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Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !

Les séminaires

Encore un grand merci pour cette belle aventure ! Elle reste gravée en moi comme une expérience richissime qui a réveillé et révélé tant de choses (si positives). Et que

Les séminaires

Mon week-end a été un vrai moment de partage au delà de mes espérances. Et à ce titre, je vous en remercie tous chaleureusement. Et il a déjà porté ses

Le Poète

Et voilà ! Je sors de deux jours dans le cadre du séminaire « définir sa mission de vie ». Ce fut deux jours riches et authentiques ponctués de superbes rencontres. Le

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Encore un grand merci pour cette belle aventure ! Elle reste gravée en moi comme une expérience richissime qui a réveillé et révélé tant de choses (si positives). Et que

Les séminaires

Encore un grand merci pour cette belle aventure ! Elle reste gravée en moi comme une expérience richissime qui a réveillé et révélé tant de choses (si positives). Et que

Source originale : http://www.penser-et-agir.fr/comment-se-faire-de-nouveaux-amis/

Comment se faire de nouveaux amis ?On pense (et à raison) qu’il vaut mieux être seul que d’être mal accompagné. Mais qui penserait qu’il n’y a aucun avantage à être entouré d’excellents amis ? Une amitié sereine et sincère, c’est comme une brise rafraîchissante en période de chaleur. Le plus difficile est souvent de trouver et d’élargir son cercle d’amis fidèles. Cet article donne des suggestions pratiques à tous ceux qui cherchent comment se faire de nouveaux amis.
Pourquoi est-ce si difficile de se faire de nouveaux amis …

Ce post Comment se faire de nouveaux amis ? est apparu pour la première fois sur Penser et Agir : Le développement personnel par l'action !.

Source originale : http://www.momentpresent.com/2015/01/16/choisir-depouser-ses-peurs-pour-vivre-lunivers-de-ses-possibles/

Ça y est ! Le changement vous apparaît comme étant une évidence vers votre mieux-être, celui avec qui vous avez maintenant envie de cohabiter dans votre quotidien. Vous êtes prêt à faire le premier pas vers ce but fixé en tête, mais une ombre se pointe sur votre route ! Celle-ci prend de plus en plus d’ampleur et se braque devant vous. Cette ombre a un nom, on l’a surnomme la peur et elle vous immobilise sur place. Et s’il était plutôt possible de la regarder autrement, de lui tendre la main et de l’épouser consciemment ?

Au cours des dernières années, nous avons toutes deux procédé à un important changement de carrière et à de régulières sorties de zone de confort. Si nous avions laissé nos peurs nous immobiliser, nous demeurons convaincues que nous n’aurions pas eu l’opportunité de vivre ces incroyables et enrichissantes aventures qui ponctuent depuis notre vie.

 

Nous avons réalisé qu’utiliser notre peur comme un puissant levier pouvant nous propulser vers ce qui importait à nos yeux était plus gagnant que de demeurer paralysée ou encore que de tenter de la combattre ! En osant sortir de notre réalité, soit notre zone de confort, nous avons mis complètement nos deux pieds dans notre zone de dépassement, soit l’univers de nos possibles ! Et deviner quoi ? Nos pieds n’ont jamais autant aimé danser qu’à cet endroit précis ! De quelle façon arrivons-nous à épouser concrètement et de façon régulière la peur ? En la reconnaissant, en l’accueillant et en s’y exposant par l’action !

Dans cet article, nous ne voulions pas aborder le thème de la peur sans nommer le fait qu’il est tout à fait normal de ressentir à l’occasion cette émotion. Lorsque nous l’avons réalisé dans notre vie, nous avons décidé de véritablement la reconnaître et l’accueillir sans jugement lorsqu’elle se présenterait à nous. Quelle libération ce fut ! Exit le sentiment de culpabilité ! En plus, nous avons aussi compris que nous étions loin d’être différentes des autres… la sensation d’être apeurée ponctuellement était commune ! Ouf ! Nous étions donc NORMALES ! À partir de ces constats, nous avons choisi de la vivre différemment et c’est ainsi que nous avons commencé plus régulièrement et graduellement à l’embrasser par des pas concrets. Cela nous a permis de découvrir la force de dépassement présente en chacune de nous et a aussi favorisé un état d’esprit de confiance en soi et en la vie. Plus nous avancions et nous nous dépassions avec, à nos côtés, notre peur, plus nous réalisions le courage qui nous habitait. Inutile de dire que cela favorisait ensuite encore plus notre passage à l’action pour atteindre nos objectifs.

