Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !
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Mettez-vous en MARCHE…Vous aimerez aussi: C’est possible ! La preuve… Allez-vous l’attendre et le regretter ? Que faire quand vous n’obtenez pas de résultats malgré tous vos efforts ? MOVE: Comment avoir une énergie infinie ! 10 conseils pour bien vivre et dormir pendant la canicule
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La réussite professionnelle implique que vous soyez en accord avec vos valeurs. Votre capacité à respecter vos valeurs et vos priorités est un facteur déterminant dans le sentiment de satisfaction professionnelle. Ne pas être en cohésion avec ses valeurs, engendre une sensation d’insatisfaction, de démotivation et le sentiment de ne pas avoir de main mise sur sa vie professionnelle. Vos valeurs sont ce que vous jugez important, essentiel dans votre vie professionnelle mais aussi personnelle. La priorisation de vos valeurs va vous aider à recentrer vos actions, donner un sens à vos œuvres et déterminer la direction à prendre dans votre vie. Comment définir vos valeurs ? Vous allez pour cela jeter un coup d’œil sur votre vie professionnelle et personnelle passée. A quel moment avez-vous été le plus heureux et épanoui ? Que faisiez-vous ? Avec quelles personnes étiez-vous ? Cet intervalle a-t-il donné un sens à votre vie ? pourquoi ? Etiez-vous fier ? Pourquoi ? En fonction de ces expériences vous allez définir vos valeurs. Vous pouvez vous inspirer de la liste de mots ci-dessous non exhaustive. réalisation – équilibre – qualité de vie – affirmation de soi – responsabilisation – flexibilité – générosité – équité – respect d’autrui – indépendance – prospérité – famille – efficacité – épanouissement – sens du service – disponibilité – courage – créativité – écoute … . Vous pouvez faire votre liste dans un premier temps, la mettre de côté, puis la corriger, l’affiner, dans un deuxième temps. Classez-la ensuite, en mettant au sommet de votre énumération les valeurs les plus importantes pour vous. Cadrent-elles avec votre vie actuelle ? La prise de conscience de ces valeurs peut vous aider à faire des choix dans n’importe quelle situation et surtout déterminer votre implication personnelle et vos actions dans votre projet de vie professionnelle et personnelle.
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Vu sur 7 clés de construction du pont qui mène à votre réussite
Construire sa réussite est comparable à la construction d’un pont soutenu par deux piliers : La confiance en soi et la responsabilité. Ces deux piliers sont indispensables au pont afin de lui permettre de tenir la tension entre les rives opposées. Etre responsable c’est savoir se prendre en charge implique d’avoir confiance en soi. Plus vous …
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Source originale : http://www.cabinetcomcoach.com/blog/prise-de-parole-en-public
La première clé, c’est de savoir devant quelle audience vous allez parler, à qui vous allez vous adresser : savoir vraiment adapter votre discours, votre langage, votre attitude par rapport au public auquel vous vous adressez.
Est-ce que c’est un environnement plutôt formel ? est-ce que c’est un environnement un peu plus relax ? Est-ce que les gens se connaissent entre eux ou est-ce qu’ils ne se connaissent pas.
Tout ça, ça va définir, en fait, la façon dont vous allez briser la glace avec le public, dont vous allez pouvoir éventuellement utiliser de l’humour ou simplement rentrer en connexion avec ce public.
Source originale : http://www.vie-explosive.fr/guide-estime-de-soi
Dans cet article, apprenez les 10 étapes à mettre en place pour avoir une solide estime de vous.
Nous verrons notamment :
– Comment se faire respecter
– Comment regagner la confiance en soi
– etc…
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Acteur de sa vie
Acteur de sa vie – Arrêtez de vous plaindre et prenez le contrôle de votre vie!
