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Source originale : http://heureuxautravail.com/faire-break-carriere/

Troisième étape de ma reconversion en travailleur heureux: prendre un break. Cette étape, je ne l’ai pas vraiment planifiée mais elle m’a paru logique sur le moment et aujourd’hui je la recommande et la trouve indispensable à toute personne qui veut donner plus de sens à sa carrière afin de trouver le bonheur au boulot.

Les réactions de mon entourage

Je voulais commencer ce texte par ce que vous allez très certainement croiser comme réactions si vous quittez votre emploi et annoncez à votre entourage que vous prenez un break. J’ai rencontré ces quatre types de réactions parmi mes connaissances, collègues, amis et ma famille.

Ceux qui vous prennent pour un fou

Certains penseront que vous avez perdu la tête, que vous ne savez pas où vous allez alors que vous avez un objectif de vie (voir mon passage à l’acte). Ils sont persuadés que le bonheur au travail n’existe pas, elles pensent que vous faites erreur et donc elles vous prennent pour un fou car vous avez quitté votre travail bien payé pour « rien ». Au départ, j’ai essayé d’expliquer mon raisonnement à ces personnes et j’espère qu’elles ne me verront plus comme un fou à la fin de ma reconversion. Si pas, sachez que je les prends pour des fous également de ne rien faire pour être heureux au travail.

Ceux qui ont plus peur que vous

Malheureusement, pendant votre break, certaines personnes vont prendre peur pour vous, même parfois plus peur que vous. Les gens ne sont pas habitués qu’on leur réponde « Non » à la question « Tu as trouvé un autre boulot? » ou « Rien pour le moment » à la question « Qu’est-ce que tu comptes faire après? ». Vous êtes hors de votre zone de confort et ce n’est pas vous qui avez peur mais vos proches. Rassurez-les et surtout ne prenez pas peur, ne reculez pas, vous avez passé ce mur de la peur.

Pour la petite histoire, certaines connaissances m’ont demandé des nouvelles pendant mon break pour être certain que tout allait bien pour moi, comme si j’avais sauté d’un avion sans parachute.

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© thepartycow / Foter.com / CC BY-NC-SA

Ceux qui sont un peu jaloux

« Roh, j’aimerais trop pouvoir faire ce que tu es en train de faire ». J’ai entendu plusieurs fois cette phrase de la part de personnes qui ne sont pas heureuses dans leur boulot, ont réalisé qu’il y avait un problème mais sont bloquées par le mur de la peur et n’arrivent pas à passer à l’acte.

Ceux qui sont heureux pour vous

Les meilleurs! Merci à ceux qui ont simplement été heureux pour moi car ils ont vu ce que j’entreprenais, ils ont vu que j’allais de l’avant dans ma vie, que je réalisais mon objectif de vie. Un merci particulier à ma femme qui m’a aidé tout au long de cette reconversion.

Breaking  Good

Voyons maintenant l’utilité de s’arrêter de travailler pendant quelques semaines, mois.

Pour vous changer les idées

Ce break vous permettra de mettre de côté le stress rencontré ces derniers temps au travail, tous les problèmes qui vous ont fait démissionner. Vous allez oublier la prison dans laquelle vous vous étiez enfermée et qu’est-ce que vous allez aimer cela! De temps en temps, après quelques semaines, vous repenserez à votre job précédent et vous éprouverez de la joie pour avoir osé le quitter.

Pour réfléchir

Durant ce break, vous allez trouver la vie plus simple. Vous serez beaucoup moins agacé par les petits ennuis de votre quotidien. De plus, ce temps disponible vous permettra de redécouvrir l’important: prendre soin de votre famille, de vous-même en refaisant du sport par exemple et surtout, vous ne perdrez pas de vue votre objectif de vie que vous vous étiez fixé auparavant. Et cet objectif va également évoluer. Pendant mon break, j’ai décidé où je voulais m’installer avec ma famille, ce que je voulais faire comme travail, et j’ai surtout réfléchi à ce que je ne voulais plus faire.

Pour découvrir une nouvelle passion

Pendant ce temps sans emploi, vous ne serez pas sans travail, croyez-moi. Il vous suffit d’adapter une attitude pour cela, celle du film « Yes Man ». Si vous n’avez pas vu ce film, le principe est assez simple: dites oui à toute nouvelle activité qui se présente à vous pendant votre break. Et avec un peu de chance, vous découvrirez peut-être une nouvelle passion et un nouveau métier.

