Ad
Ad
Ad
Twitter

Source originale : http://www.momentpresent.com/2015/01/24/le-courage-de-faire-des-erreurs/

Le courage de faire des erreurs

par Mitsiko Miller, cpc

 

La plupart des gens me demandent comment je fais pour demeurer bienveillante et (relativement) zen, malgré les hauts et les bas de la vie.

La réponse? Une pratique rigoureuse de méditation, de gratitude et d’intériorisation (auto-empathie) au quotidien.

Et une bonne dose de courage.

Le courage de me regarder honnêtement et authentiquement. D’à la fois, admettre mon imperfection, de l’aimer ET de prendre les moyens pour me surpasser dans le respect de mon rythme et de qui je suis. Le courage de ne pas me juger. De me relever lorsque je me casse la gueule (ce qui arrive souvent…) et d’avoir de la compassion pour moi-même.

Car la voie de la bienveillance n’est pas si inaccessible que les gens l’imaginent.

Mais, oui, ça prend du courage.

Le courage de voir que les démons qui nous habitent, nous racontent des histoires trop fantastiques pour être vraies: ces parties d’ombres en nous qui veulent le changement hier et qui voient la défaite partout. Et, en plus, ils nous jugent inadéquat, si nous n’y arrivons pas du premier coup. Ces parties de nous qui refusent l’inconfort, la résilience et qui disent que c’est une perte de temps d’essayer encore une fois. Qui refusent de croire que oui, après la pluie, il y a le beau temps. Qui nous répètent sans cesse: « T’es nulle. Tu n’y arriveras jamais. T’es un cas désespéré. T’as un problème. Laisse tomber…»

 

Les erreurs: une opportunité de grandir
Ça prend du courage d’être un optimiste inlassable et de lâcher prise du perfectionnisme. D’oser essayer encore.
De se dire que nous apprenons par essais et erreurs. Que nous avons, à travers nos erreurs, une excellente occasion d’apprendre un peu plus sur nous et sur la vie.
De nous poser la question : « Qu’est-ce que j’ai appris à propos de moi et à propos de la vie, à travers cette expérience? Qu’est-ce que je peux faire différemment? » Et d’admettre : « Ben, j’ai appris que j’ai peur de ne pas réussir. Et que j’aspire à faire confiance à la vie. »

Ça prend du courage pour lâcher prise et écouter cette petite voix de l’intuition.

Ça prend du courage de mettre en doute ce que notre vieux disque en nous, répète en boucle depuis notre petite enfance: « Le monde est dangereux. Attache ta tuque et mords avant qu’on ne te morde. Sinon tu ne survivras jamais. JAMAIS. »

La plupart de nous vivons des expériences quotidiennes qui renforcent cette croyance (bien ancrée en nous) et nous gardent dans un état de défense et de protection si chasse-gardé que nous en venons même à se mordre violemment soi, ainsi que nos êtres les plus chers. Nous n’aimons pas ces réflexes et la petite voix nous répète qu’il y a d’autres façons de s’y prendre plus bienveillantes. Mais comment????? Comment me protéger ET aimer pleinement? Comment être bienveillant ET réaliste?????
Quels modèles avons-nous autour de nous pour nous redonner espoir et nous aider à voir la vie autrement, à part les films feel good américains??
Si peu….

 

Nous ne sommes pas nos émotions
Ça prend du courage pour s’accepter pleinement. Même ces parties d’ombre à l’intérieur de nous que nous mettons sous le tapis en espérant qu’elles y resteront bien sages. Et qui finissent par tourbillonner dans les airs à chaque fois qu’il y a un peu de mouvement autour de nous (ce qui arrive assez souvent lorsque nous sommes parents).

Ça prend aussi du courage de croire en soi et de faire confiance à la vie.
De croire qu’il y a de l’espoir.

De croire que nous ne sommes pas nos émotions. Nous ne sommes pas colériques. Nous ne sommes pas stressés.

Nous ne sommes PAS nos émotions.

Nous sommes habités par des émotions qui, à chaque seconde, oui, oui, passent.

Mieux que ça, si nous prenons soin de notre vie émotionnelle, nous arrivons même à les surmonter et à s’en détacher. Et à grandir.
Oui.

Une mère qui ressent du stress en ce moment peut faire confiance que oui, un jour, elle vivra plus de zenitude.

