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Source originale : http://heureuxautravail.com/presenter-positivement-job/

Bonjour, vous vous appelez comment? Et qu’est-ce que vous faites dans la vie? Voilà comment commence une discussion avec un inconnu ou une inconnue. Et en quelques mots, vous serez malheureusement jugé(e) et défini(e) comme une personne intéressante ou non. La plupart d’entre nous répondent d’une manière négative à cette deuxième question ou d’une manière trop simple car elles ne voient pas leur job de la bonne manière et n’ont pas l’habitude de se présenter positivement. Aujourd’hui, je vous propose de réfléchir à votre réponse et à voir votre boulot d’une manière différente.

Il y a quelque temps, je donnais une très mauvaise réponse à la question « Et tu travailles dans quoi? ». J’avais pris pour habitude de dire: je suis informaticien pour les banques et je rends les riches plus riches. En y réfléchissant aujourd’hui, je remarque que je donnais l’une des pires réponses pour se présenter. Mais voir le côté positif des choses nous demande un effort. Ceci a été prouvé par quelques expériences par la spécialiste en psychologie sociale Alison Ledgerwood qui nous démontre que le cerveau retient plus facilement le négatif. Et si on faisait cet effort ensemble?

Prenons trois exemples:

  • Je travaille dans un magasin d’habits
  • Je suis chauffeur de bus, de taxi, de train
  • Je suis homme/femme au foyer

Comment présenter son job de manière positive?

Indiquez à qui vous rendez service

Cela semble une évidence mais beaucoup l’oublie, mentionnez pour qui vous travaillez. Chaque job nécessite une demande, et donc un client qui a un besoin. Ce besoin doit être au centre de la définition de votre job. Ok, je l’avoue, je reprends la vision de l’entreprise libérée à nouveau mais elle est si simple. Jean-François Zobrist en a fait la valeur principale de Favi: par et pour le client. Expliquez pourquoi vous travaillez et non comment.

Mes trois exemples deviennent:

  • Je travaille dans un magasin où les gens peuvent trouver des habits qui leur convient.
  • Je travaille dans les transports et permets aux gens de se déplacer.
  • Je travaille dans ma maison et m’occupe de ma famille.

Ou encore mieux…

Indiquez qui vous aidez

Utilisez le terme: aider plutôt que travailler.

  • J’aide les gens à s’habiller
  • J’aide les personnes à se déplacer, se rendre à leur travail
  • J’aide ma famille à la maison

Embellissez

Mettez ce petit zeste de folie dans la définition positive de votre job et surtout n’oubliez pas le principal, cela n’arriverait pas sans vous:

  • J’aide les femmes à se sentir belles, les hommes à conquérir le coeur de leur élue, grâce à moi, ils trouvent les habits qui leur conviennent.
  • J’aide les gens à se rendre quelque part où ils ne peuvent se rendre sans moi!
  • Je suis le pilier de la vie de ma famille. Tout passe par moi: l’éducation de mes enfants, la nourriture sur la table, la bonne humeur journalière, …

shopping

Mais vous êtes fou?

Ok, vous devez vous dire qu’il faut être complètement fou ou attardé pour définir son job de cette manière. Mais essayez simplement et tentez de répondre de cette manière la prochaine fois que quelqu’un vous demande ce que vous faites dans la vie. Ce qui est certain, c’est qu’une conversation démarrera très vite:

  • Wahou, et vous faites comment? Vous avez des conseils?
  • Je n’avais jamais vu votre job de cette manière. Vous avez une drôle de manière de voir les choses.
  • Oui, c’est vrai qu’on oublie souvent que la personne qui n’a pas d’emploi travaille beaucoup chez elle.