Beaucoup d’entrepreneurs ont découvert leur métier pendant un break. Je pense par exemple à ce papa qui en prenant un congé paternité, remarque que la nourriture pour enfants n’est pas bonne et ouvre sa propre société de petits pots. Le livre « Comment se réaliser dans son travail » vous dévoilera d’autres exemples si cela vous intéresse.

Yesman

© Born to lose, live to win / Foter.com / CC BY-NC-ND

Pour mon cas, j’ai eu l’occasion d’aider des membres de ma famille dans diverses activités que je ne connaissais pas, ou peu, ou que je n’avais plus pratiquées depuis longtemps.

  • J’ai, par exemple, aidé à la ferme de mes beaux-parents et découvert le métier de fermier de plus près pendant quelques heures par jour.
  • J’ai eu l’occasion de peindre des pièces d’une maison car mon beau-frère est venu me demander de l’aide.
  • J’ai rejoué au basket car on m’a invité à le faire et j’avais le temps.
  • J’ai été couper du bois pendant une journée.
  • J’ai pris le temps de réaliser un site Internet pour l’école primaire de ma mère qui me l’avait demandé il y a plus d’un an.
  • J’ai appris à faire des sushis moi-même.
  • J’ai pris du temps pour étudier le polonais.
  • … Et la liste est longue car j’ai dit oui à tout ce qu’on m’a proposé et à tout ce que j’avais envie de faire pendant cette pause.

Je n’ai malheureusement pas découvert de nouvelle passion. J’ai, par contre, vu que j’aimais bien mon métier d’informaticien car je suis revenu naturellement à la programmation, à la création de sites internet. J’ai totalement perdu la notion du temps à ce moment-là, un véritable flow comme dirait Mihaly. J’ai également pris beaucoup de plaisir dans toutes ces tâches qui étaient finalement une sorte de travail non rémunéré. Tout simplement car ces boulots m’apportaient de la variation, me permettaient d’aider des personnes autour de moi ou encore de réaliser quelque chose de mes propres mains.

Pour résumé, voici mon conseil: si vous êtes à un tournant de votre carrière ou en pleine reconversion, ne vous plongez pas directement dans un nouveau job, prenez un break…

Photo credit: Born to lose, live to win via Foter.com / CC BY-NC-ND
Photo credit: thepartycow via Foter.com / CC BY-NC-SA

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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/DesLivresPourChangerDeVie/~3/vqLnD6Kuq1I/

Phrase-résumée de « Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent»: L’auteur rappelle, dans son livre, les 7 principes fondamentaux qui permettent aux gens les plus efficaces de réaliser leurs objectifs. Traduits en habitudes quotidiennes, ces principes aideraient ceux qui les mettent en pratique à vivre, durablement, une vie personnelle et interpersonnelle […]

Source originale : http://www.acide-ici.fr/chroniques/quand-changer-de-travail-ou-dautre-chose.html

Changer de travail

Après la vidéo qui traitait du concept d’équilibre et de la manière de l’implémenter intelligemment dans votre vie, voici un petit exemple d’application. En la regardant, vous apprendrez :

  • Le sujet de ma dernière engueulade avec Argancel, de Céclair
  • Les arguments qui vous suggèrent de persister dans un emploi que vous n’aimez pas
  • Ceux qui vous crient « cours, Forrest ! »
  • Ce qu’est la rationalisation
  • Comment ré-exprimer de manière positive l’adage « choisir, c’est renoncer »
  • Ce qu’on peut faire de bien avec une colle qui ne colle pas, sous réserve qu’on ne la considère pas comme un échec
  • Le rapport de tout ça avec un homme qu’on a opéré du cerveau pour sectionner le corps calleux (« split-brain« )

Bonne vidéo !

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=3Cr6G90Mw-I]

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/lebonheurpourlesnuls1/~3/owkocVzeq1Q/

 

heureux comme un danois Les danois sont heureux, imperturbablement heureux. Enquête après enquête, ils se déclarent les plus satisfaits sur Terre, et sortent numéro 1 du fameux « World Happiness Report » de 2012 et 2013.

 

Pourtant, le Danemark est l’un des pays les plus endettés au monde, il sort difficilement de la pire crise économique depuis la Seconde Guerre mondiale et subit une austérité budgétaire obstinée. Le pays a également une des pressions fiscales les plus fortes (près de 60% d’impôt, 170% de taxes sur les voitures, une TVA a 25% ) ainsi que des hivers longs et glacés… mais rien n’y fait.

