Libérez votre potentiel : devenez acteur de la vie dont vous rêvez !
Source originale : http://www.jesuissucces.com/blogue/2010/03/21/sexy-suzy-na-pas-envie-de-sexe/
Je vous présente Suzy, une jeune québécoise de 26 ans qui habite en appartement avec son copain Charles depuis maintenant deux ans. Comme la plupart des jeunes femmes de son âge, Suzy a terminé ses études et elle s’est trouvé un travail pour gagner sa vie.
Lisa, la meilleure amie de Suzy, a aussi un travail et elle est mariée depuis trois ans. Lisa et son mari ont aussi un enfant.
Suzy et Lisa se rencontrent régulièrement pour prendre un verre de vin et jaser entre filles.
Tout récemment, les deux jeunes femmes se sont rencontrées pour discuter de leurs sujets favoris : leur avenir, leur couple, et vous l’aurez deviné : de sexe.
Suzy a avoué à Lisa qu’elle a un petit problème. Elle adore son copain Charles, mais elle n’a pas envie de lui (au lit) aussi souvent que lui aurait envie d’elle. Elle ne croit pas que c’est Charles le problème, mais plutôt elle-même.
Lisa demande à Suzy si c’est parce qu’elle ne trouve pas Charles attirant et Suzy répond : « Non, au contraire, Charles est très attirant. Et d’ailleurs, il fait bien l’amour. Je n’ai pas plus envie d’un beau garçon attirant que je pourrais croiser dans la rue. Je ne crois pas que c’est une question d’amour ou d’attirance ».
Suzy ajoute : « Je crois tout simplement que mon niveau de libido est très faible. Durant notre première année en couple, nous faisions l’amour au moins une fois par semaine, mais maintenant, nous le faisons à peine une fois par mois. J’aime beaucoup Charles, mais j’ai l’impression de passer nos moments intimes en deuxième ».
L’analyse : besoins, valeurs et croyances
Quel est le problème de Suzy?
Suzy ne sait plus quoi faire et quoi penser. Elle ne veut pas rompre sa relation avec Charles. Elle veut surtout essayer de comprendre son problème.
Bien entendu, la sexologie est un sujet très complexe. Lisa est hygiéniste dentaire, et non une sexologue. Cependant, Lisa sait très bien qu’il y a trois choses qui influencent et contrôle nos choix et décisions :
- Nos besoins émotionnels;
- Nos valeurs;
- Nos croyances.
Pour tenter d’aider Suzy à comprendre son problème, Lisa propose d’en discuter. Elle posera quelques questions à Suzy en rapport à ses besoins, ses valeurs et ses croyances.
Voici quelques extraits de l’entretien entre Suzy et Lisa.
1. Suzy a dit que la plupart du temps, lorsque son conjoint l’invite à la chambre à coucher, elle se sent obligée de modifier son plan (horaire) de la journée. Suzy est une personne très organisée et elle a l’habitude de planifier à l’avance ses soirées et week-ends. Exemple : Faire l’épicerie, faire le ménage, être à l’heure à son rendez-vous, appeler une amie, louer un film, etc. Avec le temps, Charles a pris l’habitude de suivre le plan de Suzy.
Besoin de Suzy : J’ai un sentiment d’accomplissement seulement lorsque j’ai terminé mes tâches. Je me sens mieux lorsque j’ai un plan. J’ai beaucoup de difficultés à modifier mon horaire et à passer un moment intime avec Charles lorsque mon plan était d’aller faire l’épicerie par exemple.
2. Ensuite, Suzy admet qu’intérieurement, elle ne sent pas bien de faire l’amour plus d’une ou deux fois par semaine. Comme si faire l’amour plusieurs fois par semaine était un péché. Les deux filles se sont entendues pour dire que Suzy a potentiellement une croyance limitative au sujet de la sexualité.
Croyance de Suzy : faire l’amour plusieurs fois par semaine, ce n’est pas bien. C’est une idée qui traine dans ma conscience depuis mon jeune âge. Est-ce que c’est ce qu’on m’a enseigné à l’école et dans mes cours de religion? Ça pourrait aussi venir d’anciennes expériences ou de l’enseignement de mes parents. Je ne suis pas certaine.
3. Suzy et Lisa poursuivent leur discussion. Suzy raconte qu’elle a un petit côté féministe. Elle n’aime pas l’idée d’être soumise à un homme.
Valeur de Suzy : Je suis une femme moderne et je ne suis pas soumise à un homme. Mon corps m’appartient et c’est moi qui prends les décisions de faire l’amour ou non.
4. Lisa sait que Suzy n’est pas une fille qui aime exposer son corps. Elle porte rarement la jupe et le chandail décolleté. Elle aime plutôt porter un jeans et un t-shirt. Lisa pose quelques questions à Suzy à ce sujet.
Valeur de Suzy : Je suis une femme intelligente qui réussit dans la vie. Je n’ai pas besoin de montrer mon corps pour réussir.
5. Comme question finale, Lisa a demandé à Suzy si elle se sentait bien dans sa peau.
Croyance de Suzy : Je ne suis pas très fier de mon corps. Je ne suis plus en forme comme je l’étais au début de notre relation. Dans le passé, Charles me disait que j’étais sexy. Maintenant, je suis moins séduisante.
Après avoir discuté pendant un peu plus d’une heure, les deux filles conclurent que Suzy a des choses sur lequel travailler pour améliorer sa situation.
Où croyez-vous que les réponses au problème de Suzy se cachent? Et voilà! Les réponses se trouvent dans ses croyances, ses valeurs et ses besoins émotionnels.
Le problème n’est pas résolu, mais en discutant et en posant des questions à Suzy, Lisa a réussi à faire ressortir plusieurs facteurs qui pourraient être reliés à son problème. Suzy doit maintenant réfléchir à cette discussion et communiquer avec son conjoint pour résoudre le problème.
Pour conclure la discussion, Lisa demande à Suzy : « Est-ce qu’un couple sans relations sexuelles courantes est forcément un échec? Est-ce que c’est la règle de faire l’amour plusieurs fois par semaine? Est-ce qu’un couple est forcément malheureux sans relations sexuelles courantes? Est-ce que tes autres amies te disent qu’ils ont des relations sexuelles très fréquentes et que tu dois faire la même chose? La sexualité est un sujet encore tabou, c’est donc normal que tu aies l’impression que tu es la seule dans cette situation “.