Donc oui, il y a un peu de folie dans ces définitions mais elle fait partie de l’effort pour voir positivement votre job, pour voir que vous comblez un besoin d’une autre personne, que vous réalisez quelque chose dans votre vie. Il est tellement simple de présenter son job d’une manière négative. Pensez à votre fin de journée, vous avez tendance à raconter vos bons moments ou vos mauvais moments à vos proches? Et si à partir de demain, vous faisiez l’effort de raconter le côté positif de votre activité? Faites l’expérience… Et n’hésitez pas à partager le résultat en commentaire.

Photo credit: Traveloscopy via Foter.com / CC BY

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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/pensees_positives/~3/yaEnUQMkZ6w/meditation-guidee-pour-se-reconnecter.html

Je vous propose une nouvelle méditation guidée de Ginkgo Ateliers.
Le thème de cette méditation guidée est « Surfer sur la vague des envies ».

Cette méditation nous permet de reprendre conscience de notre corps et de notre rapport au monde.

Je vous invite maintenant  à vous laisser simplement guider par la douce voix que vous allez entendre.
Vous pouvez répéter cette séance autant de fois que vous le désirez jusqu’à constater une amélioration notable de votre état émotionnel.
Je vous souhaite une bonne séance de méditation guidée. 

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=AIM82-0fxR0]

Si vous habitez en Belgique, je vous invite à consulter le site Internet de Ginkgo Ateliers pour participer aux ateliers de méditation-relaxation qui sont organisés régulièrement.
Vous pouvez aussi consulter les autres vidéos de cette thérapeute que j’ai déjà publiées sur le blog.

Je vous invite aussi à tester l’efficacité des enregistrements de méditations guidées Mental Waves. Pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessous :

Merci de partager cet article sur Facebook en cliquant sur le bouton « J’aime » ci-dessous. Si, vous aussi, vous l’avez trouvé sympa, bien sûr ! Merci d’avance :

Source originale : http://marctraverson.com/litterature/les-lieux-dannie-ernaux/

ernauxC’est un petit livre qui se lit d’une traite et, pour celles et ceux qui ne la connaissent pas, il pourra être une manière d’entrer dans l’univers si particulier d’Annie Ernaux et de découvrir sa démarche. Le vrai lieu (Gallimard, 109 p) est la retranscription des entretiens qu’elle a donné à Michelle Porte pour le tournage d’un documentaire sur sa vie et son écriture. Elle y parle des lieux de son existence. Son lieu d’adoption, Cergy, son enfance dans une famille modeste d’Yvetot, en Normandie (ses parents tiennent un bar-tabac épicerie), puis la manière dont la jeune fille qu’elle est, contre son milieu d’origine, choisit de poursuivre des études de lettres et de se lancer dans l’écriture. L’écriture qui est, dit-elle, son « vrai lieu ».

Annie Ernaux est une « transfuge de classe », elle vient d’un milieu ouvrier, de ce qu’elle appelle le « monde dominé ». Cette trajectoire est au coeur de toute son oeuvre. Elle raconte comment le fait de s’approprier les codes culturels d’une classe sociale cultivée produit un arrachement vis-à-vis de sa famille, crée un fossé avec ses origines que l’on aura en quelque sorte reniées – non par un quelconque mépris, mais simplement parce que la langue que l’on parle désormais, les sujets d’intérêt, les milieux que l’on fréquente, éloignent irrémédiablement.

La langue d’Annie Ernaux est d’une précision et d’une netteté qui touchent, elle atteint une simplicité, j’allais dire une honnêteté, qui font de sa lecture un plaisir continu. Elle a, en somme, un style. Je la cite : « C’est quoi, le style ? C’est un accord entre sa voix à soi la plus profonde, indicible, et la langue, les ressources de la langue. C’est réussir à introduire dans la langue cette voix, faite de son enfance, de son histoire. »

Introspective, elle l’est, au plus haut point. Mais ce n’est jamais gratuit. Elle ne cesse de relier, avec une grande intelligence, les faits de sa vie, ce qu’elle observe dans sa famille, dans son intimité, et le social, l’environnement, l’époque. Nourrie de sociologie et de psychanalyse, elle s’en échappe pour viser une connaissance qui passe par l’émotion, la subjectivité, et se transmet par le récit. Ceci fait de son oeuvre un témoignage d’une grande force, en particulier sur la condition féminine.

