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Comment la confiance en soi peut vous aider à séduire la femme ou l’homme de vos rêves ? Quelles sont les astuces pour faire des rencontres et vaincre votre célibat ? Comment vous pouvez gagner en charisme grâce à des exercices de développement personnel ? Avant de débuter cet article, je tiens à remercier Charles […]

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Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/meditation-selon-nisargadatta/

La méditation selon Nisargadatta

Nisargadatta © Jitendra Arya

Nisargadatta © J. Arya

Article invité rédigé par Eric Bah de Tout Pour Etre Bien et Wellness Experience.

Longtemps j’ai cru que l’éveil était réservé aux solitaires, qu’une spiritualité accomplie passait nécessairement par une vie retirée de la société. Et puis j’ai rencontré Nisargadatta, à travers ses livres. Nisargadatta, un mari, un père, un petit commerçant travaillant dans la ville indienne la plus peuplée : Bombay, capitale commerciale de l’Inde et siège de la plus grosse production cinématographique du monde.

 

De la naissance à l’éveil

« Il n’y a pas de personne, et par conséquent il n’est question ni de naissance, ni de vie, ni de mort. » C’est en ces termes que Nisargadatta résume son existence. Mais pour le commun des mortels, Maruti Nisargadatta naît en 1897 et passe son enfance dans la ferme de ses parents au Sud de Bombay. Quelques années après la mort de son père, alors qu’il n’a qu’une vingtaine d’années, Nisargadatta ouvre une petite boutique de bidis, ces fines cigarettes indiennes roulées à la main. Puis il se marie et aura un garçon et trois filles. Il mène ainsi la vie paisible d’un père de famille jusqu’en 1933, date à laquelle il rencontre son maître Siddharameshwar, de la lignée des Navnath Sampradaya qui remonte à la nuit des temps. Siddharameshwar l’initie dans la tradition de l’Advaita Vedanta. Nisargadatta rapporte : « J’ai fait ce qu’il m’a dit de faire. Tout mon temps libre, je le consacrais à m’observer en silence. Cela opéra en moi un changement rapide et profond. Il ne me fallut pas plus de trois ans pour réaliser mon être véritable. »

Errance et enseignement

Un an après la mort de son maître, en 1937, Nisargadatta entame une vie de moine errant. Mais quelque temps plus tard, il se ravise ; considérant les défauts de cette vie retirée du monde, il décide de revenir à Bombay. Il rouvre son échoppe et s’aménage à l’étage une salle de méditation. Très rapidement, attirés par son immense sagesse, les gens viennent le consulter de toute l’Inde, puis des quatre coins du monde. Chaque jour, de 8 h 30 à 12 h 30 et de 16 h 30 à 18 h 30, Nisargadatta écoute avec bienveillance chacun de ses visiteurs. Se disant inculte et analphabète, il répond en marathi, sa langue maternelle, dans un style simple et tranchant. A partir de 1980, atteint d’un cancer de la gorge, il s’exprime de manière encore plus incisive, sans concession, allant à l’essentiel. Il délivre son enseignement jusqu’aux derniers instants de sa vie. Il meurt le 8 septembre 1981. Mais « ce qui n’est pas né, comment pourrait-il mourir ? »

L’attachement, notre prison

« Tous vos ennuis ont leur source dans votre identification avec le corps. » C’est le plus gros obstacle à notre libération : l’identification au corps et à l’esprit. Nous croyons être cela et nous restons attachés aux choses. C’est à cause de cette identification à l’entité corps-esprit que notre conscience se persuade qu’elle est mortelle. Mais en fait personne ne meurt car personne n’est né. Pas de naissance, pas de mort. Tout ce qui arrive a lieu dans le champ de notre conscience qui n’est rien de moins que la conscience universelle. « Vous pouvez observer votre corps donc vous n’êtes pas lui. » De même que vous n’êtes pas les vêtements que vous portez, vous n’êtes pas ce corps que vous habitez. Notre conscience était là avant le corps-esprit ; elle sera là après. L’être est transitoire. En ramenant notre conscience à cette infime partie d’elle-même, nous construisons la prison de nos illusions.

A quoi sert l’être ?

« Depuis quand et comment peut-on avoir l’expérience du monde ? Comprenez-le une fois pour toute, on ne le peut que grâce à l’être. » L’Absolu ne peut pas se ressentir lui-même. Dans l’une de ses conversations, Nisargadatta compare l’être à un télescope. Vous pouvez étudier la lune et les étoiles grâce à un télescope. Mais vous n’êtes ni le télescope ni le ciel que le télescope vous aide à scruter. L’être est indispensable à la conscience absolue pour observer le monde manifesté. Cependant l’Absolu n’est pas l’être, l’outil par lequel se fait l’observation. Il n’est pas non plus l’objet de l’observation, le monde manifesté. Pour qu’il y ait connaissance, il faut que l’être apparaisse. C’est l’être qui permet l’expérience. Un objet n’existe qu’à deux conditions. La première : il faut un objet. La seconde : il faut un observateur. L’erreur est de croire que l’être est l’observateur. Alors qu’il n’est que le télescope. Vous, l’Absolu, êtes l’observateur.

La non-dualité, c’est tout

« Je suis tout ce qui est et sans moi rien n’existe ! » Le principe de non-dualité repose sur l’indifférenciation entre l’individualité et la totalité. Tandis que l’Absolu se déploie en des milliards de formes variées, notre attachement à l’être nous joue des tours et nous fait voir chaque entité comme séparée des autres. Nous nous considérons comme des individus. Et en tant qu’individu nous appréhendons le monde de façon fragmentée. Cette illusion nous pousse à agir le plus souvent dans le sens de notre intérêt personnel, ou plutôt dans le sens de ce que nous croyons être notre intérêt personnel. L’individu n’est pas la réalité, mais un aspect de la réalité. Une goutte d’eau de l’océan est-elle séparée, différente, de l’océan ? Elle est l’océan tout entier, indissociablement. Nous sommes Un. Nous devons nous réveiller de ce mauvais rêve qu’est l’illusion de la dualité, de la séparation. Sans quoi nous ne faisons que nuire, au reste du monde, aux autres, et finalement à nous-mêmes.