Une mère qui ressent de la colère en ce moment peut faire confiance qu’elle saura la surmonter plus tard.

Les émotions ne nous définissent pas.

 

Faire confiance que nous pouvons
Ça prend du courage de faire confiance que nous pouvons grandir.
Ça prend aussi du courage de prendre les moyens POUR grandir.
De s’engager à devenir plus conscient et à faire de véritables pas concrets et réalistes vers notre bonheur.

De surmonter notre réactivité.

D’accueillir nos émotions avec détachement – sans être aspiré par le vortex de l’émotivité et du désespoir.

De changer nos bonnes vieilles habitudes si connues, si habituelles, si confortables, si accessibles et… si destructrices.

S’aimer pleinement
Ça prend du courage d’apprendre à s’aimer.
De penser à notre bien-être, sans culpabiliser. Sans se croire égoïste.

De faire la distinction entre nos désirs et nos véritables besoins. De sonder notre cœur pour voir ce qui brûle en nous, sans imaginer créer des feux de forêts parce que nous nous donnons la permission de nourrir notre feu sacré. De considérer les autres ET soi. D’accepter de faire des erreurs. D’accepter de ne pas plaire à tous. De vivre du regret, sans se taper sur la tête.

De s’aimer entièrement: ombre et lumière.

Ça prend du courage d’apprendre à aimer les autres.
D’accepter de ne pas avoir le dernier mot. De prioriser les relations plutôt que d’avoir raison. D’apprendre à parler avec respect, sans être d’accord avec tous les autres. De dire sa vérité dans la non-violence et dans l’ouverture. De préserver ce qui nous est le plus cher sans polariser, sans juger, ni critiquer les autres.

Ça prend du courage et de la détermination de croire que, oui, c’est possible.
Oui, nous le voulons.
Et, oui, nous le pouvons.

Twitter

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/habitudes-zen/feed/~3/Qo7d7GuPJIw/

Tweet Le bain dérivatif est une méthode naturelle totalement gratuite qui présente une multitude d’avantages. Elle reste pourtant encore méconnue, je vous invite à l’essayer le plus vite possible ! Quelques mots sur la technique du bain dérivatif Le bain dérivatif consiste à rafraîchir la zone du fascia et du périnée (l’aine). Cette zone, généralement […]

Recent

View All

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/lebonheurpourlesnuls1/~3/aQhz3R3ftSE/

Music's Going Down The Tube (On Explore 24th Nov 2013)

“La qualité de notre communication est déterminée non par la manière dont nous disons les choses, mais par la manière dont elles sont comprises." – Andrew Grove.

Etes-vous bon en communication ? Efficace en entretien ? Apte à motiver une équipe sur une tâche ? En harmonie avec vos proches ?

Si ce n’est pas le cas, vous pourriez être intéressés par la “Process Communication.”

 

Récompensés par le prix Eric Berne, développée par un docteur en psychologie (l’américain Taibi Kahler), cette méthode a été subventionnée dans les années 70 par la NASA . En effet, Il s’agissait pour elle de sélectionner des astronautes capables de travailler harmonieusement en équipe lorsqu’ils se trouveraient confinés dans l’espace.

En effet, Kahler s’est efforcé de comprendre pourquoi certaines interactions sociales génèrent des issues positives (motivation renforcée, stimulation à l’action et à l’atteinte de résultats, …) alors que d’autres aboutissent à des issues négatives (démotivation, immobilisme, agressivité, dépression, etc.).

De ce fait, la “process communication” repose sur 2 concepts :

1 – La manière de dire les choses a autant, et parfois plus d’importance, que ce qui est dit.
2 – Chacun de nous développe, au cours de son histoire, plus ou moins des caractéristiques de
chacun des 6 types de personnalité :

  • Travaillomane
  • Persévérant
  • Rebelle
  • Promoteur
  • Empathique
  • Rêveur

Tout le monde possède une part de chacun de ces types de personnalité. Cette combinaison lui est propre et relativement stable sur plusieurs années.

La 1e étape consiste à identifier sa combinaison personnelle sous la forme d’un "immeuble" empilant les 6 types de personnalité, depuis la plus marquée jusqu’à la moins marquée. Chaque "étage" de l’immeuble s’appelle une phase.

Selon Taibi Kahler, nous tendons tous, dès notre prime enfance, vers l’un de ces six caractères, qui devient notre «base». Cette base est immuable.