Suzy : « Oui, tu as raison. Je suis allé sur les forums de discussion sur la sexualité et beaucoup de jeunes femmes semblent se poser les mêmes questions que moi ».
Lisa : « Je crois que le plus important, c’est d’en discuter avec ton copain. Ensuite vous pourrez trouver des solutions ensemble ».
Vous avez vous aussi un problème dans votre vie? En fait, qui dans ce monde n’a jamais de problèmes? Lorsque vous (ou un ami) ferez face à un problème dans votre vie, tentez d’analyser votre situation en vous posant des questions claires. Pour mieux comprendre le problème, c’est important de poser des questions en rapport à vos besoins, vos croyances et vos valeurs.
Lorsque vous aurez compris le pourquoi de vos réactions et de votre raisonnement, il ne vous restera plus qu’à établir un plan d’action pour modifier vos croyances.
Ps : Dans cet article, j’ai choisi de parler de sexualité, car c’est un sujet qui intéresse les gens. Mon objectif était de vous démontrer qu’en posant des questions simples, mais précises, vous pourrez découvrir qui vous êtes vraiment. La plupart des gens ne se connaissent pas. La connaissance de soi est un aspect important du développement personnel. Lorsqu’il y a quelque chose qui vous dérange, posez-vous des questions associées à vos besoins, vos valeurs et vos croyances. Vous serez surpris de tout ce que vous pouvez apprendre sur vous.
Bonne journée!
Christian
Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/3-techniques-simples-pour-commencer-la-meditation/
3 techniques simples pour commencer la méditation
Article invité rédigé par Wesley de EcrireJuste.
Techniquesdemeditation.com a pour objectif de rendre la méditation accessible à tous. Pour cause, on a tendance à la rendre plus compliquée qu’elle ne l’est. Pas besoin d’être un moine tibétain ou de connaître des techniques ultra avancées pour la pratiquer.
Il est possible de commencer avec des exercices simples, que chacun peut intégrer dans son quotidien. Dix minutes par jour est amplement suffisant si vous débutez.
Voici trois techniques qui permettent d’ancrer facilement votre esprit dans l’instant présent.
Concentrez-vous sur votre respiration
Pilier de la méditation et de la plupart des méthodes de relaxation, la respiration est une manière efficace de réduire le flux de pensées qui viennent parasiter l’esprit.
En vous focalisant sur votre respiration, vous « occupez » votre cerveau en le centrant sur quelque chose que vous vivez dans le présent, reléguant alors le bruit de vos pensées au second plan. Il y a deux façons de vous concentrer sur votre respiration.
La première consiste à compter chaque inspiration et expiration en allant jusqu’à 10. Comptez un au premier cycle respiratoire (une inspiration + une expiration), puis deux, puis trois et ainsi de suite. Une fois à 10, recommencez simplement l’opération à zéro ou bien comptez en sens inverse.
La seconde méthode est basée sur l’observation des mouvements du corps au gré des inspirations et expirations. L’objectif n’est pas d’essayer de respirer d’une certaine manière mais simplement d’observer comment chaque inspiration est différente de la précédente.
Scannez chaque partie de votre corps
Un autre excellent moyen d’ancrer votre esprit dans le présent est de focaliser votre attention sur vos sensations physiques.
Fermez les yeux et visualisez chaque partie du corps l’une après l’autre, de haut en bas, tel un scanner. Front, gorge, poitrine, plexus solaire, nombril, jambes, pieds : arrêtez-vous sur chaque zone et prenez le temps de la ressentir pleinement.
Encore une fois, il est simplement question d’observation ; n’essayez pas de changer la sensation d’une zone ni de l’analyser. Si vous ressentez des tensions dans le dos, constatez simplement la sensation.
Une fois que vous avez passé en revue l’ensemble du corps, une humeur globale devrait émerger naturellement. Votre état émotionnel est connecté à votre état physique et cet exercice permet d’être plus conscient de votre état interne.
Focalisez-vous sur l’environnement
Être dans l’instant présent, ça inclut aussi le fait d’avoir conscience de son environnement.
Quels sont les sons que vos oreilles peuvent percevoir ? Pouvez-vous relever les odeurs qui vous entourent ? Qu’en est-il du contact de votre peau avec l’air ambiant ? Ressentez-vous les points de contact avec le sol ou le dossier de la chaise sur laquelle vous êtes assis(e) ?
Tout comme pour les deux méthodes précédentes, l’angle d’approche à favoriser est celui de la perception et de la constatation. N’essayez pas de vous forcer à aller chercher les bruits si vous êtes dans un espace calme. Laissez plutôt les stimuli externes venir à vous, laissez vos sens capter les signaux présents dans votre environnement.
Vous pouvez tout à fait enchaîner ces 3 exercices et vous aurez complété une séance de méditation. La méditation n’est pas un sprint, c’est un marathon : l’important, c’est la régularité. Commencez par en faire 10 minutes par jour, tous les jours.
Wesley
Source originale : http://www.techniquesdemeditation.com/etre-plus-zen-grace-a-langage-corporel/
Comment être plus zen grâce à votre langage corporel ?
Article invité rédigé par Romain, l’auteur du blog le Décodeur du Non-Verbal
Ici Romain, le Décodeur du Non-Verbal.
Depuis plus de 5 années, j’étudie les affinités qui existent entre les mouvements de notre corps et l’esprit humain.
J’étudie nos émotions, nos sentiments à travers leur manifestation dans notre gestuelle, notre langage corporel et nos postures.
Si j’emprunte aujourd’hui les clés du blog de Cédric, c’est parce que je souhaite partager avec vous un certain nombre de ces enseignements recueillis au fil des années.
Je suis persuadé qu’ils pourront vous aider à être plus zen au quotidien, qu’ils augmenteront l’efficacité de vos méditations mais aussi qu’ils deviendront une solution particulièrement efficace pour faire disparaître le stress lorsqu’il s’immisce dans vos vies sans crier gare.
Ce que je m’apprête à vous révéler, je ne l’ai aujourd’hui enseigné qu’à un petit groupe de clients triés sur le volet.
Mais parce que Cédric m’a gentiment laissé les clés du blog, j’ai décidé de vous en dévoiler certains secrets.