La connaissance de soi mène à l’amour universel

« Quand vous savez, au-delà de toute incertitude, que la même vie coule dans tout ce qui existe, et que vous êtes cette vie, alors vous aimez tout, naturellement, spontanément. » Etre dans le Soi est le plus grand service à rendre à l’humanité. De la connaissance de soi découle l’amour. Lorsque que vous reconnaissez chaque chose comme faisant partie de vous, il n’y a pas plus de peur. Et lorsqu’il n’y a plus de peur, il y a la place pour l’amour. Cet amour est l’amour universel. Il ne s’adresse à personne en particulier. De même que la fleur exhale son parfum pour tous, sans discrimination, l’amour universel embrasse tout le monde. Il n’y a pas de chemin pour trouver cet amour : c’est notre nature profonde. Nous sommes à destination. En vérité, nous ne sommes jamais partis. Nous sommes la source. Nous n’avons pas à devenir ce que nous sommes déjà. Nous devons simplement voir ce que nous ne sommes pas.

© Danmir12 / Fotolia © Danmir12 / Fotolia

Pourquoi méditer ?

« Etre un avec CELA grâce à quoi nous savons que nous sommes, c’est la méditation. » Pour Nisargadatta, le premier objectif de la méditation est de prendre conscience de sa vie intérieure. Le second est de s’éveiller en remontant à la source de la conscience. « L’achèvement le plus haut que permette cette vie est la réalisation de notre être. » Une partie de nous nous est totalement inconnue ; nous l’appelons l’inconscient. Et parce que nous ne la connaissons pas nous en sommes esclaves. La méditation nous aide à connaître nos conditionnements, nos attachements. Chaque vice, chaque faiblesse que nous voyons en nous finit par disparaître. Et lorsque la totalité de l’inconscient s’est dissoute, le mental est apaisé. Nos actes deviennent justes ; ils ne sont plus ceux d’une marionnette dont l’inconscient tirait les ficelles. « La spiritualité n’est rien d’autre que comprendre le jeu de la conscience. » L’Eveil apporte Paix et Amour.

Comment méditer

« Pour celui qui cherche la réalité, il n’y a qu’une seule méditation : un refus rigoureux d’abriter des pensées. Etre libre de pensées est en soi une méditation. » Si vous débutez, il est préférable de méditer en un lieu calme, sans risque d’être dérangé. Plus tard, avec un peu d’expérience, vous serez capable de méditer n’importe où. « La méditation pratiquée aux premières heures du jour est utile et efficace. » Mais vous pouvez pratiquer en plus à chaque moment de libre. La méditation nécessite habituellement un objet de méditation : le méditant médite sur quelque chose. Mais le méditant était là avant ce quelque chose. Nisargadatta enseigne de supprimer l’objet. « Dans la vraie méditation, le méditant est seul sans aucun objet de méditation. » Commencez par laisser passer vos pensées en les regardant sans intervenir, sans vous y accrocher. Cela ralentira le mental jusqu’à ce qu’il s’arrête totalement. Lorsqu’un mot, une phrase surgissent, nous sommes entraînés à leur suite tels des somnambules. Vous devez rester juste avant que le mot jaillisse. C’est là que se trouve « Je suis », l’Absolu, avant l’apparition de l’être et de la connaissance. Restez simplement dans cet état. Il n’y a aucun effort à faire. Au contraire l’effort est un obstacle. Soyez c’est tout.

Méditation guidée

Prévoyez au moins vingt minutes. Installez-vous dans un endroit calme, de préférence dans la pénombre. Coupez votre téléphone, éteignez votre ordinateur. Asseyez-vous sur un coussin de méditation ou au bord d’une chaise. Lancez l’enregistrement et laissez-vous guider. Méditer est la meilleure chose que vous puissiez faire pour vous et pour le monde. « Si vous prenez au sérieux, les souffrances de l’humanité, vous devez perfectionner le seul moyen d’aide que vous avez. » Cliquez ici pour méditer.

Bonne méditation !

Méditer dans l’action

Comment inscrire la méditation dans sa vie quotidienne : en famille, durant son travail, pendant ses loisirs ? « Utilisez les pensées pour remplir vos fonctions et le reste du temps laissez-les couler d’elles-mêmes, sans interférences, sans desseins, comme l’eau d’une rivière dans laquelle vous ne puisez que lorsque cela est nécessaire. » En dehors de vos parenthèses de méditation, tournez-vous vers l’intérieur le plus souvent possible. Restez avec « Je suis » à la moindre occasion jusqu’à cela se fasse spontanément. Faites-en votre réalité. Soyez simple témoin de votre vie. Observez vos gestes, vos pensées. Veillez à rester en dehors de la scène. Gardez-vous de vous juger. En vous plaçant en témoin, vous vous situez hors du temps. Dans ce silence intérieur, votre mental s’apaisera, sortant peu à peu de la confusion. Et tous les recoins désormais éclairés de votre inconscient en dissolution viendront élargir votre conscience.

