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Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/comment-mediter-8-conseils-essentiels/

Lorsque vous commencez à méditer, vous pouvez remarquer combien votre mental part dans tous les sens. Vous pourrez remarquer des pensées au sujet de votre passé ou sur votre futur avec des images au sujet de ce vous devrez acheter un peu plus tard. Et cela n’arrête jamais puisqu’une première pensée en appelle une seconde qui en appelle 2 autres, etc.

Si vous êtes débutant avec la méditation, ne vous culpabilisez pas à propos de votre esprit singe qui part dans de nombreuses directions. C’est un état naturel. Avec le temps, vous apprendrez à calmer votre mental et vous trouverez une certaine tranquillité.

Attention, c’est important également ne pas rechercher absolument un état sans pensées mais plutôt de faire la paix avec ce qui se présente sans l’alimenter. Moins vous alimenterez et plus cela passera vite comme avec un feu qui s’éteindra d’autant plus vite si vous ne l’alimentez pas ! Voici quelques conseils simples sur la façon de méditer :

1. La posture

Que vous vous asseyez sur une chaise où les jambes croisées sur le sol, assurez-vous que votre colonne vertébrale est bien droite. Si vous êtes affalé votre esprit va dériver. L’esprit et le corps sont intimement liés. Si votre corps est bien équilibré, votre esprit sera également en équilibre. Pour se redresser, imaginez que votre tête touche le ciel.

2. La concentration

Dans la conscience ordinaire, nous ne sommes presque jamais présents. Par exemple, parfois vous conduisez votre voiture comme un pilote automatique tout en étant préoccupé par des pensées qui n’ont rien à voir. Tout à coup, vous arrivez à votre destination et vous ne vous souvenez pas du tout du chemin parcouru !

La méditation est une merveilleuse façon de se réveiller pour être présent à notre vie. Sans cela, nous manquons la plupart de nos expériences parce que nous sommes quelque part ailleurs dans nos pensées ! Se concentrer dans la méditation signifie d’accorder une attention douce à ce que vous utilisez comme objet d’attention. Je vous suggère d’utiliser le souffle pour vous entraîner avant d’étendre cela au reste de votre vie. Le souffle est toujours présent et est en même temps comme une porte naturelle qui relie l’intérieur et l’extérieur.

3. Le souffle

Prêter attention à votre respiration est une excellente façon de vous ancrer dans le moment présent. Remarquez votre souffle entrer puis sortir de votre corps. Il n’y a pas besoin de réglementer le souffle – juste de le laisser être de façon naturelle.

4. Les pensées

Lorsque vous remarquez des pensées, laissez-les aller doucement en retournant vous concentrer sur votre souffle. N’essayez surtout pas d’arrêter les pensées, vous n’y arriverez pas ; cela ne va faire qu’ajouter des tensions inutiles en essayant de contrôler ce qui se présente. Imaginez vos pensées comme des visiteurs non désirés qui sonnent à votre porte : Vous allez reconnaître leur présence et leur demander poliment de continuer leur route sans vous. Puis faites à nouveau briller la douce lumière de votre attention sur votre respiration.

5. Emotions

Il est difficile de rester concentré dans votre méditation si vous êtes aux prises avec des émotions fortes. Surtout la colère, la honte qui nous font continuer à regarder les événements passés au lieu d’être dans le présent. La peur quant à elle regarde l’avenir avec des histoires qui commencent par : «Et si … »

La façon de gérer des émotions fortes dans la méditation est de se concentrer sur les sensations corporelles qui accompagnent l’émotion. Par exemple, cela pourrait être la sensation de peur autour de la poitrine. Lâchez prise petit à petit avec ces histoires et recentrez-vous sur votre corps. De cette façon, vous honorez vos émotions sans être emmêlé dans des histoires qui ne finissent jamais.

6. Le silence

Le silence est la guérison. Lorsque nous sommes assis dans le silence, nous faisons réellement l’expérience de ce que notre esprit est en train de traverser. Il y a la fixité et le calme qui vienne naturellement dans le silence et vous pouvez vous reposer dans l’instant.

7. La durée

Commencez par 10 minutes et restez plus longtemps si vous sentez que cette durée est trop courte. Ne vous forcez pas à méditer plus longtemps si vous n’êtes pas prêt à le faire. Certaines personnes aiment méditer pendant une heure. D’autres trouvent qu’ils ne peuvent pas rester assis plus de 10 minutes. Faites ce qui semble bon pour vous!