Êtes-vous bien installé devant votre écran ? Oui ?
Alors, c’est parti.
Le paradoxe de la méditation
Si vous êtes comme moi, vous cherchez sans doute à vivre une vie plus zen. Vous souhaitez atteindre une sorte de calme permanent dans votre esprit.
La méditation est une méthode efficace pour y arriver. Mais parfois, on se trouve face à un sacré paradoxe.
Car même si nous avons bien conscience des bienfaits salvateurs de la pratique méditative, nous arrivons à nous trouver des excuses pour ne pas s’y atteler :
- l’envie n’est pas là ;
- ou le timing n’est pas le bon ;
- ou bien encore, les bienfaits de la méditation ne se font pas ressentir parce que les pensées négatives sont trop présentes.
Dans ce genre de situations, ce que vous aimeriez, c’est avoir la possibilité de retirer ce petit programme automatique dans votre tête qui vous empêche de méditer.
Ce que vous souhaiteriez, c’est pouvoir lâcher prise, en un claquement de doigts, faire disparaître ce stress ou ces idées noires afin de retrouver un état interne plus serein, plus zen.
Et à ce titre, j’ai une excellente nouvelle pour vous !
De part mon expertise de la communication non-verbale et du lien qui unit corps et esprit, je vais vous apprendre à utiliser votre langage corporel de manière ingénieuse pour rendre votre méditation encore plus efficace et pour changer (en un éclair) vos pensées négatives en positives.
Ces dernières lignes peuvent paraître une promesse forte. Mais suivez-moi jusqu’au bout ! Car vous êtes sur le point d’apprendre un aspect innovant du fonctionnement de votre corps auquel vous n’aviez peut-être encore jamais pensé.
Utiliser le langage du corps pour méditer de façon optimale
Pour méditer dans des conditions optimales, il est important de se trouver dans un environnement approprié : endroit calme, avec un minimum de perturbations.
Mais saviez-vous qu’il est tout aussi important de vous construire un terrain fertile pour méditer ? Un terrain à l’intérieur de vous ?
Le meilleur moyen pour créer ce terrain interne propice à la méditation, c’est d’utiliser votre langage corporel.
Laissez-moi vous expliquer pourquoi.
J’ai constaté en développant mon expertise du langage corporel (que l’on assimile aussi parfois en France à la pratique de la synergologie) que le corps communique des messages, il communique tout comme le font les mots. Voire même plus.
Mais ce que j’ai aussi constaté, c’est que votre communication non-verbale, la façon dont vous utilisez votre corps, permet de changer votre état interne.
Utiliser de manière ingénieuse, votre langage corporel permet de modifier vos émotions et ainsi vous donne le pouvoir de réguler ce qui se passe à l’intérieur de vous.
– Zen dans votre corps et dans votre tête
Vous avez très certainement remarqué que lorsque votre corps est voûté, recroquevillé sur vous-même, votre état émotionnel est souvent au plus bas.
Alors qu’à l’inverse, lorsque vous adoptez une posture où tout votre corps prend de la place, vous vous sentez mieux.
Y aurait-il un lien entre “expansion du corps et bien-être“ et entre “discrétion du corps et émotions négatives“ ?
Il semblerait que OUI.
La psychologue américaine Amy Cuddy ainsi que des recherches effectuées à Business School de Colombia ont montré qu’en tenant simplement notre corps de manière expansive pendant 2 minutes, cela augmentait notre niveau de testostérone (que ce soient pour les hommes ou pour les femmes).
La testostérone est l’hormone qui est liée au pouvoir et à la dominance – par la même occasion, ce type de postures diminue le cortisol, l’hormone du stress.
Alors pourquoi n’utiliseriez pas ce savoir pour constamment injecter des hormones positives dans votre corps juste avant une méditation ?
Car oui, on arrive ici au coeur de cet article.
En modifiant votre physiologie (corps), vous changez votre psychologie (grâce à la sécrétion d’hormones bien spécifiques et dîtes positives) – en adoptant ces postures génératrices spécifiques au bien-être, vous pouvez créer ce terrain fertile à la méditation – vous pouvez même supprimer toute once de stress (par exemple avant de prendre la parole en public) en moins de deux minutes.
Maintenant la question assez naturelle qui doit surgir dans votre esprit est la suivante : Comment ? Comment adopter ces postures ? Et quelles sont-elles exactement ?
On les appelle les postures énergisantes (pas besoin de vous faire un dessin du pourquoi du nom)
– Utiliser une posture énergisante avant de méditer
Alors quelles sont ces fameuses postures énergisantes ? Il en existe plusieurs et elles ont toutes 2 points communs : votre corps prend de la place, notamment avec les bras.
Une des postures que j’apprécie particulièrement pour se faire est l’effet catapulte dont je vous invite à regarder l’explication dans cette vidéo de la série 1jour1geste.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=Ln6A6QPN35E]
Appliquez cette posture pendant 2 minutes juste avant de méditer et il s’opérera quelque chose de magique dans votre corps.
Vous vous sentirez en charge de la situation, prêt et serein pour commencer votre méditation. Derrière celle posture, on peut tout à fait imaginer une bulle disant « Je gère la situation“ ou “C’est moi le boss, je suis en charge“ et c’est exactement ce qui se passe, vous êtes en charge de vos émotions. Vous envoyez à votre cerveau que vous êtes en charge de la situation.
En prenant cette attitude avant votre méditation, vous allez voir que vont disparaître de manière très rapide vos émotions négatives au profit d’émotions positives. Vous allez construire en cela un terrain propice à une méditation plus calme et plus zen.
Si vous vous intéressez au Yoga, vous ne serez pas sans remarquer l’une des particularités de cette méthode qui est justement basée sur les positions corporelles, les postures pour générer des émotions positives.
Plus de zénitude en utilisant votre gestuelle
J’espère qu’à travers ces lignes vous avez pris conscience de l’importance d’utiliser votre corps avant vos méditations.
Faites-moi maintenant une promesse.
Celle d’essayer. Celle d’adopter, lors de votre prochaine médiation, la posture énergisante que je viens de décrire.
Rappelez-vous que votre corps et la façon dont vous l’utilisez sera toujours le point de départ de votre zénitude.