Le premier livre

Toutes les citations de cet article sont extraites de trois livres de Nisargadatta : Je suis (traduction Sylvain Josquin), Ni ceci ni cela (traduction Paul Vervish), Conscience et absolu (traduction Jean-Michel Terdjman). Sept livres sont disponibles en français. Nisargadatta n’a en réalité écrit aucun d’entre eux. Il s’agit de transcriptions faites à partir des conversations qu’il avait avec ses visiteurs. Ce qu’il y a, entre autres, d’original chez Nisargadatta, c’est sa disposition à répondre sans retenue aux questions sur sa vie intérieure. Si vous voulez comprendre ce qu’est un être éveillé, c’est assurément le sage à lire. Je vous suggère de commencer par Je suis. Paru en 1973, c’est le premier ouvrage à véhiculer la parole de Nisargadatta. Le propos est d’une impressionnante simplicité et d’une profondeur vertigineuse. Un grand nombre de sujets y sont abordés. S’agissant uniquement de conversations, vous n’êtes pas tenu de suivre un ordre de lecture.

Les dernières paroles

Bien que Je suis présente l’essentiel, lisez aussi Conscience absolu. Cet ouvrage contient les dernières paroles du maître. Il sait que ses jours sont comptés ; son style est direct, économique. Autant Je suis est percutant, autant Conscience et absolu est tranchant, Nisargadatta n’hésitant pas à congédier des interlocuteurs trop peu sérieux. Il meurt avant de pouvoir tenir l’ouvrage dans ses mains. « Plus rien ne m’atteint. » est sa dernière parole imprimée. Il existe peu de vidéos de Nisargadatta. Les images les plus connues sont celles d’un documentaire qui lui a été consacré : Awaken to the Eternal. Regardez aussi ce touchant film amateur en cliquant ici.

Eric Bah est l’auteur de deux blogs :
Tout Pour Etre Bien, pour prendre sa santé en main.
Wellness Experience, réservé aux masseurs professionnels.

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

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Les destructeurs des couples ?

Les destructeurs de couples

Une scène ne veut pas forcément dire rupture !

Personnellement, je ne connais pas de couple qui ne se dispute pas et ce n’est pas parce que l’on se dispute avec son conjoint que l’on va rompre ou divorcer car si bon nombre de couples se querellent, tout dépend de la façon dont démarre et évolue la discussion, le tout étant d’éviter les « destructeurs » de couples.

Qui sont ces destructeurs de couples ?

Si vous êtes (l’un ou l’autre) sur le point d’aborder un sujet délicat et que vous sentez qu’il y a un risque de « dérapage », quel comportement adoptez-vous ?

  1. Vous optez pour la diplomatie et pour trouver un terrain d’entente vous gardez votre calme ?
  2.  Vous attendez que votre partenaire soit suffisamment disponible et détendu(e)pour en discuter ?
  3.  A peine rentré du travail, votre « sautez » sur votre partenaire pour lui faire part de votre énervement ?

La diplomatie est une bonne méthode.

En effet, il est préférable de laisser « tomber la température » plutôt que de foncer tête baissée car pour reprendre une discussion, une petite pause est souvent salutaire.

Attendre que son conjoint soit disponible et détendu est évidemment une bonne décision.

Cependant, n’attendez pas trop longtemps car une forte dose de frustration pourrait bien vous faire exploser comme une cocotte minute et plutôt que d’adresser des griefs à votre moitié comme :

« Je voudrais te dire que la réflexion d’hier au sujet de… m’a fait beaucoup de peine »

Vous pourriez être tenté de lui envoyer de méchantes critiques du style :

« Oui, j’en ai marre, avec toi c’est toujours la même chose et tu sais très bien que j’ai horreur de ce genre de réflexion. C’est vraiment dégueulasse de ta part de… »

Si ce genre de critiques vous échappe de plus en plus fréquemment, attention, cela signifie que le premier destructeur de couples  est parmi vous : La critique.

Après la critique, un autre destructeur de couples peut rapidement venir le rejoindre.

La scène pourrait se dérouler de la façon suivante :

Après votre journée de travail, vous vous installez tranquillement dans votre canapé et commencez à vous détendre. La porte s’ouvre, votre conjoint vient de rentrer.

Chez un couple où la bonne entente règne, l’arrivée du compagnon pourrait s’accompagner d’un :

« Coucou ! C’est moi. A te voir assis sur le canapé, tu as dû avoir une rude journée… »

Chez un couple où l’amitié et la complicité ne sont plus très présentes au quotidien, l’arrivée du conjoint  pourrait être saluée de la façon suivante :

Elle :« Bonsoir, ha ! Je vois que tu as retrouvé ta place favorite… (Le ton est sarcastique) Toujours avachi sur ce canapé. »

La critique ne va pas tarder à être suivie par un deuxième destructeur de couples.

Lui :« Ma journée n’a pas été terrible alors je prends quelques minutes pour me détendre »

Elle :« Mouais, comme d’habitude. Tu crois certainement que tu es le seul à avoir des journées difficiles.  Ben non ! Mais de toutes les façons, tu n’as pas besoin de ça pour rester affalé toute la soirée dans le canapé n’est-ce pas ? « 

Et voilà le deuxième destructeur de couple : Le mépris

Le mépris est un sentiment hautement préjudiciable. A lui seul il exprime combien quelqu’un est indigne d’intérêt et de respect.

Hélas, cette attitude de réprobation provoquera immanquablement une nouvelle réaction chez l’autre passant ainsi le relais à un troisième destructeur de couples : La réaction défensive.

Lui :« Quoique que je fasse, tu n’es jamais contente et puis, tu pourrais être un minimum agréable en rentrant, non ? C’est quoi ton problème ! »

Bien que naturelle parce qu’elle nous permet de nous protéger, cette réaction défensive est un obstacle à la communication et ne fait qu’entretenir l’escalade du conflit.

Pour stopper net cette querelle, une tentative de rapprochement serait la bienvenue et il suffirait peut être d’une phrase comme :

Les destructeurs de couples

Une tentative de rapprochement

Lui :« Bon ! Je n’ai pas du tout envie qu’on se dispute alors arrête de râler et raconte-moi plutôt ta journée ».

