des liens forts en famille.
-
Comment te sens tu ?
Votre enfant a des sentiments, il peut ressentir de la colère, de l’amertume, de la tristesse, de l’amour, de la joie, du bonheur, etc.
Tout comme un adulte. Ne dites jamais à votre enfant que ce qu’il ressent n’est pas vrai car il est trop jeune…
L’amour qu’un enfant ressent est aussi fort que celui d’un adulte et lorsqu’il est blessé, il l’est autant qu’un adulte.
Apprenez à votre enfant à s’ouvrir et à exprimer ses sentiments.
-
Tu es formidable
C’est dans les premières années que la confiance en soi se crée et il est primordial de faire savoir à votre enfant qu’il est une bonne personne, qu’il peut même être formidable. Cela lui donne confiance en lui et cela le motive pour être encore meilleur. Appréciez le sourire et le bonheur de votre enfant lorsque vous lui dites ces mots.
-
Bravo, c’est très bien
Pensez à complimenter votre enfant lorsqu’il fait quelque-chose de bien.
Cela lui permet de savoir que c’est bien et cela lui donne envie de recommencer.
Le féliciter encore plus important si vous êtes une personne plutôt critique.
-
J’ai confiance en toi
Le fait de savoir que ses parents croient en lui donne des ailes et permet à l’enfant de donner tout ce qu’il a pour mériter cette confiance. Il ressent une fierté et une sécurité personnelle plus forte et est meilleur que s’il doutait de lui-même.
-
Merci
Remerciez votre enfant comme il se doit. Tout ce qu’il fait n’est pas normal, juste parce qu’il est votre enfant. S’il vous aide à faire quelque-chose, s’il vous fait un petit cadeau, s’il vous fait plaisir… dites-lui juste merci.
La reconnaissance est extrêmement importante pour les adultes comme pour les enfants.
Je vous souhaite beaucoup de bonheur avec vos enfants et vous retrouverez la suite de ces phrases positives dans la deuxième partie.
Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/surlechemindesoi/SlYs/~3/UKNBqPCV0oI/
Comment Oser faire le premier pas ? C’est la question que m’inspire cette courte vidéo très parlante. Quels sont vos blocages ? Visionnez la vidéo et on en parle après…
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=BI_HOPqcRFA]
Qu’avez-vous repéré dans le message de cette vidéo ?
C’est la peur qui vous fait reculer ! Bon, « et alors, j’ai le droit d’avoir peur ! » direz-vous peut-être. Bien sûr ! Il n’est pas question ici de culpabiliser ni d’avoir honte de quoi que ce soit, bien au contraire.
L’idée est de vous aider à comprendre ce qui se passe en vous et de vous aider à sortir de ce cycle infernal qu’engendre la peur et ses méfaits sur votre santé physique et psychique.
Entre l’évitement, la fuite, la procrastination, le déni, la soumission, la simple déprime ou la dépression grave (et j’en oublie sûrement) la route peut être longue !
Alors, si vous souhaitez avancer sur votre propre chemin, vers Soi,
Répondez-vous à ces questions :
- Pourquoi n’osez-vous pas faire le premier pas ?
- Qu’est-ce qui vous empêche d’avancer ?
- Qu’est-ce qui est pour vous un véritable cauchemar ?
De quoi avez-vous peur ?
- du loup ? … ou tout autre animal,
- des voleurs ?
- d’être poursuivi(e) ?
- de sauter en parachute ?
- du regard des autres ?
- de ne pas y arriver ?
- de votre patron ?
- de faire ce que vous n’avez encore jamais fait ?
- d’agir autrement que les autres ?
- d’écrire un article sur un blog ?

- de publier un livre ?
- d’échouer ?
- de réussir ?
Quoi d’autres ? Faites votre propre liste…
Des peurs « paradoxales »
Aussi bizzaroïde que ça puisse être, certaines peurs semblent paradoxales parce-qu’elles tournent autour de la peur de soi ! Incroyable … mais vrai !