 

Vous l’aurez donc compris, pour épouser une peur, si tel est notre besoin actuel, il est notamment fort utile d’agir et de passer à l’action ! Pourquoi ? Parce qu’en passant à l’action, nous repoussons nos limites, celles que nous nous imposons de façon consciente ou non. Les repousser nous amènera à prendre des risques calculés, alignés à nos valeurs et respectueux de notre entourage. Cette mise en action contribuera à élargir notre zone de confort en faisant de nouveaux apprentissages, en développant de nouvelles capacités et en augmentant notre confiance en soi. En nous mariant ainsi à la peur et en passant à l’action, nous deviendrons plus courageux et compétents pour traverser les moments difficiles de notre vie et mieux vivre les changements.

 

Ainsi, s’engager oui, mais comment le faire plus facilement ? Nous vous suggérons aujourd’hui de vous reconnecter à vos ressources internes telles la confiance en soi, le courage et la détermination, en vous rappelant une expérience de réussite lors d’un changement. Après tout, vous possédez déjà tous et toutes de nombreuses ressources qui ne demandent pas mieux que d’être mises de l’avant ! En les mobilisant à nouveau dans ce contexte bien précis qu’est celui d’avancer en compagnie de votre peur, vous vous permettrez de vous développer davantage et de vous dépasser.

 

Également, il peut aussi être fort utile de choisir de faire appel à des ressources externes. Pensons par exemple à la décision de suivre des formations pour développer davantage certaines de vos capacités, d’utiliser les services d’un professionnel (coach, psychologue…) pour être accompagné ou encore de prendre en exemple une personne que vous admirez pour sa capacité à passer à l’action en compagnie de sa peur.

 

Pensez aux actions les plus susceptibles d’être pertinentes pour vous et, tout en visualisant la situation, imaginez les ressources nécessaires et les solutions qui pourraient vous aider à traverser les difficultés possibles. Nous croyons qu’en vous mettant en action, en ayant en tête que vous êtes en éternel apprentissage et en vivant des succès, vous développerez probablement comme nous la forte envie de vous dépasser de plus en plus en vous lançant vous-même des défis. Vous réaliserez à quel point vous portez tout au fond de vous une force ne demandant qu’à émerger : votre courage !

 

En terminant, rappelez-vous que vous détenez le pouvoir de créer votre vie selon vos propres aspirations. En choisissant d’épouser la peur, il vous sera plus facile de prendre votre vie en main pour vous réaliser pleinement et ainsi vous ouvrir à l’univers de vos possibles, car vous ne demeurerez plus immobilisé quand vous aurez plutôt envie d’avancer. Vous êtes la personne toute désignée pour réunir les forces qui vous habitent afin de développer tout le potentiel qui sommeille en vous.

 

Bonne route en compagnie de vos peurs !

 

Par Et si c’était ça le bonheur

Marie-Christine Duquette & Annie Germain

 

Et si c’était ça le bonheur

http://www.anniegermain.com/ et http://delamour.ca/

http://mariechristineduquette.com/

 

Référence : Jeffers, Suzanne. Tremblez, mais osez!, Paris, Éditions Marabout, 2001, 223 p.

 

Source originale : http://joannetatham.fr/ma-vie-est-mon-oeuvre/

Je ne sais pas pourquoi je suis « câblée » comme ça mais… je n’ai jamais eu aucun problème à dévoiler ma vie en ligne.
Dès que j’ai compris que je pouvais utiliser internet pour m’exprimer, pour tout exprimer, je l’ai fait.
Avant que tout le monde ne le fasse, avant que ça ne soit si facile, avant que l’on ne parle de « blog ».

Raconter ma vie, mes joies, mes difficultés, j’ai tout de suite aimé.

Ce n’était pas par besoin d’attention (quoi que si ça l’avait été, ça n’aurait pas été honteux). Que j’aie 3 lecteurs comme sur mon blog privé accessible uniquement par mot de passe, ou… beaucoup plus (je ne saurais dire combien.…

Source originale : http://www.momentpresent.com/2015/01/24/le-courage-de-faire-des-erreurs/

Le courage de faire des erreurs

par Mitsiko Miller, cpc

 

La plupart des gens me demandent comment je fais pour demeurer bienveillante et (relativement) zen, malgré les hauts et les bas de la vie.

La réponse? Une pratique rigoureuse de méditation, de gratitude et d’intériorisation (auto-empathie) au quotidien.

Et une bonne dose de courage.

Le courage de me regarder honnêtement et authentiquement. D’à la fois, admettre mon imperfection, de l’aimer ET de prendre les moyens pour me surpasser dans le respect de mon rythme et de qui je suis. Le courage de ne pas me juger. De me relever lorsque je me casse la gueule (ce qui arrive souvent…) et d’avoir de la compassion pour moi-même.

Car la voie de la bienveillance n’est pas si inaccessible que les gens l’imaginent.

Mais, oui, ça prend du courage.