Je sais, c’est plus facile à écrire qu’à mettre en application mais en procédant de cette façon, vous éviterez de faire surgir le quatrième destructeur de couples.

Parce qu’après l’assaut de la critique, suivi rapidement du mépris créant du même coup une réaction défensive, si la tentative de rapprochement échoue, qui viendra se joindre à ce trio infernal ?

Si la conversation évolue vers un :

Elle : « Hum ! Tu as raison… »

Grâce à la tentative de rapprochement réussie, le conflit sera étouffé dans l’œuf et laissera augurer une soirée tranquille.
Cela ne veut pas dire que le conflit ne resurgira pas ou qu’il est résolu mais la tentative de rapprochement permet de désamorcer rapidement ce moment de tension et offre une possibilité d’aborder le sujet conflictuel de façon plus calme.

Mais si la réponse est :

Elle : « Pourquoi je te raconterais ma journée puisque tu ne m’écoutes jamais et qu’en plus, tu t’en fous ? »

Alors là, il y a de grandes probabilités de voir monsieur se lever du canapé (le regard baissé afin d’éviter de croiser celui de madame) et quitter rapidement la pièce.

Le quatrième destructeur de couples vient de rejoindre le trio précédent : l’échappatoire

La tentative de rapprochement ayant échoué, l’échappatoire est la voie royale pour éviter tout combat et mettre fin à l’engueulade ; mais est-ce dans la fuite qu’on résout les conflits ?

Si vous constatez dans votre vie quotidienne la présence de ces destructeurs de couples, soyez vigilants car ils pourraient bien vous conduire directement devant un Juge aux Affaires Familiales.

Si vous avez des idées à partager ou des solutions à suggérer, n’hésitez pas à le faire savoir en laissant un commentaire.

A très bientôt !

Manima

Photo : fotolia.com

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Source originale : http://www.attention-bonheur-possible.com/stop-routine-enthousiasme-bonheur/

                                                              C’est la rentrée, et on reprend son petit train-train, les habitudes diverses : Ecole, boulot, horaires, programmesroutine télé, loisirs…C’est repartit, mais ne pourrait t-on pas mettre un peu de fantaisie dans cette vie bien organisée ? La routine, l’habitude pourrait bien être des freins à notre bonheur….

 

Mais qu’est-ce que l’habituation hédonique ?

 

Vous vivez quelque chose de répétitif et naturellement vous allez vous y habituer, d’autant plus si cette situation est agréable ! C’est un caractère humain. Cette “habituation hédonique” comme les scientifiques l’appelle, est inévitable si l’on ne prend pas la peine de la contrer. Et il est préférable de lutter contre car comme nous l’explique très bien Sonia Lyubomirsky dans son livre “Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux ? ”, il est scientifiquement prouvé, que cette habituation éteint notre enthousiasme, notre joie et notre bonheur.

Exemple : Vous êtes amoureux, vous allez au restaurant avec votre chéri(e), vous prenez une chambre d’hôtel, vous faites l’amour, vous vous quittez difficilement jusqu’au prochain RDV….Jusque là, ça n’est que du bonheur, vous êtes excité, sur votre petit nuage, enfin je crois que vous pouvez imaginer….

2 mois plus tard : Même scénario, mais vous n’êtes sur votre petit nuage, ni si enthousiaste, et pourquoi ?

Parce que depuis deux mois vous vous rencontrez le même jour de la semaine, vous allez dans le même restaurant et dans le même hôtel, vous faites l’amour de la même manière, et vous vous séparez jusqu’au prochain RDV. Plus de surprise et la routine c’est installée, vous vous êtes habitué à ce qui était pourtant exaltant au départ, et ce qui était une fête devient juste la norme…

ouhouhouh ! Comment il est retombé le soufflé !

Ce phénomène est normal, humain, présente certains avantages, mais mérite toute notre vigilance car il entame notre bonheur tout de même. Les solutions ci-dessous !

 

La routine présente aussi certains avantages :

Elle est sécurisante : Je connais mon travail par coeur, je suis ainsi plus sur de ne pas faire d’erreur, de ne pas me faire remarquer, de ne pas me faire enguirlander par mon supérieur….Dans mon couple, l’organisation est rodée, ce ronron m’assure presque la pérennité, c’est acquis….

– Elle ne nécessite pas de faire d’effort

– Elle correspond aussi à un certain bon sens : je refais encore et encore ce qui fonctionne.

 

Comment lutter pour la préservation de l’enthousiasme et du bonheur ?

Et bien il faut continuer d’apprécier ce qui est, ne pas le prendre pour acquit et définitif, et parsemer votre vie de défit, de surprise, de fantaisie.

Cela demande un effort, alors que la routine s’installe toute seule, tout naturellement…

Mais bon, vous avez décidé d’être heureux puisque vous êtes ici, alors, sans plus attendre je vous donne les moyens pratiques d’entretenir le piment de votre vie :

  • Mettez une alarme à sonner 3 fois par jour, et à cet instant, apprécier ce qui est chouette autour de vous (odeur, vue, compagnie, technologie, chaleur,….), dans le même esprit, pratiquez avec votre carnet de gratitude une ou deux fois par semaine.
  • Varier vos activités, changer vos habitudes, vos manières de faire….etc…
  • Soyez plus spontané, écoutez vous et faites davantage ce qui vous fait plaisir, ce qui vous fait du bien
  • Faites des petites surprises, ayez de gentilles attentions pour votre entourage (ça fait plaisir de faire plaisir, et cela casse la routine). Soyez reconnaissant pour les petits gestes de d’autres font pour vous.
  • Dans le couple, ou entre amis, pratiquez des activités stimulantes, inédites, pour plus d’enthousiasme (il y a le plaisir du partage et celui de la nouveauté).
  • Bien que dans notre culture, le toucher ne soit mas très valoriser, des petits gestes de toucher (non sexuels) permettent de se sentir mieux, plus en sécurité, valorisé….Alors n’hésitez pas à toucher l’autre quand c’est possible, et acceptez d’être touché.