8. Prenez du plaisir

Le plus important de tout, il est primordial que vous profitiez de la méditation. Soyez bon avec vous-même. Pratiquez juste un peu chaque jour et vous pourrez ensuite faire d’immenses progrès avec l’habitude de méditer.

« Pour être heureux dans la vie, il faut simplement laisser venir ce qui vient, et laisser partir ce qui s’en va. »

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Source originale : http://www.mon-couple-heureux.com/3-clefs-pour-sortir-de-la-dependance-affective/

Cet article a été écrit par Cristina Marques, thérapeute experte en dépendance affective & relations de couple.
Retrouvez Cristina Marques sur son site www.magneticobonheur.com

 

Vous avez tendance à vivre des relations amoureuses infructueuses ?

  • qui souvent ne dépassent pas le stade de la séduction ?
  • qui se soldent par une rupture non désirée ?
  • ou qui, lorsque la relation se poursuit et peut durer, vous procure une grande souffrance émotionnelle ?

Et si la cause de vos échecs amoureux était la dépendance affective ?

dependance affective

C’est quoi la dépendance affective ?

Être dépendant affectif c’est être nécessiteux vis à vis d’une ou plusieurs personnes en particulier, des personnes bien définies, comme par l’exemple

  • un amoureux,
  • un mari,
  • un enfant,
  • un parent,
  • un(e) ami(e).

Une personne dépendante affective n’est pas «addict» à tout le monde. Elle l’est seulement envers la ou les personnes qui, selon sa perception, lui procurent l’illusion que c’est grâce à leur présence dans sa vie, qu’elle peut se sentir bien et heureuse. Elle est persuadée que sa vie ne peut avoir de sens sans la personne à laquelle elle est addict.

L’on remarque cette addiction particulièrement dans les relations amoureuses. Mais cette addiction peut se manifester dans n’importe quel autre genre de relation. D’ailleurs, elle est d’abord vécue dans les relations parents / enfants puisqu’elle y trouve son origine. Ce qui est vécu par la suite dans les relations amoureuses est déjà un schéma répétitif des situations vécues à l’origine dans les relations parents / enfants.

Voici quelques exemples d’attitudes symbolisant la dépendance affective :

  • Vous êtes en couple et vous avez en permanence peur qu’il vous quitte, peur de la rupture, donc peur d’être abandonné.
  • Dans vos relations vous vous sentez souvent frustré parce que vous avez l’impression de donner plus que vous ne recevez en retour.
  • Vous avez tendance à attirer à vous des partenaires qui ne s’engagent pas.
  • Vous avez tendance à attirer à vous des partenaires toxiques, comme par exemples des pervers narcissiques, des manipulateurs, des personnes alcooliques, violentes, etc.
  • Vous êtes persuadé qu’en relation de couple l’un appartient à l’autre.
  • Vous avez la croyance qu’en couple l’un est responsable du bonheur de l’autre et que donc, votre bonheur dépend de certaines attitudes de votre partenaire à votre égard vous manifestant l’intérêt que vous espérez.
  • Vous êtes persuadé que votre vie n’aurait pas de sens sans une relation amoureuse et sans le partenaire auquel vous êtes addict.
  • Vous êtes jaloux et possessif et vous croyez que cette attitude est une preuve d’amour envers votre partenaire.
  • Vous êtes malheureux(se) dans votre relation de couple mais vous y restez par peur de ne pas vous en sortir financièrement et matériellement.
  • Vous êtes du genre à envahir votre partenaire de sms tout au long de la journée et vous stressez lorsque vous n’avez pas de réponse de sa part.
  • Vous êtes du genre à fréquenter frénétiquement les sites de rencontre en quête de la « bonne personne » qui viendra vous sauver de votre solitude.

Qui viendra me sauver de ma solitude ?

Comment devient-on dépendant affectif ?

La dépendance affective est une blessure émotionnelle, activée chez l’être humain entre l’âge de 0 et 3 ans.

C’est une blessure qui est particulièrement vécue avec le parent du sexe opposé, mais on peut observer des cas d’exception où la blessure est également vécue avec le parent du même sexe, lorsque celui-ci assume un rôle plutôt attribué au parent du sexe opposé.

