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Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/projetchangerdevie/~3/LqUmzv7JGho/

Il n’est pas toujours simple de créer un dynamisme et un climat de confiance au sein de son entreprise et de son équipe. Voici quelques conseils à adopter pour créer un environnement plus agréable pour vous et vos employés, au bureau.   Développer les domaines de compétence de chacun Chaque employé réagira différemment selon les tâches proposées et selon les situations. Intéressez-vous à chacun d’eux et interrogez-vous sur leurs motivations. Il n’y a rien de pire qu’un employé qui se sente isolé et exclu du groupe. Chacun possède un domaine de compétence bien particulier et c’est ce point-là qu’il va falloir renforcer afin de créer une véritable dynamique de groupe. Ne les restreignez pas aux mêmes tâches répétitives au risque de perdre leur motivation, mais tentez d’exploiter leurs capacités et leurs initiatives pour mieux leur permettre d’évoluer. C’est pourquoi, il est intéressant de proposer des formations continues ciblées  (payées par l’entreprise) qui permettent de développer les connaissances et compétences de chacun. L’expérience professionnelle acquise peut permettre à l’employé de monter en grade et de prétendre à un meilleur salaire. Cela lui permet également de devenir plus productif et compétitif sur le marché du travail et ainsi garantir des meilleurs résultats à l’entreprise. Relever des défis en équipe Relever des challenges fait partie des facteurs de reconnaissance professionnelle et de fierté personnelle. Les défis favorisent la créativité, la communication, l’échange mais aussi le travail d’équipe. La création d’un projet réalisé au sein d’une équipe peut devenir une grande source de fierté et profiter pleinement à l’entreprise. Favoriser le travail en équipe ne peut donc qu’être positif : il est même conseillé de créer des binômes complémentaires, bien plus effectifs que ceux qui préfèrent faire cavaliers seuls. La solidarité crée généralement un climat de confiance entre employés et managers. De ce fait, de nombreuses entreprises proposent de nos jours du « Team Building », concept très moderne qui englobe les soirées d’entreprise, les activités en dehors du travail, les divers workshops ainsi que les voyages à l’étranger pour assister à des conférences dans votre domaine d’activité. Ce genre d’expérience renforce la cohésion d’équipe, favorise la vie en communauté et augmente le facteur de bien-être des employés au sein de l’entreprise.   Être à l’écoute de ses employés et évaluer leur satisfaction La confiance passe avant tout par la communication. Si vous désirez connaître le niveau de satisfaction de vos employés, n’hésitez pas à créer un questionnaire qu’ils pourront remplir en toute confidentialité, tout en gardant leur anonymat. Grâce à la plateforme SurverMonkey.com, par exemple,  vous pouvez rapidement créer un questionnaire de satisfaction des employés complet. Vous pourrez  savoir ce que vos employés pensent de votre manière de manager, quelles sont leurs aspirations, leur degré d’engagement et leur désir d’évolution dans l’entreprise. Un questionnaire de ce genre vous aide également à résoudre les problèmes tout en améliorant la satisfaction et la productivité de vos collègues. Rassurez vos employés et tentez, par la discussion, de trouver des solutions et de vous confronter directement aux problèmes. Grâce à des feedbacks réguliers, vous vous basez sur l’honnêteté et la confiance. Vous créez ainsi une meilleure atmosphère au travail. Bien sûr, il est du devoir de l’employé lui-même d’influencer son propre bien-être au travail. C’est du moins ce que pense le célèbre psychologue et conférencier Shawn Achor dans cet article du blog. Selon lui, on veut toujours plus que ce que l’on a, peu importe le travail que l’on exerce et on n’est jamais satisfait. « L’heureux secret d’un meilleur travail » résiderait simplement d’être positif au présent et de ne pas s’imaginer un bonheur fictif dans un futur travail qui n’existe pas.   Aménager un environnement agréable sur le lieu de travail Enfin, et nous en arrivons au dernier point, il est primordial d’offrir un environnement sain à ses employés pour éviter les problèmes de santé, les tensions et le stress. Un environnement où l’air n’est pas renouvelé et la luminosité est très faible peut avoir des conséquences non négligeables sur le moral et la santé des troupes ainsi que sur la productivité. Il existe des normes pour la température de la pièce ainsi que des mesures de préventions strictes concernant le rayonnement solaire et l’adaptation ergonomique des locaux. Le bruit la chaleur, les vibrations sont autant d’éléments perturbateurs qui peuvent empêcher vos employés d’être productifs. Des zones de confort sont également primordiales pour les petites pauses. Une bonne entente et un bon environnement favorisent une plus forte implication des employés et un meilleur rendement, ce qui apporte une relation gagnant/gagnant pour les employés et les employeurs.