C’est votre gestuelle, les mouvements de votre corps qui créent les hormones propices d’une méditation efficace.
Je vous souhaite plein de succès dans vos prochaines méditations,
Romain
Le Décodeur du Non-Verbal
Pour aller plus loin : Romain est l’auteur du blog le Décodeur du Non-Verbal sur lequel il vous livre ses meilleurs conseils pour apprendre les secrets de la communication non-verbale et développer une communication d’exception. Cliquez ici pour en savoir plus sur lui.
Source originale : http://www.jesuissucces.com/blogue/2010/03/21/sexy-suzy-na-pas-envie-de-sexe/
Je vous présente Suzy, une jeune québécoise de 26 ans qui habite en appartement avec son copain Charles depuis maintenant deux ans. Comme la plupart des jeunes femmes de son âge, Suzy a terminé ses études et elle s’est trouvé un travail pour gagner sa vie.
Lisa, la meilleure amie de Suzy, a aussi un travail et elle est mariée depuis trois ans. Lisa et son mari ont aussi un enfant.
Suzy et Lisa se rencontrent régulièrement pour prendre un verre de vin et jaser entre filles.
Tout récemment, les deux jeunes femmes se sont rencontrées pour discuter de leurs sujets favoris : leur avenir, leur couple, et vous l’aurez deviné : de sexe.
Suzy a avoué à Lisa qu’elle a un petit problème. Elle adore son copain Charles, mais elle n’a pas envie de lui (au lit) aussi souvent que lui aurait envie d’elle. Elle ne croit pas que c’est Charles le problème, mais plutôt elle-même.
Lisa demande à Suzy si c’est parce qu’elle ne trouve pas Charles attirant et Suzy répond : « Non, au contraire, Charles est très attirant. Et d’ailleurs, il fait bien l’amour. Je n’ai pas plus envie d’un beau garçon attirant que je pourrais croiser dans la rue. Je ne crois pas que c’est une question d’amour ou d’attirance ».
Suzy ajoute : « Je crois tout simplement que mon niveau de libido est très faible. Durant notre première année en couple, nous faisions l’amour au moins une fois par semaine, mais maintenant, nous le faisons à peine une fois par mois. J’aime beaucoup Charles, mais j’ai l’impression de passer nos moments intimes en deuxième ».
L’analyse : besoins, valeurs et croyances
Quel est le problème de Suzy?
Suzy ne sait plus quoi faire et quoi penser. Elle ne veut pas rompre sa relation avec Charles. Elle veut surtout essayer de comprendre son problème.
Bien entendu, la sexologie est un sujet très complexe. Lisa est hygiéniste dentaire, et non une sexologue. Cependant, Lisa sait très bien qu’il y a trois choses qui influencent et contrôle nos choix et décisions :
- Nos besoins émotionnels;
- Nos valeurs;
- Nos croyances.
Pour tenter d’aider Suzy à comprendre son problème, Lisa propose d’en discuter. Elle posera quelques questions à Suzy en rapport à ses besoins, ses valeurs et ses croyances.
Voici quelques extraits de l’entretien entre Suzy et Lisa.
1. Suzy a dit que la plupart du temps, lorsque son conjoint l’invite à la chambre à coucher, elle se sent obligée de modifier son plan (horaire) de la journée. Suzy est une personne très organisée et elle a l’habitude de planifier à l’avance ses soirées et week-ends. Exemple : Faire l’épicerie, faire le ménage, être à l’heure à son rendez-vous, appeler une amie, louer un film, etc. Avec le temps, Charles a pris l’habitude de suivre le plan de Suzy.
Besoin de Suzy : J’ai un sentiment d’accomplissement seulement lorsque j’ai terminé mes tâches. Je me sens mieux lorsque j’ai un plan. J’ai beaucoup de difficultés à modifier mon horaire et à passer un moment intime avec Charles lorsque mon plan était d’aller faire l’épicerie par exemple.
2. Ensuite, Suzy admet qu’intérieurement, elle ne sent pas bien de faire l’amour plus d’une ou deux fois par semaine. Comme si faire l’amour plusieurs fois par semaine était un péché. Les deux filles se sont entendues pour dire que Suzy a potentiellement une croyance limitative au sujet de la sexualité.
Croyance de Suzy : faire l’amour plusieurs fois par semaine, ce n’est pas bien. C’est une idée qui traine dans ma conscience depuis mon jeune âge. Est-ce que c’est ce qu’on m’a enseigné à l’école et dans mes cours de religion? Ça pourrait aussi venir d’anciennes expériences ou de l’enseignement de mes parents. Je ne suis pas certaine.
3. Suzy et Lisa poursuivent leur discussion. Suzy raconte qu’elle a un petit côté féministe. Elle n’aime pas l’idée d’être soumise à un homme.
Valeur de Suzy : Je suis une femme moderne et je ne suis pas soumise à un homme. Mon corps m’appartient et c’est moi qui prends les décisions de faire l’amour ou non.
4. Lisa sait que Suzy n’est pas une fille qui aime exposer son corps. Elle porte rarement la jupe et le chandail décolleté. Elle aime plutôt porter un jeans et un t-shirt. Lisa pose quelques questions à Suzy à ce sujet.
Valeur de Suzy : Je suis une femme intelligente qui réussit dans la vie. Je n’ai pas besoin de montrer mon corps pour réussir.
5. Comme question finale, Lisa a demandé à Suzy si elle se sentait bien dans sa peau.
Croyance de Suzy : Je ne suis pas très fier de mon corps. Je ne suis plus en forme comme je l’étais au début de notre relation. Dans le passé, Charles me disait que j’étais sexy. Maintenant, je suis moins séduisante.
Après avoir discuté pendant un peu plus d’une heure, les deux filles conclurent que Suzy a des choses sur lequel travailler pour améliorer sa situation.
Où croyez-vous que les réponses au problème de Suzy se cachent? Et voilà! Les réponses se trouvent dans ses croyances, ses valeurs et ses besoins émotionnels.
Le problème n’est pas résolu, mais en discutant et en posant des questions à Suzy, Lisa a réussi à faire ressortir plusieurs facteurs qui pourraient être reliés à son problème. Suzy doit maintenant réfléchir à cette discussion et communiquer avec son conjoint pour résoudre le problème.