La première caractéristique de la dépendance affective

La première caractéristique de la dépendance affective c’est la peur de l’abandon.

L’enfant va se sentir abandonné par le parent du sexe opposé, soit parce que celui-ci a physiquement quitté le foyer familial, soit parce qu’il est souvent absent physiquement et affectivement.

L’enfant a également pu vivre une circonstance traumatisante, selon son interprétation, qui a activé dans son mental la peur d’être abandonné.

Notre subconscient ne fait pas de différence entre le réel et l’imaginaire.

C’est pourquoi, il est important d’intégrer que c’est la perception de l’enfant et non le comportement du parent en question qui va générer et nourrir la peur de l’abandon dans le mental de l’enfant.

L’enfant va donc se construire avec cette peur d’être abandonné et il va la nourrir en la répétant tout au long de sa vie, y compris dans ses relations sentimentales, jusqu’à ce qu’il en devienne conscient.

La deuxième caractéristique de la dépendance affective

La deuxième caractéristique c’est le manque d’amour.

Dès notre plus jeune âge nous sommes conditionnés à nous déconnecter de l’amour naturel qu’il y a en nous et à adhérer à l’idée qui nous est enseignée par la société, que l’amour dont nous avons besoin provient de l’extérieur, c’est à dire des autres.

C’est ainsi que progressivement nous nous déconnectons de notre amour naturel et nous commençons a être en manque et à chercher à combler ce manque par l’extérieur. Nous devenons petit à petit ce que nous croyons que nous devons être pour plaire à notre entourage dans le but d’obtenir de leur part cet amour qui nous a été « promis ». Nous ne réalisons pas qu’en nous comportant de la sorte, nous nous renions nous-mêmes. Et c’est ce reniement de Soi qui nous conduit à devenir des êtres vides d’amour et coupés de leur source naturelle.

Par conséquent, nous ne nous sentirons jamais aimés à la hauteur de nos besoins par les autres. Notre entourage nous aime mais il nous aime à sa façon et non de la façon que nous le souhaitons. La seule personne qui puisse nous apporter l’amour que nous souhaitons c’est nous-mêmes ! Et c’est en cessant de nous renier que nous pouvons rétablir cet amour naturel perdu.

Cela génère un cercle vicieux sans fin. Notre vide est de plus en plus grand. C’est pourquoi, lorsque nous entrons en relation nous y entrons avec un vide à combler, étant persuadés que l’autre a pour rôle de combler ce vide en nous.

Mais l’autre est notre miroir, il a reçu le même enseignement que nous et il a lui aussi a un vide en lui à combler.

La réalité, c’est que ni l’un ni l’autre n’a le pouvoir de combler le vide de chacun.

Nous ne savons pas aimer !

Nous avons appris que le but de la relation c’est d’aimer l’autre pour que l’autre nous aime en retour. Mais comment pouvons nous aimer l’autre alors que nous sommes des êtres vides d’amour ?

Nous ne pouvons pas donner ce que nous ne possédons pas !

3 clés pour sortir de la dépendance affective

1) Il est impératif d’intégrer que jamais aucun partenaire ne viendra vous sauver de votre dépendance affective. La seule personne à pouvoir le faire c’est vous-même.

2) Votre plus grand besoin c’est d’apprendre à vous sentir sécurisé par vous-même. Et c’est seulement en affrontant votre peur de la solitude que vous y parviendrez.

3) Vous avez besoin d’apprendre à vous aimer afin de ne pas dépendre de l’amour illusoire des autres. C’est en apprenant à construire une relation saine avec vous-même, en vous accordant la place la plus importante de votre vie, que vous parviendrez a rétablir en vous, l’amour naturel perdu.

dependance affective retrouvez votre joie interieure

Conclusion sur la dépendance affective

En conclusion, vos relations amoureuses n’échouent pas.

Elles sont simplement une expérience révélatrice de votre manque d’amour pour vous-même.

En ce sens elles sont un immense cadeau qui vous reflète l’amour que vous avez besoin d’apprendre à vous donner.

Si vous voulez vivre un jour une relation de couple durable, harmonieuse et épanouie, vous devrez d’abord parvenir à construire cette même relation avec vous-même.