Source originale : http://joannetatham.fr/video-une-astuce-simple-pour-cesser-de-ruminer-a-lavance/

Nous avons toutes une capacité incroyable à nous projeter dans l’avenir. Lorsqu’il s’agit de notre grande vision, de beaux projets personnels et professionnels, c’est génial, mais lorsqu’il s’agit d’anticiper le pire, ce n’est vraiment pas à notre service !

Si tu es une habituée de ce genre de comportement et que tu aimerais cesser d’anticiper plus particulièrement des conversations potentiellement désagréables, cette vidéo est pour toi !

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=CGMgVRFjadw]

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© Joanne Tatham – 2014

Source originale : https://touchersensible.wordpress.com/2012/10/25/la-lumiere-interieure/

En méditant hier, j’ai reçu un beau message que j’aimerais partager avec vous. La vision a débuté au coeur de ma poitrine. J’ai commencé par y voir des flammes danser. Un foyer, un feu qui la réchauffe. Pas un immense brasier qui m’aurait consumée, un feu tranquille, accueillant et réconfortant, un peu comme celui qu’on rêve tous d’avoir chez nous pendant nos douces soirées d’hiver…

J’étais donc en train d’expérimenter ça, ressentir cette chaleur interne dans ma poitrine. Cette sensation douce et agréable qui me réchauffait de l’intérieur. J’en ressentais physiquement les bienfaits et je voyais ce feu danser en moi, contenu dans une sorte de cube transparent duquel s’échappait de la lumière vers l’extérieur. Comme l’aurait fait une lanterne à huile.

Je réalisais alors que mon feu grandissait et que je pouvais en faire profiter les autres. Bientôt, je me retrouvais avec une dizaine de torches dans les mains. Elles sortaient de ma poitrine les unes après les autres, sans même que je fasse un mouvement pour les allumer. Je les tendais vers l’extérieur à ceux qui souhaitaient les prendre. J’observais quelques instant ce mouvement de va-et-vient entre l’intérieur et l’extérieur, toutes ces torches qui disparaissaient de mes mains une à une, jusqu’au moment où je me suis retrouvée sans torches.

Un personnage bleu s’était rapproché de moi et avait, en quelque sorte, englouti toutes mes dernières torches. Chaque fois qu’une torche sortait de ma poitrine, il s’empressait de l’attraper pour se réchauffer. Mais toujours en vain… Dès qu’il en attrapait une, elle se consumait aussitôt, et ne suffisait jamais à le réchauffer. Je ressentais sa présence de plus en plus près de moi. Une présence froide, bleue et humide, devenant presque oppressante, si pressé qu’il était de recevoir la prochaine torche. Il en avait terriblement besoin, et il me le faisait ressentir…

De joyeuse et légère, la situation commença à m’inquiéter. La présence de ce personnage m’avait refroidie, presque épuisée. Mon feu intérieur ne brûlait plus aussi intensément. Je pris peur un instant, pensant que son eau glacée finirait par pénétrer en moi et étoufferait mon feu complètement. Toutes mes torches s’étaient éteintes dans ses mains, et malgré tout il continuait de s’approcher de moi, comme hypnotisé par ma lumière intérieure… Je ne savais plus quoi faire. Mon instinct de survie me criait de m’éloigner au plus vite de ce personnage! J’avais peur que son besoin de se réchauffer soi si grand, qu’il en vienne à venir se servir et prendre directement les dernières bûches qui brûlaient au fond de ma poitrine.