Pour conclure la discussion, Lisa demande à Suzy : « Est-ce qu’un couple sans relations sexuelles courantes est forcément un échec? Est-ce que c’est la règle de faire l’amour plusieurs fois par semaine? Est-ce qu’un couple est forcément malheureux sans relations sexuelles courantes? Est-ce que tes autres amies te disent qu’ils ont des relations sexuelles très fréquentes et que tu dois faire la même chose? La sexualité est un sujet encore tabou, c’est donc normal que tu aies l’impression que tu es la seule dans cette situation “.
Suzy : « Oui, tu as raison. Je suis allé sur les forums de discussion sur la sexualité et beaucoup de jeunes femmes semblent se poser les mêmes questions que moi ».
Lisa : « Je crois que le plus important, c’est d’en discuter avec ton copain. Ensuite vous pourrez trouver des solutions ensemble ».
Vous avez vous aussi un problème dans votre vie? En fait, qui dans ce monde n’a jamais de problèmes? Lorsque vous (ou un ami) ferez face à un problème dans votre vie, tentez d’analyser votre situation en vous posant des questions claires. Pour mieux comprendre le problème, c’est important de poser des questions en rapport à vos besoins, vos croyances et vos valeurs.
Lorsque vous aurez compris le pourquoi de vos réactions et de votre raisonnement, il ne vous restera plus qu’à établir un plan d’action pour modifier vos croyances.
Ps : Dans cet article, j’ai choisi de parler de sexualité, car c’est un sujet qui intéresse les gens. Mon objectif était de vous démontrer qu’en posant des questions simples, mais précises, vous pourrez découvrir qui vous êtes vraiment. La plupart des gens ne se connaissent pas. La connaissance de soi est un aspect important du développement personnel. Lorsqu’il y a quelque chose qui vous dérange, posez-vous des questions associées à vos besoins, vos valeurs et vos croyances. Vous serez surpris de tout ce que vous pouvez apprendre sur vous.
Bonne journée!
Christian
Source originale : http://www.jesuissucces.com/blogue/2010/03/21/sexy-suzy-na-pas-envie-de-sexe/
Je vous présente Suzy, une jeune québécoise de 26 ans qui habite en appartement avec son copain Charles depuis maintenant deux ans. Comme la plupart des jeunes femmes de son âge, Suzy a terminé ses études et elle s’est trouvé un travail pour gagner sa vie.
Lisa, la meilleure amie de Suzy, a aussi un travail et elle est mariée depuis trois ans. Lisa et son mari ont aussi un enfant.
Suzy et Lisa se rencontrent régulièrement pour prendre un verre de vin et jaser entre filles.
Tout récemment, les deux jeunes femmes se sont rencontrées pour discuter de leurs sujets favoris : leur avenir, leur couple, et vous l’aurez deviné : de sexe.
Suzy a avoué à Lisa qu’elle a un petit problème. Elle adore son copain Charles, mais elle n’a pas envie de lui (au lit) aussi souvent que lui aurait envie d’elle. Elle ne croit pas que c’est Charles le problème, mais plutôt elle-même.
Lisa demande à Suzy si c’est parce qu’elle ne trouve pas Charles attirant et Suzy répond : « Non, au contraire, Charles est très attirant. Et d’ailleurs, il fait bien l’amour. Je n’ai pas plus envie d’un beau garçon attirant que je pourrais croiser dans la rue. Je ne crois pas que c’est une question d’amour ou d’attirance ».
Suzy ajoute : « Je crois tout simplement que mon niveau de libido est très faible. Durant notre première année en couple, nous faisions l’amour au moins une fois par semaine, mais maintenant, nous le faisons à peine une fois par mois. J’aime beaucoup Charles, mais j’ai l’impression de passer nos moments intimes en deuxième ».
L’analyse : besoins, valeurs et croyances
Quel est le problème de Suzy?
Suzy ne sait plus quoi faire et quoi penser. Elle ne veut pas rompre sa relation avec Charles. Elle veut surtout essayer de comprendre son problème.
Bien entendu, la sexologie est un sujet très complexe. Lisa est hygiéniste dentaire, et non une sexologue. Cependant, Lisa sait très bien qu’il y a trois choses qui influencent et contrôle nos choix et décisions :
- Nos besoins émotionnels;
- Nos valeurs;
- Nos croyances.
Pour tenter d’aider Suzy à comprendre son problème, Lisa propose d’en discuter. Elle posera quelques questions à Suzy en rapport à ses besoins, ses valeurs et ses croyances.
Voici quelques extraits de l’entretien entre Suzy et Lisa.
1. Suzy a dit que la plupart du temps, lorsque son conjoint l’invite à la chambre à coucher, elle se sent obligée de modifier son plan (horaire) de la journée. Suzy est une personne très organisée et elle a l’habitude de planifier à l’avance ses soirées et week-ends. Exemple : Faire l’épicerie, faire le ménage, être à l’heure à son rendez-vous, appeler une amie, louer un film, etc. Avec le temps, Charles a pris l’habitude de suivre le plan de Suzy.
Besoin de Suzy : J’ai un sentiment d’accomplissement seulement lorsque j’ai terminé mes tâches. Je me sens mieux lorsque j’ai un plan. J’ai beaucoup de difficultés à modifier mon horaire et à passer un moment intime avec Charles lorsque mon plan était d’aller faire l’épicerie par exemple.
2. Ensuite, Suzy admet qu’intérieurement, elle ne sent pas bien de faire l’amour plus d’une ou deux fois par semaine. Comme si faire l’amour plusieurs fois par semaine était un péché. Les deux filles se sont entendues pour dire que Suzy a potentiellement une croyance limitative au sujet de la sexualité.
Croyance de Suzy : faire l’amour plusieurs fois par semaine, ce n’est pas bien. C’est une idée qui traine dans ma conscience depuis mon jeune âge. Est-ce que c’est ce qu’on m’a enseigné à l’école et dans mes cours de religion? Ça pourrait aussi venir d’anciennes expériences ou de l’enseignement de mes parents. Je ne suis pas certaine.
3. Suzy et Lisa poursuivent leur discussion. Suzy raconte qu’elle a un petit côté féministe. Elle n’aime pas l’idée d’être soumise à un homme.
Valeur de Suzy : Je suis une femme moderne et je ne suis pas soumise à un homme. Mon corps m’appartient et c’est moi qui prends les décisions de faire l’amour ou non.