La relation à l’autre: besoin ou envie? Le thème d’aujourd’hui fait partie du Festival des blogs de Février, que j’ai la chance d’organiser grâce au site développementpersonnel.org. Vous trouverez l’article de lancement ici. J’ai choisi ce thème car bien souvent, dans mes séances de coaching, je le retrouve au coeur des problèmes de mes clients. […]
Source originale : http://www.jesuissucces.com/blogue/2010/04/05/comment-choisir-une-carriere/
Pour faire un choix de carrière, vous vous êtes peut-être posé plusieurs questions.
- Quel genre de travail pourrais-je exercer plus tard?
- Quels sont les métiers payants?
- Comment pourrais-je rendre mes parents fiers?
- Pourquoi étudier à l’université si je peux travailler après le collège?
Croyez-vous avoir fait le bon choix? Avez-vous posé les bonnes questions?
C’est peut-être un peu moins le cas aujourd’hui, mais beaucoup de conseillers en orientation examinent d’abord les aptitudes des jeunes étudiants pour leur dresser une sélection de choix de carrières logique.
Exemple: Vous avez du succès en mathématique, il est donc logique de travailler en comptabilité ou en informatique. C’est logique, mais est-ce le bon choix? C’est logique dans le sens où vous êtes à l’aise avec les chiffres et les formules. La comptabilité et l’informatique ont justement un lien étroit avec la logique et les mathématiques. Donc, ces deux domaines seraient un choix intelligent, non?
Peut-on en être aussi certain?
La grande question : Quel métier me passionnerait?
Si vous vous étiez posé cette question dès le départ, auriez-vous fait le même choix de carrière?
Prenons l’exemple suivant. Vous êtes un passionné de la photographie, mais vous choisissez de vous lancer dans le domaine de l’informatique, car vous êtes assuré d’une sécurité d’emploi et d’un bon salaire. Si votre choix est basé sur la sécurité et le revenu, croyez-vous que vous serez heureux à votre travail? Et si vous aviez choisi d’être photographe, seriez-vous heureux même si vos revenus n’étaient pas aussi élevés que celui de l’informaticien?
Si vous aviez la chance de retourner en arrière et de choisir une nouvelle carrière, feriez-vous le même choix?
J’aime beaucoup cette citation du psychologue Abraham Maslow : « The most beautiful fate, the most wonderful good fortune that can happen to any human being, is to be paid for doing that which he passionately loves to do. »
On dit que la plupart des gens perçoivent leur emploi comme une corvée plutôt qu’une joie de vivre. Croyez-vous que la vie serait différente si à l’école nous avions passé plus de temps à nous conscientiser et réfléchir à ce qui pourrait bien nous passionner?
Dans son livre Happier (Cnd: Happier), Tal Ben-Shahar nous explique qu’il est important de se poser les trois questions suivantes avant de s’engager dans ses études, sa carrière ( ou dans tout autre projet d’envergure) :
- Qu’est-ce qui donne un sens (une direction, un but) à ma vie?
- Qu’est-ce qui me procure du plaisir?
- Quelles sont mes forces et aptitudes?
Lorsque vous aurez répondu à ces trois questions, il vous faudra trouver les réponses communes à toutes ces questions. Ce résultat vous donnera un indice de ce que pourrait être votre carrière de choix.
Exemple: Si le domaine des arts donne un sens à votre vie, qu’il vous procure beaucoup de plaisir et que vous avez un certain talent artistique, alors pourquoi résister? Lancez-vous en art!
Pourquoi rester malheureux dans un travail payant que vous détestez si vous pouvez être pauvre, mais heureux dans un travail qui vous passionne?
Que vous soyez Canadien, Français, Japonais ou Indien, c’est la même chose. Nous cherchons tous à être heureux et donner un sens à notre vie. Pour mieux orienter votre vie, il serait donc important de déterminer vos intérêts, objectifs, aptitudes et valeurs.
