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Povos originários da Amazônia (Projeto retratos)

– “Prof de philo et philosophe, ça n’a rien à voir.

– C’est quoi la différence ?

– Tu te souviens de la prof qui t’enseignait le cours sur la reproduction sexuée ? Elle connaissait bien son sujet ?

– Ben… oui je pense.

– Tu crois que ça faisait d’elle une bête de sexe ?"

Imaginez qu’un professeur de philosophie aigri décide de s’attaquer par vengeance personnelle à un peuple amazonien considéré comme le plus heureux de la terre. Un peuple tellement heureux même que ses membres ne développent jamais de cancer.

Le but de cette homme : utiliser son instruction pour les rendre malheureux chaque heure, chaque minute, chaque seconde de leur vie jusqu’à la fin de leurs jours.

Cette histoire tropicale, c’est celle du dernier roman tropical de Laurent GOUNELLE : "le philosophe qui n’était pas sage". On y  découvre un programme machiavélique visant l’organisation d’une société dite primitive :

1 -   Couper ces “bons sauvages” de la réalité en les abreuvant d’informations leur donnant l’illusion de bien comprendre le monde et du coup les dispenser de l’appréhender par eux-mêmes.  Parmi ces renseignements, choisir de préférence des mauvaises nouvelles, des problèmes, des dangers, des choses négatives. Puis les habituer à étiqueter négativement les choses (“mauvais temps”, “mauvaises herbes”, “mauvaises odeurs”, …) pour conditionner leur perception afin qu’ils finissent par les voir ainsi. Le "Jungle Time", rituel quotidien du soir est ainsi créé.

2 – Leur inculquer des critères de beauté inatteignables (en dessinant notamment autour du village des femmes à la poitrine trop grosse par rapport à leur corpulence).

3 – Occulter la magie de la rencontre qui fait l’intérêt de tout relation humaine pour n’en laisser que la couche superficielle : l’échange d’information.

4 – Après les avoir ainsi coupés des autres, les couper d’eux-même. Pour cela, faire en sorte que leurs envies dans tous les domaines soient le fruit d’une influence extérieure et non d’un désir intérieur personnel.

5 – Leur transmettre un individualisme forcené en les amenant à vivre dans la peur : peur de l’autre, peur de manquer de nourriture et d’amour. Leur faire croire que la vie est un combat individuel, que seuls les meilleurs peuvent survivre et être heureux. Instiller le sentiment que ce que l’autre gagne, je le perds. Qu’un compliment fait à quelqu’un d’autre m’amoindri. Créer une compétition pour tout en enseignant l’habitude de se comparer aux autres. En même temps, détruire leur estime d’eux-même en les enfermant dans une double contrainte : "la solution est individuelle, mais tu n’es pas à la hauteur." Pour aider à cela, glorifier les rares réussites individuelles et pointer du doigt toute erreur.

6 – Conditionner les enfants dès leur plus jeune âge à être uniquement dans leurs pensées. Les enfermer dans leur mental en leur enseignant beaucoup de choses au niveau mental. Ne surtout par leur enseigner à être bien dans leur peau, gérer leurs émotions, communiquer avec les autres, résoudre les conflits, apprendre à avoir confiance en soi,…. Leur donner tellement de choses à faire après l’école qu’ils n’aient pas le temps de se rééquilibrer le soir en expérimentant la vie par eux-même ni en rêvant.

7 – Une fois leur vie devenue vide de sens, de beauté, d’amour et de conscience, remplir ce vide existentiel en les gavant de choses matérielles. Leur créer des besoins imaginaires toujours plus nombreux et les faire travailler dur tous les jours pour acquérir ces choses.

Ce programme de société vous dit peut-être quelque chose ?  Si vous souhaitez savoir comment tout cela va finir, je vous invite à lire le dernier roman de L. GOUNELLE qui nous fait comprendre pourquoi on se sent si mal certains jours…

Creative Commons License photo credit: Zanini H.

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Source originale : http://heureuxautravail.com/presenter-positivement-job/

Bonjour, vous vous appelez comment? Et qu’est-ce que vous faites dans la vie? Voilà comment commence une discussion avec un inconnu ou une inconnue. Et en quelques mots, vous serez malheureusement jugé(e) et défini(e) comme une personne intéressante ou non. La plupart d’entre nous répondent d’une manière négative à cette deuxième question ou d’une manière trop simple car elles ne voient pas leur job de la bonne manière et n’ont pas l’habitude de se présenter positivement. Aujourd’hui, je vous propose de réfléchir à votre réponse et à voir votre boulot d’une manière différente.