C’est alors que j’entendis une voix rassurante qui me dit de ne pas m’inquiéter, que personne d’autre que moi n’avait accès à mon foyer intérieur. J’étais la seule à pouvoir ouvrir la porte qui me permettait de rayonner et partager mon feu avec l’extérieur. Et quand bien même son intensité en venait parfois à diminuer, il ne s’éteindrait jamais. Ma lumière intérieure serait toujours là en moi, quoi qu’il arrive. Je n’avais pas à me préoccuper de l’alimenter. Je n’avais rien à faire. Juste à la laisser brûler librement, me laisser pénétrer par sa chaleur et ses rayons qui irradiaient mon corps de toute part.

Cette voix m’invita également à remarquer que le même feu était présent au fond de chacun de nous. C’est alors que je regardais plus intensément le personnage bleu, et vis, comme par transparence derrière une couche épaisse de glace, des flammes danser au coeur de sa poitrine. La même lumière intérieure vivait au fond de lui, avec une très belle intensité!

Mais cette personne n’en avait absolument pas conscience, si figée qu’elle était dans sa cuirasse d’eau glacée. Une cuirasse bleue et froide, translucide mais impénétrable. Empêchant tout contact véritable avec l’extérieur. Certes, cette personne pouvait recevoir et prendre avec ses mains, mais elle vivait à la surface de son être. Glacée et éternellement malheureuse, coupée de son intériorité profonde. Elle errait d’une personne à l’autre, à moitié morte, à la recherche continuelle d’un amour et d’une chaleur qui la réchaufferait. Totalement ignorante que seul son feu intérieur pouvait faire fondre la glace qui l’enserrait…

Source originale : http://apprendresursoi-et-avancer.com/vivre-ses-reves-rever-sa-vie/

Il est facile de vivre les yeux fermés en interprétant de travers ce que l’on voit (John Lennon)

Le rêve

Depuis que nous sommes arrivés sur terre (d’aucuns diront peut-être même avant), nous rêvons. Eveillés ou endormis nous rêvons. La différence est que quand nous sommes éveillés, le cadre de référence matériel nous fait percevoir les choses de façon linéaire. Quand nous dormons, nous n’avons plus ce cadre, et alors le rêve a tendance à changer en permanence.

Nous naissons avec la capacité d’apprendre comment rêver, et les personnes qui nous précèdent nous apprennent à le faire de la façon dont « rêve » la société. Ce rêve de la planète est fait de nombreuses règles qui captent notre attention et qui nous sont transmises dans notre esprit à travers nos parents, notre éducation, l’école, la religion…

L’attention c’est la capacité à sélectionner l’information et à se concentrer sur ce que l’on veut percevoir. Les adultes qui nous entouraient quand nous étions enfant ont capté notre attention et introduits, par la répétition, des informations dans nos esprits encore tous frais et malléables. C’est comme ça que nous avons appris ce que nous savons.

De cette façon, nous avons assimilé toute une réalité, un rêve qui nous a été transmis, sur ce qui était bon ou pas pour nous, sur ce qu’on devait faire ou pas, sur le bien le mal, le laid le beau, le vrai le faux, etc… On a aussi appris à capter l’attention des autres, et ce besoin d’attention qui continue à l’âge adulte, peut devenir très compétitif.

 

Les accords

Ce rêve de la planète capte notre attention et nous enseigne ce que l’on doit croire, à commencer par notre langage : un code de compréhension et de communication entre les humains. Chaque mot représente un terme sur lequel on s’est mis d’accord. Et l’ensemble forme un code sur lequel on s’est mis d’accord. Quand on connait ce code, l’attention est captée et il y a « transfert d’énergie » entre les personnes. Nous n’avons pas choisi notre langage, nos valeurs morales, notre religion. Tout ça était déjà là avant notre naissance. Mais nous avons donné notre accord à ce qui nous était transmis concernant ce « rêve » collectif. Etre d’accord avec ce qu’on nous transmet nous permet de le retenir. Et nous y croyons.