Il y a de belles pages sur sa mère dans ce livre. Une femme violente, que sa fille craignait sans cesse de provoquer, mais qui en même temps avait un extrême révérence pour les livres et offrit à Annie Ernaux une éducation atypique, et le droit de lire partout, tout le temps, et tout ce qu’elle voulait. Les livres, la clé. A travers ses lectures, elle découvrit d’autres univers, et put s’échapper du cadre étroit de son lieu de vie, la salle commune du café familial, pour rêver d’autres horizons.

Le coeur de son propos, dans ces entretiens, c’est l’écriture elle-même, le travail de l’écrivain, son domaine de mots. Annie Ernaux parle « travail ». Le rapport au livre en train de se faire, l’alchimie entre le vécu, les émotions. La recherche d’une forme. Annie Ernaux sait être une mémorialiste « sèche », dans sa manière de rapporter d’une manière apparemment neutre les faits intimes, l’enfance, les relations dans la famille. Elle décrit sans pathos, avec un oeil exceptionnel. Les choses, les lieux, prennent vie sous sa plume. « Ecrire, dit-elle, ce n’est pas laisser sa trace en tant que nom, en tant que personne. C’est laisser la trace d’un regard, d’un regard sur le monde. »

Sans doute, on peut lire ce livre pour découvrir un écrivain, visiter les coulisses de son travail. Et, si le charme opère, il donnera l’envie de poursuivre, et de lire ou relire l’oeuvre de cette « femme debout ».

Source originale : http://www.lecommercialequitable.com/comment-avoir-acces-aux-offres-demploi-cachees/

Bernard Martinez, expert Webmarketing et Personal Branding, va nous expliquer comment avoir accès à ce fameux marché des offres d’emploi dites « cachées ».  La meilleure des manières d’avoir accès à ce type d’offre est de travailler son réseau professionnel. Par rapport à votre projet professionnel, sur le terrain, aller rencontrer des personnes qui travaillent dans vos […]

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/lebonheurpourlesnuls1/~3/eSv3zFnkfTQ/

To all the girls that think you're fat ...

Avez-vous confiance en vous ?

Si vous avez du mal à répondre à cette question, c’est parce qu’il existe plusieurs formes de confiance en soi.

Dans son ouvrage "Fais-toi confiance ou comment être à l’aise en toutes circonstances", Isabelle FILLIOZAT distingue 4 dimensions dans ce terme trop général de "confiance en soi" :

1 – La confiance de base

Cette sensation corporelle de sécurité intérieure procure une profonde paix intérieure et l’impression d’être à sa place dans la vie.

2 – La confiance en votre personne

Cette confiance en vos jugements, vos sensations, vos émotions, votre capacité à affirmer vos désirs et besoins vous permet de dire "je" sans craindre d’être rejeté ou isolé.

C’est la confiance qui manque aux "trop gentils" qui, terrorisés par le conflit, sont dans l’incapacité de dire "non".

3 – La confiance en vos compétences

Cette confiance concerne vos capacités : votre intelligence, vos talents, vos ressources, votre mémoire, vos connaissances.

Rappelons-nous juste ici que dans quelque domaine que ce soit, la compétence s’acquiert par l’activité et l’expérience.

4 – La confiance relationnelle ou confiance sociale

Il s’agit de votre confiance en votre capacité à établir des relations authentiques et durables et à vous sentir à l’aise en société.

 

Si l’ouvrage d’Isabelle FILLIOZAT donne des exercices pour travailler ces différents types de confiance, il apprend également à accepter un "manque de confiance" sain et utile. Car la confiance permet de tolérer en soi une certaine dose de peur et d’insécurité.