Au-dessus de la base, se trouve la phase active, c’est-à-dire le type de personnalité qui caractérise le plus à l’instant présent. Une phase active peut durer de quelques années à toute une vie.

PROCESS COM

La 2e étape de la communication consiste à identifier chez l’autre le type de personnalité le plus présent (base et phase active).

La dernière étape consiste à utiliser les canaux de communication adaptés à chaque interlocuteur :

– si les deux interlocuteurs ont le même type de personnalité, la communication sera simple;

– s’ils sont de types très éloignés, la communication sera facilitée si l’un et l’autre sont capables de prendre l’ascenseur dans leur "immeuble" pour utiliser le canal de communication préféré de l’autre.

-  plus le nombre d’étages à grimper est important, plus la communication demandera de l’énergie pour s’adapter à l’autre.

 

PROCESS COM

 

Dans un prochain article, je reviendrai sur les différents types de personnalité avec pour chacun son besoin psychologique essentiel, son canal de communication privilégié et son comportement sous stress.

Creative Commons License photo credit: Simon & His Camera

Source originale : http://www.instantspresents.com/savez-ca-marche

pexels-photo-60626-large

Jetez un coup d’oeil au clavier de votre ordinateur… vous savez comment ça fonctionne non ? Vous appuyez sur un bouton et « quelque chose » se passe. Maintenant, pourriez-vous expliquer comment cela fonctionne exactement ? Sans oublier les détails… Nous avons tendance à avoir des pensées très abstraites, mais est-ce vraiment savoir ? Etes-vous en mesure […]

Instants Présents

Source originale : http://www.forme-sante-ideale.com/histoires-initiatiques-etre-heureux-dans-linstant/

Pour être heureux dans l’instant, transformez vos défauts en qualités.   J’adore les petites histoires initiatiques alors je vous en ai dégoté 4 qui illustrent 4 soi-disant défauts que vous pouvez aisément transformer en qualités sans vous battre avec.   Sauf que, j’ai enfin décidé de vous écouter, je vous en livre 2 cette semaine …

Lire la Suite »

Source originale : http://www.simpleslide.com/2014/03/13/croquis-n9-le-jardinier/

croq-gardening

Ce n’est pas en tirant sur l’herbe qu’elle pousse. Voilà le genre de petites phrases à se remémorer lorsque vous serez face à un problème persistant. Bien souvent, on emploie toujours la même méthode pour essayer de résoudre ce problème et l’on s’étonne que la situation ne se règle pas. Ce qui est étonnant, c’est de croire qu’en faisant toujours pareil, nous aurons des résultats différents.

En réalité, il est probable que la solution ne viendra pas de ce que vous faites directement sur le problème mais de ce que vous faites sur l’environnement du problème.

Le « gardening management » consiste à réunir toutes les conditions nécessaires pour réussir un projet. Soyez attentif à l’environnement dans lequel vous faites éclore vos projets. Devenez un jardinier pour vos projets.

Cet article Croquis n°9 : Le jardinier est apparu en premier sur Simple Slide.

Source originale : http://www.vivreettravaillerencouple.com/pratiquer-magie-voir-grand/

Vu sur Pratiquer « La magie de voir grand »

Pratiquer « La magie de voir grand- Fixez-vous des buts élevés, et dépassez-les » est un un exercice que la plupart d’entre nous  aimerait maîtriser.  Le livre de David J. Shwartz  un best-seller international nous en donne les clés et des moyens très concrets, comme nous le verrons ici… La magie de voir grand :  Une pratique …

Lire la Suite »

Cet article provient de Vivre et Travailler en Couple

Source originale : http://www.penser-et-agir.fr/eviter-d-etre-influence-negativement/

évité d'être influencer négativementL’influence de l’entourage peut faire beaucoup de bien. Mais très souvent, c’est plutôt l’inverse. Elle est si néfaste que votre harmonie peut être sérieusement remise en question. Heureusement, cet article présente des astuces infaillibles pour éviter d’être influencé négativement.
Savez-vous lesquelles ? La suite de ce dossier vous les révèlent.
Avez-vous pris conscience du problème pour éviter d’être influencé négativement ?
Pour commencer, cernons ensemble d’où vient le problème. On est tous influencés.
Lorsqu’une personne tente de vous convaincre d’agir dans un …

Ce post 4 suggestions formidables pour éviter d’être influencé négativement est apparu pour la première fois sur Penser et Agir : Le développement personnel par l'action !.