Enfant, nous croyons ce que nous disent les adultes, nous sommes d’accord avec eux, et notre foi est si forte qu’elle contrôle tout le rêve de notre vie. On peut toutefois essayer de se rebeller contre ces croyances, mais elles sont tellement profondes et ancrées, et elles régissent tellement notre vie, que nous ne sommes en général pas assez fort pour réussir cette rebellion. Il en résulte une soumission à ces croyances, avec notre accord.

 

La domestication

En fait, on pourrait l’assimiler à un processus de domestication, de la même façon qu’on domestique un animal, même si l’information qui nous est transmise est plus complexe que ce qui est transmis à un animal : on nous apprend comment vivre, les comportements acceptables, comment être des « bons » humains. On nous apprend des concepts, on nous apprend à juger, nous et les autres. Les enfants sont donc domestiqués pour intégrer ce « rêve » collectif, ce rêve de la planète. L’enfant est puni s’il ne fait pas comme il faut ou récompensé s’il fait ce qui lui est demandé. Et à force, par la répétition, pour ne pas être puni, et être récompensé ( = avoir l’attention requise) nous nous sommes petit à petit mis à prétendre être qui nous n’étions pas forcément, juste pour faire plaisir aux autres, pour paraître assez bien à leurs yeux. Nous avons commencé à jouer des rôles, par peur d’être rejeté. Et notre façon d’interagir est devenue, au bout du compte, comme une copie des croyances de nos parents, de la société, de la religion, etc…

Nos tendances naturelles se sont perdues au court de ce processus de domestication. Et cette domestication est si forte, qu’arrivé à un point de notre vie, nous n’avons plus besoin de personne pour nous domestiquer. Nous sommes si bien dressés que nous devenons notre propre dresseur. Nous sommes devenus des animaux auto-domestiqués. Ces croyances deviennent comme un livre de la Loi qui dirige notre esprit, et tout ce qui s’y trouve est notre vérité, sans aucun doute, même s’ils vont à l’encontre de notre nature intérieure. Un par un, tous les accords que nous concluons s’ajoutent à cette table de la Loi et dirigent notre vie.

Tout ceci découle d’un système de croyances auquel nous n’avons jamais choisi de croire. Elles sont d’ailleurs si fortes, que même si plus tard on découvre de nouveaux concepts  et qu’on essaie de prendre nos propres décisions, on réalise qu’elles contrôlent toujours notre vie.

Et puisque tout ce qu’il y a dans ce livre doit être vrai, la moindre chose qui remet en question nos croyances provoque un sentiment de mal être, comme de l’insécurité. Donc même si ce livre de la Loi est faux, il est rassurant et nous donne un sentiment de sécurité.

 

Retrouver la liberté

C’est pour ça qu’il est si difficile de remettre en questions ses propres croyances, parce-que même si on ne les a pas choisies, on leur a toutefois donné notre accord. Cet accord est si fort que même si on comprend que ces croyances ne sont pas vraies, on ne peut s’empêcher de subir la critique, la culpabilité ou la honte dès qu’on enfreint ces règles.

Et des accords, on en a conclu des milliers au cours de notre vie, avec soi-même, les autres, le rêve de notre vie, la société, nos parents, nos enfants, nos conjoints, etc… Mais les plus importants sont ceux qu’on a passé avec soi-même. Ce sont ces accords là qui nous disent ce que nous ressentons, ce que nous croyons, comment nous comporter, ce qu’on veut (croit ?) être. Ce sont ces accords qui décident de nos règles d’interactions avec le monde qui nous entoure, qu’on rassemble dans ce qu’on appelle la personnalité : « ce que je crois, ce que je peux faire ou non, ce qui est la réalité ou l’imaginaire, ce qui est possible ou impossible »

S’il n’y avait qu’un seul accord, ça ne poserait que très peu de problème, mais il y en tellement qui nous font souffrir et échouer dans la vie. Pour connaître une existence faite de joie et de plénitude, il faudrait avoir le courage de rompre les accords basés sur la peur et revendiquer notre pouvoir personnel pour nous aider à conserver notre énergie et même à en avoir plus.