Le vrai confiant n’a pas besoin de séduire, de réussir toujours, de tout savoir, de soumettre autrui, de savoir quoi dire ou d’avoir raison…

Creative Commons License photo credit: SYMPHONY OF LOVE

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  1. Petit traité de vie intérieure

Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/vivre-dans-la-satisfaction/

Comme vous êtes sans doute assis en train de lire cet article, faites une petite pause et prenez le temps pour évaluer votre vie actuelle. Il y a de grandes chances que vous ayez assez de nourriture, des vêtements, un toit au-dessus de votre tête et le plupart des nécessités de base pour votre vie. Vous avez aussi sans doute des proches et des personnes qui se soucient de vous. Vous vivez (plutôt) confortablement, sans besoins vitaux pour vivre. Tout ce qui est essentiel et dont vous avez besoin, vous l’avez déjà.

Et pourtant, nous ne voyons pas souvent la vie de cette façon … nous ne sommes pas satisfaits, nous sommes à la recherche de plus de confort, plus d’amour, plus de connaissances, plus de certitudes, plus de possessions, plus de nourriture, plus de divertissement, etc. Je le fais aussi comme tout le monde donc je ne critique pas. Nous avons tous de grandes difficultés avec l’idée que nous avons déjà suffisamment.

Si nous nous souvenons de cela alors nous pouvons rendre grâce à ce que nous avons. Nous pouvons apprécier la beauté de chaque instant et le fait d’être vivant. C’est un miracle, et nous ne pouvons pas prendre cela pour acquis. Donc la question est :

Comment pouvons-nous apprendre à incarner cette idée ?

« Tout ce dont vous avez besoin, vous l’avez déjà.« 

C’est agréable de dire que nous avons déjà tout ce qu’il nous faut, mais qu’est-ce que cela signifie en pratique ? Qu’est-ce que nous pouvons faire pour nous aider à nous en rappeler ?

Voici quelques principes dans ma vie quotidienne :

  • L’appréciation. Si nous avons tout ce dont nous avons besoin, le problème est que nous oublions cela trop souvent. Donc, nous pouvons développer l’habitude de nous rendre compte de ce que nous avons déjà, d’être reconnaissant pour cela et de ne pas le prendre pour acquis. Nous pouvons apprécier les gens dans nos vies (au lieu de nous plaindre à leur sujet), les possessions que nous avons déjà (au lieu de penser que nous devrions avoir plus), la nourriture que nous avons à manger, les moments simples de la vie que nous ne prenons pas toujours à leur juste valeur en essayant d’avoir plus de divertissements et plus de distractions.
  • Le respect. Si nous apprécions quelque chose ou quelqu’un, nous pourrions les traiter avec respect. Dans la tradition Zen, saluer les autres et même votre coussin de méditation est une partie profonde de la pratique. Elle montre un respect pour le monde qui nous entoure, sans lequel nous ne pourrions pas vivre et avec qui nous sommes profondément reliés. Vous n’avez pas à saluer tous ceux que vous rencontrez, mais vous pouvez les saluer mentalement avec du respect. Cela va se refléter dans vos actions.
  • Se tourner vers les autres. Si nous avons déjà assez … pourquoi autant se soucier de nous-mêmes ? Pourquoi ne pas voir ce que nous pourrions faire pour les autres ? Il y a d’autres personnes qui souffrent. Bien sûr, nous ne pouvons pas résoudre toutes leurs difficultés seul, mais si nous faisons de notre mieux pour aider les autres, nous pouvons contribuer à l’amélioration de la vie de tous les êtres. Cela ne signifie pas que vous devez consacrer tout votre temps à aider les autres, mais le simple fait de considérer les autres est une bonne pratique.

Alors, comment apprenons-nous à incarner ces principes ?