4. Lisa sait que Suzy n’est pas une fille qui aime exposer son corps. Elle porte rarement la jupe et le chandail décolleté. Elle aime plutôt porter un jeans et un t-shirt. Lisa pose quelques questions à Suzy à ce sujet.
Valeur de Suzy : Je suis une femme intelligente qui réussit dans la vie. Je n’ai pas besoin de montrer mon corps pour réussir.
5. Comme question finale, Lisa a demandé à Suzy si elle se sentait bien dans sa peau.
Croyance de Suzy : Je ne suis pas très fier de mon corps. Je ne suis plus en forme comme je l’étais au début de notre relation. Dans le passé, Charles me disait que j’étais sexy. Maintenant, je suis moins séduisante.
Après avoir discuté pendant un peu plus d’une heure, les deux filles conclurent que Suzy a des choses sur lequel travailler pour améliorer sa situation.
Où croyez-vous que les réponses au problème de Suzy se cachent? Et voilà! Les réponses se trouvent dans ses croyances, ses valeurs et ses besoins émotionnels.
Le problème n’est pas résolu, mais en discutant et en posant des questions à Suzy, Lisa a réussi à faire ressortir plusieurs facteurs qui pourraient être reliés à son problème. Suzy doit maintenant réfléchir à cette discussion et communiquer avec son conjoint pour résoudre le problème.
Pour conclure la discussion, Lisa demande à Suzy : « Est-ce qu’un couple sans relations sexuelles courantes est forcément un échec? Est-ce que c’est la règle de faire l’amour plusieurs fois par semaine? Est-ce qu’un couple est forcément malheureux sans relations sexuelles courantes? Est-ce que tes autres amies te disent qu’ils ont des relations sexuelles très fréquentes et que tu dois faire la même chose? La sexualité est un sujet encore tabou, c’est donc normal que tu aies l’impression que tu es la seule dans cette situation “.
Suzy : « Oui, tu as raison. Je suis allé sur les forums de discussion sur la sexualité et beaucoup de jeunes femmes semblent se poser les mêmes questions que moi ».
Lisa : « Je crois que le plus important, c’est d’en discuter avec ton copain. Ensuite vous pourrez trouver des solutions ensemble ».
Vous avez vous aussi un problème dans votre vie? En fait, qui dans ce monde n’a jamais de problèmes? Lorsque vous (ou un ami) ferez face à un problème dans votre vie, tentez d’analyser votre situation en vous posant des questions claires. Pour mieux comprendre le problème, c’est important de poser des questions en rapport à vos besoins, vos croyances et vos valeurs.
Lorsque vous aurez compris le pourquoi de vos réactions et de votre raisonnement, il ne vous restera plus qu’à établir un plan d’action pour modifier vos croyances.
Ps : Dans cet article, j’ai choisi de parler de sexualité, car c’est un sujet qui intéresse les gens. Mon objectif était de vous démontrer qu’en posant des questions simples, mais précises, vous pourrez découvrir qui vous êtes vraiment. La plupart des gens ne se connaissent pas. La connaissance de soi est un aspect important du développement personnel. Lorsqu’il y a quelque chose qui vous dérange, posez-vous des questions associées à vos besoins, vos valeurs et vos croyances. Vous serez surpris de tout ce que vous pouvez apprendre sur vous.
Bonne journée!
Christian
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Le langage corporel est un art complexe ayant attrait à une grande partie d’inconscient. Durant n’importe quelle conversation, alors que vous avez cette impression de n’echanger que des mots :
- Votre cerveau analyse inconsciemment des dizaines de mouvements réalisés par vos interlocuteurs, de la position de ses mains à d’infimes mouvements musclaires du visage.
- Votre corps envoie lui aussi des dizaines de signaux, pour la plupart inconscients, qui seront eux aussi analysés par vos interlocuteurs
Le langage corporel crée une partie très importante de l’interaction que vous avez avec une personne. Non seulement, il joue un rôle fondamental dans l’image que vous donnez de vous, mais il peut aussi vous permettre d’obtenir une lecture plus profonde des émotions de vos interlocuteurs (ennui, intérêt, tristesse, etc.). Bien entendu, un article d’une centaine de ligne ne saurait en aucun cas vous enseigner l’étendue des connaissances qui vous permettraient à la fois d’analyser et de maîtriser votre langage corporel. Nous parlerons si cela vous interesse des fondamentaux du langage dans un prochain article, mais l’idée pour aujourd’hui est de vous faire poser un pied dans le monde de la conversation inconsciente en vous donnant quelques exemples classiques de ce que vous communiquent certains signaux.
Avant de commencer, notez bien que les exemples dont nous parlons ici sont des illustrations qui devront toujours être replacées dans un contexte. Chaque élément d’une communication corporelle ne peut en réalité être isolé des autres. Votre communication, c’est tout ce que renvoie votre coprs à un instant donné, pas un message pour les mains, un pour le visage et un pour je ne sais quoi d’autre. A ce titre, un exemple m’enerve tout particulièrement. J’entend souvent des amis m’expliquer qu’ils pensent qu’une fille s’interesse à eux parce qu’ils l’ont vu se toucher les cheuveux pendant tout un repas. Mais qui vous a appris cela ? Une femme qui se touche les cheuveux, est tournée vers vous, vous montre ses paumes, et dont le visage affiche plusieurs signaux simultanés d’interet s’interesse probablement à vous, c’est un fait. Mais une femme qui se touche les cheuveux, croise les jambes, ne vous fait pas face, croise le bras, regarde sa montre ou l’horizon ne fait rien d’autre que de s’emmerder.
Ceci étant éclairci, voici la première partie d’une liste qui vous fera prendre conscience des possibilités qu’ouvre la communication corporelle. J’insiste : ne prenez jamais les exemples ci dessous comme des vérités absolues. Tâchez de repérer ces signes et d’eeasyer de comprendre dans quels contextes leur sgnification peut varier de celle explicitée ici.
- Tenir des objets entre vous et votre interlocuteur : Quel que soit cet objet : un verre, un sac à main ou n’importe quoi d’autre, le fait qu’il se trouve entre vous et une autre personne indique un retrait ou une protection inconsciente. Plus il se trouve haut (et proche de votre visage), plus l’effet est renforcé. Chaque objet entre vous et votre interlocuteur agît comme une barrière à votre connexion.
