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Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/creer-support-de-meditation/

Comment créer un support de méditation ?

Tangka de Chenrezig réalisée juste au trait

Tangka de Chenrezig réalisé juste au trait

Article invité rédigé par DjenDo, auteur du blog Tangkas.co-createurs.

Les Tangkas permettent de réaliser beaucoup de choses et même de créer un support de méditation.

 

 

Pourquoi créer un support de méditation ?

Pour méditer, le cerveau humain à besoin de se concentrer sur quelque chose.
Cela peut sembler bizarre mais c’est le seul moyen pour lui d’arrêter de vagabonder dans tous les sens : « zut, j’ai oublié le lait au magasin… à quelle heure j’ai rendez-vous chez le dentiste déjà? …Pff, je viens de faire une tâche sur mon pull… mais comment il conduit celui-là… j’espère que le chien n’est pas encore sur le canapé… ah oui, au fait, il faut vraiment que je lui demande sa recette de poulet indien… ».

Bref, le cerveau n’arrête jamais.

C’est pour cela que la méditation est un outil intéressant.
Elle permet de faire « pause » à son cerveau.

Et pour cela, et bien il a besoin de se raccrocher à quelque chose.

Il y a maintes et maintes façons d’y parvenir, et ces techniques sont plus ou moins efficaces selon les personnes.

Normal, on est tous différents, avec un cerveau qui ne fonctionne pas exactement de la même manière.

Moi, par exemple, si je me concentre sur ma respiration pour méditer, ben au bout de quelques minutes, j’ai l’impression de m’étouffer. Ne riez pas, j’ai tout essayé. J’ai même fais des exercices de respiration croyant que je ne savais pas respirer. Mais en fait, si, je respire correctement. Je n’ai pas trouvé d’explication. Si vous vous en avez une, je suis preneuse.
Bref, j’ai laissé tombé cette technique.

Alors, quoi faire ?

Après avoir testé d’autres techniques, et bien je me suis arrêté sur celle qui m’a le mieux convenu: le dessin de Tangkas.

Vous ne savez peut-être pas ce qu’est un Tangka ?
Voici une brève explication: un Tangka est une peinture sacrée caractéristique de la culture tibétaine.
Il représente principalement des divinités bouddhistes et des Mandalas. Ils sont réalisés selon des canons très précis. Si vous voulez en savoir plus sur les Tangkas, venez par ici.
Les bouddhistes l’utilisent comme support de méditation.

Vous allez peut-être me dire: « mais, je ne suis pas bouddhiste. Donc je ne peux pas dessiner de Tangka ».
Et bien détrompez-vous, tout le monde peut dessiner ou peindre des Tangkas.
C’est juste que tout le monde ne peut pas faire toutes les divinités, à moins d’avoir reçu l’initiation de la divinité en question, et donc d’être bouddhiste.

Donc, quel est l’intérêt de dessiner un Tangka pour méditer ?

 

Et bien tout simplement de créer votre propre bouton « pause » pour votre cerveau.

Premièrement :
Tous les artistes le savent, lorsque vous dessinez, vous êtes dans un état second.
Vous êtes concentré, calme et détendu.
Du coup, dessiner vous met déjà dans un état semi méditatif, voir carrément méditatif pour certains.

Petite précision: même si vous ne savez pas dessiner, il est possible de réaliser un Tangka.
En effet, il y a des étapes précises à suivre, une méthode pas-à-pas à reproduire, et du coup, pas besoin d’être un artiste ou même d’avoir déjà dessiné pour faire une divinité.
Même un enfant peut faire un Tangka à partir d’une dizaine d’années.

Mon 1er Tangka à 10 ans... Il a un air enfantin d'ailleurs...

Mon 1er Tangka à 10 ans… Il a un air enfantin d’ailleurs…

Deuxièmement :
Selon la croyance bouddhiste, dessiner un Tangka de façon traditionnelle vous permet de vous « connecter » aux énergies de la divinité que vous représentez.
« Ces peintures auraient le pouvoir d’améliorer une situation pénible ou exaucer un désir car elles permettent la «suppression» d’un obstacle physique ou mental ou de créer les conditions favorables à une bonne santé tout au long de sa vie » et « d’écarter la souffrance, d’obtenir bonheur et longévité, et de s’assurer une existence heureuse après la mort » (extrait du livre La Peinture Tibétaine de D. et J. Jackson).
Les tibétains commandes donc des Tangkas pour des occasions particulières, décès, mariage, cérémonie religieuse…
Vous pouvez donc décider de réaliser un Tangka dans un but précis (maladie, naissance, décès, blocage psychologique, etc.).
Mais vous pouvez aussi choisir de dessiner un Tangka juste pour le plaisir et profiter simplement de passer un moment agréable en ne pensant à rien d’autre.