Vous trouverez, je suis sure, bien d’autres manières de mettre K.O. cette routine qui ne demande qu’à briser votre enthousiasme ! Restez attentif à tout ce que la vie vous apporte de beau !

 

J’espère que grâce à cet article et à votre volonté, votre vie va devenir ou rester palpitante.

Vos réflexions et vos idées sur le sujet, seront bienvenues dans les commentaires ci-dessous.

 

 

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Charisme1Parmi les grands leaders de notre espèce, on trouve de manière caricaturale des tyrans et des leaders charismatiques. La différence entre les deux tient évidemment dans la manière que chacun d’entre eux a de diriger. Le charisme génère de la fascination, un pouvoir de séduction et d’influence. Il peut troubler et neutraliser tout jugement extérieur. Les leaders charismatiques ont donc cette capacité à diriger tout en jouant sur l’émotionnel des personnes qui les entourent. D’après Max Weber, le charisme est « la qualité extraordinaire d’un personnage, qui est, pour ainsi dire, doué de forces ou de caractères surnaturels ou surhumains ou tout au moins en dehors de la vie quotidienne, inaccessible au commun des mortels ; ou encore qui est considéré comme envoyé par Dieu ou comme un exemple, et en conséquence considéré comme un « chef ». »

Le charisme est en ce sens une qualité dont beaucoup rêvent, mais qui s’apparente souvent à un don naturel. Il est pourtant tout à fait possible de travailler sur soi pour développer son charisme. En observant les personnes reconnues pour leur charisme, on trouve en effet plusieurs traits communs, que ce soit dans leurs attitudes ou dans leurs comportements vis-à-vis des gens qui les entourent.

Devenir charismatique prend des années, à condition de savoir dans quelle direction chercher. J’ai donc décidé de répertorier l’ensemble de ces grands traits et de les partager avec vous. L’article est un peu long, et sortira pas conséquent en deux parties : une première consacrée aux l’apparence ressentie et aux attitudes puis une deuxième consacrée au comportement vis-à-vis des autres. Enjoy !

L’apparence ressentie et les attitudes

Charisme4Le sourire

C’est probablement le conseil le plus évident de cette liste, mais aussi l’un des plus importants. Le monde ne vous traite plus de la même manière lorsque vous êtes souriant. N’oubliez pas que les émotions sont contagieuses : votre sourire est communicatif et transmettra des émotions positives aux gens que vous rencontrez. Observez Bill Clinton ou Georges Clooney, ils semblent sourire en permanence, même lorsqu’ils sont extrêmement sérieux. Cette qualité tend à faciliter leurs contacts avec les autres.

Sourire est réellement la première chose à faire si vous souhaitez développer votre charisme. Il arrivera évidemment que certaines journées ne vous en donnent pas l’envie, mais il sera important de vous forcez malgré tout de temps en temps. Le sourire à un effet rétroactif sur votre personnalité, il libère toute une flopée de substance dans votre corps qui vous font vous sentir plus heureux.

La présence et la connexion crée avec l’entourage

Première fausse croyance à faire tomber dés maintenant : l’apparence physique en tant que telle importe finalement très peu : les personnes charismatiques ne sont pas forcément des canons de beauté. Il arrive parfois de passer une soirée entière avec des gens, même très beaux, dont on ne se souvient plus un heure après leur départ. Ces personnes sont à l’opposé de ce que doit être une personne charismatique.

Les personnes charismatiques se remarquent, elles sortent du lot. Plusieurs éléments se retrouvent chez chacune d’entre elles.

Le contact visuel est une absolue nécessité, de par sa capacité à transmettre des émotions. Quel que soit le nombre de personnes à qui vous vous adressez, ne regardez pas vers le sol. Connectez-vous avec chacun des interlocuteurs visuellement, afin de les impliquer dans ce que vous dites, de leur indiquer votre présence. N’en faites pas trop pour autant, des contacts visuels trop insistants prennent souvent une signification négative. Pour créer de la connexion avec les personnes que vous rencontrez, n’hésitez pas à être tactile, sans pour autant devenir envahissant.

La gestuelle des personnes charismatiques est souvent réduite à son minimum. Aucun geste n’est réalisé sans avoir une signification. Si vous possédez une caméra, filmez-vous pour apprécier par vous-même ce que les autres peuvent ressentir en vous voyant. L’idée est d’arriver à gommer l’ensemble des émotions négatives que peuvent trahir vos gestes superflus (le stress, l’ennui). Par ailleurs, ayez une posture communicant de l’énergie à votre entourage : dos droit, tête haute, et membres relaxés.

L’aspect vestimentaire joue aussi dans l’image que vous renvoyez. Il existe deux écoles : les « élégants sobres » et les « excentriques ». Quel que soit votre camp, il est important qu’il reflète harmonieusement ce que vous projetez (énergie, vocabulaire, voix, etc.). Les accessoires peuvent être des atouts indéniables (regardez Johny Depp). Enfin, prenez le temps nécessaire pour être proprement coiffé, avoir des chaussures cirées (si elles sont en cuir) et une garde robe relativement renouvelée.

Charisme2La maîtrise de la communication verbale

La tonalité de la voix est un critère important du charisme. Beaucoup de personnes vibrent aux ondes sonores qui leurs sont transmises. Une voix posée et justement maitrisée rassure. Un compliment ne peut paraitre sincère que si il est dit sur le bon ton, il en va de même pour chaque autre émotion que vous voulez faire passer à vos interlocuteurs. N’hésitez pas à vous enregistrer et à vous écouter si nécessaire. Vous sentirez rapidement l’impression qui émerge de la façon dont vous communiquez. Prenez des notes, corrigez vous, et progressez à petits pas.