Il y a quelque temps, je donnais une très mauvaise réponse à la question « Et tu travailles dans quoi? ». J’avais pris pour habitude de dire: je suis informaticien pour les banques et je rends les riches plus riches. En y réfléchissant aujourd’hui, je remarque que je donnais l’une des pires réponses pour se présenter. Mais voir le côté positif des choses nous demande un effort. Ceci a été prouvé par quelques expériences par la spécialiste en psychologie sociale Alison Ledgerwood qui nous démontre que le cerveau retient plus facilement le négatif. Et si on faisait cet effort ensemble?

Prenons trois exemples:

  • Je travaille dans un magasin d’habits
  • Je suis chauffeur de bus, de taxi, de train
  • Je suis homme/femme au foyer

Comment présenter son job de manière positive?

Indiquez à qui vous rendez service

Cela semble une évidence mais beaucoup l’oublie, mentionnez pour qui vous travaillez. Chaque job nécessite une demande, et donc un client qui a un besoin. Ce besoin doit être au centre de la définition de votre job. Ok, je l’avoue, je reprends la vision de l’entreprise libérée à nouveau mais elle est si simple. Jean-François Zobrist en a fait la valeur principale de Favi: par et pour le client. Expliquez pourquoi vous travaillez et non comment.

Mes trois exemples deviennent:

  • Je travaille dans un magasin où les gens peuvent trouver des habits qui leur convient.
  • Je travaille dans les transports et permets aux gens de se déplacer.
  • Je travaille dans ma maison et m’occupe de ma famille.

Ou encore mieux…

Indiquez qui vous aidez

Utilisez le terme: aider plutôt que travailler.

  • J’aide les gens à s’habiller
  • J’aide les personnes à se déplacer, se rendre à leur travail
  • J’aide ma famille à la maison

Embellissez

Mettez ce petit zeste de folie dans la définition positive de votre job et surtout n’oubliez pas le principal, cela n’arriverait pas sans vous:

  • J’aide les femmes à se sentir belles, les hommes à conquérir le coeur de leur élue, grâce à moi, ils trouvent les habits qui leur conviennent.
  • J’aide les gens à se rendre quelque part où ils ne peuvent se rendre sans moi!
  • Je suis le pilier de la vie de ma famille. Tout passe par moi: l’éducation de mes enfants, la nourriture sur la table, la bonne humeur journalière, …

shopping

Mais vous êtes fou?

Ok, vous devez vous dire qu’il faut être complètement fou ou attardé pour définir son job de cette manière. Mais essayez simplement et tentez de répondre de cette manière la prochaine fois que quelqu’un vous demande ce que vous faites dans la vie. Ce qui est certain, c’est qu’une conversation démarrera très vite:

  • Wahou, et vous faites comment? Vous avez des conseils?
  • Je n’avais jamais vu votre job de cette manière. Vous avez une drôle de manière de voir les choses.
  • Oui, c’est vrai qu’on oublie souvent que la personne qui n’a pas d’emploi travaille beaucoup chez elle.

Donc oui, il y a un peu de folie dans ces définitions mais elle fait partie de l’effort pour voir positivement votre job, pour voir que vous comblez un besoin d’une autre personne, que vous réalisez quelque chose dans votre vie. Il est tellement simple de présenter son job d’une manière négative. Pensez à votre fin de journée, vous avez tendance à raconter vos bons moments ou vos mauvais moments à vos proches? Et si à partir de demain, vous faisiez l’effort de raconter le côté positif de votre activité? Faites l’expérience… Et n’hésitez pas à partager le résultat en commentaire.

Photo credit: Traveloscopy via Foter.com / CC BY

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Source : https://pranahuti.wordpress.com/2016/02/09/optimisation-a-outrance/

Je suis tombée il y a quelques semaines sur une émission qui dénonçait les travers de notre société d’auto-optimisation. Après avoir été plusieurs années une adepte des méthodes de développement personnel, j’en suis moins aussi arrivé à ce constat : n’y-a-t-il pas un moment où il faut cesser d’optimiser tous les domaines de la vie ?