Bonne journée
Christian
Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/Sameliorer/~3/v-wFVryttnY/
Après les timbres, les patchs, les gommes à mâcher et les chewing-gums évoqués dans la première partie de cet article, nous examinons maintenant d’autres substituts nicotiniques pour arrêter de fumer. Widgets Amazon.fr Les comprimés sublinguaux ou pastilles à sucer Outre … Lire la suite
Source originale : http://www.acide-ici.fr/historiettes/une-qualite-inattendue-2.html
– Voilà les cinglés qui s’amènent.
A l’instar de la quasi-totalité des habitants d’En-Bas, en tout cas de ceux ayant entendu parler de l’expédition, Héripace voyait la tentative désespérée de ces gens d’un mauvais œil. Qui diable étaient-ils donc pour penser qu’ils pouvaient faire fi de l’ordre établi ? Des jeunes, bien entendu, voilà qui ils étaient. L’absence d’expérience et l’ignorance des réussites et échecs des générations les ayant précédés pouvait seule expliquer l’arrogance d’une telle tentative.
Quoi qu’en les voyant approcher, Héripace s’aperçu que l’aréopage de « cinglés » était constitué de toute une variété de profils. Il achoppait sur toute tentative de classification, tant les membres du groupe semblaient rétifs à se laisser enfermer dans un sac d’âge, de sexe, d’ethnie, d’apparence, ou de quoi que ce fût d’autre – seul quelque chose dans leur regard semblait les caractériser d’une manière à peu près uniforme. Mais ce n’était pas quelque chose qu’ils avaient, dans ce regard, qui frappait : il s’agissait plutôt de quelque chose qu’ils n’avaient pas, sans qu’Héripace fût capable de déterminer quoi.
La foule, qui s’amassait sur le chemin de l’expédition, effectuait le même travail que celui accompli dans tous les villages que l’équipée avait traversé précédemment – avec, paraissait-il, un certain succès, car ici comme ailleurs, les rumeurs étaient toujours plus véloces que la marche des hommes. En effet, il se disait que depuis le début de la « marche des fous », comme on se plaisait à la dénommer, un quart des participants initiaux à la tentative avaient fini par se ranger à la sagesse populaire de la horde de ceux qui, pour leur bien, venaient les décourager de remettre en cause ce à quoi tout le monde se résignait. Ils admettaient alors, tous penauds et légèrement vexé de leur embrasement furtif, la vérité frappée au sceau du bon sens : ils n’arriveraient jamais En-Haut.
De fait, que l‘unique voie menant en haut fût fantastiquement raide et incroyablement longue ne suffisait pas à la pénibilité de la tâche des concurrents à l’ascension. Elle était de plus dotée d’une étonnante propriété : toute personne s’y engageant pouvait sentir le chemin, dans son intégralité, l’entraîner vers le bas, comme un tapis de terre et de pierres se déroulant sous ses pieds dans le sens de la descente. Il aurait fallu, pour arriver En-Haut, effectuer l’impossible ascension sans prendre le moindre arrêt, puisque durant son moindre répit le candidat à l’élévation aurait vu réduits à néant tous ses efforts précédents. Ce qui amenait les En-Basiens à accepter les rudes conditions de leur pauvre terre sans jamais la mettre en balance – sinon dans leurs rêves – avec les merveilles que les légendes rapportaient sur En-Haut.
Ce n’était pas un vrai problème pour les habitants d’En-Bas, dont la philosophie populaire était exempte de divin, de notion de justice et de tout ce que créaient usuellement les êtres doués de raison pour supporter l’inintelligibilité du monde. Seuls comptaient pour eux le fait de reconnaître la chance de ce qu’on avait au départ et – quoi que, curieusement, dans une moindre mesure – ce qu’on arrivait à en faire en allant chercher ce que l’on voulait. Néanmoins, malgré leur sagesse, l’idée que quelqu’un eût pu se soustraire à la vie En-Basienne tandis qu’eux-mêmes s’y étaient résignés leur paraissait intolérable pour un motif qu’ils auraient été bien en mal d’exposer.