Faites attention aux mots que vous employez : évitez les « euh », « alors », « tu vois » qui viennent perturber le flot de vos phrases. Parlez correctement et enrichissez votre vocabulaire. Ralentissez le ton de votre voix pour faciliter votre allocution et rendre votre discours plus doux : les personnes parlant trop vite mâchent leurs mots et transmettent un stress important.

Apprenez aussi à poser votre respiration, à inspirer avec le ventre, cela donnera plus de profondeur à votre voix et détendra le reste de votre corps. Pratiquez quotidiennement quelques exercices simples de respiration, les changements se feront très vite sentir.

L’amusement

Cela peut paraitre étrange à première vue, mais les personnes charismatiques s’amusent. Regardez quelques interviews de Georges Clooney si vous ne le croyez pas. Cet état d’esprit est en réalité l’un des meilleurs dans lequel vous puissiez vous trouver. Il permet de se sentir relaxé, léger, de prendre ce qui vous atteint avec plus de recul. Concrètement, ne vous prenez pas au sérieux, pensez aux cotés drôles de ce que l’on vous raconte, n’hésitez pas à rire de vous-même (sans pour autant vous dévaloriser). Rien de bien compliqué finalement.

Le niveau d’energie

Le calme a ses avantages, mais il faut absolument veiller à ne pas endormir les gens qui vous entourent. Soyez toujours suffisamment reposé pour maintenir un niveau d’énergie adéquat lors d’une conversation. Vous devez arriver à donner à votre voix et à votre gestuelle un rythme et une énergie. Par exemple, ne parlez jamais de manière monotone, mettez de la vie dans ce que vous transmettez.

Etre plein d’énergie en permanence ? Impossible si vous ne vous dopez pas. Ce n’est évidemment pas l’objectif, les personnes charismatiques ont aussi leurs moments de fatigue. Elles savent en revanche contrôler les moments durant lesquels leur énergie augmente. Pour cela, la pratique du yoga ou d’autres activités de relaxation seront d’une aide indéniable. Il vous faudra apprendre à vous connaitre, à savoir ce qui vous fait basculer d’un état vers un autre, et d’apprendre à jongler pour apparaitre le plus souvent possible sous votre meilleur jour.

Voila qui clôt ce volet, le prochaine sera publié dans les semaines à venir. N’hésitez pas à rejoindre notre groupe facebook pour être informé de son arrivée !

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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/Worldemotions/~3/P50yLzyGpYw/

Un constat stupéfiant revient régulièrement sur le devant de la scène médiatique, sans pour autant faire autant de vagues qu’on ne le souhaiterais. En effet, on estime qu’au début du vingtième siècle, un adulte moyenne riait environ 20 minutes par jour, c’est quasiment 10 fois plus que ce que ne rie un adulte de nos jours. Un adulte du XXI ème siècle ne rie en effet que de 10 à 15 fois par jour.

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Quelles causes à cette baisse inquiétante ? Le stress, le rythme de vie effréné et les soucis du quotidien vous diront certains. Le fait de ne plus savoir se prendre autrement qu’au sérieux vous diront d’autres. Certains adultes rient moins d’une minute par jour ! Quelle que ce la cause de cette baise, elle devrait être considérée avec attention. Le rire est excellent contre le stress et réduit considérablement l’hypertension. Il est par ailleurs l’un des meilleurs remèdes existants au stress : un humain qui s’esclaffe sécrète de l’endorphine, une hormone qui procure un sentiment de bien-être. Le rire permet aussi de faciliter la communication, de limiter les inhibitions, de favoriser la confiance en soi et, surtout, de réduire le stress.

Voici donc trois moyens simples de rire plus souvent et de manière plus efficace dans votre quotidien :

  1. Inscrivez-vous à des classes de Yoga du rire ! Le yoga du rire est une technique créée par un médecin indien dont la femme était yogi. Il consiste à déclencher le rire par la stimulation du diaphragme avec des étirements et postures du corps « ouvertes » afin de détendre aussi le corps. Les cours de Yoga du rire se développent à Paris et en France, en témoigne cet article récemment paru sur un blog ami
  2. Allez voir des spectacles comiques : c’est peut être le seul lieu ou vous serez décomplexé de rire pendant une heure entière sans vous soucier de ce que l’on pense de vous. Il existe une multitude de comiques plus droles les uns que les autres tournant dans toute la France. A titre personnel, je vous recommande vivement le Compte de Bouderbala, une révélation vraiment très drôle. Si vous ne l’avez pas encore vu, je vous conseille de réserver en ligne dés maintenant.
  3. Passez du temps avec des enfants (avec les votre si vous en avez). Les enfants sont particulièrement enclins au rire. Regardez le, amusez vous avec eux et redécouvrez le plaisir de rire de choses simples du quotidien. C’est peut être le meilleur moment que vous passerez de vos semaines, loin des préjugés et du besoin de paraître serieux.

N’oubliez pas de rire, le plus possible. La vie sans rire a tellement moins d’intérêt, qu’il serait idiot de s’en passer !

 

Source originale : http://www.momentpresent.com/2015/02/11/eclore/

Éclore

Éclosion – Ouverture à maturité d’une enveloppe contenant un être vivant. Manifestation de quelque chose qui naît.

Éclore. En ce froid bien plus qu’annoncé, ou la chaumière fait état de bulle réconfort, parler d’éclosion n’est pas ce qui, à priori, nous vient en tête.

Oui, manteaux d’hiver, froid polaire sont au menu en ce mois de février. Mais comme une chenille qui devient papillon, avant d’éclore, pourrions-nous – peut-être – nous y préparer…grandir dans ce cocon. Oui, ainsi préparer cette éclosion d’un printemps annoncé on ne sait quand, d’une planète qui ne sait ou donner de la tête ces dernières années. 