Si nous sommes capables de voir que nos accords dirigent notre existence, et si nous n’aimons pas le rêve dans lequel nous vivons, alors il nous faut changer ces accords.

Parmi tous ces accords à changer, il en existe 4 en particulier, qui peuvent nous aider à rompre les autres issus de la peur et qui nous vident de notre énergie. Ces accords ont été rassemblés sous le nom des « 4 accords Toltèques« .

Je vous propose de les revisiter ensemble dans les articles qui vont suivre.

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/DesLivresPourChangerDeVie/~3/aiFQDM6EVMA/

Une fois que vous avez vu la vidéo cliquez ici pour rejoindre gratuitement des milliers d’entrepreneurs passionés de développement personnel en vous abonnant à la chaîne Youtube ! Acheter « Ce qu’il faut savoir avant de mourir » sur Amazon : Acheter « Découvrir un sens à sa vie avec la logothérapie » sur Amazon : Ressources de la vidéo […]

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/ActeurDeSaVie/~3/aOgeNwX9HFw/

Acteur de sa vie
Acteur de sa vie – Arrêtez de vous plaindre et prenez le contrôle de votre vie!

La relation à l’autre: besoin ou envie? Le thème d’aujourd’hui fait partie du Festival des blogs de Février, que j’ai la chance d’organiser grâce au site développementpersonnel.org. Vous trouverez l’article de lancement ici. J’ai choisi ce thème car bien souvent, dans mes séances de coaching, je le retrouve au coeur des problèmes de mes clients. […]

La relation à l’autre: besoin ou envie?
Théo Duverger.

Source originale : http://www.jesuissucces.com/blogue/2010/04/05/comment-choisir-une-carriere/

Pour faire un choix de carrière, vous vous êtes peut-être posé plusieurs questions.

  • Quel genre de travail pourrais-je exercer plus tard?
  • Quels sont les métiers payants?
  • Comment pourrais-je rendre mes parents fiers?
  • Pourquoi étudier à l’université si je peux travailler après le collège?

Croyez-vous avoir fait le bon choix? Avez-vous posé les bonnes questions?

C’est peut-être un peu moins le cas aujourd’hui, mais beaucoup de conseillers en orientation examinent d’abord les aptitudes des jeunes étudiants pour leur dresser une sélection de choix de carrières logique.

Exemple: Vous avez du succès en mathématique, il est donc logique de travailler en comptabilité ou en informatique. C’est logique, mais est-ce le bon choix? C’est logique dans le sens où vous êtes à l’aise avec les chiffres et les formules. La comptabilité et l’informatique ont justement un lien étroit avec la logique et les mathématiques. Donc, ces deux domaines seraient un choix intelligent, non?

Peut-on en être aussi certain?

La grande question : Quel métier me passionnerait?

Si vous vous étiez posé cette question dès le départ, auriez-vous fait le même choix de carrière?

Prenons l’exemple suivant. Vous êtes un passionné de la photographie, mais vous choisissez de vous lancer dans le domaine de l’informatique, car vous êtes assuré d’une sécurité d’emploi et d’un bon salaire. Si votre choix est basé sur la sécurité et le revenu, croyez-vous que vous serez heureux à votre travail? Et si vous aviez choisi d’être photographe, seriez-vous heureux même si vos revenus n’étaient pas aussi élevés que celui de l’informaticien?

Si vous aviez la chance de retourner en arrière et de choisir une nouvelle carrière, feriez-vous le même choix?

J’aime beaucoup cette citation du psychologue Abraham Maslow : « The most beautiful fate, the most wonderful good fortune that can happen to any human being, is to be paid for doing that which he passionately loves to do. »

On dit que la plupart des gens perçoivent leur emploi comme une corvée plutôt qu’une joie de vivre. Croyez-vous que la vie serait différente si à l’école nous avions passé plus de temps à nous conscientiser et réfléchir à ce qui pourrait bien nous passionner?