Malene RYDAHL, danoise exilée dans notre pays de râleurs impénitents, nous dévoile dans son ouvrage les 10 raisons de ce radieux bonheur national :

1 – ils ont confiance

Sur 1100 portefeuilles laissés dans les rues avec 50$ en monnaie locale et le nom de leur propriétaire, 100% ont été restitués avec l’argent aux organisateurs de ce “test” !

2 – ils aiment leur école

L’important dans le système danois n’est pas d’être le meilleur ni de cultiver une élite. C’est que chaque élève se sente valorisé dans ses compétences et sa personnalité.Que chacun sente qu’il a une place et une utilité dans la société. Le niveau est ajusté sur la base, pas sur  les meilleurs, pour être sûr que personne ne soit exclu.

3 – leurs enfants dépendent peu de leurs parents

70% des jeunes entre 13 et 17 ans ont un travail à côté de l’école (garde d’enfant, ménage, vendeur, livreur de journaux, caissier, …). Ce chiffre grimpe à plus de 80% à partir de 17 ans. Les jeunes issus de famille privilégiées travaillent autant que les autres. La première motivation des jeunes est de pouvoir payer eux-mêmes leurs activités de loisirs.

4 – ni riches ni pauvres

Il est beaucoup plus facile de prendre l’ascenseur social au Danemark qu’en France ou aux Etats-Unis. Le système fiscal danois est par ailleurs fortement redistributif et vise à réduire  l’écart entre les revenus.

5 – ils ont des attentes réalistes

Comme les danois ne s’attendent pas à être meilleurs ou à briller, ils sont plus satisfaits de ce qui est.

6 – ils paient volontiers leurs impôts

Seuls 20%des danois considèrent qu’ils paient trop d’impôts. Il faut y lire la confiance dans leur bon usage pour les services publics, l’éducation, la santé et les transports.

7 – ils quittent leur bureau à 16h

… et cela ne choque personne.

8 – ils n’aiment pas l’argent

“Le devoir de l’individu est d’obéir à sa propre vocation” a écrit leur célèbre penseur Soren KIERKEGAARD. De fait, les danois accordent plus d’importance au fait de trouver sa voie qu’à cultiver sa richesse.

9 – ils détestent les vantards

Le code de conduite des danois : ne pas se prendre pour un être supérieur aux autres. D’après l’auteur, cette philosophie cultive une retenue assez agréable chez les danois.

10 – ils ignorent la galanterie

Quand un homme invite une femme, il n’est pas obligé de payer le diner.

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  2. 3 exercices pour être plus heureux
  3. L’homme qui voulait être heureux

Source originale : https://pardelalesetoiles.wordpress.com/2010/03/13/simplifiezvotrevie/

Déménager peut souvent être l’occasion de repartir de zéro. J’ai changer de ville il y quelque temps. Ce fut pour moi l’occasion de commencer une nouvelle vie. J’en ai profité pour me débarrasser d’un bon nombre de choses que je stockais, mais dont je n’avais plus aucune utilité. Je me suis également séparé d’objets encombrants : meubles, voiture, etc.
J’ai donc opté pour un nouveau départ. Total, complet. Dans mon style de vie également. Je me suis rendu compte que certaines choses que je faisais chaque jour, et qui me semblaient essentielles, ne m’intéressaient plus. J’ai remplacé les apéros du soir par des séances de yoga, les soirées passées à surfer sur le net par l’exploration de ma nouvelle ville… Tellement rafraîchissant !
Laissez-moi partager avec vous les avantages de repartir de zéro et quelques bons conseils.*

* Attention, je ne me fais pas là l’avocat de l’abandon de vos responsabilités les plus importantes !  Si vous suivez mes conseils et les utilisez comme une excuse pour abandonner vos responsabilités familiales ou laisser tomber vos amis… C’est votre choix, bien sûr, mais pas l’un que je puisse recommander. Faire table rase est tentant, mais il ne faut pas oublier de mettre tout en ordre avant dans votre vie. Ni de prévoir les fonds nécessaire pour repartir de zéro.

Les avantages :

Vous mettre au défi
Il n’y a rien de pire que de se reposer sur ses lauriers. La routine quotidienne est un piège à éviter à tout prix. Vous vous retrouvez à faire certaines choses uniquement parce que vous les avez faites la veille et les jours d’avant. Par automatisme. Changer de vie, c’est bouleverser son petit confort personnel, explorer de nouveaux centres d’intérêts, apprendre de nouvelles choses que votre ancien style ne vous permettait plus. Quand je suis reparti de zéro, j’ai changé mes habitudes. Je me suis mis au défi de pratiquer quotidiennement le yoga et la méditation. Ma concentration et ma souplesse, ainsi que mon calme, se sont améliorés rapidement.