Le courage de voir que les démons qui nous habitent, nous racontent des histoires trop fantastiques pour être vraies: ces parties d’ombres en nous qui veulent le changement hier et qui voient la défaite partout. Et, en plus, ils nous jugent inadéquat, si nous n’y arrivons pas du premier coup. Ces parties de nous qui refusent l’inconfort, la résilience et qui disent que c’est une perte de temps d’essayer encore une fois. Qui refusent de croire que oui, après la pluie, il y a le beau temps. Qui nous répètent sans cesse: « T’es nulle. Tu n’y arriveras jamais. T’es un cas désespéré. T’as un problème. Laisse tomber…»

 

Les erreurs: une opportunité de grandir
Ça prend du courage d’être un optimiste inlassable et de lâcher prise du perfectionnisme. D’oser essayer encore.
De se dire que nous apprenons par essais et erreurs. Que nous avons, à travers nos erreurs, une excellente occasion d’apprendre un peu plus sur nous et sur la vie.
De nous poser la question : « Qu’est-ce que j’ai appris à propos de moi et à propos de la vie, à travers cette expérience? Qu’est-ce que je peux faire différemment? » Et d’admettre : « Ben, j’ai appris que j’ai peur de ne pas réussir. Et que j’aspire à faire confiance à la vie. »

Ça prend du courage pour lâcher prise et écouter cette petite voix de l’intuition.

Ça prend du courage de mettre en doute ce que notre vieux disque en nous, répète en boucle depuis notre petite enfance: « Le monde est dangereux. Attache ta tuque et mords avant qu’on ne te morde. Sinon tu ne survivras jamais. JAMAIS. »

La plupart de nous vivons des expériences quotidiennes qui renforcent cette croyance (bien ancrée en nous) et nous gardent dans un état de défense et de protection si chasse-gardé que nous en venons même à se mordre violemment soi, ainsi que nos êtres les plus chers. Nous n’aimons pas ces réflexes et la petite voix nous répète qu’il y a d’autres façons de s’y prendre plus bienveillantes. Mais comment????? Comment me protéger ET aimer pleinement? Comment être bienveillant ET réaliste?????
Quels modèles avons-nous autour de nous pour nous redonner espoir et nous aider à voir la vie autrement, à part les films feel good américains??
Si peu….

 

Nous ne sommes pas nos émotions
Ça prend du courage pour s’accepter pleinement. Même ces parties d’ombre à l’intérieur de nous que nous mettons sous le tapis en espérant qu’elles y resteront bien sages. Et qui finissent par tourbillonner dans les airs à chaque fois qu’il y a un peu de mouvement autour de nous (ce qui arrive assez souvent lorsque nous sommes parents).

Ça prend aussi du courage de croire en soi et de faire confiance à la vie.
De croire qu’il y a de l’espoir.

De croire que nous ne sommes pas nos émotions. Nous ne sommes pas colériques. Nous ne sommes pas stressés.

Nous ne sommes PAS nos émotions.

Nous sommes habités par des émotions qui, à chaque seconde, oui, oui, passent.

Mieux que ça, si nous prenons soin de notre vie émotionnelle, nous arrivons même à les surmonter et à s’en détacher. Et à grandir.
Oui.

Une mère qui ressent du stress en ce moment peut faire confiance que oui, un jour, elle vivra plus de zenitude.

Une mère qui ressent de la colère en ce moment peut faire confiance qu’elle saura la surmonter plus tard.

Les émotions ne nous définissent pas.

 

Faire confiance que nous pouvons
Ça prend du courage de faire confiance que nous pouvons grandir.
Ça prend aussi du courage de prendre les moyens POUR grandir.
De s’engager à devenir plus conscient et à faire de véritables pas concrets et réalistes vers notre bonheur.

De surmonter notre réactivité.

D’accueillir nos émotions avec détachement – sans être aspiré par le vortex de l’émotivité et du désespoir.

De changer nos bonnes vieilles habitudes si connues, si habituelles, si confortables, si accessibles et… si destructrices.

S’aimer pleinement
Ça prend du courage d’apprendre à s’aimer.
De penser à notre bien-être, sans culpabiliser. Sans se croire égoïste.

De faire la distinction entre nos désirs et nos véritables besoins. De sonder notre cœur pour voir ce qui brûle en nous, sans imaginer créer des feux de forêts parce que nous nous donnons la permission de nourrir notre feu sacré. De considérer les autres ET soi. D’accepter de faire des erreurs. D’accepter de ne pas plaire à tous. De vivre du regret, sans se taper sur la tête.

De s’aimer entièrement: ombre et lumière.

Ça prend du courage d’apprendre à aimer les autres.
D’accepter de ne pas avoir le dernier mot. De prioriser les relations plutôt que d’avoir raison. D’apprendre à parler avec respect, sans être d’accord avec tous les autres. De dire sa vérité dans la non-violence et dans l’ouverture. De préserver ce qui nous est le plus cher sans polariser, sans juger, ni critiquer les autres.

Ça prend du courage et de la détermination de croire que, oui, c’est possible.
Oui, nous le voulons.
Et, oui, nous le pouvons.

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