- Enlever les peluches de vos vêtements : En réalisant cette action anodine, la plupart de vos interlocuteurs penseront (inconsciemment) que vous désapprouvez leur opinion, ou que vous vous sentez mal à l’aise vis à vis du sujet évoqué. L’effet est renforcé par d’autres gestes concordants tels que la tête baissée et le regard fuyant
- Regarder l’heure ou n’importe quoi ayant un rapport avec vos mains donne l’impression très marquée que vous vous ennuyez ou que vous trouvez le temps long. C’est un des gestes les plus facilement repérés et interprétés, méfiez-vous en.
- Plisser les yeux projette un effet complètement différent de celui que l’on recherche parfois consciemment. Toutes les espèces animales utilisent instinctivement le plissement des yeux pour faire savoir qu’ils sont en colère. Notre cerveau est programmé pour le comprendre de la sorte. Ne cherchez donc pas à plisser les yeux pour donner l’impression que vous réfléchissez, vous donneriez l’impression d’être enervé ou de juger votre interlocuteur.
- Se tenir trop près (ou trop loin). La distance est un indicateur d’intimité. Se tenir à moins d’un mètre d’une personne qui n’a aucune intimité avec vous la mettra souvent mal à l’aise. Ne traversez pas cette frontière sans être sur d’être dans un rapport d’intimité avec votre partenaire. De la même manière, ne vous tenez pas trop loin, vous risqueriez de faire croire que vous n’avez pas envi de discuter ou d’entretenir un quelconque rapport avec votre interlocuteur. La connexion entre vous serait alors considérablement diminuée.
- Se toucher le visage durant une conversation peut indiquer une déception ou une gène. Soyez attentifs aux signes qui accompagnent ce geste si vous voulez avoir le cœur net de ce que votre interlocuteur projette inconsciemment. Par ailleurs, si la main de votre interlocuteur se place devant sa bouche, il est probable qu’il mente. La encore, ce signe ne se suffit pas à lui seul, mais il est un des plus visibles qui soit lorsque l’on parle de mensonges. C’est d’ailleurs un des réflexes innés des jeunes enfants qui mentent en toute connaissance de cause à leurs parents.
Ces premiers exemples simples peuvent vous permettre de commencer à analyser certaines situations mais ils doivent surtout vous servir de piste pour vous améliorer vous-même et éviter de créer des sentiments négatifs chez vos interlocuteurs. Il vous suffit de cliquer sur le lien suivant pour accéder à la deuxième partie de l’article (disponible à partir du 5 février 2011), pensez à revenir me lire à ce moment la!
Langage corporel : Deuxième partie
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Suite à notre première entrevue parue dans un article précédent, Biba Pedron du blog « Networking et réseaux sociaux » a souhaité en retour en découvrir plus sur mon parcours et m’a fait l’honneur de m’interviewer elle-même…
Après notre premier entretien au cours duquel vous avez pu découvrir l’histoire de cette petite Française devenue « reine des réseaux sociaux », me voici aujourd’hui sur la scellette pour répondre aux questions de Biba Pedron, en personne
Cliquez sur la vidéo et écoutez cette entrevue au cour de laquelle vous m’entendrez raconter mon évolution personnelle et professionnelle me permettant de donner au final quelques conseils précieux si vous projetez de travailler en couple dans votre propre entreprise et vous doter des meilleures conditions pour réussir.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=OFlYF0MiyR0]
Pour aller plus loin
Vous pourrez lire sur le blog de Biba Pedron l’article qu’elle m’avait invitée à écrire sur un thème englobant « entrepreneuriat » et « développement personnel ». Il est intitulé « Comment entreprendre est source de développement personnel »
Si vous souhaitez vous lancer sur le web et trouver l’appui d’un groupe performant pour ne pas rester seul(e), inscrivez-vous à son nouveau groupe Mastermind
Si vous avez aimez cet article, suivez les conseils de « la reine » : faites-le savoir et partagez-le sur les réseaux sociaux en cliquant sur les boutons ci-dessous !
Et n’oubliez pas un petit commentaire avant de quitter cette page… J’aime vous lire Merci d’avance !
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Source originale : http://youtu.be/UgNxuISK9oI
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=UgNxuISK9oI&w=640&h=360]
Source originale : http://lepetitcoach.com/5-conseils-pour-ne-plus-avoir-peur-du-regard-et-du-jugement-des-autres/
Nombreux sont ceux qui ne font pas ce qu’ils aimeraient faire ou qui ne s’autorisent pas à être eux-même car ils ont peur de ce que les autres pourraient penser ou dire.
Voici comment faire pour arrêter de vous limiter ou de vous inhiber juste à cause de votre peur du jugement des autres.
1. Les autres sont plutôt vous-même
Nous avons tous tendance à généraliser notre propre comportement. Ainsi, si vous pensez que se détendre sur le balcon un samedi est un signe de paresse, vous serez tenté de croire que les autres le pensent aussi.
D’autre part, plus vous aimez juger les autres, plus vous aurez l’impression que les autres vous jugent.
2. Soyez positif
Au lieu de vous inquiéter de ce que les autres peuvent bien penser de vous, imaginez qu’ils ont remarqué vos bons côtés, qu’ils sont reconnaissants et qu’ils comprennent vos raisons et vos actes. Imaginez simplement qu’ils vous aiment et vous apprécient tel que vous êtes.
C’est souvent bien plus vrai que le contraire et c’est beaucoup plus motivant et boostant.
Cela vous évitera une grande perte de temps à essayer de donner un sens à des paroles, des gestes ou des actes des autres pour savoir ce que ces personnes pensent de vous et si elles vous apprécient.
3. Jugez-vous bien
Vous êtes la première personne à vous juger et souvent la personne la plus dure et la moins objective.
Apprenez à vous juger correctement. Sachez reconnaître les bonnes actions que vous avez effectuées et apprendre de vos erreurs pour vous améliorer.
Se rabaisser soi-même est inutile et nocif. Mieux vaut bien connaître ses forces et les utiliser correctement et être conscient de ses faiblesses afin de les effacer ou les corriger.
Acceptez ce que vous ne pouvez pas changer et changez ce que vous ne voulez pas accepter.