 

Avant l’éclosion. Le cocon.

Avant l’éclosion, parlons de ce cocon ou de ce bulbe. Celui qui doit exister avant qu’éclosion n’existe. Cet espace qu’on imagine doux-confort, ce rapport très intime avec soi. Au creux de ce concon, nous. Il n’y a que nous.

Si l’ouverture à la vie importe, si le rapport avec l’autre va de soi, si éclosion il y a, encore faut-il que sa polarité existe.

Cette bulle tout à faire riche qui nous permet de reprendre contact avec soi, de reprendre des forces – même. Pour nourrir ce rapport vers l’autre, pour enrichir et s’enrichir de saines relations, pour éclore de toutes ses couleurs, il y a – au préalable – ce bulbe nourrissant.

Y retourner, sachant qu’on s’y glisse de façon temporaire, dans la conscience d’une éclosion prochaine m’est, selon moi, tout indiqué.

 

Éclosion printanière. Couleurs il y aura.

À la manière d’un hiver, qui glisse doucement vers un printemps où l’éclosion est au coeur de la mouvance, ou le temps assagi fait place à l’éclatement d’une saison qui met fin à l’endormitoire ambiant – on sort ainsi de ce cocon pour vivre autre chose.

Pour que couleurs fusent et pour que transition se fasse, pour que connexion à l’autre se passe harmonieusement, il y aura eu ce cocon. Cet engagement avec soi, ce temps avec soi. Égoïsme, non. Surtout pas. Réaliste. En lien à ce qui nous aura habités. On préfère – je crois – vivre ainsi.

Et même sans être – ici – dans la métaphore de la rencontre vers soi, la vie est cette suite continue de passages. Pour éclosion il y aura eu repos, un rapport à la vie bien différente avec une saison plus rude ou l’importance de notre chaleur corporelle deviendra plus que prioritaire. Pour qu’hibernation puisse exister il y aura eu le vent d’un automne qui aura balayé un été chaud et festif.

On parle ici de cette relation constante de l’existence ou les grands courants de passage sont priés de revenir, saison après saison. Alors oui, on revient irrémédiablement à l’éclosion printanière. Laissant alors jaillir avec beauté ce foisonnement de renouveau (dans le TOUT et en soi).

Que l’hiver et cette nouvelle saison que l’on prépare avec douceur soit vécue avec présence et avec la reconnaissance qu’un printemps nouveau viendra inévitablement nous chatouiller les narines.

Bel hiver. Beau cocon. Belle éclosion toute prochaine.

 

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Pour célébrer cette éclosion prochaine, Marie-eve Bertrand (POP SPIRIT) ainsi que moi-même (BOHOS.CA) offrons un atelier sur ce rapport à l’éclosion et les préparatifs en attendant le printemps.

https://www.facebook.com/events/648201821974732/?fref=ts

http://popspirit.ca/calendrier/eclosion-yoga-meditation-art-de-vivre-2/

 

 

Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/meditation-reprends-controle-cerveau/

Reprendre le contrôle de son cerveau avec la méditation ?

Article invité écrit par David Barbion, du blog Je Contrôle mon Cerveau

cerveau

Méditer pour contrôler son cerveau (source: Flickr, freeimages)

Le cerveau est un véritable générateur d’électricité.

Alors que vous lisez ces mots, des centaines de millions de cellules nerveuses (appelées neurones) sont en train d’échanger entre elles à l’intérieur de votre cerveau des éléments qui produisent des champs électromagnétiques.

On peut d’ailleurs étudier cette activité électrique du cerveau avec notamment un électroencéphalogramme qui va pourvoir mesurer en Hertz les différentes fréquences de cette activité électrique. Ces Hertz représentent le nombre de cycles d’ondes par seconde.

ÊTRE SUR LA BONNE LONGUEUR D’ONDE…

Il y a dans votre cerveau quatre principaux types de fréquences d’ondes. Ces fréquences sont plus ou moins rapides en fonction de l’état mental dans lequel vous vous trouvez. Pour faire simple, plus vous êtes dans un état agité (stress), plus les ondes sont rapides et plus vous allez vers le sommeil, plus elles sont lentes.

 

Les Ondes Bêta

C’est les ondes de l’état de veille normal.

Votre esprit est essentiellement orienté vers le monde extérieur. Votre cerveau enregistre un maximum de données de l’extérieur par vos cinq sens, traite les informations et les analyse.
Tandis que vous lisez ces lignes avec intérêt (du moins je l’espère !), vous pouvez aussi ressentir la sensation de vos fesses sur votre chaise, tous les sons qui sont autour de vous et vous apercevez également en vision périphérique tous ce qui se trouve autour de votre écran. C’est l’état d’activité cérébrale qui correspond à l’état d’éveil quotidien.

Cet état ce veille est cependant complètement différent en fonction de l’état interne dans lequel on se trouve : si l’on est parfaitement détendu, concentré ou stressé. Ce qui implique trois sous-types d’ondes Bêta :

Les ondes Bêta de basse fréquence (entre 13 et 50 Hertz).

Ce sont les ondes cérébrales de votre cerveau lorsque votre attention est intéressée et détendue. Vous regardez votre émission télé préférée ou passez un moment avec un ami.

Les ondes Bêta de moyenne fréquence (de 16 à 22 Hertz).

Votre attention est dite focalisée, comme lorsque vous êtes dans un état de vigilance sur une tâche particulière au travail ou lors d’un apprentissage.

Les ondes Bêta de haute fréquence (de 22 à 50 Hertz).

Ce sont les ondes les plus rapides, celles du stress quand vous êtes en « mode survie » et que tout ce qui compte c’est de gérer l’urgence !

 

On ralentit un peu… avec les ondes Alpha

 

ondesC’est un état d’apaisement et de relaxation légère.