- Peur de ses propres réactions (accès de colère, violence)
- Peur de ses sentiments
- Peur de ses pensées
- Peur de ses sensations
- Peur de ses intuitions, de ces « petites voix intérieures » parfois contradictoires et qui vous donnent cette impression de « perdre la tête », de devenir « cinglé(e) »
Toutes ces peurs qui sont à l’origine du manque de confiance en soi et de la faiblesse d’estime de soi…ça vaut le coup d’en savoir plus, d’apprendre à gérer ses émotions pour sortir de ce cercle vicieux, non ?
Je ne parle pas des peurs bien réelles et légitimes en situations dramatiques de guerre et autres sauvageries. Je parle ici des peurs « ordinaires » de la vie courante.
Bien souvent vos peurs ne sont que le pur fruit de votre imagination. C’est ce que nous montre cette vidéo dans ce passage ou le loup disparaît dans un nuage de poussière lorsque la jeune femme l’affronte.
Vos peurs se manifestent dans vos rêves et vos cauchemars. Elles sont issues de vos manques, de vos frustrations, de vos faiblesses, de tout ce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas voir en vous. Oui, EN VOUS, tapi dans l’ombre de votre inconscient. Comment je le sais ? Parce-que si ce que je dis vous parle, c’est que vous le savez… inconsciemment. Vous ne savez pas que vous savez …(quand je vous dis que c’est du paradoxale ;-)) mais vous pouvez très bien le visualiser, le matérialiser. Ce que vous ne reconnaissez pas ne peut pas vous déranger…et donc encore moins vous faire peur ! … C’est clair pour tout le monde ? 
Pour aller plus loin
Dans un prochain article nous verrons quelques pistes pour OSER affronter vos peurs. Pour l’instant, revoyez cette vidéo, imaginez-vous à la place de la jeune femme et demandez-vous quelles sont les situations qui vous font faire un pas en arrière. Notez-les. Décrivez le contexte dans lesquelles elles se manifestent le plus souvent ? Avec quelle(s) personne(s) ? Toujours les mêmes ? Dans quel état vous sentez-vous lorsque vous avez peur ? Observez Qui à peur en vous ?
Quand vous aurez terminé d’écrire tout cela dans les détails, observez ce qui ressort de vos écrits. De quoi prenez-vous conscience ? Que ressentez-vous ? Notez tout cela dans cahier ou créez un dossier spécial dans votre ordinateur.
Portez attention à vos rêves…c’est votre inconscient qui vous parle de vous ;-). Notez- les également. Si vous avez du mal, je vous donnerai une technique pour le faire. Dites-le moi dans les commentaires.
Tout ceci est votre propre matériel pour apprendre à mieux vous comprendre, à prendre soin de vous, pour votre bien-être. Il suffit d’Oser faire le premier pas !
Pensez-vous que cet article pourrait intéresser vos amis ? Alors merci de le partager 
Et n’oubliez pas de laisser un petit commentaire ci-dessous avant de quitter cette page !
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Source originale : http://www.semera.fr/le-blog/se-connaitre/ombre-et-lumiere

Petit moral ce matin.
Des travaux qui s’éternisent, une météo maussade, mon dos qui me fait souffrir et me rappelle mon handicap, mes enfants partis en camp hier, …
En général, à ce stade là, je glisse vers de mauvaises petites décisions.
Mais cette fois, je prends conscience que, petit moral ce matin. Et, légère amélioration, je reste dans le ressenti.
La phrase de ma mère (phrase qui me bouscule depuis sept mois) « Finalement, ton livre c’est tout ce que tu n’appliques pas à toi-même » me donne pour la première fois une once d’énergie qui me dirige vers mon livre. Je suis censée faire quoi là maintenant, dans cet état précis ?
Qu’ai-je mis dans ma trousse d’urgence ?… Ah oui, une vidéo marrante. Pas besoin d’aller sur l’ordi, je me la passe dans la tête. Je souris.