Dans son livre Happier (Cnd: Happier), Tal Ben-Shahar nous explique qu’il est important de se poser les trois questions suivantes avant de s’engager dans ses études, sa carrière ( ou dans tout autre projet d’envergure) :

  • Qu’est-ce qui donne un sens (une direction, un but) à ma vie?
  • Qu’est-ce qui me procure du plaisir?
  • Quelles sont mes forces et aptitudes?

Lorsque vous aurez répondu à ces trois questions, il vous faudra trouver les réponses communes à toutes ces questions. Ce résultat vous donnera un indice de ce que pourrait être votre carrière de choix.

Exemple: Si le domaine des arts donne un sens à votre vie, qu’il vous procure beaucoup de plaisir et que vous avez un certain talent artistique, alors pourquoi résister? Lancez-vous en art!

Pourquoi rester malheureux dans un travail payant que vous détestez si vous pouvez être pauvre, mais heureux dans un travail qui vous passionne?

Que vous soyez Canadien, Français, Japonais ou Indien, c’est la même chose. Nous cherchons tous à être heureux et donner un sens à notre vie. Pour mieux orienter votre vie, il serait donc important de déterminer vos intérêts, objectifs, aptitudes et valeurs.

Bonne journée

Christian

Source originale : http://www.acide-ici.fr/historiettes/une-qualite-inattendue-2.html

Une qualité inattendue

– Voilà les cinglés qui s’amènent.

A l’instar de la quasi-totalité des habitants d’En-Bas, en tout cas de ceux ayant entendu parler de l’expédition, Héripace voyait la tentative désespérée de ces gens d’un mauvais œil. Qui diable étaient-ils donc pour penser qu’ils pouvaient faire fi de l’ordre établi ? Des jeunes, bien entendu, voilà qui ils étaient. L’absence d’expérience et l’ignorance des réussites et échecs des générations les ayant précédés pouvait seule expliquer l’arrogance d’une telle tentative.

Quoi qu’en les voyant approcher, Héripace s’aperçu que l’aréopage de « cinglés » était constitué de toute une variété de profils. Il achoppait sur toute tentative de classification, tant les membres du groupe semblaient rétifs à se laisser enfermer dans un sac d’âge, de sexe, d’ethnie, d’apparence, ou de quoi que ce fût d’autre – seul quelque chose dans leur regard semblait les caractériser d’une manière à peu près uniforme. Mais ce n’était pas quelque chose qu’ils avaient, dans ce regard, qui frappait : il s’agissait plutôt de quelque chose qu’ils n’avaient pas, sans qu’Héripace fût capable de déterminer quoi.

La foule, qui s’amassait sur le chemin de l’expédition, effectuait le même travail que celui accompli dans tous les villages que l’équipée avait traversé précédemment – avec, paraissait-il, un certain succès, car ici comme ailleurs, les rumeurs étaient toujours plus véloces que la marche des hommes. En effet, il se disait que depuis le début de la « marche des fous », comme on se plaisait à la dénommer, un quart des participants initiaux à la tentative avaient fini par se ranger à la sagesse populaire de la horde de ceux qui, pour leur bien, venaient les décourager de remettre en cause ce à quoi tout le monde se résignait. Ils admettaient alors, tous penauds et légèrement vexé de leur embrasement furtif, la vérité frappée au sceau du bon sens : ils n’arriveraient jamais En-Haut.

De fait, que l‘unique voie menant en haut fût fantastiquement raide et incroyablement longue ne suffisait pas à la pénibilité de la tâche des concurrents à l’ascension. Elle était de plus dotée d’une étonnante propriété : toute personne s’y engageant pouvait sentir le chemin, dans son intégralité, l’entraîner vers le bas, comme un tapis de terre et de pierres se déroulant sous ses pieds dans le sens de la descente. Il aurait fallu, pour arriver En-Haut, effectuer l’impossible ascension sans prendre le moindre arrêt, puisque durant son moindre répit le candidat à l’élévation aurait vu réduits à néant tous ses efforts précédents. Ce qui amenait les En-Basiens à accepter les rudes conditions de leur pauvre terre sans jamais la mettre en balance – sinon dans leurs rêves – avec les merveilles que les légendes rapportaient sur En-Haut.