Pour être heureux en couple, il est d’abord nécessaire d’apprendre à être heureux tout seul.

 

Et vous ? quelle est votre expérience de la dépendance affective ?

Est ce que cet article écrit par une experte vous a aidé ? Oui ? Partagez le ! 🙂

 

Source originale : http://www.attention-bonheur-possible.com/resilience/

Et bien oui, nous voici maintenant dans un match de rugby…Euh, non pas du tout !

Je vous propose de parler de résilience, pour ceux qui ne sont pas familier de ce mot, vous en saurez plus dans les lignes qui suivent.

 

Résilience ou dépression ?

Résilience : (selon Wikipédia) La résilience est un phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l’événement traumatique pour ne plus vivre dans la dépression et se reconstruire. La résilience serait rendue possible grâce à la structuration précoce de la personnalité, par des expériences constructives de l’enfance (avant la confrontation avec des faits potentiellement traumatisants) et parfois par la réflexion, ou la parole, plus rarement par l’encadrement médical d’une thérapie.

 

Vous me direz, quel rapport avec le rugby !

A peu près aucun, si ça n’est que nous avons la possibilité de transformer un traumatisme, ou de le ressasser pour finir par déprimer.

Il ne s’agit pas d’oublier, à moins d’être amnésique on oublie généralement pas sa vie (quoi que des épisodes douloureux peuvent être enfouis, bien camouflés). Il s’agit de rebondir et permettre à la situation difficile que vous avez vécu, de développer chez vous de nouvelles capacités.

 

Alors, et vous, Acceptez vous d’être résiliant ? Ou préférez vous, vous perdre dans le chagrin, la dépression et le sentiment d’être une victime ?

Pour en savoir plus, des clés dans ce livre du célèbre Boris Cyrulnik

The post Transformer l’essai ou pas ? Résilience appeared first on Attention ! Bonheur possible.

Source originale : http://www.acide-ici.fr/chroniques/le-secret-de-la-reussite.html

RéussirDepuis le temps que vous attendez ça, j’ai décidé de vous offrir aujourd’hui LE secret ultime : celui de la réussite. :) Qui n’a pas envie de réussir ce qu’il entreprend, voire de réussir sa vie tout court ? C’est vous dire si le visionnage de la vidéo suivante vaut le coup…

Au programme :

  • Comment la direction de votre regard conditionne la réussite de ce que vous entreprenez
  • Le rapport entre le secret de la réussite et l’article Une vie dans tous les sens
  • La zone « projets personnels », la zone « business », et celle qui se trouvent entre les deux
  • Quelle est l’attitude qui vous permet d’accomplir vos projets personnels
  • Pourquoi votre business est voué à l’échec s’il constitue « votre bébé »
  • Qu’est-ce que l’intersection du cerveau, du cœur et d’autrui
  • Quelle est l’astuce qui vous permet, dans vos projets personnels, de remplacer le mot « moi » par autre chose afin de tout changer
  • Pourquoi le développement personnel vous fera tout rater (mais vous le saviez déjà…)
  • Et moult autres choses !

Bon visionnage

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=v-dLQinRY4k]

Source originale : http://feedproxy.google.com/~r/habitudes-zen/feed/~3/hY4gmEAJcSY/

Tweet Note : Cet article invité a été écrit par Gervais du blog ABC Champions Mon histoire Durant toutes mes années d’études, depuis 23 ans, où je suis passé du primaire jusqu’au doctorat aujourd’hui, je me suis toujours retrouvé parmi les meilleurs élèves et les meilleurs étudiants, dans toutes les classes où je suis passé. […]

Source originale : http://joannetatham.fr/ce-nest-pas-vraiment-une-histoire-de-confiance-en-soi/

J’ai tourné en long en large et en travers cette question de la confiance en soi.
Face à mon évolution, mais aussi en observant mes clientes et au fil de diverses discussions, je me suis interrogée.

Qu’est-ce qui fait qu’on n’ose pas ?
Qu’est-ce qui fait qu’on se laisse paralyser par la peur ?
Qu’est-ce qui fait que l’on en manque, de cette confiance en soi ?
Et surtout… comment on la construit ? comment on la consolide ?

Et tu sais quoi ?

J’en suis arrivée à la conclusion que ce n’est pas vraiment la confiance en soi, le véritable enjeu.…