Les magazines, les livres, les blogs, la télé ne cessent de nous donner des conseils pour améliorer notre alimentation, notre condition physique, les relations humaines, le travail. Cela fait naître un sentiment d’imperfection et d’insatisfaction permanente : «Je ne suis pas encore au top, je peux mieux faire !» Comment alors être pleinement soi et apprécier la vie telle qu’elle est? On est très loin de la pleine conscience et de l‘acceptation de soi.

Je ne dis pas que le développement personnel et toutes les méthodes qui l’accompagnent soient nuisibles. Je pense qu’après les avoir appliquées et avoir réfléchi longtemps à son développement personnel, on en vient à remettre en question la nécessité de tout optimiser. J’aimerais ici m’appuyer sur l’exemple d’une grande figure du développement personnel : Leo Babauta. Après avoir publié sa méthode d’efficacité zen  (L’Art d’aller à l’essentiel) et amélioré divers domaines de sa vie (il a arrêté de fumer, a appris à se lever tôt pour écrire, s’est mis au sport, s’est constitué un intérieur minimaliste), Babauta confie dans son blog (http://zenhabits.net/) ne plus se fixer autant d’objectifs mais préférer passer du temps avec ses enfants et vivre le moment présent.

Les paroles d’une chanson de yoga pour enfants m’ont beaucoup touchée par leur simplicité et leur justesse: « je vais grandir, grandir et devenir ce que je suis ».

Chacun est parfait tel qu’il est, détenteur d’un immense potentiel qu’il suffit de laisser s’exprimer.

Classé dans:Développement personnel Tagged: optimisation, société

Source : http://www.simpleslide.com/2015/05/11/le-manager-minute-comment-bien-demarrer-comme-manager/

Le Manager Minute est un ouvrage qui vous sera utile si vous débutez dans le management et que vous  êtes à la recherche de conseils pour démarrer sur de bonnes bases dans ce domaine. C’est un ouvrage qui sait lit facilement et qui vous donnera des fondamentaux solides pour manager efficacement votre équipe. Pourquoi ce titre « Manager Minute » ? Le manager minute, c’est celui pour qui il faut très peu de temps pour obtenir d’excellents résultats de la part de ses collaborateurs.

Regarder la vidéo sur le manager minute

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=uIhK-P4BjJ0?rel=0]

Dans cet article, je vais vous montrer 3 outils extraits du livre, que vous allez pouvoir utiliser pour mieux manager.

S’il n’y avait qu’une seule phrase à retenir de ce livre ce serait celle-ci : « la meilleure minute dépensée, c’est celle que vous investissez dans les individus ». Les managers ont souvent tendance à trop s’intéresser aux résultats au détriment de leur équipe (ou parfois à l’inverse à trop s’intéresser à leur équipe au risque de perdre de vue les résultats à atteindre). En réalité, les managers efficaces sont ceux qui gèrent leurs collaborateurs et eux-mêmes de façon que leur présence profite autant à l’organisation (les résultats) qu’aux individus. Les gens qui se sentent bien dans leur peau produisent de bons résultats.

citation-manager-minute

Les 3 secrets du manager minute

Comment s’y prend le manager minute pour obtenir rapidement d’excellents résultats avec ces collaborateurs. Et bien il utilise 3 « outils » simples qui lui permettent d’obtenir le maximum d’impact de la part de ces collaborateurs :

1 – Les objectifs minute
2 – Les félicitations minute
3 – Les réprimandes minute

Les objectifs minute

Le premier outil consiste à savoir fixer des objectifs minute. L’un des gros problèmes des managers est qu’ils savent ce qu’ils veulent que leurs collaborateurs fassent mais ils ne prennent pas la peine de leur dire d’une manière qu’ils comprendraient. Les managers supposent que les collaborateurs devraient savoir. Ce biais de départ va entrainer de nombreuses conséquences négatives pour l’organisation : incompréhension, perte de temps et d’énergie, mauvaise qualité du résultat, non-dits …

L’idée clef à retenir est qu’il ne faut jamais laisser les objectifs à la merci de la supposition. Quand il s’agit de fixer un objectif, vous ne devez pas supposer.

Comment fixer un objectif minute efficacement ?

Voici la méthode proposée par le manager minute pour fixer un objectif minute :

Se mettre d’accord sur les objectifs.
Savoir à quoi ressemble un bon comportement
Inscrire chacun des objectifs sur une feuille de papier en utilisant moins de 250 mots.
Lire et relire la description de chaque objectif, ce qui ne demande qu’environ une minute à chaque fois.
Prendre une minute de temps en temps, dans la journée, pour examiner ses propres résultats, et
Déterminer si le comportement correspond à l’objectif.