Mais prenons le cas où vous avez un problème particulier :
Vous ou une personne de votre entourage est malade (ce que je ne souhaite pas, mais malheureusement, ça arrive).
Vous décidez alors de faire un Tangka du bouddha de la médecine Sangyé Menla (ou Bhaishajyaguru).
Pendant que vous réalisez le Tangka, vous lui donnez un but: soulager de la maladie, voir la guérir (qui peut le plus, peut le moins).

Et lorsque votre Tangka est terminé, vous pouvez l’utiliser, le regarder, ou simplement l’imaginer. Ca ne devrait pas être trop compliqué de l’imaginer vu que vous en avez créé les moindres détails. Il devient alors votre support de méditation.

Et voilà, votre bouton « pause » est terminé et prêt à l’emploi.
Il vous à fait faire une pause à chaque fois que vous vous êtes attelé à sa réalisation et il continue encore après. Et oui, vous le connaissez par cœur, dans les moindres détails.
Vous pouvez même vous imaginer retraçant les traits de votre divinité si juste l’imaginer ne suffit pas à faire pause (et oui, le cerveau résiste parfois).

Pour les bouddhistes pratiquants la divinité dessinée, les visualisations sont beaucoup plus faciles. La divinité semble presque vivante. Pour les non bouddhistes, pas de soucis, les énergies de certaines divinités sont « universelles ».
Par exemple, Chenrezig (ou Avalokiteśvara) Bouddha de la compassion, dont le mantra associé est OM MANI PADME HUM est connu de tous. C’est de là que vient le OM si populaire.
Ce symbole et ce mantra sont utilisés par des milliers de personnes qui ne sont pas bouddhistes.
Ils sont dans ce cas le symbole d’un espoir, d’un vœux d’un monde sans guerre ou d’un désir de paix intérieure.

C’est la même chose pour le Tangka que vous dessinez.

Il devient le symbole de ce dont vous aspirez.

Votre Tangka peut vous servir à chaque fois que vous en avez besoin, autant de fois que vous le voulez.
Vous pouvez l’encadrer, l’afficher pour le voir et le revoir.
Vous pouvez en faire plusieurs: plusieurs divinités ou plusieurs fois le même avec des variantes.
Parce qu’au-delà de son but d’aider à méditer, un Tangka est un magnifique dessin.
Selon votre niveau en dessin, votre motivation ou votre patience, il sera plus ou moins détaillé. Mais dans tous les cas il sera très beau.
Et rien que ça, ça fait du bien aux yeux et donc à votre cerveau.

Par contre, si vous êtes débutant en dessin, je vous conseille de commencer par une tête de Boddhisatva ou de Bouddha pour vous familiariser avec la technique avant de vous lancer dans une divinité entière (également conseillé pour les enfants).
Et dans tous les cas, il faut suivre scrupuleusement les trames, les couleurs, et les objets de chaque divinité afin de respecter les canons des Tangkas traditionnels.

Si vous voulez faire un essai, suivez ce lien, et dites-moi vos impressions.

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

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Source originale : http://www.cabinetcomcoach.com/blog/prise-de-parole-en-public

La première clé, c’est de savoir devant quelle audience vous allez parler, à qui vous allez vous adresser : savoir vraiment adapter votre discours, votre langage, votre attitude par rapport au public auquel vous vous adressez.

Est-ce que c’est un environnement plutôt formel ? est-ce que c’est un environnement un peu plus relax ? Est-ce que les gens se connaissent entre eux ou est-ce qu’ils ne se connaissent pas.

Tout ça, ça va définir, en fait, la façon dont vous allez briser la glace avec le public, dont vous allez pouvoir éventuellement utiliser de l’humour ou simplement rentrer en connexion avec ce public.

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Source originale : http://www.plateforme-bienetre.fr/carnet-magique-activer-labondance/

Aujourd’hui, je souhaite vous parler d’un outil que je trouve absolument génial : le carnet magique ! Je l’ai découvert grâce à Grégory Wispelaere il y a quelques temps et je me permets de vous partager l’information aujourd’hui. Cet outil n’est autre que le fait de se munir d’un carnet que l’on va nourrir de […]

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Source originale : https://touchersensible.wordpress.com/2013/01/06/chemin-de-vie/

Chemin de vieDepuis plusieurs mois, je traverse une phase de transition professionnelle qui m’amène à tout un tas de questionnements sur ma vie, le sens que je lui donne, la voie qui est la mienne, mon chemin…

Parlons-en de ce chemin! Pourquoi n’est-il pas plus clairement balisé?? Me serai-je perdue en route?

Ce que ça peut être frustrant parfois de ne pas savoir où l’on va! Et en même temps, j’y vais…

Quoi qu’il arrive je ne cesse d’avancer. Même quand je pense que je recule, j’avance. Je continue mon bout de chemin…

Car j’y suis déjà sur mon chemin, même quand je pense m’être égarée!