Source originale : http://apprendresursoi-et-avancer.com/parole-impeccable-est-quoi/

Pour la première partie de cet article, cliquez ici.

Une parole vraie, sans médisance

Avoir une parole impeccable, c’est faire bon usage de notre énergie, c’est-à-dire, l’utiliser dans le sens de la vérité et de l’amour de soi. En concluant cet accord avec nous-même : que votre parole soit impeccable, cette seule intention aidera à nettoyer tout le poison émotionnel qui reste en nous. Mais cet accord n’est pas facile à conclure parce qu’on a appris tout l’inverse. On a plutôt appris le mensonge comme mode de communication avec les autres et surtout avec nous-même. Notre parole est loin d’être impeccable.

Chaque fois qu’on écoute une opinion positive ou négative et qu’on la croit, on conclut un accord qui s’intègre à notre système de croyances. Enfant, par exemple, nous avons entendu les médisances des adultes autour de nous, exprimant leurs avis sur autrui, et parfois même sur des personnes qu’ils ne connaissaient pas. Ces médisances s’accompagnaient d’un poison émotionnel, et cette forme de communiquer peut être devenu quelque chose de normal pour nous. La médisance est devenue une forme très répandue de communication dans nos sociétés.

 

L’enfer est plus supportable à plusieurs ?

Enfant-recroquevilleEst-ce que cette manière-là nous permet de nous sentir proches les uns des autres parce qu’on se sent mieux lorsqu’on voit quelqu’un se sentir aussi mal que soi ? Une vieille expression dit que « la misère aime la compagnie » et que les gens qui souffrent en enfer ne veulent pas rester seuls. La peur et la souffrance sont des composantes importantes du « rêve de la planète« . Ce sont des instruments qui maintiennent chacun vers le bas.

Pendant des années nous avons subi les médisances accompagnant la parole des autres, mais aussi celles inhérentes à la nôtre. Combien de fois nous arrive-t-il de nous critiquer ou de nous juger négativement : « Oh j’ai l’air gros(se), je suis moche, je suis trop vieux, je suis stupide, je ne comprends jamais rien, je ne serai jamais assez bon(ne)… »

Tout ça sont des paroles qu’on utilise contre soi.
Il nous faudrait commencer à comprendre ce qu’est la parole et ce qu’elle fait. En comprenant ce premier accord « que votre parole soit impeccable », on pourra observer des changements dans notre vie, déjà au niveau de notre façon d’être avec nous-même, et aussi avec les autres, et surtout ceux qu’on aime le plus.

Combien de fois nous est-il arrivé de médire une personne qui nous est chère pour que les autres soutiennent notre point de vue ? Combien de fois avons-nous capté l’attention d’autrui pour ensuite répandre du poison sur celle ou celui qu’on aime, simplement pour conforter notre opinion ? D’autant que déjà, notre opinion n’est pas forcément vraie, et en plus elle résulte de croyances et de notre propre rêve qui est aussi basé sur des peurs

 

Un simple accord pour se libérer

Si nous concluons ce premier accord, nous pourront progressivement éliminer de notre esprit et de nos relations, tout poison émotionnel. On ne peut recevoir une idée négative que si notre esprit y est ouvert. En ayant une parole impeccable, notre esprit deviendra stérile pour les paroles issues de la médisance et des peurs. A la place, il deviendra fertile pour celles issues de l’amour.

Une façon d’évaluer le degré « d’impeccabilité » de notre parole est de mesurer l’amour qu’on porte envers nous-même. L’intensité de notre amour-propre et les sentiments que l’on nourrit envers soi sont directement proportionnels à la qualité de notre parole. Quand elle est impeccable, on se sent mieux, heureux et en paix.

Nourrir cette graine, lui permettra de se développer et de produire d’avantage de semences d’amour qui remplaceront celles de la peur. Ce premier accord modifiera le type de graines pour lequel notre esprit sera fertile.

Pour Don Miguel Ruiz, « l’impeccabilité de la parole peut nous conduire à la liberté personnelle, à un succès immense et à l’abondance. Elle peut supprimer toute peur pour la transformer en joie et en amour. »