Il est important d’insister sur le fait d’écrire les objectifs. C’est un repère essentiel pour faire le point sur les objectifs, se les remémorer et pouvoir échanger de manière rationnelle avec ces collaborateurs.

Les félicitations minute

Voilà certainement une des choses les plus sous-estimées par les managers : l’importance d’encourager et féliciter les membres de son équipe. Le manque de reconnaissance est le facteur numéro 1 de perte de motivation dans une équipe.

Ce qui motive les gens avant tout c’est d’avoir des échos de leurs résultats. Le feedback, c’est à dire faire un retour le plus immédiat possible sur ce qui est réalisé, est donc un ingrédient extrêmement puissant pour faire avancer son équipe.

Votre objectif en tant que manager doit être de surprendre les gens à faire du bon travail et à leur dire. Par exemple, si vous formez quelqu’un à nouvelle tâche, il faut la surprendre, au début, à faire quelque chose d’approximativement bien, jusqu’à ce qu’elle apprenne à le faire parfaitement bien.

Voici quelques conseils pour accomplir une bonne félicitation minute selon le manager minute :

Dire clairement à la personne concernée qu’il va lui faire part de ses réactions vis-à-vis de son travail.
Féliciter la personne immédiatement
Dire à la personne ce qu’elle a fait de bien, en étant précis.
Lui dire combien il est content de ce qu’elle a fait, combien cela va aider l’organisation et les autres gens qui y travaillent.
Observer une pause de silence pour lui laisser le temps de « ressentir » combien il est content.
Encourager la personne sur cette voie
Lui serrer la main ou la toucher d’une manière qui lui fasse savoir qu’il soutient sa réussite dans l’organisation.

Les réprimandes minute

Exprimer à quelqu’un que l’on n’est pas satisfait de son travail est certainement une des choses les plus compliquées à gérer dans les relations humaines. On ne veut pas blesser la personne mais en même temps on ne veut pas que l’histoire reste sans suite.

Pour gérer au mieux cette situation, il y a une idée clef à garder à l’esprit : il est indispensable de séparer le comportement de la valeur de la personne dans la situation donnée.

C’est-à-dire qu’il faut être se concentrer sur les faits, sur les écarts entre l’objectif et sa mauvaise réalisation. Ce qui pose problème c’est le comportement de la personne dans le situation donnée et non pas la personne en elle-même. Le respect doit rester le socle de la réprimande. Ce qui est vraiment précieux c’est la personne qui gère son propre comportement.

Les réprimandes minute fonctionnent bien quand le manager accomplit les actions suivantes :

Prévenir la personne concernée à l’avance qu’il va lui dire ce qu’il pense de son travail, sans équivoque.

La première moitié des réprimandes :

Réprimander la personne immédiatement
Lui dire ce qu’elle a mal fait, en étant précis.
Lui dire ce qu’il pense de ce qu’elle a fait, sans équivoque.
Observer un instant de silence inconfortable pour lui faire sentir ce qu’il ressent.

La deuxième moitié des réprimandes

Lui serrer ou la toucher d’une manière qui lui fasse comprendre qu’il est du même côté qu’elle.
Lui rappeler combien il l’apprécie
Réaffirmer qu’il estime sa personne mais pas son comportement dans cette situation.
Se souvenir que quand les réprimandes sont terminées elles sont terminées.

Le plan de jeu du manager minute

En synthèse, vous trouverez ci-dessous un schéma montrant les interactions entres les 3 outils que sont les objectifs minute, les félicitations minute, et les réprimandes minute.

plan-jeu-manager-minute

Pour rendre la lecture de cet article profitable, analysez rapidement votre propre manière de manager :

Est-ce que j’explique suffisamment clairement les objectifs à mon équipe
Est-ce que j’ai une formalisation écrite de l’objectif sur une page qui me permet d’avoir une base de dialogue claire avec mon équipe
Combien de fois est-ce que je félicite les membres de mon équipe par jour ou par semaine ?
Suis-je assez réactif dans les retours que je fais auprès de mon équipe ?
Quand je dois faire un retour négatif sur un travail, est-ce que je prends soin de distinguer ce qui relève du comportement de la situation donnée et de la personne ?

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