Rencontrer de nouvelles personnes, se faire de nouveaux amis
Quand vous vivez au même endroit depuis longtemps, vous pouvez vous retrouver enfermé dans votre cercle d’amis. Vous avez une quinzaine de collègues de travail avec lesquels vous buvez l’apéro de temps en temps, sûrement six ou sept amis avec lesquels vous traînez régulièrement et peut-être trois quatre amis d’université que vous voyez de loin en loin. Pour ma part, j’avais l’impression de voir toujours les mêmes têtes. Attention, je ne renie pas mes amis, je les adore. Mais c’est essentiel de rencontrer de nouvelles personnes, de nouveaux lieux. C’est la voie vers de nouvelles opportunités. Par exemple, hier, je me suis retrouvé à cuisiner une tarte au potiron avec l’ami de mon nouveau colocataire. Je n’aurais jamais fait ça avec mes vieux amis. La tarte était succulente ! Rencontrer de nouvelles têtes peut paraître effrayant à certains, mais détrompez-vous. C’est s’ouvrir à de nouveaux horizons et, de toute façon, vos vieux potes seront toujours là pour vous.

Découvrir de nouveaux aspects de soi-même
A vivre dans une nouvelle ville, à repartir de zéro, vous vous découvrirez certainement de nouveaux centres d’intérêts que vous n’auriez même pas imaginé. Ne plus subir les contraintes de la routine signifie plus d’espace pour la découverte. C’est s’ouvrir à de nouvelles expériences et donc à la découverte d’aptitudes que vous ignoriez. Je me suis, par exemple, découvert une vraie passion pour la cuisine. C’est si gratifiant de préparer de bons petits plats pour moi ou pour mes amis !

Les conseils :


1/ Préparez-vous financièrement
Economisez ! J’avais 3 000 $ pour rendre cela possible. Certains l’ont fait avec moins, mais si vous avez un train de vie important, vous aurez besoin de plus. Si vous avez des enfants à charges, il vous faudra plus également. Je suis jeune, je vis simplement. Et puis, j’ai confiance en les nouvelles opportunités que pourra m’apporter ma nouvelle ville.

2/ Débarrassez-vous de l’inutile
Ne déménagez pas avec des déménageurs. Il n’y a pas de nouveau départ quand vous emportez toute votre maison avec vous. Non seulement c’est ridiculement cher, mais, en plus, c’est le meilleur moyen de se planter. Limitez-vous à un sac-à-dos ou au coffre de votre voiture. C’est la garantie de plus de liberté, car si ça ne marche pas dans la nouvelle ville que vous avez choisi, vous pouvez facilement en changer et essayer ailleurs. Le but n’est pas de recréer la vie que vous aviez ailleurs, mais bien de repartir de zéro !

3/ Mettez votre vie en ordre
Ne partez pas sans prévenir personne. Ceux qui vous aiment seraient tristes et ne vous comprendraient pas. Posez un préavis au boulot, faîtes leur savoir que vous avez apprécié travailler avec eux, mais que vous avez de nouveaux horizons à explorer. Quand j’ai changé de vie, j’ai trouvé que la plupart de mes anciens collègues étaient extrêmement compréhensifs. J’ai même trouvé que certains d’entre eux auraient aimé avoir le courage de faire ce que je faisais. Prenez le temps d’expliquer votre choix. Ainsi, si vous devez un jour revenir, vous pourrez le faire la tête haute.

4/ N’hésitez pas, faîtes-le
Prenez cet avion, sautez dans votre voiture… Partez ! Fixez une date et respectez-là. Vous aurez inévitablement peur. J’ai eu peur. Mais ce sentiment peut être un moteur. Vous ne sautez pas dans l’inconnu, une nouvelle ville n’est qu’une nouvelle ville. Et vous vous apercevrez très vite que les repères sont les mêmes.

Source originale : http://www.cabinetcomcoach.com/blog/reussir-en-coaching

La plupart des coachs se contentent de suivre leur intuition et de réinventer la roue. Le problème c’est que cela leur coûte souvent beaucoup trop de temps, d’énergie…et d’argent. A ne pas vouloir en dépenser et trouver les solutions eux-même – cela s’avère au final être beaucoup plus cher que de se former. Le résultat est alors sans appel : un retour prématuré sur le marché de l’emploi – OU un carrière de coach à mi-temps avec un autre job alimentaire pour joindre les deux bouts.