Grâce à des habitudes. Vous pouvez par exemple vous demander, avant d’acheter quelque chose si vous avez vraiment besoin de plus ou si vous avez déjà assez. Demandez-vous aussi avant de vous rendre sur votre téléphone, sur un site web ou sur votre ordinateur si vous faites cela pour aider les autres ou pour répondre à un « besoin » parce que vous avez l’impression de manquer. Demandez-vous quand vous interagissez avec quelqu’un d’autre, si vous montrez à cette personne un profond respect et si vous vous concentrez sur la façon de l’aider ou si cela est pour vous protéger.

Demandez-vous régulièrement au cours de la journée si vous avez déjà tout ce qu’il vous faut. Je pense que cela sera assez souvent le cas et en l’appréciant, vous pourrez voir la profondeur de ce miracle.

« La satisfaction intérieure est en vérité ce que nous pouvons espérer de plus grand. »

Source originale : http://www.attention-bonheur-possible.com/2015-annee-bonheur/

thJe vous souhaite le meilleur pour cette année 2015, c’est à dire tout ce qui peut vous faire plaisir et vous rendre plus heureux.

Pour que cette année soit belle et douce, j’ai quelques “tuyaux” !

Vous aimeriez que je les partage ? OK, si vous insistez…

 

 

1 – Prenez bien soin de vous, faites vous plaisir, gardez à l’esprit que vous êtes une personne très importante, et que vous méritez le meilleur et qu’il serait judicieux de satisfaire vos besoins avant tout. Ainsi vous serez épanoui(e), et c’est ce que vous pouvez faire de mieux pour vous, pour votre entourage, et pour l’univers. Si cela vous est difficile, alors entrainez-vous.

2 – Fuyez les informations alarmistes, les gens qui se plaignent toujours, les grincheux… et tournez vous au contraire, vers ce qui est beau, agréable, positif…

3 – Faites confiance en votre capacité à gérer les difficultés. Pour cela, imaginez que vous avez un double, votre ange gardien en quelque sorte, qui peut tout pour vous et qui est d’une incroyable bienveillance. Parlez avec lui, posez lui vos questions, adressez lui vos demandes, vous serez surpris de son efficacité (et non ça ne fera pas de vous un être qui à perdu la raison).

4 – Ne prenez rien personnellement comme le conseille si judicieusement “Don Miguel Ruiz”dans son livre  Les quatre accords toltèques : La voie de la liberté personnelle. Quel soulagement de savoir que les éventuels propos blessants qui peuvent vous être adressés, ne vous concernent pas en réalité. Dites vous : je ne prends rien personnellement, si vous êtes touché par des propos désagréables, ils reflètent juste ce que “l’agresseur pense de lui”.

5 – N’adressez pas de reproches, ne médisez pas.

6 – Quand une relation est difficile, c’est souvent parce que vous voyez l’autre comme il se présente à vous. Essayez donc de voir ces bons cotés, d’être bienveillant, de faire preuve de compassion, et son attitude changera. (Ecrire tout ce que vous aimez chez cette personne aide bien).

7 – Cherchez  le plaisir dans tout ce que vous faites (même les taches ingrates peuvent recéler quelques plaisirs).

8 – Faites l’inventaire que toute la chance que vous avez déjà. Voir carnet de gratitude.

Voilà ce qui me semble le plus important. Bien sur, nous sommes humains et nous ne pourrons appliquer tout cela à la lettre, mais tendre vers ça serait déjà drôlement bien.

Je dois vous avouer que j’ai eu une année 2014 un peu difficile, et que je vais m’appliquer au maximum à mettre en œuvre les préceptes ci-dessus, en tous cas, ceux pour lesquels je ne suis pas tout à fait au pointClignement d'œil.

Je serais bien heureuse d’avoir un peu de compagnie, alors si vous aussi vous souhaitez aller dans cette direction, nous nous épaulerons.

Je vous souhaite une merveilleuse année 2015 qui promet d’être celle de la légèreté, de la libération, de la joie, du bonheur.

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