Ce n’était pas un vrai problème pour les habitants d’En-Bas, dont la philosophie populaire était exempte de divin, de notion de justice et de tout ce que créaient usuellement les êtres doués de raison pour supporter l’inintelligibilité du monde. Seuls comptaient pour eux le fait de reconnaître la chance de ce qu’on avait au départ et – quoi que, curieusement, dans une moindre mesure – ce qu’on arrivait à en faire en allant chercher ce que l’on voulait. Néanmoins, malgré leur sagesse, l’idée que quelqu’un eût pu se soustraire à la vie En-Basienne tandis qu’eux-mêmes s’y étaient résignés leur paraissait intolérable pour un motif qu’ils auraient été bien en mal d’exposer.

Sur le bord du chemin, où la foule massée détaillait aux téméraires à quel point leur expédition était vouée à l’échec, Héripace se joignit à l’effort commun et alpagua un jeune concurrent à l’ascension.

– Quel espoir as-tu donc de réussir quelque chose d’aussi difficile que cette ascension ? C’est impossible. Tu ferais mieux d’accepter la vie d’En-Bas. Reste donc avec moi, je suis seul, tu pourrais travailler avec moi. D’ici, tu sais, on peut voir la Voie-d’En-Haut et la contempler tous les jours jusqu’à l’endroit où elle se perd dans les nuages qui ne se dissipent jamais.

Sentant qu’il faisait mouche, il continua ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa logorrhée triomphe chez le jeune candidat de ce qu’il lui restait de volonté après les découragements entendus dans tous les villages précédents.

Héripace disait vrai, la première partie de l’expédition touchait à sa fin : la Voie-d’En-Haut se trouvait en effet peu après la sortie du village. C’est par conséquent là que se dirigèrent les plus opiniâtres qui, n’en faisant qu’à leur tête, persistaient à vouloir tenter de quitter leurs compatriotes.

Ils commencèrent alors leur longue et pénible ascension, sous les découragements farouches de la foule massée sous eux. Un à un, on vit les présomptueux abandonner leur folie et redescendre vers les gens normaux, qui leur pardonnaient aussitôt leur moment d’égarement. Petit à petit, tous les concurrents, épuisés, se rendirent à la raison des gens de bien. Tous, sauf un isolé, qui grimpait de plus en plus péniblement mais sans réaliser qu’il n’arriverait jamais au bout de son chemin.

La foule hurla de plus belle.

– Abandonne !
– Ta tentative est vouée à l’échec !
– C’est insensé !
– Que crois-tu, personne n’a réussi !!
– Reviens donc avec nous !!!

Pourtant, l’insensé poursuivait sa lente et difficile route, sans même tourner la tête vers ses conseilleurs, dont les plus véhéments étaient d’ailleurs les ex-participants à l’élévation, à présent redescendus sur la terre tant mentalement que physiquement. Lentement, le fou solitaire finit par se perdre dans les nuages. On attendit longtemps son abandon, son retour, son déclin. Il ne revint jamais.

On se perdit en conjecture sur sa disparition ; puis on le conspua ; puis on l’oublia. Et l’histoire effaça des esprits jusqu’à son existence, ce qui permit aux En-Basiens de reprendre le cours ordinaire de leur vie, qui l’était tout autant.

 

Epilogue

Arrivé En-Haut, et découvrant un incroyablement luxuriant jardin de délices, Hon-Chi rencontra pour la première fois un être d’En-haut. Ce dernier vînt à sa rencontre, et l’accueillit chaleureusement :

– Cela fait une éternité qu’aucune accession à notre terre ne nous a été reportée ! Fît-il avec enthousiasme. Bienvenue dans ce lieu merveilleux, et bravo pour l’exploit que vous venez d’accomplir ! Je me nomme Ncho Gayo. Comment vous appelez-vous ? Et qu’est-ce qui vous a amené à parvenir jusque-là tandis qu’il semble qu’aucun de vos compatriotes n’ait réussi pareille ascension ?