Vers quelle destination me porte-t-il?? La belle histoire! Comment le saurai-je? Est-ce qu’un bébé qui vient de naître, connaît déjà comment il finira ses jours? N’est-ce pas justement la nature de la vie que de n’être qu’expériences, imprévus, rencontres fortuites? Tant d’aléas dont les circonstances échappent totalement à notre contrôle et qui colorent à jamais notre vie, d’instants heureux ou malheureux.

Quand on est enfant, on se fiche bien de la destination. On vit l’instant à 1000 pour cent et rien d’autre ne compte. En grandissant, on nous apprend que la vie d’adulte rime avec responsabilités, plus de place pour le jeu et la célébration de la vie, l’important c’est de construire son « avenir ». C’est alors qu’on commence à rêver et à s’inventer une vie. Sauf qu’à l’inverse de l’enfant, on manque cruellement d’imagination et on louche souvent sur le chemin du voisin pour trouver l’inspiration. On fait avec ce qui existe déjà, on essaie de « trouver sa place » tant bien que mal, parmi les opportunités que la vie ou la société nous propose.

Les places sont exigües? Vous vous y sentez trop à l’étroit, stressé? La bonne affaire! C’est pour tout le monde pareil! C’est comme ça la vie d’adulte, va bien « falloir » s’y faire! Et puis, il faut bien commencer quelque part, au début on fait comme tout le monde, on cherche à rentrer dans une case, et ensuite (avec le privilège de l’âge et de l’expérience), on peut enfin s’autoriser à la faire évoluer cette case. A la transformer pour qu’elle soit plus conforme à qui l’on est, voire d’en créer une autre. Case, qui à son tour pourra être occupée par une autre personne, plus jeune et en manque d’inspiration, et ainsi de suite.

Vue sous cet angle, la vie n’est qu’un immense échiquier dans lequel chacun est « libre » d’évoluer dans un nombre de places prédéfini. Heureusement, la hiérarchie entre les pions et les règles du jeu sont là pour maintenir le bon équilibre entre tous les membres de la société… Sinon que ferait-on? Je me le demande!

Dans la vie, il n’y a pas que les échecs. Rien ne nous oblige à nous conformer au jeu du plus grand nombre. C’est ce que je m’efforce de me rappeler pendant les périodes de transition, comme celle que je traverse en ce moment, où le doute ressurgit parfois. Oui, je suis sur mon chemin, le seul et l’unique qui puisse m’épanouir. Peu importe qu’il soit en marge de la société ou peu conventionnel. C’est qui je suis. A quoi bon vouloir emprunter le chemin d’un(e) autre? Je suis déjà sur ma route!

Source originale : http://heureuxautravail.com/faire-break-carriere/

Troisième étape de ma reconversion en travailleur heureux: prendre un break. Cette étape, je ne l’ai pas vraiment planifiée mais elle m’a paru logique sur le moment et aujourd’hui je la recommande et la trouve indispensable à toute personne qui veut donner plus de sens à sa carrière afin de trouver le bonheur au boulot.

Les réactions de mon entourage

Je voulais commencer ce texte par ce que vous allez très certainement croiser comme réactions si vous quittez votre emploi et annoncez à votre entourage que vous prenez un break. J’ai rencontré ces quatre types de réactions parmi mes connaissances, collègues, amis et ma famille.

Ceux qui vous prennent pour un fou

Certains penseront que vous avez perdu la tête, que vous ne savez pas où vous allez alors que vous avez un objectif de vie (voir mon passage à l’acte). Ils sont persuadés que le bonheur au travail n’existe pas, elles pensent que vous faites erreur et donc elles vous prennent pour un fou car vous avez quitté votre travail bien payé pour « rien ». Au départ, j’ai essayé d’expliquer mon raisonnement à ces personnes et j’espère qu’elles ne me verront plus comme un fou à la fin de ma reconversion. Si pas, sachez que je les prends pour des fous également de ne rien faire pour être heureux au travail.

Ceux qui ont plus peur que vous

Malheureusement, pendant votre break, certaines personnes vont prendre peur pour vous, même parfois plus peur que vous. Les gens ne sont pas habitués qu’on leur réponde « Non » à la question « Tu as trouvé un autre boulot? » ou « Rien pour le moment » à la question « Qu’est-ce que tu comptes faire après? ». Vous êtes hors de votre zone de confort et ce n’est pas vous qui avez peur mais vos proches. Rassurez-les et surtout ne prenez pas peur, ne reculez pas, vous avez passé ce mur de la peur.