Un tout petit rien d’énergie en plus. Je sens que quelque chose s’inverse, que je ne regarde plus le sombre mais le clair.
Et me voici à vous rédiger cet article sur le vif (rare !).
Je perçois tellement, dans cet instant, la frontière invisible. De la vexation latente qui abat, je suis passée à la vexation qui renvoie vers l’action.
Je suis toujours en train de lire Le test du marschmallow (Voir aussi l’article Station to station) et c’est impressionnant de constater à quel point nos pensées, selon qu’elles soient tournées vers l’ombre ou la lumière, influencent notre vie.
Les personnes sensibles vacillent peut-être plus facilement de la lumière vers l’obscurité mais cette facilité vaut aussi pour le trajet inverse. Nous avons les forces de nos faiblesses. Reconnaître sa sensibilité, c’est pouvoir ensuite l’utiliser pour repérer le passage de la frontière invisible et se retourner en douceur vers l’esprit vaste. Une sorte de sport cérébral !
Je vous souhaite de très bonnes vacances.
Source originale : http://www.semera.fr/le-blog/se-connaitre/ombre-et-lumiere

Petit moral ce matin.
Des travaux qui s’éternisent, une météo maussade, mon dos qui me fait souffrir et me rappelle mon handicap, mes enfants partis en camp hier, …
En général, à ce stade là, je glisse vers de mauvaises petites décisions.
Mais cette fois, je prends conscience que, petit moral ce matin. Et, légère amélioration, je reste dans le ressenti.
La phrase de ma mère (phrase qui me bouscule depuis sept mois) « Finalement, ton livre c’est tout ce que tu n’appliques pas à toi-même » me donne pour la première fois une once d’énergie qui me dirige vers mon livre. Je suis censée faire quoi là maintenant, dans cet état précis ?
Qu’ai-je mis dans ma trousse d’urgence ?… Ah oui, une vidéo marrante. Pas besoin d’aller sur l’ordi, je me la passe dans la tête. Je souris.
Un tout petit rien d’énergie en plus. Je sens que quelque chose s’inverse, que je ne regarde plus le sombre mais le clair.
Et me voici à vous rédiger cet article sur le vif (rare !).
Je perçois tellement, dans cet instant, la frontière invisible. De la vexation latente qui abat, je suis passée à la vexation qui renvoie vers l’action.
Je suis toujours en train de lire Le test du marschmallow (Voir aussi l’article Station to station) et c’est impressionnant de constater à quel point nos pensées, selon qu’elles soient tournées vers l’ombre ou la lumière, influencent notre vie.
Les personnes sensibles vacillent peut-être plus facilement de la lumière vers l’obscurité mais cette facilité vaut aussi pour le trajet inverse. Nous avons les forces de nos faiblesses. Reconnaître sa sensibilité, c’est pouvoir ensuite l’utiliser pour repérer le passage de la frontière invisible et se retourner en douceur vers l’esprit vaste. Une sorte de sport cérébral !
Je vous souhaite de très bonnes vacances.
Source originale : http://youtu.be/BxMDzja7KEY
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=BxMDzja7KEY&w=640&h=360]
Source originale : http://youtu.be/s5exX_Rc82g
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=s5exX_Rc82g&w=640&h=360]
Source originale : http://youtu.be/S9-g_IkNWIc
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=S9-g_IkNWIc&w=640&h=360]
Source originale : http://youtu.be/sx3rWBFOSW0
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=sx3rWBFOSW0&w=640&h=360]
Source originale : http://youtu.be/dfXQ0teZRJQ
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=dfXQ0teZRJQ&w=640&h=360]
Source originale : http://youtu.be/zdFJI_5ZOCc
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=zdFJI_5ZOCc&w=640&h=360]
Source originale : http://youtu.be/P2aRLBFmPOI
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=P2aRLBFmPOI&w=640&h=360]