Sur le bord du chemin, où la foule massée détaillait aux téméraires à quel point leur expédition était vouée à l’échec, Héripace se joignit à l’effort commun et alpagua un jeune concurrent à l’ascension.
– Quel espoir as-tu donc de réussir quelque chose d’aussi difficile que cette ascension ? C’est impossible. Tu ferais mieux d’accepter la vie d’En-Bas. Reste donc avec moi, je suis seul, tu pourrais travailler avec moi. D’ici, tu sais, on peut voir la Voie-d’En-Haut et la contempler tous les jours jusqu’à l’endroit où elle se perd dans les nuages qui ne se dissipent jamais.
Sentant qu’il faisait mouche, il continua ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa logorrhée triomphe chez le jeune candidat de ce qu’il lui restait de volonté après les découragements entendus dans tous les villages précédents.
Héripace disait vrai, la première partie de l’expédition touchait à sa fin : la Voie-d’En-Haut se trouvait en effet peu après la sortie du village. C’est par conséquent là que se dirigèrent les plus opiniâtres qui, n’en faisant qu’à leur tête, persistaient à vouloir tenter de quitter leurs compatriotes.
Ils commencèrent alors leur longue et pénible ascension, sous les découragements farouches de la foule massée sous eux. Un à un, on vit les présomptueux abandonner leur folie et redescendre vers les gens normaux, qui leur pardonnaient aussitôt leur moment d’égarement. Petit à petit, tous les concurrents, épuisés, se rendirent à la raison des gens de bien. Tous, sauf un isolé, qui grimpait de plus en plus péniblement mais sans réaliser qu’il n’arriverait jamais au bout de son chemin.
La foule hurla de plus belle.
– Abandonne !
– Ta tentative est vouée à l’échec !
– C’est insensé !
– Que crois-tu, personne n’a réussi !!
– Reviens donc avec nous !!!
Pourtant, l’insensé poursuivait sa lente et difficile route, sans même tourner la tête vers ses conseilleurs, dont les plus véhéments étaient d’ailleurs les ex-participants à l’élévation, à présent redescendus sur la terre tant mentalement que physiquement. Lentement, le fou solitaire finit par se perdre dans les nuages. On attendit longtemps son abandon, son retour, son déclin. Il ne revint jamais.
On se perdit en conjecture sur sa disparition ; puis on le conspua ; puis on l’oublia. Et l’histoire effaça des esprits jusqu’à son existence, ce qui permit aux En-Basiens de reprendre le cours ordinaire de leur vie, qui l’était tout autant.
Epilogue
Arrivé En-Haut, et découvrant un incroyablement luxuriant jardin de délices, Hon-Chi rencontra pour la première fois un être d’En-haut. Ce dernier vînt à sa rencontre, et l’accueillit chaleureusement :
– Cela fait une éternité qu’aucune accession à notre terre ne nous a été reportée ! Fît-il avec enthousiasme. Bienvenue dans ce lieu merveilleux, et bravo pour l’exploit que vous venez d’accomplir ! Je me nomme Ncho Gayo. Comment vous appelez-vous ? Et qu’est-ce qui vous a amené à parvenir jusque-là tandis qu’il semble qu’aucun de vos compatriotes n’ait réussi pareille ascension ?
Alors Hon-chi sorti de sa poche un petit papier qu’il avait préparé au tout début de son périple, et le tendit à son vis-à-vis. Ce dernier le prit, et lu :
« Bonjour, enchanté de vous rencontrer. Je me prénomme Hon-Chi, seriez-vous assez aimable pour communiquer avec moi par écrit ou en langage des signes ? Je suis en effet suis sourd. »
Ncho Gayo eut alors la réponse à ses deux questions, et fit préparer pour son nouvel ami la réception qu’il méritait.
Source originale : http://youtu.be/F8D2sAB8GPM
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=F8D2sAB8GPM&w=640&h=360]