Pour la petite histoire, certaines connaissances m’ont demandé des nouvelles pendant mon break pour être certain que tout allait bien pour moi, comme si j’avais sauté d’un avion sans parachute.

saut

© thepartycow / Foter.com / CC BY-NC-SA

Ceux qui sont un peu jaloux

« Roh, j’aimerais trop pouvoir faire ce que tu es en train de faire ». J’ai entendu plusieurs fois cette phrase de la part de personnes qui ne sont pas heureuses dans leur boulot, ont réalisé qu’il y avait un problème mais sont bloquées par le mur de la peur et n’arrivent pas à passer à l’acte.

Ceux qui sont heureux pour vous

Les meilleurs! Merci à ceux qui ont simplement été heureux pour moi car ils ont vu ce que j’entreprenais, ils ont vu que j’allais de l’avant dans ma vie, que je réalisais mon objectif de vie. Un merci particulier à ma femme qui m’a aidé tout au long de cette reconversion.

Breaking  Good

Voyons maintenant l’utilité de s’arrêter de travailler pendant quelques semaines, mois.

Pour vous changer les idées

Ce break vous permettra de mettre de côté le stress rencontré ces derniers temps au travail, tous les problèmes qui vous ont fait démissionner. Vous allez oublier la prison dans laquelle vous vous étiez enfermée et qu’est-ce que vous allez aimer cela! De temps en temps, après quelques semaines, vous repenserez à votre job précédent et vous éprouverez de la joie pour avoir osé le quitter.

Pour réfléchir

Durant ce break, vous allez trouver la vie plus simple. Vous serez beaucoup moins agacé par les petits ennuis de votre quotidien. De plus, ce temps disponible vous permettra de redécouvrir l’important: prendre soin de votre famille, de vous-même en refaisant du sport par exemple et surtout, vous ne perdrez pas de vue votre objectif de vie que vous vous étiez fixé auparavant. Et cet objectif va également évoluer. Pendant mon break, j’ai décidé où je voulais m’installer avec ma famille, ce que je voulais faire comme travail, et j’ai surtout réfléchi à ce que je ne voulais plus faire.

Pour découvrir une nouvelle passion

Pendant ce temps sans emploi, vous ne serez pas sans travail, croyez-moi. Il vous suffit d’adapter une attitude pour cela, celle du film « Yes Man ». Si vous n’avez pas vu ce film, le principe est assez simple: dites oui à toute nouvelle activité qui se présente à vous pendant votre break. Et avec un peu de chance, vous découvrirez peut-être une nouvelle passion et un nouveau métier.

Beaucoup d’entrepreneurs ont découvert leur métier pendant un break. Je pense par exemple à ce papa qui en prenant un congé paternité, remarque que la nourriture pour enfants n’est pas bonne et ouvre sa propre société de petits pots. Le livre « Comment se réaliser dans son travail » vous dévoilera d’autres exemples si cela vous intéresse.

Yesman

© Born to lose, live to win / Foter.com / CC BY-NC-ND

Pour mon cas, j’ai eu l’occasion d’aider des membres de ma famille dans diverses activités que je ne connaissais pas, ou peu, ou que je n’avais plus pratiquées depuis longtemps.

  • J’ai, par exemple, aidé à la ferme de mes beaux-parents et découvert le métier de fermier de plus près pendant quelques heures par jour.
  • J’ai eu l’occasion de peindre des pièces d’une maison car mon beau-frère est venu me demander de l’aide.
  • J’ai rejoué au basket car on m’a invité à le faire et j’avais le temps.
  • J’ai été couper du bois pendant une journée.
  • J’ai pris le temps de réaliser un site Internet pour l’école primaire de ma mère qui me l’avait demandé il y a plus d’un an.
  • J’ai appris à faire des sushis moi-même.
  • J’ai pris du temps pour étudier le polonais.
  • … Et la liste est longue car j’ai dit oui à tout ce qu’on m’a proposé et à tout ce que j’avais envie de faire pendant cette pause.

Je n’ai malheureusement pas découvert de nouvelle passion. J’ai, par contre, vu que j’aimais bien mon métier d’informaticien car je suis revenu naturellement à la programmation, à la création de sites internet. J’ai totalement perdu la notion du temps à ce moment-là, un véritable flow comme dirait Mihaly. J’ai également pris beaucoup de plaisir dans toutes ces tâches qui étaient finalement une sorte de travail non rémunéré. Tout simplement car ces boulots m’apportaient de la variation, me permettaient d’aider des personnes autour de moi ou encore de réaliser quelque chose de mes propres mains.

Pour résumé, voici mon conseil: si vous êtes à un tournant de votre carrière ou en pleine reconversion, ne vous plongez pas directement dans un nouveau job, prenez un break…

Photo credit: Born to lose, live to win via Foter.com / CC BY-NC-ND
Photo credit: thepartycow via Foter.com / CC BY-NC-SA

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