Alors Hon-chi sorti de sa poche un petit papier qu’il avait préparé au tout début de son périple, et le tendit à son vis-à-vis. Ce dernier le prit, et lu :

« Bonjour, enchanté de vous rencontrer. Je me prénomme Hon-Chi, seriez-vous assez aimable pour communiquer avec moi par écrit ou en langage des signes ? Je suis en effet suis sourd. »

Ncho Gayo eut alors la réponse à ses deux questions, et fit préparer pour son nouvel ami la réception qu’il méritait.

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/surlechemindesoi/SlYs/~3/9u3k48yf2-s/

Michele MONTAGNON

Pourquoi méditer ? Pour se sentir mieux ! N’est-ce pas là l’objectif de tout développement personnel ? Des explications dans cette courte vidéo extraite d’un magazine santé télévisé, bien connu en France…

méditation anti-stress

La méditation : un excellent anti-stress

« Méditer » ? Nombre de personnes restent encore sceptiques quant à l’utilité de la méditation. Certaines personnes, dans leur logique cartésienne, ironisent même sur le sujet, le reléguant aux « illuminés », « gourous » et autres passionnés des « sciences occultes ».

En quoi donc méditer peut-il vous être utile dans votre vie ?

C’est pour répondre à cette question que je vous invite dans un premier temps à voir cette vidéo, nous nous retrouverons ensuite pour aborder le sujet concrètement et aller plus loin.

 

 

La méditation est-elle un effet de mode ?

C’est bien plus que cela ! Vous en saurez plus avec cette vidéo, extraite du Magazine de la santé, une émission de télévision réputée en France, sur France 5.

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=_NV9PCBxtEU]

Des millions de gens estiment la méditation indispensable à tout individu pour sa santé et son bien-être.

S’il existe différentes méthodes de méditation, toutes ayant leurs adeptes, en ce qui me concerne je dois avouer que l’idée de passer des heures assise immobile sur un coussin ne me tente pas vraiment et pour un résultat qui peut se faire attendre longtemps, très longtemps !

C’est donc avec joie que j’ai découvert et pratique depuis maintenant plus de 2 ans, la Méditation3G, méthode mise au point par Claude Cléret, dont le succès témoigne de son efficacité qui n’est maintenant plus à prouver. Cela m’aide à gérer mon stress, mais ses bienfaits sont multiples.

Les bénéfices de la Méditation3G

Ils ne sont effectivement pas des moindres :

  • Élimine le stress
  • Maîtrise le mental
  • Développe la concentration
  • Permet une relaxation profonde
  • Réduit la pression artérielle
  • Réduit l’excès de cholestérole et de sucre dans le sang
  • Libère la créativité
  • Renforce la connexion aux autres pour de meilleurs relations
  • Aide à dépasser les inhibitions sexuelles. Elle est  parfois appelée « le viagra de l’âme »
  • Aide à soigner les addictions (alcool, drogues)
  • Est un facteur important dans la loi d’Attraction
  • Permet de développer un plus grand sens à votre valeur personnelle
  • Eclaire sur le sens de votre vie
  • …et autres trésors de ce genre ! 

Pour aller plus loin

Alors à vous qui souhaitez vivre mieux, prendre soin de vous, je vous invite vivement et sans crainte à découvrir cette excellente méthode de Méditation3. En vous rendant sur le site vous constaterez que de nombreux organismes de la presse et du monde médical lui font confiance.

Pour en savoir plus, posez-moi vos questions et je serais ravie de vous répondre en personne.

Et si vous avez aimé cet article, il peut aussi rendre service à d’autres personnes, alors n’hésitez pas à le diffuser sur les réseaux sociaux ci-dessous. Il suffit d’un clic sur les boutons ci-dessous 😉

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