Dès que vous fermez les yeux, vous vous coupez instantanément de 80% des informations sensorielles qui arrivent de votre environnement extérieur par le visuel, ce qui vous permet de vous orienter naturellement vers votre monde intérieur. Comme moins d’informations parviennent à la conscience, vos ondes cérébrales vont automatiquement ralentir.

 

L’extérieur devient moins présent et le rythme des pensées s’apaise un peu, au profit d’un rythme intérieur.

 

Vous amenez ainsi progressivement vos ondes cérébrales à ralentir et elles passent assez rapidement à des cycles plus calmes (de 8 à 13 Hertz). La conscience est toujours présente mais vous rentrer progressivement dans ce que l’on appelle l’état méditatif où le mental peut faire une pause.

 

Mais on peut aussi avoir accès à cet état les yeux ouverts !

C’est ce qui se passe lorsque vous êtes « dans la lune ». Il paraît que l’on y est en moyenne deux heures par jour ! Cet état de décalage léger de la conscience sert en fait à consolider les informations que vous avez enregistrées de l’extérieur. Sans avoir pris de décision consciente, votre inconscient décide à un moment qu’il est temps pour vous de vous retirer en vous-même pour vous faire des images mentales de ce que vous avez appris à l’extérieur.

 

De plus en plus profond avec… les ondes Thêta

Vous rentrez dans un état de relaxation profonde. C’est le domaine du monde intérieur et le royaume de l’inconscient (de 4 et 8 Hertz). C’est l’état intermédiaire entre l’éveil et le sommeil. Le cerveau bascule progressivement dans l’inconscient. L’esprit critique est moins présent et au-delà d’un certain seuil, s’absente complètement. C’est le monde de l’abstraction et de l’imagination. Il y a alors moins de pensées rationnelles.

C’est l’état auquel on accède notamment en hypnose moyenne ou profonde. Parce qu’à ce moment-là, l’esprit critique ne fait plus barrage et que les suggestions de l’extérieur rentrent plus facilement au cœur de l’esprit. Le changement peut alors prendre place rapidement sans être entravé par les freins du conscient.

Enfant, c’est l’état d’esprit dans lequel on se trouve la majeure partie du temps entre deux et six ans. L’imaginaire est aux commandes. Dites à un petit garçon de cinq ans qu’il est un lapin et il sera un petit lapin qui se régale de carottes ! C’est aussi un âge délicat car l’esprit critique ne s’active pas et l’information rentre sans filtre. Dites à une petite fille, qui a la main dans sa culotte, de ne pas toucher ça parce que c’est sale… et cela risque de la marquer pendant longtemps.  

Chez les adultes, hormis sous hypnose, c’est l’état dans lequel on se trouve au moins deux fois par jour, lors du réveil et de l’endormissement (état hypnagogique ou hypnopompique) quand on est encore endormi mais en même temps en train de se réveiller. On est déjà conscient du monde extérieur mais en même temps, il serait très facile de repartir dans le sommeil…

 

Et très profond… avec les ondes Delta !

Ce sont les ondes du sommeil profond (entre 0,5 et 4 Hertz). C’est un état totalement inconscient. Le corps et la conscience dorment tandis que l’inconscient rêve, digérant les émotions de la journée et réparant le corps.

 

ondes 2

Comparaison entre les différentes ondes cérébrales chez l’adulte. Tableau issu du livre « Rompre avec soi-même » du Dr Joe Dispenza – Editions Ariane.

 

Une cinquième fréquence

Il existe cependant une cinquième fréquence de longueur d’ondes très rapides, les ondes Oméga, mais que l’on a pu repérer uniquement chez les grands méditants (pratiquants assidus de la méditation, moines bouddhistes…) mais qui sont inaccessibles à la plupart des individus. C’est la raison pour laquelle je ne m’étendrais pas sur le sujet dans le cadre de cet article.

 

Comment la méditation nous fait reprendre le contrôle ?

Le « but » de la méditation est de permettre à l’esprit de se libérer. La plupart des personnes victimes de leur stress et de ces conséquences (fatigue, irritabilité, incapacité à vivre le moment présent et toutes les autres pathologies de stress…) sont bloquées en ondes cérébrales Bêta.

Leur mental est en permanence dans le futur : ce qui va être écrit à la fin de cette ligne, ce que l’on va faire juste après la lecture de cet article, ce que l’on va faire dans une heure, dans un jour, dans un an… Ou alors le mental est coincé dans le passé comme pour les dépressifs : la nostalgie du temps passé, les regrets, les remords accompagnés de l’addiction chimique aux émotions négatives.

Lorsque le cerveau est stressé, son activité électrique pourrait se comparer à un orchestre dont chaque musicien joue anarchiquement de son instrument. L’esprit est dans un vacarme assourdissant. Rien de bon ne se joue à ce moment-là. Alors que quand les ondes du cerveau ralentissent, l’esprit se synchronise, s’apaise et la musique de l’orchestre devient merveilleuse.

En orientant régulièrement son attention du monde extérieur vers le monde intérieur, nous nous permettons de ralentir les ondes cérébrales de notre cerveau vers les Alpha et éventuellement les Thêta et ainsi on apaise le mental.

L’esprit n’est plus focalisé sur le corps physique, l’environnement extérieur et le temps qui passe mais plutôt sur des sensations intérieures de connexion, de complétude et d’équilibre. La musique du mental peut se jouer harmonieusement et un recul s’établit entre l’urgence aveugle du mode survie et une perspective plus large sur ce qui est vraiment important pour nous. On reprend progressivement le contrôle sur nous et sur notre vie.

Alors, avez-vous envie de reprendre le contrôle sur votre cerveau ? Si tel est le cas, vous pouvez en complément aller jeter un œil sur mon blog www.jecontrolemoncerveau.com.

Techniques de Méditation – L'art de méditer au quotidien

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