4. Soyez zen avec le regard des autres
Sachez qu’on ne peut pas plaire à tout le monde, et vous non plus.
Ceux qui ne vous aiment pas ou qui vous jugent mal ont leurs raisons, soit ils ont des goûts, des croyances, des avis différents des vôtres, soit ils ne vous connaissent pas vraiment.
Soyez zen et laissez-les avoir leurs avis, ce qu’ils pensent n’a pas besoin de vous intéresser.
Le plus important est que vous vous plaisiez à vous. Si vous ne vous aimez pas vous-même, l’amour des autres ne vous suffira jamais.
Ensuite, concentrez-vous sur ceux qui vous apprécient et sont sur votre longueur d’ondes. Faites en sorte de côtoyer le plus possible ceux qui vous aiment vraiment.
5. Soyez vous-même
Vivez votre propre vie comme vous l’entendez. Agissez en accord avec vos valeurs et réfléchissez avant de parler. Suivez votre instinct et votre petite voix intérieure et soyez vrai.
C’est ainsi que vous serez sûr de vous et que le regard et le jugement des autres vous sera complètement égal. Lorsqu’on sait tout au fond de soi que ce que l’on fait et ce que l’on est est bien, rien ne peut plus nous faire peur.
C’est à vous
- Avez-vous des techniques pour vous libérer du regard des autres ?
- Souffrez-vous du jugement des autres ?
- Quel est le conseil le plus important pour vous ?
Source originale : http://www.mediter-pour-etre-heureux.com/comment-se-liberer-du-perfectionnisme/
La méditation a fait de moi une personne plus calme et plus heureuse. La pratique quotidienne m’a permis de laisser aller lentement quelques tendances fortes qui me causaient beaucoup d’inquiétude et de peur. Par exemple, cela m’a aidé pour lâcher-prise avec le perfectionnisme.
J’avais l’habitude d’être très préoccupé par le fait de bien faire les choses et donc j’avais une forte tendance perfectionniste. Si je faisais une erreur ou vivait un petit échec, j’avais tendance à être très dur avec moi-même. J’avais l’habitude de me critiquer et de me sentir mal à l’aise avec moi-même.
Heureusement, la méditation m’a aidé à laisser aller cette tendance au perfectionnisme. Quand une situation arrive et que je fais une erreur, je me rappelle que c’est une bénédiction pour apprendre de mon erreur et progresser. Les émotions de peur, de regret et de blâme peuvent encore se présenter, mais elles ne sont pas aussi intenses qu’avant. En méditant, j’ai appris à cultiver un courant de bonheur et de confiance qui me permet de les vivre avec plus d’équanimité. Je sais que cela n’est pas moi, ce sont des schémas inconscients qui refont surface et c’est l’occasion de les accueillir avec bienveillance plutôt que de les rejeter.
Le sentiment de bien-être que je ressens dans ma pratique de la méditation se transpose dans le reste de ma vie. Maintenant, puisque mon esprit est plus calme, je peux apprécier la beauté autour de moi : les nuages flottant dans le ciel, la lumière du soleil passant par les fenêtres et les différentes expressions sur les visages des gens.
J’apprécie tout ce que je fais. Les activités quotidiennes sont devenues plus agréables. Mon esprit est plus dans le moment présent et je suis donc plus productif.
Auparavant, j’avais l’obsession de bien faire les choses, cela produit beaucoup de pensées inutiles et bloque l’avancement des projets. Aujourd’hui, je suis plus détendu dans tout ce que je fais donc la qualité de mon travail est améliorée. Maintenant, je peux profiter du processus créatif de la vie.
J’ai toujours un désir d’exceller et de bien faire les choses. Ce qui change, c’est que je peux faire cela sans la douleur de l’inquiétude et la peur de ne pas être assez bon. La méditation m’a donné cette liberté. Il y a tellement de joie dans le moment présent. Je suis maintenant capable de le mesurer dans ma propre expérience.
Comment s’y prendre ?
- Dès que vous repérez que vous êtes très pointilleux sur un détail, c’est le moment pour faire une pause
- Respirez et prenez conscience que cela n’est pas vous, c’est un schéma inconscient qui se réveille
- Accueillez le avec douceur et bienveillance. Souvenez-vous que si vous vous battez avec ce qui se présente, c’est vous qui allez souffrir et en plus vous allez renforcer cette tendance. C’est comme mettre de l’huile sur le feu à ce moment-là.
- Puis lentement, lorsque vous avez retrouvé votre équilibre dans l’instant présent, vous pouvez reprendre le cours de vos activités quotidiennes.
C’est très simple mais au combien important car comment changer vos tendances si vous ne changez pas votre façon d’expérimenter ces situations où le perfectionnisme vous dépasse ! Souvenez-vous de cet article la prochaine fois !
« Être perfectionniste conduit souvent à la dépression. Les perfectionnistes mettent la barre trop haute et sont trop durs avec eux-mêmes, ce qui a un impact négatif sur leurs vies quotidiennes. »
Source originale : http://www.talentattitude.com/avis-theatre-bienfaits/
Je voudrais vous livrer le rôle crucial que le théâtre a joué dans ma vie. En effet, sa découverte et sa pratique régulière ont complètement transformé ma vie. Enfant, j’étais plutôt d’un naturel observateur, introverti et solitaire. Assez fier et sensible aux regards des autres, j’aimais faire le pitre, être au centre de l’attention […]
L’article Mon avis sur le théâtre et ses bienfaits est apparu en 1er sur Talent Attitude.
Source originale : http://www.simpleslide.com/2010/01/25/vivre-linstant-present-initiation-a-la-meditation-avec-matthieu-ricard/
Cet article s’inscrit dans le cadre du festival « a la croisée des blogs », organisé ce mois-ci par Guillaume du blog s’améliorer. Le thème de ce mois est : vivre l’instant présent.
Pour être honnête, j’ai un peu séché au début sur ce thème. Savoir vivre l’instant présent, quel défi ! Et puis en creusant en peu, j’ai décidé de m’intéresser à la méditation notamment à travers le dernier livre de Matthieu Ricard, « L’Art de la Méditation». La présentation que j’ai composé s’appuie notamment sur quelques éléments du résumé du blog « Des livres pour changer de vie ».
Bon visionnage
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